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Ça me faisait un bien fou de rire à gorge déployée. Je me demandais même quand était la dernière fois où j'avais autant ris. Pas ces dernières semaines en tout cas, vu que je les avais passée seule dans mon appartement, ne sortant que pour faire des courses. Je savais que ce n'était pas un mode de vie sain mais que voulez-vous? Du coup, j'étais vraiment contente qu'Aaron soit là et je me surpris même à vouloir qu'il reste après le repas. Parce que je ne voulais pas être laissée seule encore une fois, comme je l'avais été tandis que Calvin et lui profitaient du soleil à Punta Cana. Peut-être aurais-je vraiment dû les accompagner? Sur le coup, je regrettais presque mon choix. Mais non, je ne voulais pas gâcher leurs vacances avec ma mauvaise humeur.

Après quelques minutes donc, je délaissais ma lecture pour le rejoindre dans la cuisine. Je l'autorisais à se rhabiller dans un rire et me décidais à préparer une salade. Aaron avait toujours eu un appétit d'ogre et même si moi, je ne mangeais que très peu, j'avais peur qu'une pizza ne lui suffirait pas. Je sortais donc une salade composée, des tomates cerises, deux oeufs durs et un concombre. Le tout aspergé d'huile d'olives. Je ne m'étais nourrie presque que de ça pendant ces semaines de vacances et je savais que j'avais perdu quelques kilos mais ça ne se voyait pas tant que ça. Mais ce soir, un bon repas m'attendais et je savais que j'allais pouvoir aussi en profiter. C'est que je ne prenais jamais le temps de cuisiner en sachant que, de toute façon, je mangerais seule. C'est toujours triste de manger seule du coup... Mais ce soir, je n'étais pas seule. Tandis que je terminais ma préparation, des bras vinrent enserrer ma taille. Je souris alors en sentant Aaron contre moi et l'espace d'une seconde, je fermais les yeux pour profiter de cette douce étreinte apaisante, avant de me remettre à ma cuisine. « Ca a l’air bon. Je peux goûter ? J’ai… faim » Je ris légèrement en entendant son ventre gargouiller. Je piochais donc quelques feuilles et une tomate-cerise avec ma fourchette avant de l'approcher vers la bouche d'Aaron. Je me tournais légèrement pour l'atteindre, quand je me rendis compte de sa proximité. Il était proche, trop proche. Je rougis légèrement, baissant les yeux avant de tourner mon regard vers mon bol rempli. « Alors? À ton goût? » Un simple murmure sortit, comme si j'avais peur de gâcher l'atmosphère qui s'y était installé.
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Allez savoir pourquoi, mais je suis un ventre sur pattes. Je peux manger pour quatre afin d’être enfin rassasié. Heureusement d’ailleurs que je ne mange pas que des cochonneries, et fais du sport aussi souvent que je le peux afin d’éliminer. Sinon, je serais déjà en surpoids, même si je doutais fortement que ma carrure m’y autoriserait. Je n’ai pas une corpulence d’ogre, seulement l’appétit. En revanche, il suffisait d’un coup de blues ou bien d’un moment stressant pour que la nourriture ne passe plus. Dans ces moments-là, rien à faire, la simple bouchée m’écœurait. Et quand on me connaissait ainsi, le fait d’avoir autant faim restait un signe que je me portais comme un charme.

Rien d’étonnant, donc, à ce que je demande de goûter ce qu’était en train de préparer Anna. Si parfois, elle me criait après parce que je me servais en cachette, à d’autres moments, elle acceptait de m’en donner un peu sans rechigner. Ce fut le cas ce soir. Quand la fourchette atteignit mes lèvres, je la prenais en bouche avant de comprendre que nous étions, dans cette position, très proches l’un de l’autre. Je soutenais son regard qui finit par se baisser après que du rouge soit apparu sur ses joues. Je ne le lui faisais pas remarquer, afin de ne pas la gêner d’avantage. Je me contentais de manger cette bouchée qu’elle venait de m’offrir. Et quand elle me demanda dans un murmure si c’était bon, j’acquiesçais d’un signe de tête.

- Délicieux, comme toujours.

