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Jour n°2, plage > Elsy

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Jour n°2, plage > Elsy



Elsy & Aaron

Jour 2

Heure : Minuit
Lieu : Plage
Contexte : Elsy & Aaron se sont retrouvés lors du feu de camp et ont décidé de faire une balade le long de la plage
Participants : Elsy R. P. Esterhazy



Je marchais le long de la plage en compagnie d’Elsy. Les pieds nus dans le sable, j’observais les vagues s’écraser avec douceur à moins d’un mètre de nous. Le ciel parfaitement étoilé et la lune offrait une luminosité suffisante en cette nuit, aidés par les lumières artificielles de la fête qui se déroulait toujours non loin de nous à l’endroit du feu de camp. La musique et les bruits des étudiants s’effaçaient doucement pour laisser la possibilité à la nature de s’exprimer.

Les mains dans les poches de mon pantalon, je continuais à marcher aux côtés de la jeune femme. Je tournais la tête vers elle puis décidais de lui poser une question qui me brûlait désormais les lèvres.

- Pourquoi n’êtes-vous pas avec des amis à vous, à l’heure qu’il est ?

On pouvait comprendre pourquoi j’étais arrivé seul à cette soirée. Je restais professeur et me devais de garder un œil sur les étudiants. De plus, mes collègues n’étaient pas tous présents. En revanche, Elsy, elle, devait connaître beaucoup de monde et posséder quelques amis qui devaient être présents lors de cette fête. Et, bien évidemment, je me demandais pourquoi elle avait tant souhaité rester en ma présence alors que tout le monde s’amusait un peu plus loin.

Spoiler:

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C’était agréable de marcher pieds nus dans le sable, un peu sans but. Un peu plus tôt, Elsy s’était baigné avec Andy et d’autres. N’ayant pas de maillot de bain c’était en sous-vêtement que la jeune femme y était allée et en sortant, elle avait enfilé sa robe après avoir un peu attendu que grâce au feu, son corps et ses dessous sèchent. Puis elle avait réenfilé sa robe qui maintenant était de nouveau entièrement sèche. Il n’était plus question pour l’instant que la demoiselle aille se jeter à l’eau mais elle y trempait tout de même les pieds. C’était agréable, avec le sable en prime et l’homme à ses côtés pour lui faire un peu de conversation…

«- La vérité c’est que j’ai déjà vu pas mal de monde. Avant de venir avec vous j‘étais avec un ami mais il y avait une fille avec lui. Mon ami est Hongrois mais soudainement sa princesse n’existait plus beaucoup si vous voyez ce que je veux dire. J’ai voulu partir, il m’a retenu. Cinq minutes plus tard je tenais la chandelle. Très peu pour moi. C’est là que je vous ai vu et que j’ai décidé de venir vous rejoindre.» explique la jeune femme avec un sourire avant de reprendre. «Cela vous dérange-t-il professeur ?» questionne la jeune femme avec un petit sourire même si elle se doute bien que non car, si sa venue l’avait ennuyée, elle songeait qu’il ne l’aurait pas invité à faire cette promenade.


Ne t'inquiète pas je préfère dynamisme et qualité que quantité. ^^ Ici sur ILH j'ai pas mal de topic comme tu l'as vu en prime donc autant ailleurs je tourne à 500 mots autant ici 250-300 j'aime bien. C'est reposant puis comme ça les réponses viennent plus vite. J'aime ^^
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Mon pantalon retroussé jusqu’à mes mollets et pieds nus, je marchais dans le sable trempé par les vagues qui allaient et venaient avec douceur. Une sensation agréable en sentant l’eau s’abattre doucement sur les chevilles. D’autant plus que malgré l’heure, la température restait bonne, si bien qu’un bain de minuit resterait très certainement agréable. Je reposais mon attention sur Elsy à qui je venais de poser une question. Dans la mesure où beaucoup d’étudiants s’étaient réunis autour du feu de camp, je me demandais bien pourtant je possédais autant d’intérêt aux yeux de la jeune femme alors que visiblement, elle aurait pu passer le reste de la soirée avec des amis à elle.

- Donc je suis votre échappatoire. Heureux de vous avoir rendu service en vous évitant de tenir la chandelle.

J’esquissais un sourire amusé. Il est évident qu’être en compagnie d’un couple, surtout s’ils passent leur temps collés l’un à l’autre, n’est pas agréable. On se sent vite seul et gêné. Je comprenais donc pourquoi Elsy avait préféré s’éloigner d’eux. Cependant, lorsqu’elle me demanda si sa présence me gênait, je me mis à rire. Sincèrement ? Si ça avait été le cas, je ne lui aurais jamais proposé de venir se balader avec moi. Mais, comme les questions stupides méritent des réponses stupides, je répliquais avec sarcasme.

