(+ Declan) you always make my dreams come true...

« Tu… tu as fais de la muscu ? Mais Declan et ta blessure ! » soupira-t-elle même si de toute façon, quoi qu’elle dise, Mallory n’empêchera pas son mari de n’en faire qu’à sa tête. « Waw… je te fais la conversation sans même m’en rendre compte alors là pour le coup je suis vraiment puissante je trouve ! Surtout si je t’engueule pour mieux te dire que je t’aime alors là… » Elle éclata de rire de plus belle avant de rougir violemment. « Tu trouves pas ça ridicule ? Ce qui l’est par contre c’est que je commence à avoir du mal à me satisfaire que de coincoin, j’avoue… »

« Avant que tu t’inquiètes, j’ai demandé l’accord de mon médecin de famille. J’ai bien cicatrisé et si je ne force pas, je peux aisément reprendre la musculation. J’ai pas envie de me transformer en loque humaine » répondis-je avant de déposer un baiser sur son front comme pour me faire pardonner des petites frayeurs que je lui cause. « T’es la meilleure, je l’ai toujours dit » m’amusais-je à répondre avant de rigoler plus franchement. « Et après, tu n’es pas en manque hein ?!... Un bout de plastique ne pourra jamais te combler comme moi… tu es au courant ? »lui demandais-je non sans l’allonger sur le lit, la surplombant.

« Tu ne vas pas te transformer en loque humaine voyons ! Puis tu seras toujours le plus beau pour moi… mais si ton doc t’as donné son approbation alors ça va » fit-elle en fermant les yeux lorsqu’il embrassa son front, profitant de ce moment de pure tendresse dont elle rêvait depuis pratiquement trois semaines. « Je suis la meilleure parce que tu mérites le meilleur »[ avoua-t-elle dans un sourire rêveur avant qu’il ne la surplombe de son corps. « Je n’ai jamais dit que je ne l’étais pas mais tu n’es pas qu’un sextoy pour moi tu es mille fois plus que ça ! Mais à la fac j’ai pas autre chose que mon coincoin pour me soulager et là… je vais exploser… » fit-elle en laissant échapper le gémissement qu’elle retenait depuis de longues minutes non sans prendre la main de Declan pour la glisser sous sa jupe, dépourvue de tout sous-vêtements, et qui laissait parfaitement entendre son désir de lui.