Je finissais par me détacher d’elle après avoir déposé un baiser sur sa tempe afin de la remercier silencieusement. Je fis finalement les cents pas dans la cuisine. Le séjour à Punta Cana me revenait à l’esprit. J’avais besoin de me confier à Ana, même si j’avais peur de sa réaction.

- Je… j’ai fait une connerie à Punta Cana.

Bon ça, ça annonce la couleur. Si Ana savait que j’étais un homme à femmes qui enchainait les conquêtes de peur de devoir s’engager dans une relation sérieuse, elle savait que j’avais toujours gardé mes distances avec les étudiants. Je suis proche d’eux, peux parfois sortir boire une bière en leur compagnie, je n’ai jamais dépassé les limites. Par là, j’entends que je n’avais jamais couché avec un élève. Seulement, à Punta Cana, j’avais fait cette erreur, à deux reprises. Et si j’avais besoin de me confier à Ana, c’est parce qu’elle était de loin ma meilleure amie, mais également ma collègue. Elle savait donc peut-être ce que pouvait engendrer un rapprochement entre un professeur et un étudiant.

- J’ai… euh… bon, tu sais que je n’ai jamais fait ça auparavant. J’ai toujours été réglo, du moins de ce côté-là. Mais à Punta Cana… disons que j’ai… couché avec deux étudiantes.

La fin de ma phrase avait été étrangement rapide, comme si j’espérais qu’elle ne l’aurait pas compris de cette façon. Et désormais, je l’observais comme un gamin sur le point de se faire punir après qu’on lui ait balancé en pleine face l’une de ses bêtises.


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Je détestais ça, le fait de rougir aussi facilement. À croire que ma timidité passerait avec l'âge mais non, mes petites rougeurs réapparaissent de temps en temps, notamment quand j'étais embarrassée, ou quand je me trouvais dans une situation gênante. Ou quand on me regardait trop longtemps. Bref, un peu comme maintenant alors que j'essayais de soutenir le regard d'Aaron. Impossible. Je finis donc par me rendre et me retourner tandis qu'il me répondit positivement à ma question avant de me lâcher. Là, je pus enfin respirer. Je n'avais même pas remarqué que je retenais ma respiration. Un vrai comportement d'adolescente, mais que pouvais-je y faire? Je n'arrivais pas à le changer, tout simplement. Je terminais ma salade alors qu'Aaron se promenait dans ma cuisine sans rien faire. « Je… j’ai fait une connerie à Punta Cana. » Tout de suite, je me tournais vers lui, fronçant les sourcils. Je laissais mes ustensiles pour me tourner complètement vers lui et lui faire face. Il avait l'air incroyablement gêné, et un peu distant même en fait. Je ne dis rien, me contentant de l'écouter et l'inciter à me parler. Notre relation avait toujours été ainsi. Très tactile l'un envers l'autre, on nous prend souvent pour le couple qu'on est pas. Nous nous confions souvent également sans juger l'autre pour autant. Bref, notre relation était unique. « J’ai… euh… bon, tu sais que je n’ai jamais fait ça auparavant. J’ai toujours été réglo, du moins de ce côté-là. Mais à Punta Cana… disons que j’ai… couché avec deux étudiantes. » Déjà son début de phrase me faisait redouter la suite. Et quand il m'expliqua enfin ce qu'il avait fait, je soupirais longuement, ne faisant pas attention à cette pointe d'ennui qui toucha mon coeur. « C'est pas vrai Connor, on avait dit pas d'étudiantes! Tu sais ce qui risque de se passer si la direction l'apprend. Je sais que Spring Break, c'est un peu le moment pour faire des conneries, mais nous sommes des adultes, on a une certaine part de responsabilité à prendre, tout le temps. » Je passais une main dans les cheveux, quelque peu frustrée. Oui, j'essayais de ne pas le juger pour ce qu'il avait fait mais là, j'avais juste peur qu'il perde son poste à cause de cette attention déplacée sur deux étudiantes. Deux en plus...« Qu'est-ce qui t'as pris? Tu peux avoir n'importe quelle femme, pourquoi deux étudiantes?! Elles sont majeures j'espères. » Parce que sinon, c'était en plus punissable par la loi...
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Je savais qu’Ana ne m’en voudrait pas, même si elle trouve ça immoral. En revanche, je pouvais lire une certaine frustration de sa part, une forme de peur que j’en vienne à perdre mon poste pour deux parties de jambes en l’air sans lendemain. Une attitude peu responsable de ma part. Seulement, je reste un homme qui, quoi qu’on en dise, pense parfois avec ce qu’il a entre les jambes. Je m’en voulais désormais. Enormément. Après coup, je comprenais que j’avais pris un gros risque et que jamais cela ne devait se reproduire.

