Love in all its forms ❥ Valoumy

C'est ce dont j'avais besoin d'entendre, que je suis la seule femme qu'il veut, car dans mon cœur, il est le seul homme avec qui j'ai envie de passer le restant de mes jours, le seul à qui j'ai envie de dire je t'aime, le seul homme qui entendra ses mots de ma bouche en dehors des hommes de ma famille, à savoir Jax et Peter. Je l'écoutais me dire ses belles paroles alors qu'un sourire refaisait son apparition sur mon visage. Dans ce cas je suis sûre de ce que je veux. Disais-je avec un sourire heureux, j'étais tellement bien avec lui, même si je n’arrivais pas à oublier le passé, j'arrive à nous projeter dans l'avenir, une nouvelle fois. Et ça me faisait chaud au cœur, ce cœur qui battait à mille à l'heure quand il reprit mes lèvres en otages. Il pourrait le faire encore et encore, jamais je ne m'en plaindrais. Je serrais sa main pour monter avec lui jusqu'à son appartement. J'aurais dû attendre qu'il ouvre sa porte à clé, mais je n'y arrivais pas. Je tirais légèrement sur son bras pour le mettre face à moi et l'embrasser à mon tour, avec passion, amour et envie. Je collais mon dos contre sa porte en continuant de l'embrasser jusqu'à ce qu'il se décide à l'ouvrir pour nous faire entrer et faire de moi une femme heureuse et comblée, grâce à lui.

C'était donc ce qu'elle voulait vraiment, être avec moi, et c'est clairement ce que je veux aussi. On est donc monté jusqu'à l'appartement pour qu'au final elle n'attende pas que j'ouvre la porte pour de nouveau m'embrasser et se coller avec moi de façon tellement sexy que j'arrivais pas du tout à la repousser pour simplement ouvrir la porte. Je suis clairement son esclave, elle pouvait faire tout ce qu'elle voulait de moi que je pourrais rien trouver à redire. Ca me fait peur dans ces cas-là évidemment, parce que je tombe bien trop amoureux et qu'au final je vais en souffrir, mais qu'importe, je ne peux rien faire contre, encore moins la quitter ou la lâcher son corps et ses lèvres que je continuais d'embrasser alors que j'essayais tout de même d'ouvrir la porte. Cette fois-ci j'avais réussi d'un coup de bol à faire entrer directement la clé et je ne pus m'empêcher de rire Cette fois-ci j'ai été plus chanceux ... Pas besoin d'expliquer, quelque chose me dit qu'elle non plus n'avait pas oublié cette journée de folie qu'on avait passé lors de notre rencontre.

Un rire s'échappa de ma bouche quand il me fit savoir que cette fois-ci il a été plus chanceux. En effet lors de notre rencontre, j'ai été incapable de faire de même, de trouver la serrure tout en l'embrassant. Cette journée je ne pourrais jamais l'oublier, que ce soit au magasin ou ensuite à l'hôtel. Je me collais de nouveau contre lui en plongeant mon regard dans le sien. Hey moi aussi je sais le faire ! Sauf quand t'es là, c'est pas de ma faute si tu me fais perdre mes moyens. Disais-je en souriant avant de reprendre une nouvelle fois ses lèvres, j'ai tellement envie de lui, il m'a tellement manqué que je ne pouvais plus attendre. Je posais ma main sur son torse pour le pousser doucement jusqu'à son appartement avant de fermer la porte derrière nous. Et avant même d'arriver dans sa chambre, je lâchais mon sac à main par terre tout en retirant ma veste pour la jeter aussi au sol et de revenir me coller contre lui pour l'embrasser de plus belle en attendant qu'il m'emmène dans sa chambre pour ne faire qu'un avec l'homme que j'aime. Est-ce que je faisais une erreur en lui donnant cette chance ? Je ne sais pas, mais mon cœur ne veut que lui, alors autant écouter cette petite chose qui bat en moi.

Ce soir je comprenais bien la galère qu'elle avait du avoir quand elle avait essayé d'ouvrir cette porte alors que je me collais à elle lors de notre rencontre, mais contrairement à elle j'avais un meilleur coup de main apparemment, mais j'avais été sympa et lui avais dit que j'avais été plus chanceux (a) tout ça parce que je l'aime évidemment. Mais je suppose qu'il y avait un petit fond de taquinerie, chose qu'elle repéra de suite et qui la fit rire, un rire qui m'avait tellement manqué que je n'arrivais pas à m'en lasser. Une fois la porte ouverte elle me poussa à l'intérieure, faisant tomber son sac et sa veste avant de se jeter de nouveau sur moi. Je pris alors ses jambes et les fit passer autour de ma taille pour l'emmener plus facilement jusqu'à la chambre sans qu'on se mette à galérer, pour qu'on puisse rester l'un contre l'autre. Je nous faisais ensuite bien vite tomber sur le lit, me retrouvant sur elle, gardant ses jambes remonter, bien conscient qu'à un moment donné faudrait que je me redresse pour retirer nos vêtements, mais je voulais profiter d'elle, de nos baisers, la sentir avant de m'épuiser à nous donner le plaisir maximal.

