Comme la jeune femme confesse en un murmure qu'elle a chaud, le jeune homme se risque à un trait d'humour qui amuse effectivement la demoiselle. Cette dernière rit un peu mais frissonne aussi comme l'homme est occupé à déposer des baisers dans son cou, sur son menton puis à remonter en direction du lobe de son oreille qu'il mordille. Si bien qu'il empêche la demoiselle de répondre elle aussi par un trait d'humour. Tant pis, plus tard peut-être. Il n'y a pas à dire ce dernier sait y faire pour provoquer l'excitation de la gent féminine. Et c'est avec une certaine satisfaction que la demoiselle sent qu'il est en train de déboutonner son pantalon. Alords tant bien que mal et répondant au nouveau baiser qu'il lui offre, elle essaye de retirer ses chaussures et y parvient après quelques secondes, ce qui permet à son habit de glisser vers le sol. Alors la demoiselle s'en dépêtre et s'attaque à son tour au pantalon de son partenaire qu'elle déboutonne en songeant qu'ayant compris le message il est lui-même en train de retirer ses chaussures comme la demoiselle vient de le faire.
L’atmosphère devenait réellement brûlante. Le jeans d’Elsy chuta au sol. Je le dégageais d’un coup de pied en arrière afin qu’elle se retrouve en sous-vêtement. Cette fois-ci, mes mains qui se baladaient sur ses hanches avaient désormais un contact direct avec sa peau chaude. Et très vite, elle prit le même schéma que moi, à savoir qu’elle s’attaqua à l’attache de mon pantalon. J’en profitais pour retirer tout ce que j’avais sur les pieds afin de laisser le vêtement glisser tranquillement le long de mes jambes. Je revenais contre elle alors que notre proximité lui permettait de se rendre compte de mon état d’excitation, davantage sans cette barrière qu’était mon pantalon. Mon ventre épousa le sien, sa poitrine s’écrasa contre mon torse tandis que nous nous embrassions avec ferveur. Un baiser langoureux qui ne cessait de faire prendre de l’ampleur à notre désir. J’en profitais pour passer ses cuisses autour de ma taille alors que je la surélevais en la portant contre le mur. De cette façon, mon bas-ventre entra en contact avec le sien, malgré le tissu qui se dressait encore entre nous. Cette unique sensation me faisait chavirer. Et si je la portais, l’une de mes mains remonta jusqu’à sa poitrine, venant caresser son sein à travers le soutien-gorge, pour finalement finir sa course dans son dos. Un simple pincement de doigts et l’attache de sous-vêtement sauta. Et comme je reste un homme, je fus assez fier d’avoir réussi aussi bien cette étape délicate.
Rapidement les deux jeunes gens furent débarassés respectivement de leurs sous-vêtements qui maintenait entre eux une certaine distance. Maintenant qu'ils se retrouvaient presque l'un contre l'autre, quasiment peau contre peau, les choses devenaient plus chaudes encores qu'elles ne l'étaient déjà auparavant, alors qu'elles l'étaient vraiment beaucoup avant ça. Enfin soit. Ils avaient tout deux très envie l'un de l'autre, la brunette pouvait le sentir alros que, collée au mur, il la portait pour la surélever un peu et lui faire sentir la bosse de son caleçon. Bien fait le bonhomme apparemment. La demoiselle sourit tout en continuant à l'embrasser. Ses jambes autour de la taille du jeune homme, la hongroise glisse aussi ses bras autour de la nuque de l'homme comme pour se rapprocher encore un peu plus de lui. Et bientôt la demoiselle fait glisser ses lèvres de manière à mordiller une oreille de l'homme.
Une fois l’attache du soutien-gorge défaite, j’en profitais pour glisser ma main directement sur sa poitrine. J’en avais longuement rêvé depuis que je l’avais vu en sous-vêtements à Punta Cana. Et quand je sentis ses dents se refermer avec sensualité sur mon oreille, mon souffle se montra plus saccadé. J’avais bien trop envie d’elle pour mettre fin à cette bêtise monumentale. Je me détachais doucement d’elle afin de lui permettre de se remettre sur pieds, m’abaissant juste pour récupérer mon pantalon et en sortir mon portefeuille qui contenait un préservatif. J’étais un homme à femmes et il me paraissait inconcevable de sortir sans protection. Soit. Je me redressais et portais de nouveau Elsy accompagné d’un baiser passionné. J’en profitais pour l’entraîner jusqu’à bureau où un geste de la main suffit à dégager les quelques feuilles qui s’y trouvaient. Je l’y asseyais, posais la protection à côté alors que pour ma part, je restais debout, entre ses cuisses. Mes mains retirèrent une bonne fois pour toute le soutien-gorge et mes lèvres partirent à la rencontre de son cou, puis de sa poitrine tandis que mes mains caressaient ses cuisses.