- Je sais tout ça. En revanche, je ne sais pas ce qui m’a pris. Là-bas, on avait l’impression d’être dans un autre univers et forcément, nous nous sommes tous rapprochés. Je m’en serais moins voulu si ça avait été avec les deux étudiantes en une partie de jambes en l’air. Ca aurait dit que je n’avais merdé qu’une seule fois. Mais non, j’ai merdé à deux reprises en deux jours d’intervalle. Et après, je me suis calmé.

Disons que j’ai été voir ailleurs. Je passais mes mains dans mes cheveux dans un geste exaspéré. Ce que je pouvais m’énerver parfois. Si mon côté gamin pouvait faire rire mon entourage ou bien me rendre attendrissant, il m’arrivait de me détester de n’agir qu’en fonction de mes envies, de mon instinct et de mon impulsivité. Putain de merde… Quand Ana finit par m’expliquer que je pouvais avoir n’importe quelle femme, je plantais mon regard dans le sien. Non, pas toute. Elle, je ne pouvais pas l’avoir.

- Je te rappelle que je donne des cours à des jeunes dans la vingtaine. J’en côtoie trop, c’est mon quotidien. Dis-moi que tu n’as jamais trouvé un étudiant attirant, Fawkes.

Lorsque l’on passe des journées avec une population estudiantine, dans une bulle comme l’est une université, quand cela rythme notre quotidien, on finit par trouver quelques attirances là où il y en a. Quel professeur n’a jamais trouvé attirant un de ses élèves ? Quel élève n’a jamais fantasmé sur l’un de ses professeurs ? C’est ainsi, on n’y peut rien. Nous ne sommes pas que des enseignants ou bien que des étudiants. Nous sommes avant tout des êtres humains dotés d’une libido. Qu’est-ce qu’on y peut ? Le tout, c’est de ne pas franchir la limite. Seulement, je l’avais fait et ce, à deux reprises.

- Et bien sûr qu’elles étaient majeures. Je n’ai pas envie de me mettre la police à dos en plus de l’université. Putain, j’vais me la couper, ça posera moins de soucis.

Le pire dans toute cette histoire, c’est que je ne savais pas pourquoi je pouvais avoir autant de femmes. Je sais que je ne suis pas laid, mais je ne me trouve pas spécialement beau non plus. Je ne pense pas avoir plus que la gent masculine. Mais j’ai du succès. C’est indéniable. Et j’en suis conscient, sans en connaître la raison. Forcément, ça me rend plus sûr de moi. Est-ce la raison pour laquelle les femmes sont attirées par moi ? J’aurais bien pu poser la question à Ana, afin de m’éclaircir, mais je savais qu’elle ne pourrait pas me donner de réponse dans la mesure où elle n’avait jamais semblé être attirée par ma personne autrement que pour de l’amitié.

- On devrait se marier tous les deux, on serait heureux ensemble.

J’esquissais un sourire charmeur et taquin. Je plaisantais, bien entendu.