Ce soir je voulais que ce soit aussi magique que notre première fois ensemble, aussi magique que toutes les fois où nous l'avons fait. J'ai toujours eu envie de lui, toujours eu cette envie de l'embrasser et de le sentir en moi, mais ce soir peut-être encore plus que d'habitude. Peut-être à cause du fait qu'il me manque, que je l'aime toujours aussi fort malgré tout. Et sentir ses mains attraper mes jambes pour les passer autour de sa taille, ça me rendra toujours toute chose, j'aimais cette sensation de décoller du sol pour me retrouver contre lui. Et sans plus attendre il m'emmena dans sa chambre, cette chambre qui fut aussi la mienne avant. Je souriais lorsqu'il nous fit tomber sur le lit, le sentant contre moi et mes jambes autour de lui. Délicatement je passais ma main dans ses cheveux, prolongeant encore et toujours ce baiser tellement doux, sensuel, bref ça me rendait tellement folle. Et je me sentais enfin bien, ces derniers jours, semaines étaient tellement difficiles, je pensais que c'était à cause de lui, à cause de ce qu'il m'avait fait et c'est en partie vrai, mais c'est surtout parce qu'il me manque. Je mettais un terme à notre baiser quelques secondes tout en le gardant contre moi, ma main caressant ses cheveux, mon visage près du sien pour simplement lui dire. Tu me manques tellement .. Et là à cause de l'émotion je sentais les larmes monter, mais je voulais pas pleurer, pas ce soir. J'ai aucune envie que ce moment magique devienne triste, alors sans plus attendre je reposais mes lèvres sur les siennes, pour l'embrasser avec encore plus d'envie, faisant encore plus monter le désir.

Ça faisait tellement du bien de l'avoir de nouveau contre moi, sur ce lit, près à lui faire l'amour comme j'avais depuis toujours aimé le faire avec elle tellement ce moment était particulièrement magique. Une chose unique que je ressentais différemment avec elle, qui me rendait encore plus amoureux d'elle, comme si c'était possible. Elle avait fini par rompre notre baisé pour me dire quelques mots qui me faisait du bien, que j'aimais tant entendre. Je lui souriais donc tendrement, et je sentais que quelque chose n'allait pas, c'était peut-être l'émotion, je me suis alors mis à lui caresser la joue toujours aussi tendrement alors qu'elle reprit ensuite mes lèvres en otage et m'embrasser toujours aussi fougueusement. Mais là elle me rendait de plus en plus fou et je n'arrivais plus à attendre, j'avais tellement chaud et je voulais sentir sa peau, la goûter encore une fois. Je me suis donc redressé, retirant rapidement mon haut, pour ensuite la faire se redresser à son tour et commencer à lui retirer chacun de ses vêtements un à un, profitant de son corps qui m'avait tant manqué, en la caressant, en l'embrassant de partout.

Ce que j'aimais dans l'amour avec lui, c'est tout. Que ce soit le début, les préliminaires, sentir ses mains se balader sur ma peau, ses lèvres sur les miennes, puis la suite, le concret lorsqu'il est en moi et nous procures un plaisir intense. Mais j'aimais aussi la fin, quand nous nous regardons dans les yeux sans rien ajouter, bref j'aimais ces moments avec lui, contre lui. Il me rendait tellement dingue, surtout lorsqu'il commença à se déshabiller je souriais malicieusement en matant son corps de Dieu grec avant qu'il m'aide à me déshabiller. Je me retrouvais alors en soutif et pendant ce temps, j’essaie de retirer sa ceinture pour qu'il puisse lui aussi se mettre nu et contrairement au jour de notre rencontrer, cette fois-ci j'ai réussi à lui retirer avant de la jeter par terre pour qu'il puisse retirer le reste de ses vêtements. Et cette fois-ci j'ai réussi. Murmurais-je tout près de ses lèvres en souriant avant de l'embrasser de plus belle. J'enlevais mon soutien-gorge, le dernier vêtement qu'il me restait pour me retrouver en tenue d'Eve. J'avais tellement chaud, j'étais tellement excitée que je pourrais le bouffer tout en entier, Puis doucement je me rallongeais sur le lit tout en passant ma main derrière sa nuque pour l'attirer contre moi et l'embrasser, pour enfin commencer ce que lui tout comme moi voulons.

