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(+Thais) Un Weyss peut en cacher un autre.

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« Je devais en avoir conscience. J’ai peut-être perdu la mémoire mais je sais que mon côté protecteur va de pair avec mes sentiments. Plus je tiens à une personne et plus j’ai envie de la préserver. Je présume que pour ma femme, rien d’autre ne comptait à mes yeux. Hier, j’ai vu l’ambulancier qui m’a amené à l’hôpital le jour de mon accident. Apparemment, d’après les témoins, je serais venu en aide à une petite fille qui allait se faire écraser et que c’est sa grand-mère qui m’a poussé sur la route en prenant pour un pédophile… La faute à pas de chance » lui fis-je part de ma dernière découverte. Je savais bien que Thaïs se sentait coupable de mon amnésie mais je voulais qu’elle s’enlève cette connerie de la tête. « C’était un accident Thaïs, tu n’y es absolument pour rien et il est hors de question que tu te punisses encore. Je prendrais soin de toi et de tes pieds que tu le veuilles ou non » terminais-je par lui dire avant de lui offrir un câlin dont nous avions absolument besoin tous les deux. « Je ne pense pas qu’il s’agisse de masochisme. Je n’étais pas heureux dans ma vie ces derniers mois, je crevais de solitude si bien que lorsque j’ai appris que j’étais marié, je n’ai pas voulu le croire. Je veux dire qu’après Mary, je ne pensais pas avoir le droit à ma part de bonheur et tu es arrivée. C’est déstabilisant mais pas incompréhensible. Tu es quelqu’un de bien. »

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C’était un accident… d’un côté Thaïs était tentée de le croire, d’essayer de s’ôter cette culpabilité suffocante de l’esprit mais d’un autre, elle n’y parvenait pas. S’il n’était pas sorti, il n’aurait pas sauvé cette petite fille mais rien de tout ceci ne serait arrivé non plus et ça, nul ne le savait mieux qu’elle. « Ce n’est pas totalement la faute à pas de chance parce que si tu es sorti, c’est quand même ma faute… l’ambulancier ne connaît pas toute l’histoire et tu ne t’en souviens pas mais tu as refusé que je me déplace moi-même pour aller m’acheter des douceurs, tu ne voulais pas que je me fatigue à cause de… tu ne m’as pas écouté. Tu as à tout prix voulu me faire plaisir et si tu n’étais pas sorti, rien de tout ceci ne serait arrivé. » Thaïs tremblait comme une feuille morte à cette idée, presque secouée d’une nausée mais elle ne faisait qu’énoncer la vérité après tout. Il n’y avait ni leurre ni excès, sa culpabilité était réelle et avait des raisons d’exister. « Je ne me punis pas Caleb j’ai ma part de responsabilités. Que faut-il que je fasse pour que tu me laisses faire et que TOI tu te reposes ? » demanda-t-elle non sans s’écarter de quelques millimètres pour mieux caresser sa joue avec délicatesse. « Tu es l’homme le plus merveilleux que je connaisse Caleb… s’il y a une personne en ce bas monde qui mérite sa part de bonheur justement, c’est bien toi. »
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Je soupirais. Décidément, cette femme était têtue comme pas deux et l’avoir épousé, ne m’étonnait plus vraiment, je dois le dire. « Hey, je pense pas être du genre à faire quelque chose contre mon gré alors si j’ai voulu te faire plaisir, c’est en toute connaissance de cause. Tu sais, si ma tante en avait, on l’appellerait tonton. Rien ne dit que je ne me serais pas tué en moto le lendemain. Rien n’est écrit Thaïs et en mon âme et conscience, je ne te blâme pas. Au contraire, je préférais toujours être le blessé plutôt qu’une autre personne trinque à ma place surtout si c’est ma femme alors cesse de t’en vouloir » lâchais-je tout en resserrant mon étreinte autour de son corps en la sentant trembler comme une feuille. Que pouvais-je dire pour qu’elle arrête de se sentir coupable ? Je n’étais même pas mort, j’étais bien en vie avec seulement six mois de souvenirs en moins. « Repose-toi avec moi ! Et je maintiens que tu te punis pour quelque chose qui n’est pas de ta faute » râlais-je avant de l’observer sérieusement, posant ma main sur la sienne. Je crevais d’envie de l’embrasser à cet instant précis, comme poussé par un élan venu du plus profond de mon cœur mais je n’en fis malheureusement rien. « Du peu que je sais de toi, tu mérites également le bonheur même si pour l’heure, tes cheveux te donnent un air d’épouvantail » plaisantais-je.