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« Je sais tout ça. En revanche, je ne sais pas ce qui m’a pris. Là-bas, on avait l’impression d’être dans un autre univers et forcément, nous nous sommes tous rapprochés. Je m’en serais moins voulu si ça avait été avec les deux étudiantes en une partie de jambes en l’air. Ca aurait dit que je n’avais merdé qu’une seule fois. Mais non, j’ai merdé à deux reprises en deux jours d’intervalle. Et après, je me suis calmé. » Je pouvais comprendre son point de vue. Ce n'était pas toujours facile, surtout en sachant que parfois, certains élèves nous faisaient du rentre dedans. C'est qu'à cet âge-là, beaucoup en profitent un maximum, que ce soit niveau alcool ou niveau sexe. J'avais été dans le même cas, jusqu'à ce que je rencontre Dylan. Enfin, de toute façon, j'avais été une étudiante plus sage que la normale mais j'avais quand même tenu un tableau de chasse. Je me demandais si moi aussi, j'aurais cédé dans le même contexte. Je ne voulais pas y penser. Pour le moment, je n'avais encore dérapé avec un étudiant et j'espérais que ça resterait le cas. Je ne voulais vraiment pas risquer mon poste, déjà que j'ai eu du mal à l'avoir. « J'espère bien. Deux, c'est déjà amplement suffisant. » Et c'était déjà deux de trop à mon avis. Je pouvais comprendre que ce n'était pas facile, surtout que les étudiants aimaient briser l'interdit. D'autant plus qu'Aaron est un homme séduisant, qui dégage énormément de charme. Ça ne m'étonnait même pas que les filles se retournent à son passage, et encore moins que certaines étudiantes fantasment sur lui. Qui n'a jamais rêvé d'une relation interdite avec un charmant professeur? « Je te rappelle que je donne des cours à des jeunes dans la vingtaine. J’en côtoie trop, c’est mon quotidien. Dis-moi que tu n’as jamais trouvé un étudiant attirant, Fawkes. » Je me mordis la lèvre sur le coup. Il avait raison, je mentirais si je disais que jamais je n'avais trouvé un étudiant attirant. Mais j'essayais toujours de rester un minimum professionnel. Oh bien sûr, je m'étais liée d'amitié avec certains mais ça ne dépassera jamais plus. J'avais mes principes et je ne comptais pas les rompre. Sauf qu'il ne faut jamais dire jamais, et j'en étais consciente. Dans tous les cas, je refrénais mes envies et les assouvissais plutôt avec des adultes. Oui, j'avais pu compter quelques conquêtes depuis cette année. Désolé, je ne suis qu'une femme après tout. « Et bien sûr qu’elles étaient majeures. Je n’ai pas envie de me mettre la police à dos en plus de l’université. Putain, j’vais me la couper, ça posera moins de soucis. » À ses mots, je pouffais légèrement, détendant un peu l'atmosphère. Il n'en serait jamais capable et puis, ce serait vraiment dommage. Pas pour moi hein... « Je suis sûre que beaucoup de femmes trouveraient ça dommage. » Dans mon cas, je ne m'autorisais pas à avoir de telles pensées envers lui, même si j'avais pu avoir une belle vue de son postérieur quelques minutes auparavant. Et surtout, je ne voulais rien gâcher entre nous. Son amitié était bien trop précieuse à mes yeux pour la perdre. « On devrait se marier tous les deux, on serait heureux ensemble. » Un sourire malicieux sur les lèvres, je levais les yeux au ciel. Peut-être, mais encore une fois, je ne voulais pas y penser. D'abord parce qu'aucun de nous deux n'étions prêt à s'engager dans une nouvelle relation, mais surtout parce que je savais qu'il ne voyait rien d'autre que comme une bonne amie. « Je ne crois pas non, t'arriverais jamais à me supporter 24/7. » Je lâchais un petit rire au même moment où le four sonna, indiquant que la pizza était enfin prête. Je pris donc ma manique et ouvrit le four. « C'est bon, tu vas enfin pouvoir manger. Vas mettre la table s'il-te-plait. Sauf si tu veux qu'on mange sur la table basse devant un film? Ça me va aussi. » Je lui offrais deux possibilités. Et le temps que je puisse prendre la pizza sans me brûler, il aura certainement déjà fait son choix (et mis la table, par la même occasion).
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- Je ne pourrais pas te supporter ? Laisse-moi rire, le plus difficile à supporter dans cette histoire, c’est bien moi.

Il fallait s’accoutumer à ma personnalité. Si d’apparence, elle restait certainement agréable, dans la vie de tous les jours, elle pouvait vite devenir un calvaire. Quant à Ana, si elle possédait des défauts, j’estimais qu’il était aisé de les accepter. La question n’était pas à savoir si nous devions nous marier pour de vrai, bien évidemment. Mais je rebondissais sur le fait qu’elle était persuadée ne pas être supportée.