Désormais il ne restais plus à la demoiselle que sa culotte en dentelle pour la couvrir un peu, tant bien que mal. Comme l'homme avait défait son soutient gorge ce dernier ne tenait ni ne cachait plus grand chose, il était un peu lâche. Si bien que l'homme n'eut aucun mal à glisser une main sur la poitrine de la demoiselle, faisant ainsi frissoner cette dernière. Sentait-il donc comme elle était sensible des seins, comme elle appréciait de sentir cette main qui, sans parvenir à l'englober entièrement, la couvrait et la caressait.
Posant pied à terre la brune regarde faire l'homme qui prend quelque chose dans son pantalon avant de la porter de nouveau pour bientôt l'installer sur son bureau. Appercevant l'emballage du préservatif la demoiselle dessine un sourire sur ses lèvres en se disant que comme ça, elle ne va pas avoir besoin de le demander à son partenaire, il y a déja pensé. Puis ils reprennent le cours de leurs baisers et la brunette se retrouve bientôt nue presque entièrement, comme son sourient gorge connait le même sort que le reste de sa tenue. Et l'homme, qui lui caresse les cuisses, l'excite beaucoup.
Se penchant en avant la brunette laisse sa langue courir sur les tétons de l'homme, alternant l'un et l'autre à intervales irréguliers de manière à laisser planer un peu de suspens.
Je ne pouvais pas réellement concevoir un moment aussi intime sans aucune protection. Le fait est que j’ai eu de nombreuses conquêtes, je traine parfois dans des endroits glauques et sans ce type de couverture, j’aurais déjà certainement attrapé un certains nombres de maladies sexuellement transmissibles. Autant donc, ne prendre aucun risque et avec Elsy, je ne ferais pas exception. Je l’avais donc portée jusqu’au bureau afin de l’y installer pour enfin retirer totalement son soutien-gorge. La jeune femme possédait une poitrine imposante même si j’avais pu m’en rendre compte bien plus tôt. Le fait est que cette fois-ci, je pouvais la toucher. Je n’avais d’ailleurs pas pu m’empêcher d’y déposer mes lèvres, prenant un mamelon en bouche, jouant avec le téton avec tendresse et désir. Je m’étais finalement redressé pour venir l’embrasser à nouveau, tandis que mes mains caressaient ses cuisses, se montrant de plus en plus insistantes.
Ce fut Elsy qui se pencha par la suite afin de jouer de ses lèvres sur mon torse. Ma main s’était déposée sur le côté de son cou, mes doigts contre sa nuque, comme pour l’inciter à continuer. Mes yeux se fermèrent quelques instants sous ce délicieux contact qui éveillait toujours un peu plus mes sens. Pendant ce temps, mes mains remontent le long de ses cuisses afin de jouer avec l’élastique de son sous-vêtement. Ce n’est d’ailleurs qu’au moment où j’y passe mes doigts que je l’entraîne vers le bas. Je laisse la dentelle glisser le long de ses jambes. Elle est désormais nue, même si je ne peux pas totalement en profiter visuellement en vue du manque de lumière. Je me contente de me frayer de nouveau un chemin entre ses cuisses, me collant à elle de façon à ce que mon bas-ventre, encore recouvert, entre en contact avec son intimité brulante. Un sourire se dessine sur mes lèvres même si moi-même, je me sens fiévreux.
Il est vrai que j’ai eu la chance d’avoir été gâté par la nature à cet endroit. Je suis le genre d’homme qui peut être fier de posséder des attributs masculins imposants. En revanche, cela peut également se montrer handicapant. Si je porte un pantalon de costume ou bien un jeans trop près du corps, c’est l’une des premières choses que l’on voit. Et si, par malheur, quelque chose vient à m’exciter, inutile de préciser à quel point cela peut-être gênant. Quoi qu’il en soit, j’esquisse un sourire en entendant un « Waouh… » de la part d’Elsy. Quel homme ne serait pas fier d’entendre ce simple mot pour qualifier ce qu’il a entre les jambes ? Virilité sur laquelle elle a d’ailleurs déposé la main. Ce contact me rend ivre de désir. Je brûle aussi bien de l’intérieur que de l’extérieur. J’ai envie d’elle, maintenant, tout de suite.