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Têtue, oui c’était le moins que l’on puisse dire mais même sur ce point de caractère précis, les deux époux Weyss parvenaient à être complémentaires. « Tu n’as pas besoin de me blâmer je crois que je me blâme pour dix et j’arrive pas à m’enlever cette idée de la tête » avoua-t-elle non sans rougir légèrement, perdant conscience qu’elle était toujours en petite tenue car la situation ne la mettait plus autant mal à l’aise. Ils partageaient actuellement… presque de l’intimité, d’une certaine façon. « Tu veux dire que si je me repose tu en feras autant ? Mais je ne peux pas annuler mes concerts, ce n’est pas possible… à chaque jour suffit sa peine ! » trancha-t-elle car Thaïs avait au moins trois jours devant elle, ce n’était pas négligeable. « Tu adorais m’appeler ton épouvantail blond »[/color][/b] avoua-t-elle en esquissant un petit rire avant qu’une voix féminine stridente ne la fasse sursauter de l’autre côté de la porte, en même temps que cette dernière tambourinait à la porte. « Calebouuuuuuu !!!! »
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« C’est inutile ! Je vais finir par te coller une fessée à t’en donner mal en t’asseyant si tu continues ! » grognais-je comme si la simple idée qu’elle puisse s’en vouloir à ce point m’était insupportable. Je désirais protéger cette femme, c’était inscrit jusqu’à dans mes tripes mais pour être honnête, je n’avais encore jamais ressenti cela que ce soit pour Davina ou Mary. Thaïs me touchait au plus profond et je n’avais pas besoin de mes souvenirs pour savoir que ça avait toujours été le cas. Il y avait quelque chose de fragile chez elle qui me donnait envie de l’entourer de mes bras pour la protéger. « Si c’est une question d’argent, je peux participer aux frais. Nous sommes mariés alors jusqu’à preuve du contraire, je serais dans mon devoir de mari non ?! » lui répondis-je aussitôt n’ayant jamais eu un rapport très intéressé par l’argent. Ce n’était pas du snobisme, j’étais content d’en avoir mais je n’étais pas du genre pingre tout simplement. Malheureusement ce moment de détente et d’accalmie fut rapidement brisé. « Oh pitié pas elle ! Je vais finir par l’attacher au cul d’un camion longue distance pour m’en débarrasser ou la jeter du haut d’un pont ! Bouge pas de là » marmonnais-je tout en allant ranger mon holster et mon arme dans le coffre-fort. « Mme Jenkins… On en a déjà discuté, arrêtez de me harceler bordel de merde où je vous fais coffrer !” m’emportais-je aussitôt la porte ouverte mais cette folle me sauta dessus pour me ravager la bouche, m’arrachant au passage ma chemise. « Baise moi de suite !!! Je te veux mon beau brun, tu es à moi !! Prends-moi comme une chienne en chaleur ! » hurla-t-elle en coinçant mon visage contre ses seins…nus. Oh dieu au secours !

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« Heu… pas obligé d’en venir à tant de violence ! » répondit-elle en secouant la tête de droite à gauche, sans pour autant perdre ce sourire timide mais bien présent qui se trouvait contre ses lèvres. Hélas, Caleb ne fut pas sans deviner le fond du problème auquel Thaïs était confrontée et fatalement, elle en perdit un instant son sourire. « La situation n’est pas vraiment simple et là, tout de suite, tu ne te souviens pas de notre mariage et de tout le reste alors non… je ne peux définitivement pas te demander une chose pareille. » Ils n’eurent même pas le temps de finir cette conversation que Caleb fit face à une folle furieuse, dont les mots donnèrent presque la nausée à Thaïs même si elle n’hésita pas à se lever d’un bond, grimaçant à chaque pas. Pour le coup, elle se souvint aisément de la prise de défense que lui avait apprise Anna quelques années plus tôt… et parvint à bloquer le bras de la voisine dans son dos pour l’éloigner de Caleb. « Je vais la faire simple et claire histoire que votre cervelet suive : vous dégagez vos sales pattes de nymphomane de mes couilles de mon mari ou aveugle ou pas, je vous refait le portrait, vu ? Disparaissez ou j’appelle les flics bordel de putain de merde !! » Pour cette fois, la voisine partit sans demander son reste s’enfermer dans son appartement à double tour et Thaïs éclata de rire tout en grimaçant de douleur. « Je suis en soutif dans le couloir, qui dit mieux... Ça va aller, pas de mal ? »
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« Tu ne peux pas ou tu ne veux pas ? La nuance est là et tu me connais, je ne changerai pas d’avis quitte à fouiner dans ta vie pour comprendre pourquoi tu refuses et ainsi te venir en aide. Je suis peut-être amnésique mais ça n’a pas changé mon caractère de merde. Nous sommes mariés et même si j’ai aucun souvenir de ça, il n’en reste pas moins que je ne fuirai pas devant mes responsabilités » grommelais-je bien décidé à lui faire entendre raison mais je fus interrompu par l’arrivée inopinée de la quadragénaire du troisième étage. Une véritable nymphomane qui avait failli me violer dans l’ascenseur deux jours auparavant. Depuis, j’empruntais les escaliers même si mon genou n’appréciait pas trop la connerie. Néanmoins, qui l’aurait cru, Thais vint à mon secours et comment dire : putain de merde, je ne l’avais jamais trouvé aussi sexy que maintenant. C’était simple, je désirais lui faire l’amour contre la porte de notre appartement et tout mon corps répondait présent face à ce projet. « Je crois que je survivrai » déclarais-je d’une voix rendue rauque par l’intensité de mon désir tandis que j’observais sa poitrine encore prisonnière de son carcan de dentelle. « BORDEL DE MERDE TES PIEDS ! » repris-je justement pied avant de la soulever dans mes bras un peu brusquement, ce qui la colla contre mon torse à présent nu. « Faut-il que je t’attache ? » murmurais-je doucement, un peu bloqué de sentir sa peau contre la mienne. Des flashs m’assaillirent de toute part, tous ayant en commun une Thaïs dominée par le plaisir.