Finalement mon attention se posa sur le four qui venait de sonner, signe que la pizza était prête. Ana me proposa donc de mettre la table, ou bien de nous installer devant un film dans le salon. J’hésitais un instant avant de sortir des assiettes et des couverts que je plaçais sur la table. Nous ne nous étions pas vus depuis quelques semaines, je préférais donc pouvoir discuter avec elle en tête à tête afin de discuter et prendre des nouvelles, quitte à ce que nous nous posions plus tard devant la télévision pour un moment câlin dont nous avions le secret.

Je retournais dans le salon afin de rapporter nos verres de vin. Une fois que la table fut mise, je fis signe à Ana de s’asseoir. Pendant ce temps, je découpais la pizza en six pour laisser la jeune femme commencer à se servir pour la salade. Oui, enfin j’allais pouvoir manger. Je m’installais finalement en face d’elle avant de prendre conscience que nous étions dans un beau petit dîner en tête à tête, avec une bouteille de vin et un repas fait maison, tous les deux en pleine soirée. Je portais mon verre jusqu’à mes lèvres afin de prendre une gorgée de cette boisson. Une part de pizza atterri dans mon assiette quand mes yeux verts se plantèrent dans ceux d’Ana avec un large sourire sur les lèvres.

- Pourquoi est-ce que tu dis que je ne te supporterais pas ? Cite les choses qui pourraient m’énerver. Je suis sûr que je pourrais passer outre sans aucune difficulté.

Sûr de moi, je lui adressais un regard particulièrement arrogant.

- Regarde, je sais que pour ma part, ce qui t’énerverait serait le fait que je ne rabaisse pas la lunette des toilettes après y avoir été, que je ne rince pas la baignoire après m’être douché et que j’abandonne un peu partout par terre mes boxers dans l’espoir fou qu’ils finiront par se déplacer jusque dans la bannette à linge sale. Mais à côté de ça, j’ai également des qualités, non ? Toi aussi. Beaucoup. Je connais des hommes qui tueraient pour vivre avec tes défauts.

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Il ne le savait sans doute pas mais j'avais quand même énormément de défauts et je ne voulais pas qu'il les voie en réalité. Bon, il avait quand même vu certains. Sauf que je savais que si on se côtoyait 24/7, il en aurait rapidement marre de ma personne et déménagerait sans demander son reste. Enfin, je ne disais pas que je voulais qu'il emménage, et puis quoi encore! Non, c'est juste que comme on parlait de ça ben... Bref. « Je ne pourrais pas te supporter ? Laisse-moi rire, le plus difficile à supporter dans cette histoire, c’est bien moi. » Je riais légèrement « Tu as peut-être raison finalement. » Je lui indiquais ensuite que le repas était enfin prêt et je lui proposais deux endroits pour dîner. Il se décida que sur la table, ce serait mieux. Ainsi, j'apportais donc la nourriture. Rapidement, je remarquais qu'avec le vin et le dressage, on pourrait se croire à un dîner romantique. Sur le coup, rien ne pouvait me faire plus plaisir mais je gardais ces pensées pour moi. Je m'installais donc en face et servit d'abord Aaron avant de faire pareil. Un dîner romantique, c'est ce que je dis! « Pourquoi est-ce que tu dis que je ne te supporterais pas ? Cite les choses qui pourraient m’énerver. Je suis sûr que je pourrais passer outre sans aucune difficulté. » Directement je me mis à réfléchir. Je ne voulais pas trop lui en dévoiler de peur de le faire fuir mais... Oh et puis zut, de toute façon, il n'y avait rien entre nous! Enfin, rien de bien concret. Mais avant même que je puisse répondre, il parti dans sa lancée. « Regarde, je sais que pour ma part, ce qui t’énerverait serait le fait que je ne rabaisse pas la lunette des toilettes après y avoir été, que je ne rince pas la baignoire après m’être douché et que j’abandonne un peu partout par terre mes boxers dans l’espoir fou qu’ils finiront par se déplacer jusque dans la bannette à linge sale. Mais à côté de ça, j’ai également des qualités, non ? Toi aussi. Beaucoup. Je connais des hommes qui tueraient pour vivre avec tes défauts. » En l'entendant, j'haussais les épaules. « Tous ces défauts comme tu le dis, sont typique d'un homme alors ça ne me dérange pas plus que ça tu sais. » Après tout, j'avais quand même été mariée pendant un petit temps. À sa dernière phrase, je rougis avant de nous servir le vin. Ouais, je me cachais un peu derrière la bouteille. « Moi par contre, ce n'est pas toujours typique d'une femme. Par exemple, dès que je suis énervée, je passe mon temps à astiquer toute la maison et pourtant, mon bureau est un véritable bordel. Ensuite, j'ai horreur de nettoyer les toilettes du coup, c'était toujours le travail de Dylan. Ensuite, j'ai la mauvaise habitude de ne jamais rien faire le dimanche, même pas la cuisine. »


