(+ Declan) you always make my dreams come true...

« Tu adores jouer les scientifiques avec mon corps sensible, pas vrai ? » s’amusa-t-elle à répondre avant de se cambrer légèrement vers l’arrière tandis qu’il taquinait la pointe de ses seins du bout de ses doigts. Nom d’un chien, Mallory n’avait jamais été aussi sensible et avant même de pouvoir rétorquer quoi que ce soit à Declan, elle se plaqua contre lui, le serrant dans ses bras en se tanguant violemment et en gémissant puissamment. Essoufflée, elle soupira doucement avant de murmurer : « je crois que ça répond à ta question… pfiow ! »

« J’avoue… Cela n’a pas l’air de te déplaire non plus non ? » présumais-je avec un petit rire non sans poursuivre mes délicates attentions sur sa poitrine offerte à mes doigts experts même si au bout du compte, je n’eue pas le temps de faire grand-chose. « C’est moi ou tu viens d’avoir un orgasme à cet instant ? » lui demandais-je non sans venir l’embrasser langoureusement pour mieux commencer à frotter mon bassin contre le sien encore protégés de nos sous-vêtements respectifs. « Tu viens de m’allumer pour des heures au passage »

« Oh que non ça ne me déplaît pas… » murmura-t-elle contre ses lèvres avant que Declan ne déclenche très aisément une tornade de plaisir chez Mallory. « Pas ma faute… t’es trop sexy et trop doué avec tes mains ! » rougit-elle aussitôt, honteuse d’avoir été aussi rapide de son côté. « Des heures ? Ça va me permettre de te titiller pendant des heures alors » s’empara-t-elle de ses lèvres alors que ses mains glissaient déjà à l’intérieur de son boxer.

« T’excuse pas… J’aime déclencher tes orgasmes en un rien de temps » avouais-je coquin car dans ces moments-là, je me trouvais le plus doué des amants. Un léger rire ponctua sa réplique suivante avant qu’un faible gémissement ne traverse mes lèvres. « Cela tombe bien, on a pas baptisé le jardin » murmurais-je avant de glisser mes mains sur sa culotte pour la faire glisser le long de ses jambes. « Nouvelle règle dans la maison : aujourd’hui, nue tu seras »

« Tu sais que tu es un véritable artiste en la matière ? » le complimenta-t-elle pour qu’il ait conscience de son talent et surtout de l’émoi dans laquelle il la mettait au moindre geste, si infime soit-il. Cela n’empêcha pas Mallory de faire également glisser le boxer de Declan de plusieurs gestes on ne peut plus experts. « A condition que nu tu sois aussi et que l’on baptise toutes les pièces aujourd’hui… il ne faut pas remettre à plus tard, c’est urgent » murmura-t-elle contre ses lèvres. « J’ai envie de toi mon Apollon artiste… »

« Ce n’est pas ma faute, tu es ma muse ! » la complimentais-je en retour car son corps appelaient mes caresses comme les sirènes piégeaient les pirates dans les diverses mythologies. Mallory était ma sirène et c’était de mon plein grès que je voulais bien me faire attraper entre ses bras si cela signifiait pouvoir l’aimer jusqu’à ce que la mort nous sépare. « Conditions acceptées ! » répondis-je avant de mordiller sa lèvre inférieur pour mieux la soulever et la plaquer contre notre baie vitrée, l’embrassant avec passion. « Je te promets de prendre tout mon temps après mais là… j’ai trop envie de toi bébé sirène » murmurais-je pour mieux lier nos corps avec une passion exquise.

« Oh mais j’adore être ta muse crois-moi ! » ronronna-t-elle littéralement de plaisir tout contre ses lèvres avant d’être délicieusement soulevée alors que Declan acceptait ses conditions. Quelque chose disait à Mallory que ce fameux dimanche allait être non seulement délectable mais en prime dépourvu de tout habillage… « On se rattrapera après mais j’avoue que moi aussi j’ai trop envie de toi mon Apollon artiste » fit-elle en soulevant légèrement les hanches pour donner davantage de marge de manœuvre à Declan, non sans s’emparant furieusement de ses lèvres tandis qu’elle continuait d’entourer sa taille à l’aide de ses cuisses.

Il ne m’en fallait guère plus pour me sentir investi d’une mission à savoir combler sexuellement mon épouse et comme promis, cette étreinte fut la première d’une grande série où notre maison fut notre terrain de jeu préféré. Les jours suivants, Mallory et moi prirent davantage nos marques dans ce quartier résidentiel même si elle ne pouvait plus courir sans qu’une bande d’hommes en rut ne courent avec elle et sans que moi, je ne reçoive les doléances de toutes ces femmes pour que je vienne les aider avec leur plomberie. Je crois que notre intégration n’était plus à refaire !

TOPIC CLOS.