- Oui, ça me dérange. C’est d’ailleurs pour ça que je vous ai invité à vous éloigner de la fête. Comme ça, je peux me débarrasser de vous sans me faire repérer, en vous jetant à l’eau et en espérant qu’un requin marteau passera dans le coin pour terminer le travail.

Je lui adressais un sourire arrogant dont j’avais le secret. Bien évidemment, je la taquinais. Mais l’idée de passer pour un fou furieux m’amusait aussi. Enfin, pas besoin d’être devin pour comprendre que je plaisantais.

- D’ailleurs, dommage que la plage soit sécurisée…

Niark…


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«- Non vous n’êtes pas mon échappatoire. Je veux dire je les ai quittés, je marchais un peu dans le sable sans but et c’est là que je vous ai vu.» explique la demoiselle en souriant. «Vous m’avez toutefois évitez une conversation avec une Mather et une Cabot. Belle, je crois que c’est le prénom de la seconde. Enfin voilà. Vu le coup qu’elles semblaient avoir dans le nez, je vous suis reconnaissante d’avoir été là au bon moment !» sourit la brune.

La question suivante, posée par la brunette, était absolument idiote, elle le savait. D’un autre côté ce n’était pas fait sans but loin de là. La demoiselle se doutait de la réponse qu’il allait lui fournir donc, ce n’était pas de la bêtise. Juste à ses yeux le moyen de rebondir sur une interrogation posée par le jeune homme. C’est vrai, pourquoi s’inquiétait-il de savoir pourquoi elle n’était pas avec ses amis ? Le principal n’était-il pas qu’elle soit avec lui ? Et si c’est avec lui qu’elle avait eu envie d’être était-ce mal ? Il n’y avait là aucune ambiguïté pour autant. Simplement elle aimait bien discuter avec lui.

«- Navrée professeur mais les requins ont toujours trouvés que j’avais un arrière-goût absolument infect.» plaisante la jeune femme qui rebondit sur la menace de l’homme. «Toutefois l’eau est très bonne professeur, si vous avez envie d’y faire un tour.» propose la brune. Autant qu’il le sache. Après tout, puisqu’elle sait que la nage est agréable ici de ces heures autant le lui dire. Un bain de minuit est toujours agréable. Quoique peut-être pas à faire en présence d’un professeur. On ne sait jamais de quoi on pourrait être accusé après…
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La jeune femme m’amusa grandement lorsqu’elle me parla de deux étudiantes d’autres maisons qui, avec un coup dans le nez, avaient souhaité l’aborder. Finalement, j’étais tombé au bon endroit, au bon moment pour l’empêcher d’avoir une discussion avec elle. Mon regard croisa le sien avec tout l’amusement du monde sur le visage.

- J’ai toujours sauvé les demoiselles en détresse. Mais dites-moi, les Mather et les Cabots, ce sont les junkies, les pétasses ou les têtes d’ampoule ?

Je faisais référence là à une ancienne conversation que nous avions eue. Et si j’utilisais à nouveau ses termes choquants, c’est parce que je sais qu’Elsy avaient été outrée par cela. Je la taquinais donc en les employant une nouvelle fois. Rien de bien sérieux au final. Je voulais voir si elle comprendrait que je la charriais.

- Vous êtes une habituée des bains de minuit, mademoiselle Esterhazy ?

J’esquissais un sourire en l’observant. C’était une question que je pouvais bien lui poser comme elle venait de m’assurer qu’il était agréable de se baigner à cette heure-ci. Finalement, je prenais sa parole comme un défi. On est un gamin ou on ne l’est pas. Pour ma part, je le suis. J’ôtais donc sans aucune gêne mon haut afin de me retrouver torse-nu. Et avant même de me débarrasser de mon pantalon, je me retournais vers la jeune femme avec un large sourire sur le visage.

- Vous m’accompagnez ? Ou bien je dois vous jeter à l’eau ?

Après tout, nous étions assez éloignés de la fête du feu de camp pour qu’on puisse nous voir, ni même nous identifier. Aucune crainte à avoir donc, les rumeurs ne circuleront pas.


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«- Facile. Les mathers, selon vous, ce sont les junkies. Quant aux Cabot je ne sais pas ce sont les filles parfaites. Bien élevés et tout. Les filles que l’on considérait autrefois comme accomplies, voyez-vous ? » sourit la demoiselle, ne sachant pas si ce sont les pétasses quoi que le groupe étant exclusivement féminin tout comme l’est le mot employé par le professeur, il est probable que les jeunes femmes de la maisons roses soient les fameuses pétassent de son esprit. Mais qui sont donc, dans ce cas, les têtes d’ampoules ? La brune ne sait pas. Et comme elle se pose la question elle décide de demander la réponse à la source, évidemment. «Qu’entendez-vous par têtes d’ampoules professeurs ? J’avoue que je ne sais pas de quelle maison vous pouvez parler en disant cela. Les Dunster peut-être ?» interroge la jeune femme.