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Des défauts typiques des hommes ? Oui, probablement. Mais ce n’était pas une raison pour dire Amen à tout ceci. Je sais que Lily avait souvent poussé des coups de gueule lorsque ça ne la faisait pas rire. Le pire dans cette histoire, c’est qu’Isaac avait commencé à m’imiter dans mon attitude. Inutile donc de préciser Ô combien la joie de mon ex-femme fut grande. Je reposais toute mon attention sur Ana, cependant, afin de l’écouter parler, bien curieux de savoir quelle était la raison pour laquelle je ne pourrais pas la supporter vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept. Et, sans grande étonnement, sa réponse me fit rire.

- C’est vrai qu’astiquer une maison, ce n’est pas du tout typique d’une femme.

Non, je ne suis pas macho. Mais soyons réalistes, les femmes supportent bien moins de vivre dans une porcherie que les hommes. Nous, en soit, ça ne nous dérangerait pas. Il faut savoir que si l’on prend la peine de ranger et nettoyer, c’est pour les personnes qui viendraient éventuellement à l’improviste. La journée parfaite de solitude pour un homme ? Se balader nu dans son appartement, manger devant la télévision, quitte à mettre des miettes partout, visionner un film X, ne pas aller se laver, jouer aux jeux vidéos, revisionner un film X, remanger, etc. Les femmes, elles, auraient déjà déclaré forfait en sentant des miettes sous leurs fesses.


- Pour le dimanche ? Il faudrait te blâmer pour oser ne rien faire !

Allô, sarcasme, bonjour ! Non mais sérieusement ? Le dimanche, c’est bien le jour où l’on peut flemmarder tranquillement sans culpabiliser une seule seconde. D’ailleurs, je me rappelle de quelques dimanches passés à deux où l’après midi se passe à deux sous le plaid, à manger cochonneries sur cochonneries, trop occupés à tenter de récupérer de la semaine.

- Et pourquoi tout ça devrait me faire fuir ? Tu me connais, j’ai une forte résistance à la douleur.

Et déjà, je bombais le torse comme un coq terriblement fier de lui-même. Finalement un large sourire se dessina sur mes lèvres, ce genre de grands sourires que l’on me connaît si bien et qui me rappelle à quel point je peux avoir une grande bouche. Soit. Je portais mon verre de vin jusqu’à mes lèvres afin d’en boire une gorgée. Et doucement, je m’attaquais à ma pizza. Evitons de donner l’impression d’être un vorace. Ah oui, c’est vrai, elle le sait déjà ! Je prenais donc la part dans ma main, prêt à la dévorer. Bien évidemment, comme un enfant, j’arrivais à me mettre de la tomate un peu partout. God ! Je suis irlandais. Pour les bonnes manières, il faut aller jusqu’en Angleterre.

Je me levais finalement dans le but d’aller me chercher une serviette et ainsi essuyer ma bouche. Une fois l’objet dans les mains, je passais derrière Ana avec un regard de chieur.

- Bon, j’ai fais à manger en boxer, dans le tablier. Je t’ai fait une pizza qui, soyons clairs, est délicieuse. J’ai bien le droit à un bisou, non ?

En sachant que le bisou, c’était justement pour lui mettre plein de sauce tomate sur la joue. Et sans attendre sa réponse, j’y plaquais mes lèvres pour ensuite profiter de la vue de cette belle marque. Oui, j’ai dix ans d’âge mental, et alors ? Finalement je m’essuyais la bouche, fier de moi.


