Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(+Thais) Un Weyss peut en cacher un autre. - Page 21
Le Deal du moment : -38%
Ecran PC gaming 23,8″ – ACER KG241Y P3bip ...
Voir le deal
99.99 €


(+Thais) Un Weyss peut en cacher un autre.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Parler de ses cauchemars n’était peut-être pas la discussion rêvée surtout après avoir fait l’amour mais je voulais qu’elle se libère, qu’elle n’enfouisse pas ces derniers car ce n’était pas une solution en soi. Je le savais très bien pour être passé par là et je refusais qu’elle se surmène à cause d’eux. « Tu as entendu le médecin, les bébés vont très bien et je crois sans m’avancer que tu n’entendras plus jamais parlé de ces monstres. Si c’est le cas, crois-moi, je leur ferais passer l’envie de recommencer et puis il y a ton cousin. Je ne suis pas idiot, je sais bien qu’il trempe dans quelque chose de pas net mais je sais également qu’il fera tout pour te protéger… Rien qu’à nous deux, tu n’auras rien à craindre et puis ton père veille au grain également » murmurais-je dans la pénombre tandis que je caressais son visage. « Laisse-moi panser tes blessures chaton »

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Parler de ses craintes les plus secrètes lui fit du bien, en prime. Thaïs devait arrêter de s’empoisonner toute seule la vie alors qu’une discussion pouvait déjà dépoussiérer tout ça plus assurément qu’autre chose. « Tu as raison, les bébés vont bien… je sais aussi que Declan veille au grain, après tout je fais partie du clan et la famille, c’est une donnée sacrée. Mais plus important encore, il y a mon père et puis toi… j’ai hâte d’accoucher, de me faire opérer pour qu’on puisse former la famille unie dont on a toujours rêvé, toi comme moi » lui avoua-t-elle avant d’être émue par sa supplique, la poussant à caresser délicatement ses deux mains entourant actuellement son visage en coupe. Elle lui vola dès lors un baiser léger comme une brise. « Tu les panses déjà de tellement de manière mon ange… tu sais qu’en te rencontrant à treize ans, je t’imaginais comme le père de mes enfants ? » rigola-t-elle doucement.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

« Je n’arrête pas de penser à cette éventualité, que tu puisses me voir enfin me revoir. C’est très con mais je n’arrête pas de me dire que tu t’es peut-être imaginé un homme différent de celui que je suis physiquement. Je crois que j’ai peur de te décevoir » répondis-je en toute honnêteté. Thaïs avait coutume de me dire souvent que j’étais sexy ou digne d’un Apollon mais la réalité était, que je craignais de la décevoir. Nous avions déjà eu cette discussion mais plus les mois avançaient et plus je ne pouvais que redouter notre rencontre « visuelle ». J’avais tellement besoin de faire partie de sa vie, de ses pensées, de son cœur que je la suppliais même de me laisser panser ses blessures et sa réponse m’arracha une expression de surprise. « Non je ne savais pas… Pour ma part, je voulais t’épouser, j’avais même été en ville pour acheter une bague fantaisiste mais je n’ai jamais pu te l’offrir »avouais-je. Avec le recul, la bague était ridicule mais à treize ans, je n’avais pas beaucoup de moyens, mes parents voulant nous inculquer la valeur de l’argent.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« Me décevoir ? Mais chéri comment tu pourrais me décevoir ne serait-ce qu’une seconde alors que je suis tombée amoureuse de toi au premier regard quand on avait treize ans ! Moi je suis sûre que je vais faire des complexes débiles tellement tu seras beau au contraire… » s’amusa-t-elle à lui répondre non sans picorer plusieurs baisers contre son visage en vue de le rassurer. « Tu… tu voulais m’épouser ? Oh merde je culpabilise à fond du coup ! Tu l’as toujours cette bague ? Je voudrais la porter… » fit-elle en rougissant.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

« Des complexes ? Tu es magnifique, tu n’as aucunement besoin de faire des complexes »rectifiais-je car pour le coup, je ne voyais pas. A mon sens, si c’était idiot de penser que je la décevrai, il l’était tout autant de complexer. « Tu n’as pas à culpabiliser, on était que des gosses voyons… Et ouais, elle est toujours dans mon ancienne chambre au manoir, j’irais te la chercher demain » répondis-je avant de l’embrasser. « Tu fais du shopping avec ma mère non ? »