Habituée des bains de minuits elle ? Non pas tellement. Elle aime nager mais de ces heures elle en a rarement l’occasion. Lorsque l’on est sportif de niveau professionnel et que l’on se frotte à la compétition des jeux olympiques l’on n’a pas le temps de s’adonner à de telles activités. Mais elle a justement pris un bain nocturne un peu plus tôt donc elle sait de quoi elle parle pour la mer de punta cana. Pas le temps de répondre ceci dit que le jeune homme retire son haut puis son pantalon. Mon dieu. Le rejoindre ? En soutien-gorge et culotte devant les autres étudiants tout à l’heure c’était déjà gênant. Mais devant lui…

«- Je n’ai pas de maillot professeur. Tout à l’heure j’y suis allé en sous-vêtements mais devant vous je ne me permettrais jamais… ce ne serait pas convenable et vous pourriez avoir des ennuis…. »
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Des jeunes femmes bien élevées ? En attendant, d’après ce que j’avais compris, celle qui faisait partie des « Cabot » semblait l’avoir cherché en compagnie de l’une de ses amies. Le courage ne fait donc pas partie de leurs valeurs ? Cette pensée me fit d’ailleurs sourire. Cependant, Elsy reprit bien vite la parole en me demandant qui étaient donc ces fameuses têtes d’ampoule. Je haussais les épaules sans vraiment pouvoir répondre.

- Aucune idée. C’est juste que souvent, il y a une confrérie de personnes sérieuses et très intelligentes pour qui les études sont le centre de leur intérêt. Le genre d’étudiants qui ne profitera guère des soirées et de la bonne ambiance, mais qui plus tard, deviendront les patrons des autres parce qu’ils auront obtenus les meilleurs notes. A quelle confrérie ça correspond ici ? Je n’en sais trop rien, je ne connais pas toutes les maisons. Comme je vous l’ai dit, ça ne m’intéresse pas.

En revanche, ce qui m’intéressait présentement, c’était un bain de minuit. Je m’étais déjà débarrassé de mes vêtements pour ne rester qu’en boxer. Je n’avais pas de maillot de bain non plus, donc j’allais faire avec les moyens du bord. En attendant, la jeune femme sembla gênée par cette idée tandis que je me retournais vers elle, un sourire inscrit sur le visage. Un sourire à la fois taquin et enfantin.

- Je n’ai pas non plus de maillot de bain. Et sincèrement ? Personne ne peut nous voir ici et même si c’était le cas, que faisons-nous de mal ?

Je plantais mon regard dans le sien en m’approchant d’elle, comme pour lui faire comprendre qu’il n’y avait aucune ambiguïté.

- Nous sommes à Punta Cana. J’ai vu la moitié de mes élèves en sous-vêtements et eux m’ont vu en tongs. Et pour ne rien vous cacher…

J’approchais mon visage de son oreille afin de murmurer sur un ton amusé afin de continuer ma phrase :

- J’ai vu de nombreuses femmes en sous-vêtement. Je pense que je peux survivre. Mais si vous préférez, je peux me retourner.

Je reculais puis lui adressais un sourire enfantin.

- Mais je ne vous oblige à rien. Venez si vous en avez envie, ou bien restez là. Pour ma part, je ne me suis pas encore baigné.

Finalement je me retournais pour entrer dans l’eau éclairée par des lumières artificielles mais aussi par la lune et le ciel étoilé. L’eau était effectivement très agréable.


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"- Alors vous voulez bien parler des Dunsters. Ce sont eux nos petits "génies". Enfin, nos gros travailleurs tout du moins car tous ne sont pas forcément les plus aidés et l'appartenance à une autre maison ne signifie pas que nous soyons idiot ou fainéant." explique la brune.

La demoiselle se tourne vers le jeune homme après son explication. C'est là que la demoiselle voit qu'il est en sous-vêtements. Mon dieu. Immédiatement elle rougit violemment, ne sait plus où se mettre. Elle ne se sent pas très à son aise et dans un même temps elle se demande comment elle va faire pour se baigner avec lui alors qu'elle n'a pas de maillot de bain. Lui a bien une idée, il essaye de la décider... Mais la brune ne se sent tout de même pas très à son aise.

"- Et bien à priori rien mai euh... certains pourraient penser que... Cela pourrait porter à confusion, ils pourraient croire qu'il y a de... l’ambiguïté..."
fait remarquer la demoiselle les joues rosies par cette conversation et par le fait que l'homme soit en caleçon. Il murmure quelques mots à son oreille pour la décider mais elle en frémit un peu. A coup sûr à Harvard il aurait été Winthrop.