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L'entendre rire suite à ma réponse me fit hausser les sourcils. Je ne voyais pas ce qu'il y avait de marrant dans ce que je venais de dire, mais rapidement, je compris. « C’est vrai qu’astiquer une maison, ce n’est pas du tout typique d’une femme. » Oui bon, c'est vrai que les tâches ménagères, c'était plutôt le travail des femmes. Enfin, je dis pas qu'on est obligée de le faire hein, mais c'est juste que c'est plus dans notre nature. Néanmoins, j'essayais quand même de me justifier. « Oui bon d'accord... Mais ce que je veux dire c'est que je peux passer une heure à nettoyer la même vitre juste pour calmer les nerfs. » Et ça, ce n'était quand même pas courant. Au moins, c'était quand même mieux que de lui hurler dessus, enfin, s'il était la cause de mon énervement. Du coup, je m'occupais de tout l'appartement, jusqu'à le faire briller mais mon bureau resterait dans ce bordel dont j'étais la seule à pouvoir m'y retrouver. De plus, je détestais astiquer les toilettes. Je pouvais faire tout le reste mais ça, je pouvais pas. « Pour le dimanche ? Il faudrait te blâmer pour oser ne rien faire ! » Je lui avouais également que le dimanche, je ne faisais absolument rien. Il était arrivé plusieurs fois que Dylan me fasse la tête à cause de ma fainéantise de ces jours-là. Et c'était sans doute pour ça que je pensais que c'était un défaut... Je devais avouer que, sur le coup, face à son sarcasme, je me rendais compte des idioties que j'avais pu sortir. Une nouvelle fois, je rougis. « Oh c'est bon, tais-toi hein! » Et je fis mine de lui bouder en plongeant ma tête sur mon assiette. « Et pourquoi tout ça devrait me faire fuir ? Tu me connais, j’ai une forte résistance à la douleur. » J'essayais de garder contenance mais je levais doucement les yeux vers lui. Le voir se bomber le torse me fit quand même sourire et je me redresse, signe que je ne lui boudais plus dessus, même pas faussement. « D'accord d'accord, je m'avoue vaincue. T'es le plus fort, je le reconnais. Mais ne vient pas te plaindre après si t'arrive vraiment plus à me supporter. » Un sourire amusé sur les lèvres je me disais que, finalement, peut-être que je n'étais pas si mal que ça en fait. Je savais que je devrais avoir plus confiance en moi-même mais c'est juste que... je ne parvenais juste pas à comprendre. Tout comme cette attention particulière qu'il pouvait porter à mon égard. Oui, nous étions collègues, amis même mais parfois, j'avais l'impression qu'il y avait plus. Sans doute cette attirance que je pouvais ressentir de temps en temps. Mais tout de suite, je chassais ses pensées de mon esprit. Je le regardais manger tandis que je picorais moi-même quelques feuilles de salades, un sourire amusé sur les lèvres. Il ressemblait à un veritable enfant, surtout avec la sauce tomate au coin de sa bouche. Ah oui, les sopalins. J'allais me lever pour aller les chercher quand Aaron me devança. Je le laissais donc aller les chercher tandis que je me mis à ma part de pizza. Elle était bonne. Aaron revint rapidement et se posa derrière moi. Tout de suite, je lui lançais un regard suspicieux. Qu'est-ce qu'il mijotait? J'eu rapidement ma réponse. « Bon, j’ai fais à manger en boxer, dans le tablier. Je t’ai fait une pizza qui, soyons clairs, est délicieuse. J’ai bien le droit à un bisou, non ? » Je n'eus même pas le temps de répondre ou même de réagir que je sentis ses lèvres se plaquer contre ma joue. Et vu qu'il ne s'était pas essuyé la bouche. Je levais les yeux au ciel en sentant la sauce tomate sur ma joue avant de rire. Je pris une nouvelle bouchée de ma part, en prenant bien soin de laisser légèrement couler la sauce tomate sur mes lèvres et je me levais. « Je croyais que tu voulais un bisou, pas en offrirais un? » Je passais mes bras autour de sa nuque et vins plaquer mes lèvres sur sa joue dans un smack résonnant avant d'écarter mon visage. Voyant la trace partielle de ma bouche que j'avais laissée cette fois-ci, je ris une nouvelle fois. Je passais doucement un doigt sur sa joue, juste en dessous de la sauce. « Maintenant qu'on a le même, je t'interdis de le nettoyer de toute la soirée! » Et oui, moi aussi je pouvais être joueuse!
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Je ne me lassais pas de voir Ana rougir de la sorte lorsque je la taquinais de cette façon. Parfois, elle semblait ne pas avoir confiance en elle. Ce genre de sarcasmes servait donc à lui fait comprendre qu’elle était bien stupide de douter d’elle-même. J’imaginais d’ailleurs sans aucun doute possible que si elle faisait un petit tour dans mes pensées, ou bien si elle possédait mes yeux quelques instants, elle comprendrait à quel point elle est une femme extraordinaire. Du moins, c’est ainsi que je la voyais, sans l’idéaliser non plus. J’avais conscience de certains de ses défauts mais une fois encore, même eux, je les appréciais.

