Aaron ♣ Un parfum de honte... /!\ hot

Les deux jeunes gens s'étaient laissés emportés par punta cana, par l'esprit de la fête, par leurs boissons et par le fait aussi c'est vrai, qu'ils se plaisaient et s'attiraient l'un-l'autre. Mais heureusement toutefois, ils avaient sût s'arrêter à temps... Non, le jeunes homme avait réussit à les fauire stopper parce que la brunette elle n'avait eut à aucun moment de la soriée l'intention de mettre un terme à cette draguouille dont ils s'étaient gratifiés.

"- Oh euh... et bien... on va dire que vous étiez francs tout simplement."

Oui, ce devait être pour cela que l'homme s'était montré clairement réceptif à la drague de la demoiselle et peut-être qu'il méritait que cette dernière soit aussi franche qu'il l'avait été. Peut-être qu'il méritait que la brunette assume totalement ses actes et ses penses, c'est comme ça que l'on avance dans la vie, voilà la réflexion qu'elle se fait. Et qui la pousse à lever le regard pour le planter dans celui du jeune homme.

"- Vous étiez intéressés vous l'avez montré, tout simplement. Et peut-être que je devrai faire pareil. Être franche, assuer... reconnaître que oui vous me plaisez et que euh c'est probablement pour cela, associé à l'alcool, que je vous ai dragué je veux dire... s'il n'y avait eut que l'alcool... ça ne serait pas arrivé."

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Un parfum de honte...

Elsy & Aaron

Je ne saurais réellement expliquer pourquoi il y avait cette tension due à cette attirance entre Elsy et moi. Certes, elle est très attirante mais soyons honnêtes, des étudiantes désirables, il y en a énormément à l’université d’Harvard. Pourquoi donc étais-je autant attiré par elle, en particulier et que j’arrivais à me fixer des limites sans aucune difficulté avec les autres ? C’en devenait désespérant. Et alors que j’étais sur le point de la remercier afin qu’elle quitte la salle, elle se décidait enfin à jouer la carte de l’honnêteté avec moi, même si tout à l’heure, le fait qu’elle ne réponde pas lorsqu’il fut question d’attirance, m’avait prouvé qu’elle consentait. Sauf que cette fois-ci, elle décidait d’y mettre des mots et m’expliquait donc clairement que l’alcool n’avait pas été l’unique raison de ses avances : elle semblait être aussi attirée par moi que je l’étais par elle. Ok, calme-toi, Aaron, ce n’est pas le moment de flancher.

- Vous voulez dire que…

D’accord, il était grand temps de trouver une solution afin de mettre fin à cette stupide attirance. Et si j’avais beau chercher sérieusement, une hypothèse s’offrait toujours à moi : et si je l’embrassais ? Avec un peu de chance, ça nous suffira à comprendre que finalement, nous ne sommes absolument pas attirés l’un par l’autre. Ou bien, au contraire, ça risquait de nous pousser à aller plus loin. Ok, c’est peut-être une mauvaise idée. Je reposais mon regard dans le sien alors que nous étions proches l’un de l’autre. Malgré moi, mes yeux bleus dévièrent sur ses lèvres. Non, Aaron. N’y pense même pas… ! Trop tard. Je venais de presser mes lèvres contre les siennes.

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Les choses devenaient dangereusement... dangereuses. Avec appréhension la demoiselle voit l'hiomme avancer son visage vers le sien mais plutôt que de reculer la tête comme elle se devrait de le faire, la brunette ne bouge pas. Au contraire elle laisse l'homme approcher, poser ses lèvres sur les siennes et même si elle ne répond pas tout de suite au baiser, elle finit par le faire, entourant même la nuque de l'homme avec ses bras. Le coeur battant comme la porte de la salle de classe est ouverte et comme elle est en train de faire une bêtise, la demoiselle ne se sent pas vraiment très bien pourtant ce n'est pas pour autant que la demoiselle a envie qu'il arrête. Même si elle en devrait pas la demoiselle prend goût à ce baiser, l'une de ses mains quitte même la nuque de l'homme pour se poser en douceur sur son torse.

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Un parfum de honte...