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« Tu enquêterais vraiment pour tout savoir ? Tu n’es pas responsable de moi en ce moment ! » Thaïs avait rarement été si vive et si violente mais la jalousie, la peur, et tout le stress ressentit au fil de ces derniers jours avait eut raison de son habituelle fragilité, la poussant à agir de façon particulièrement inhabituelle. Tant pis pour ses pieds, il y avait péril en la demeure ! « Tu es sûr ? » lui demanda-t-elle en cessant de rire pour mieux sursauter lorsqu’il lui hurla littéralement dessus avant de la soulever comme une plume. Certes, Thaïs l’avait senti passé mais elle ne pouvait pas simplement rester sagement en dehors, ce n’était pas possible ! « Tu aurais fait comment si tu m’avais attachée ?! Cette folle ne t’aurait pas lâché la grappe, là au moins elle aura peur de moi, ça te laisse un peu de répit, non ? »
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« Ce n’est pas parce que je n’ai plus la mémoire de ces six derniers mois que je ne reste pas responsable de toi. Nous sommes toujours mariés que je sache ? A moins que tu ne veuilles que je signe les papiers du divorce non ? » répliquais-je non sans qu’une vive douleur ne me transperce la poitrine à l’évocation de ce mariage. Cela faisait un mal de chien bordel ! Une vive douleur qui me laissa un peu désarmé face à l’attaque de la nymphomane en chaleur. Bon sang, heureusement que Mina n’avait pas ce genre de crise sinon, je plaignais son entourage proche. En fait, je ne l’avais jamais vu véritablement en crise… « Je survivrai… Traumatisé mais je survivrai… Mourir étouffé par une paire de seins, je crois que c’est définitivement plus mon fantasme premier » grimaçais-je tout en la ramenant dans l’appartement, fermant la porte d’un coup de pied savamment dosé. « Je porterai plainte demain pour son propre bien mais également le miens. Je n’ai pas envie de me faire violer une secon..enfin laisse tomber j’ai rien dit » marmonnais-je pour le coup froidement. Je ne savais pas si dans un moment de faiblesse, j’avais révélé tout mon passé à Thaïs et si ce n’était pas le cas, il était hors de question que je le fasse. « Tes bandages ne saignent pas, c’est toujours ça de gagné »

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Thaïs sentit ses yeux s’humidifier à la simple évocation du divorce. A ce moment précis, cela la paniquait littéralement d’imaginer la chose et pourtant, ce qu’elle ignorait, c’est que d’ici quelques temps, elle serait suffisamment désespérée pour envisager la chose. « Bien sûr que non je ne veux pas que tu signes de tels papiers ! Je n’arrive même pas à dire le mot tellement ça me fait mal… c’est juste que je ne sais pas si tout savoir d’un coup ne te perturberais pas. » Une fois encore, Thaïs ne pensait pas à elle en premier. Elle ne voulait pas risquer quoi que ce soit, au niveau de Caleb mais aussi du bébé, qu’elle était loin d’oublier dans l’équation. « Il y a quelque chose que je peux faire pour… te faire passer l’arrivée de cette folle furieuse ? Et je suis au courant pour ce qui t’es arrivé. Avec… Raphaël. » La demoiselle sentit une fois encore ses yeux s’humidifier aussi prit-elle une grande inspiration pour mieux reprendre : « Je vais bien Caleb ! C’est plutôt toi qui m’a inquiétée, en me prenant dans tes bras tu as limite bloqué avant de rentrer dans l’appartement… »
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