Cependant, Elsy semble avoir peur que je lui fasse mal. Je mets donc ma soudaine fierté de côté afin de la rassurer. Mes lèvres se pressent avec douceur contre les siennes, comme pour lui prouver que je peux être aussi tendre qu’elle le souhaite. Mes mains se sont posées sur ses joues afin de les caresser. Elle peut me faire confiance. Dans les moments intimes je suis tout aussi bien capable d’être le plus bestial que le plus tendre. Je fais en fonction de la personne que j’en en face de moi car ce type d’acte est avant tout un partage et un désir de rendre le moment aussi intense pour tous.
- Détends-toi, ça va bien se passer.
Je lui vole un nouveau baiser tout en attrapant la protection que je déroule sur ma virilité. Je reste entre ses cuisses afin de me positionner et décide d’entrer en elle en douceur, centimètre par centimètre, tout en restant à l’écoute de sa réaction. Ma respiration saccadée se mélange à la sienne. Parfois je décide d’attendre avant de continuer à progresser, uniquement pour qu’elle prenne le temps de s’habituer à ma présence.
- Ca va… ?, murmurais-je au creux de son oreille avant de venir la mordiller.
Je reste particulièrement à l’écoute d’Elsy. J’ai besoin de savoir que tout va bien de son côté pour céder totalement au plaisir charnel. J’ai toujours fait passer le plaisir de ma partenaire avant le mien pour de nombreuses raisons dont l’une d’entre elles n’est autre que j’aime donner du plaisir, autant qu’en recevoir. Elsy ne fera donc pas exception. Si je l’ai senti se crisper quelques instants lorsque j’ai commencé à la prendre, j’ai vite compris qu’elle se détendait peu à peu, jusqu’à confirmer en laissant des gémissements s’entendre. Je suis aussi heureux de l’entendre que de le sentir.
Une fois m’être enfoncé en elle avec tendresse et m’être stoppé dans mon élan le temps qu’elle s’habitue à ma présence, je finis par débuter une lente série de vas et viens afin d’habituer son corps à me recevoir sans faire preuve de brutalité. Mes yeux se ferment un instant, ma respiration est plus forte et rapide. Mes muscles se contractent sous le plaisir et finalement, nos lèvres se scellent à nouveau dans un baiser plus langoureux et fougueux.
Je n’arrive pas à croire que je suis présentement en train de faire l’amour à cette étudiante qui a toujours provoqué en moi un fort désir. Et cette fois-ci, aucun de nous n’était sous l’emprise de l’alcool. Preuve en est qu’elle l’avait désiré autant que moi. L’une de mes mains remonta sur sa poitrine afin de la caresser, tandis que l’autre continuait de la maintenir, posée sous sa cuisse. Mes mouvements se montraient peu à peu plus prononcés, allant et venant en elle sur toute la longueur.
Accueil
Comme la jeune femme confesse en un murmure qu'elle a chaud, le jeune homme se risque à un trait d'humour qui amuse effectivement la demoiselle. Cette dernière rit un peu mais frissonne aussi comme l'homme est occupé à déposer des baisers dans son cou, sur son menton puis à remonter en direction du lobe de son oreille qu'il mordille. Si bien qu'il empêche la demoiselle de répondre elle aussi par un trait d'humour. Tant pis, plus tard peut-être. Il n'y a pas à dire ce dernier sait y faire pour provoquer l'excitation de la gent féminine. Et c'est avec une certaine satisfaction que la demoiselle sent qu'il est en train de déboutonner son pantalon. Alords tant bien que mal et répondant au nouveau baiser qu'il lui offre, elle essaye de retirer ses chaussures et y parvient après quelques secondes, ce qui permet à son habit de glisser vers le sol. Alors la demoiselle s'en dépêtre et s'attaque à son tour au pantalon de son partenaire qu'elle déboutonne en songeant qu'ayant compris le message il est lui-même en train de retirer ses chaussures comme la demoiselle vient de le faire.