Elsy & Aaron

J’espérais sincèrement que ce baiser nous bloquerait, que l’on trouverait ça trop étrange pour en éprouver du plaisir. Mais rien à faire, c’était bien plus agréable que je ne pouvais l’imaginer. Si elle n’avait pas répondu dans l’immédiat, probablement surprise, elle avait finit par le faire avec ferveur. Mes yeux s’étaient fermés tandis que je la laissais passer ses bras autour de mon cou. L’une de mes mains glissa dans son dos, là où la sienne venait de se poser à plat contre mon torse. Et soudain… merde la porte ! Si quelqu’un passait dans le couloir, il nous verrait et là… ça sentirait mauvais pour nous deux.

J’attirais donc Elsy. Ma main ferma la porte dans la volée alors que je plaquais doucement la jeune femme dos contre celle-ci. Mes lèvres retrouvèrent les siennes avec désir, néanmoins conscient de la connerie monumentale que nous étions en train de faire. Encore une brillante idée à la Connor. Si Analind me voyait faire, aucun doute sur le fait qu’elle me torturerait afin de me faire comprendre que les professeurs ne sont censés donner que des cours à leur étudiants, et non pas des baisers, ou pire encore, des coups de reins.

Mais à cet instant précis, je m’en fichais. Quitte à le répéter encore une fois, je ne suis qu’un homme. Et Elsy, elle, est une jeune femme particulièrement attirante. Mes mains ramenèrent les siennes au-dessus de sa tête, contre la porte alors que mon corps rencontrait le sien sans jamais rompre ce baiser brûlant.

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Connerie monumentale qui se joue là mais délicieuse en même temps. Alors que l'homme la fait reculer puis la plaque contyre la porte pour fermer celle-ci, fermer cette dernière à clé, la jeune femme sent son coeur battre la chamade alors qu'elle a le souffle court. C'est si bon, si agréable. Elle eût espérer que ce baiser la bloque, comme l'homme lui-même l'avait espéré, mais au contraire ce baiser donnait simplement une folle envie de continuer un peu plus. Sauf que pour cela, la demoiselle aurait besoin de moins de lumières. C'est pour cela que, comme l'homme la plaque contre le mur avec son corps, levant ses mains au dessus de sa tête, la brune cesse enfin le baiser pour murmurer.

"- Est-ce que cela vous ennuie si... on ferme les volets et éteint la lumière ?"

Comme la demoiselle ne peut pas faire quoi que ce soit à la lumière, elle espère que l'homme ne sera pas dérangé de sa demande. En totu cas elle a trop chaud et se sent trop excité pour faire machine arrière même si ce n'est pas sage.

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Elsy & Aaron

La question d’Elsy me surprend malgré tout. La lumière ? Pourquoi pas ? Je sais que certaines personnes sont gênées et préfèrent faire l’amour dans le noir. Ce n’est pas spécialement mon cas. A croire que je suis naturellement conçu pour le faire à la lumière, dans le noir, à l’intérieur, à l’extérieur, n’importe où, dans n’importe quelle circonstance. Comme cela ne me gêne pas le moins du monde, je pose mon regard sur Elsy. Et en guise de réponse, je lui adresse un sourire rassurant.

- Aucun problème.

Je lui vole un rapide baiser avant de me détacher d’elle. Je me dirige donc vers les grandes fenêtres de la salle de classe afin de baisser les stores. La pièce tombe donc dans une lumière tamisée, purement artificielle. Et quand je reviens vers Elsy afin de l’embrasser à nouveau, mes doigts appuient sur l’interrupteur qui éteint la lumière. Seuls quelques filets de lumières s’immiscent dans la salle, par les stores mais globalement, le noir règne en maître. J’embrasse donc de nouveau Elsy, venant mordiller avec sensualité sa lèvre inférieure.

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Le jeune homme ne semble pas être dérangé outre mesure par le fait que la jeune femme réclame à ce qu'ils éteignent la lumière et ferment les stores ce qui lui permettra d'être à 'laise quand viendra le moment où ils se déshabilleront. Parce que même si ils sont encore en mesure de fuir, même si ils pourraient encore se soustraire l'un à l'autre, la hongroise sait que c'est ce qu'il va se passer. Tôt ou tard. Parce que dans le fond ils s'attirent trop, physiquement, sexuellement, pour se repousser inlassablement. Alors peut-être que céder à la tentation est le meilleur moyen pour que plus jamais ils ne refassent uen telle bêtise mais pour le moment, ils ont besoin de la faire.

L'homme ferme les volets, éteint la lumière, l'embrasse de nouveau. La brune se sent plus à son aise désormais et ose même glisser sa main sous la chemise que l'homme porte et qui lui couvre le torse. Du bout de ses doigts la jeune femme le caresse alors, tout doucement, tout en l'embrassant encore, répondant au baiser qu'il lui donne.