J'en revenais vraiment pas qu'elle soit là de nouveau, sur le lit qui a été le notre pendant un trop court laps de temps lorsqu'on était ensemble et mariés. Je ne croyais pas ce moment possible autre que dans mes rêves les plus fous, mais voilà qu'on était prêt à faire de nouveau l'amour et c'est tout ce que je désirais au plus profond de mon être, qu'elle m'appartienne de nouveau. C'était la dernière étape pour elle et moi de nouveau, je le sais, je le sens, j'ai gagné celle que j'aime, celle que je veux et après cet ébat qui risque d'être encore plus magique que dans mes souvenirs, elle sera de nouveau mienne et je serais de nouveau heureux et comblé. Elle me fit cependant rire en retirant ma ceinture pour me faire part qu'elle avait réussi cette fois-ci. Faut dire qu'elle avait eu le temps de s'entraîner depuis notre première fois, depuis sa première fois. Dire qu'elle n'a connu que moi, ça me convient parfaitement et je crois que je deviendrais fou si un autre mec osait la toucher comme j'aime tant le faire (a) Une fois nos habits totalement retirés, je la laissais m'embrasser pour ensuite qu'on se colle de nouveau l'un contre l'autre, et je ne tardais pas à entrer en elle, me foutant complètement de mettre un préservatif, j'y pensais pas, et même si ça avait été le cas, je n'en aurais pas voulu, parce qu'on a en a pas besoin quand on est tous les deux. Je l'embrassais toujours aussi fougueusement, avant de me perdre dans son cou pendant que mes mains caressaient sa parfaite poitrine alors que je rentrais doucement en elle, procurant un bonheur et un plaisir et soulagement immense. Je m'arrêtais un instant, profitant de l'instant pour venir l'embrasser de nouveau et commençais peu à peu mes va et viens.

Aucun homme ne pourra jamais me donner autant de plaisir que lui, il me connaît par cœur, connaissant chaque recoin sensible de mon corps, et en plus de ça mon cœur lui appartenait depuis le premier regard, depuis que j'ai sentie ses mains se poser sur mes hanches dans ce magasin, alors ce soir je me livrais entièrement à lui, il m'avait trop manqué et j'en pouvais plus d'être si loin de lui. À peine avait-il entré en moi qu'un petit cri s'échappa de ma gorge, des frissons parcourant l'intégralité de mon corps. Il savait comment s'y prendre avec moi, il connaissait la moindre zone érogène de mon corps et surtout mon cou, sentir son souffle parcourir ma nuque, ses lèvres toutes proche de mon cou, rien que ça me donnait un plaisir immense, mais ce n'était rien comparé à ses mains sur ma poitrine, ainsi que ses va et viens qui commençaient petit à petit, mais qui me donnaient déjà extrêmement chaud. On venait à peine de commencer que j'étais déjà aux anges. Il vint rependre mes lèvres pendant que je me cambrais pour aider mon bel Italien dans ses gestes, pour nous procurer un plaisir sans limite. Doucement je passais mes mains sur son dos pour le caresser pendant qu'il était en moi, descendant doucement mes mains le long de son corps pour atterrir jusqu'à ses fesses. Oui j'adorais toucher et caresser ses fesses, ce n'est plus un secret pour lui maintenant (a). J'agrippais donc doucement ses fesses musclées pendant qu'il continuait ses va et viens qui me rendaient de plus en plus folle, des soupirs de plaisir s'échappèrent sans cesse, ne pouvant pas les contrôler tellement j'étais bien, tellement il me donnait du plaisir en seulement quelques petites minutes à peine. Je voulais que ça dure, encore et encore. Je relevais doucement mon visage vers le sien pour déposer mes lèvres contre les siennes, tentant tant bien que mal d'étouffer mes soupirs et gémissements.

C'était pas ce qui m'avait le plus manqué chez mon ange, mais je dois bien avouer que prendre son corps une nouvelle fois me donnait le plus grand des plaisir et me rendais vraiment heureux, même si c'est elle tout entière qui m'avait manqué et pas seulement la chair et le plaisir. Le bonheur, il avait été là rien qu'en sa présence, rien qu'avec ses sourires et ses baisés. Et je me rendais de plus en plus compte que c'était ce que je voulais vraiment, qu'elle soit mienne et ma femme pour le restant de ma vie, alors que pour mes ex, je n'avais jamais ressenti un tel besoin, alors qu'avec elle c'était le cas. J'avais l'impression que je pourrais lui faire l'amour des heures durant tellement j'aime le faire avec elle, tellement c'était un réel échange de plaisir. Mais il fallait que j'accélère parce que malgré son corps de rêve et ses douces et parfaites lèvres, cela ne me suffisait pas la faible cadence. Seulement il y avait des chances pour que je finisse un peu vite, mais au final ce ne fut que de longues minutes plus tard, après l'avoir embrassé partout, après avoir pris tout mon temps, après avoir fait quelques pauses pour la regarder, pour profiter de sa présence, que j'avais fini par me laisser complètement aller, lâchant un des cris les plus forts et puissants que j'ai jamais poussé. Oui elle me rend toujours aussi dingue et plus encore.