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Effectivement, Thaïs avait rendez-vous avec Anita le lendemain pour faire du shopping entre femmes. L’initiative de la mère de Caleb l’avait ravie et elles venaient de passer une après-midi fabuleuse. Vraiment, l’irlandaise venait de découvrir une facette de sa belle-mère qui lui plaisait énormément et les avaient toutes deux beaucoup rapprochées en quelques heures seulement. « Chéri je suis rentrée ! Ta mère a énormément de goût en matière de layette, les jumeaux vont être les plus beaaaux du monde ! » s’exclama-t-elle en posant la quelque dizaine de sacs avec difficulté dans l’entrée avant de se prendre une voix féminine totalement inconnue en pleine poire. « Me dis pas que tu t’es mariée avec une aveugle moche en plus !! »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Mon monde venait de s’écrouler. Dire que tout avait bien commencé, j’avais déposé Thais au manoir pour qu’elle puisse faire du shopping avec ma mère pour mieux grimper à ma chambre chercher la fameuse bague que je comptais offrir à ma femme le soir-même. Bon, elle avait pris un sacré coup de vieux mais c’était amusant, ça me ramenait des années en arrière. Non, là où ça avait foiré, ce fut quand une heure avant que Thais ne rentre, un fantôme de mon passé vint frapper à la porte. Mary. Mary que je croyais morte et enterrée était on ne peut plus vivante. « Commence pas avec ça Mary ou je te préviens que je te fous à la porte ! » grognais-je avant de m’approcher de ma femme pour l’embrasser. « Je sais, c’est fou mais Mary est revenu d’entre les morts… » lâchais-je d’une voix blanche. Il faut dire que j’étais pas mal traumatisé pour le coup. Ce n’est pas tous les jours que votre défunte fiancée revenait dans votre vie.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Thaïs demeura bouche bée quelques instants avant d’être capable de reprendre contenance. Mary. La tristement célèbre Mary ayant été si envahissante au tout début de sa relation avec Caleb venait ni plus ni moins de l’insulter. « Ne pas commencer ? Tu m’excuses, elle fait quand même tache dans le tableau ! Et tes parents l’ont acceptée ? Franchement ça m’étonne. Ils doivent faire style de l’aimer pour éviter de se prendre une association d’aveugles sur le poil… non mais regarde là ! On dirait un p’tit poussin tout moche ! » Thaïs déglutit avec difficulté tout en serrant les poings. « Moi au moins je n’ai jamais trompé mon fiancé pour me faire culbuter par le premier venu ! »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Bordel, j’avais l’impression que dans quelques minutes à peine, elles allaient s’entretuer sur un ring de boxe. Pour la peine, je parierai bien plus sur ma femme que sur mon ex-petite-amie. « Chérie, ne t’énerve pas, c’est pas bon pour les bébés » murmurais-je à son oreille tandis que je la prenais dans mes bras. « Mary, je vais te dire ce que je rêve de te dire depuis des années mais ta gueule ! Thaïs est la plus belle qu’il m’ait été donné de rencontrer car non seulement, elle est magnifique mais elle possède une beauté intérieure que tu n’as et n’auras jamais. Je suis au regret enfin non, je m’en tape, de te dire que mes parents t’ont toléré mais qu’ils ne t’ont jamais apprécié contrairement à Thais qui est devenue comme une seconde fille pour eux »

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Thaïs hocha vivement la tête au conseil de Caleb pour mieux inspirer et expirer profondément. Elle le laissa gérer, sans pour autant s’éloigner de lui ne serait-ce que d’un millimètre. Au moins, elle se sentait protégée dans ses bras. « Et si je n’avais pas disparue, on serait mariés et ta blondinette chérie n’aurait même pas existé alors laisse-moi rire ! J’suis sûre que tu mens pour me faire partir mais je te crois pas. » Cette fois-ci, l’irlandaise se dégagea sans violence aucune des bras de son mari pour mieux asséner une gifle monumentale à cette empêcheuse de penser en rond. « Je ne suis pas sa blonde je suis sa femme, on est mariés et donc tu n’es pas chez toi ici… tu vas me faire le plaisir de dégager dans les dix secondes qui vont suivre sinon je m’en chargerai personnellement et tu sortiras avec mon pied au cul ! »
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)