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Un parfum de honte...

Elsy & Aaron

Oui, probablement qu’une fois que nous aurons céder à la tentation, nous serons assez rassasiés pour ne jamais plus recommencer. Je n’arrive réellement pas à comprendre ce qui me prend à désirer autant une personne sans trop la connaître. Peut-être est-ce le fait que cela soit interdit qui rend la situation si excitante ? Probablement, oui. Nous nous retrouvons donc dans le noir, à nous embrasser à nouveau. Je sens l’une de ses mains glisser avec tendresse sous ma chemise, sans réellement de timidité. Ses doigts courent sur mon ventre pour remonter les pans de mon vêtement jusqu’à mon torse. Je frissonne à ce contact, aussi bien par plaisir que parce que sa main est un peu froide tandis que ma peau, elle, semble vouloir me brûler. Je ne me lasse pas de ce baiser que nous échangeons. Le bout de ma langue vient à la rencontre de la sienne dans une danse sensuelle.

Le silence a envahi la pièce. Seules nos respirations saccadées se font entendre. Ma main qui se trouve dans son dos se faufile sous son vêtement afin de caresser sa peau. Si nous nous trouvons dans le noir, je me souviens parfaitement des courbes de son corps que j’ai eu l’occasion de contempler à Punta Cana, lors de notre bain de minuit. Comment avons-nous réussi à ne pas céder à la tentation là-bas alors que ce n’est pas le cas ici ? Finalement mes deux mains se rejoignent afin de saisir l’extrémité de son haut que je relève le long de son haut. Je cesse quelques secondes de l’embrasser le temps de lui retirer ce vêtement afin qu’elle se retrouve en soutien-gorge. Le haut que j’ai dans la main finit sur le sol alors que je recolle mon corps contre le sien afin de sentir sa poitrine contre mon torse malgré ma chemise que je vois comme une barrière à faire céder.

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L'ambiance devenait vraiment chaude dans la salle de classe alors que le jeune homme était occupé à retirer le haut de la demoiselle ce qui incita cette dernière à retirer sa main du dos de l'homme de manière à venir dféboutonner sa chemise tout en continuant de répondre au baiser. Bientôt, tout comme la demoiselle se retrouve en soutient-gorge, le jeune homme lui est torse nu et son habit rejoint au sol celui de la brune. alors cette dernière recommence à caresser le corps, la peau nue, du jeune homme.

Mise en confiance la demoiselle se sent plus à son aise, plus libre de ses mouvements, moins timide aussi, comme elle accepte et assume ce qui va se produire. Au fond c'est agréable et l'important est de ne pas le regretter plus tard. L'important est qu'ils soient en accord avec eux même et qu'ils fassent cela dans le respect de l'autre bien entendu. Alors la brune ose. Elle ose faire ce qui était impensable pour elle une demi-heure plus tôt.

"- J'ai chaud..." murmure-t-elle.

Si tu savais comme t'es beau dans X-Men le commencement sur TF1 :P

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Un parfum de honte...

Elsy & Aaron

Je sens ses mains se déposer sur ma chemise et peu à peu, alors que ses doigts travaillent sur les boutons, mon vêtement s’ouvre, ensuite totalement sur mon corps. Je laisse Elsy le guider jusqu’à me le retirer et le laisser tomber sur le sol. Cette fois-ci, le contact de ma peau contre la sienne est plus directe et de ce fait, plus agréable. Je l’entends murmurer au moment où nos lèvres se séparent. Je suis en train d’embrasser son cou pour finalement sourire contre elle.

- Je ne pense pas être en mesure d’arranger ça pour le moment.

J’avais également répondu dans un murmure, avec humour. Mes lèvres se déplacèrent de son cou jusqu’à son menton pour remonter le long de sa mâchoire jusqu’au lobe de son oreille gauche que j’emprisonnais avec sensualité entre mes dents. Mes mains, elles, se déposèrent sur ses hanches avant de rejoindre l’attache de son jeans que j’ouvris. Mes doigts se montrèrent un peu plus pressants alors que mes lèvres avaient de nouveau rejoint les siennes. J’abaissais peu à peu ce pantalon, lui laissant le temps de retirer ses chaussures afin de laisser le vêtement glisser le long de ses jambes jusqu'au sol.

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