Comme il le dit toutefois il n'y a pas d’ambiguïté et pas de témoins. Ils peuvent se baigner sans avoir peur. Il entre dans l'eau, la brune hésite un peu. Finalement pourtant elle retire sa robe, la plie puis la pose dans le sable. En sous-vêtements, elle entre donc dans la mer et rejoint l'enseignant. L'eau est toujours aussi bonne qu'un peu plus tôt c'est un fait et la lune de Punta Cana brille au dessus d'eux, les éclairant de sa lumière.

"- Et maintenant que nous sommes là professeur, que faisons-nous ?"


Je l'avais mis dans le topic de groupe, je le remet ici pour que tu te fasse une idée... La tenue de bain de la demoiselle
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Dans le fond, ça m’amuse beaucoup de voir Elsy aussi gênée par ma demande. Si l’obscurité est de mise et que seulement quelques lumières artificielles et naturelles nous éclairent, je ne peux pas fermer les yeux sur ses joues qui ont rougis sous la gêne. Pourquoi est-elle dans cet état ? De peur qu’on nous voie et que les rumeurs se multiplient ? Parce que je me retrouve en boxer devant elle et donc à moitié nu ? Ou bien parce qu’elle est sensible à mon charme ? Je n’en savais strictement rien puisque je ne me trouvais pas dans sa tête, mais une chose est sûre, elle n’était pas des plus à l’aise.

Je n’ai pas répondu à ses craintes. Au contraire, je me suis déjà dirigé vers l’eau, lui laissant carte blanche. Elle pouvait tout aussi bien me rejoigne, m’attendre sur la plage ou bien rentrer chez elle ou encore rejoindre des amis à elle. Dans le fond, je sais déjà ce qu’elle compte faire. Non pas qu’elle est prévisible, bien au contraire, mais j’imaginais qu’elle se laisserait tenter pour ce soir. Après tout, nous sommes en vacances. Disons que l’on peut se permettre quelques folies, non ? Et oui, un bain de minuit avec son professeur en fait partie.

Par respect, je suis resté dos à elle. Je ne comptais pas l’observer et la déshabiller du regard. Je reste un homme, certes, mais je suis respectueux des désirs d’autrui. Je ne me retourne vers elle que lorsqu’elle reprend la parole et qu’elle m’a rejoint dans l’eau. Là, j’esquisse un large sourire victorieux, digne d’un enfant de cinq ans. Ce qui me rend, paraît-il, à la fois charmeur et digne d’une tête à claques à la fois.

- Vous savez quoi ? Vous vous posez trop de questions. Détendez-vous et profitez.

Je piquais une tête puis remontais à la surface en passant mes mains contre mon visage afin d’en chasser l’eau. Je me rapprochais d’Elsy en plantant mon regard dans le sien.

- Pourquoi êtes-vous aussi gênée ?


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La jeune femme ne savait pas trop quoi faire, pas quel comportement adopter. Tout du moins dans un premier temps puisque sitôt le jeune homme entré dans l'eau la brunette profite qu'il lui tourne le dos pour retirer sa robe et entrer ensuite. L'eau est encore bonne malgré l'heure et il est vrai qu'il aurait été bien bête de se priver de cette petite baignade mais pour autant la jeune femme n'est toujours pas réellement rassurée alors qu'elle se demande un peu à qu'elle sauce le professeur souhaite la manger; Elle se sent entre ses pattes comme la souris entre les griffes du chat qui se jouerait d'elle quelques temps pour se mettre en appétit, tout en sachant très bien ce qu'elle va vivre, ce qu'il lui réserve. La brune a l'impression d'être la proie alors que le professeur Connor représente l'oiseau carnassier. l'aigle qui voudrait se repaître de la souris. Il n'a pas de geste déplacés mais la demoiselle ressent tout de même une étrange atmosphère, une curieuse ambiance.

"- Vous êtes mon professeur et je suis en lingerie devant vous. En string et soutient-gorge en dentelle. je crois professeur qu'il n'y a rien pour me mettre à l'aise dans cette situation..." explique Elsy les joues écarlates tandis qu'elle accorde une réponse à une question que vient de lui poser l'enseignant. Pourquoi était-elle gênée, la bonne blague ! Ne le voyait-il pas très bien de par lui même ? Ce qui causait la gêne de la demoiselle était une évidence même. A croire qu'il ne posait cette question que pour torturer sa proie, pour s'amuser encore un peu tant qu'il en est encore temps... Et maintenant que veut-il faire ? Elle a déjà posé cette question mais il n'a pas daigné y répondre, le fera-t-il cette fois ?
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