L’heure était toujours aux taquineries, même si elles semblaient bien différentes. Alors que je cherchais de quoi m’essuyer la bouche après avoir mangé comme un affamé, j’avais eu la brillante – oui, vous avez bien entendu brillante, idée d’embrasser Ana sur la joue en faisant attention à l’y mettre le plus de sauce tomate possible. Si elle m’avait un instant observé avec suspicion, elle n’eut pas le temps de chercher à se défendre. A présent, je pouvais admirer la merveilleuse tâche rougeâtre sur sa joue. Le pire dans toute cette histoire, c’est que je souriais de fierté comme si je venais de décrocher un diplôme tant convoité. Cela s’appelle la joie de vivre Connor. Ou bien l’immaturité Connor, au choix.

- Oui, mais finalement, je préférais donner plutôt que recevoir. Tu me connais, je suis si généreux… !

Oui, mieux valait jouer la carte de la défense alors qu’Ana venait de se lever de table pour s’approcher de moi, la bouche à son tour barbouillée de sauce tomate, visiblement prête à m’offrir ce baiser. Finalement, ses bras enroulèrent ma nuque et je fus si aux anges que je n’eus même pas la force de protester. Et quand ses lèvres se plaquèrent sur ma joue, je fermais les yeux, un fin sourire sur les lèvres. Même si le but était de m’embêter, et même de jouer, je ne pouvais qu’apprécier ce type de geste.

- T’es sérieuse ? Mais on va sentir la tomate toute la soirée.

Je levais les yeux au ciel, comme un véritable gamin. Et comme elle avait gardé l’un de ses bras autour de ma nuque tandis que de sa main libre, elle avait laissé son doigt s’aventurer sur ma joue, je posais mes yeux sur cet index recouvert de sauce tomate. Dans la mesure où il n’était qu’à quelques centimètres de mon visage, j’approchais pour l’en débarrasser en prenant l’extrémité entre mes lèvres. Je m’amusais même à mordiller ce doigt afin de la punir d’une telle outrance. Je vous rassure, rien qui ne fasse mal. Je relâchais son index en souriant.

- C’est pas bien de jouer avec la nourriture, tu sais ? Mais je te pardonne, parce que c’est toi.

Je l’aurais volontiers embrassé sur la joue à nouveau, mais elle aurait pris ça pour une nouvelle attaque. Au contraire, j’optais pour un bisou d’esquimaux en effleurant le bout de son nez avec le mien, afin d’éviter tout danger potentiel. Je lui adressais finalement un sourire on ne peut plus charmeur dont j’ai le secret, tandis que je jetais un coup d’œil à l’horloge de la cuisine.

- Tu sais… je dois aller chercher Baggy chez l’éleveur demain matin. Et comme il est dans ton quartier, au lieu de me ramener jusqu’à chez moi ce soir, tu accepterais de m’offrir ton canapé et un misérable plaid pour la nuit ?

Regard de chien battu. Oh, je sais qu’elle ne refusera pas, à moins d’avoir quelque chose de prévu demain matin. Combien de fois ai-je dormi chez elle ? Voilà la raison pour laquelle je me permettais de lui proposer. Elle savait également que de son côté, mon appartement lui était toujours ouvert. La différence, c’est que je lui offrais mon lit pour m’installer dans le canapé du salon. Galanterie oblige.


BY .TITANIUMWAY

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