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Caleyna ● I am here for you ( HOT )

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Finalement, ça avait du bon que Leyna et Calvin se retrouve tous les deux célibataires, ça leur permettait de se retrouver comme dans le bon vieux temps. Elle se souvenait de toutes les fois où ils avaient discuté de truc tellement profonds ensemble, ou juste à rigoler... Wow comment n'avait-elle pas pu se rendre compte que ça lui manquait autant ? Cette soirée serait absolument géniale, non seulement ils oublieraient leurs soucis un peu trop prenant, mais en plus ce serait exactement comme avant. Je sais déjà quelles seront tes conclusions ! La Dunster était très confiante quant à ses chances de gagner la partie, elle avait déjà eu le dessus plusieurs fois sur des habitués du billard ! Elle savait qu'elle aurait pu jouer la carte de la petite fille qui n'y connait rien, de cette façon il se serait collé contre elle et vous imaginez probablement la suite du scénario. Mais non, Leyna était beaucoup trop fière d'elle-même pour se laisser aller à ce genre de mise en scène ridicule. Au lieu de sa, elle décida de prendre une grande gorgée de sa bière pour se donner du courage et visa directement le milieu des boules avec sa queue. Voilà le travail, la magnifique numéro 8 directement dans le trou. J'espère que tu es prêt à m'appartenir pour une nuit Mikhaïlovitch.
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Je sais déjà quelles seront tes conclusions ! Elle était si sûr d’elle. C’était quelque chose que j’appréciais chez une jeune femme. Je préférais qu’elle soit assez confiante pour entreprendre des choses. Quoi que les filles timides étaient aussi amusante, mais ce n’est pas ce que je préférais. Surtout au lit ! Voilà, je suis séparé de Milena depuis quelques heures et je pense déjà à ça ! C’était l’alcool ça. « T’es sûr de toi ? » C’était donc à elle d’ouvrir la partie. Elle tirait une seule fois et visait la boule numéro 8 en plein dans le mille. Punaise, Leyna était douée. C’était donc encore à elle de jouer. Je savais d’avance qu’elle allait gagner. J'espère que tu es prêt à m'appartenir pour une nuit Mikhaïlovitch. Je n’avais pratiquement aucune chance de la rattraper. « Ça te fait tellement plaisir. » Intérieurement, je me marrais, parce qu’elle allait avoir du mal pour me contrôler complètement. Peut-être que j’y prendrais plaisir et que je l’écouterais m’amuser ou peut-être que j’allais le lui faire croire avant de me refermer sur elle. Savait-elle seulement de quoi j’étais capable ? Cette victoire ne serait qu’une illusion. L’observant d’un œil amusé, je me passais la langue sur les lèvres. « Je crois que c’est encore à toi de jouer. Montre-moi jusqu’à quel point tu veux me gagner » disais-je malicieusement.


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Ce que Ley' aimait chez un garçon, c'était qu'il laisse s'installer une certaine indifférence. Cela pouvait paraître complètement stupide pour certains mais d'avoir quelqu'un accrocher à ses baskets la lassait royalement. Elle était donc amplement servi puisque Calvin était plutôt discret dans son genre, mais tout aussi attrayant. Passer du temps en sa compagnie lui redonnait presque le sourire. D'ailleurs elle se sentait presque coupable de ne pas penser à Marshall... Bien sur ! Eh voilà, en plein dans le mile la petite boule numéro 8. La demoiselle ne pouvait retenir le sourire un peu trop fier qui se dessinait sur son visage. Elle adorait en mettre plein la vue aux garçons, dans tous les domaines que vous pouvez vous imaginez. Disons qu'elle avait déjà quelques idées de ce qu'elle comptait faire de son cavalier... L'alcool devait commencé à faire ses effets parce que ce n'était pas le genre de choses à quoi elle pensait en la compagnie de Calvin en général. D'ailleurs c'était encore à son tour de jouer. Avant de le faire, elle s'approcha de lui et lui chuchota à l'oreille : Tu pourrais bien y prendre plaisir. Leyna lui fit un petit clin d'oeil avant de rentrer une nouvelle boule dans un trou. Que voulez-vous, c'est ça le talent mes chéris ! Allez, tu me fais pitié, montre moi de quoi tu es capable. Ce n'était pas aussi amusant si elle gagnait par défaut, la jeune femme aimait la compétition.
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Tu pourrais bien y prendre plaisir. Elle venait de s’approcher de moi pour me glisser quelques mots à l’oreille. Au passage, elle me frôlait lascivement comme pour me montrer ses intentions. Je ne rétorquais rien, me contentant de l’observer. Une fois de plus, elle marquait. Elle était bien partie pour gagner. Allez, tu me fais pitié, montre moi de quoi tu es capable. Je ricanais doucement. « Oh oh voyez-vous cela. Je fais pitié à Miss Carlson » Mes yeux pétillants d’amusement, je me positionnais de l’autre côté du billard, en face de Leyna. Sans la quitter des yeux, je tirais et faisais exprès de louper mon coup. Puis, je me redressais tout en me rapprochant d’elle, tel un prédateur. « On dirait bien que tu as gagnés » chuchotais-je. Si, j’avais fait exprès de perdre, ce n’était pas par hasard. Je voulais voir de quoi elle était capable et jusqu’où elle irait. Alors, que la proximité était réduite voir presque intime entre nous, je mettais fin à ce contact pour reposer ma queue de billard plus à sa place. Puis, prenant la bière que j’avais laissée sur le bord du billard, je buvais une gorgée. « Je suis à ta merci. Voyons voir de quoi tu es capable » J’étais certes amusé par son comportement, je ne demandais qu’à voir jusqu’où elle pousserait son audace.


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Miss Carlson n'avait aucun problèmes à briser les règles de la proximité, surtout pas avec lui. C'était définitivement un jeu de séduction qui s'était installé depuis leur arrivée au bar, ou du moins c'est l'impression qu'elle avait. Elle se sentirait quand même un peu ridicule s'il fallait qu'elle lui ait fait des avances et qu'au final il la rembarre comme une pauvre fille. Y avait pas moyen hein ? En tout cas ce ne serait surement pas par manque de talent au billards puisqu'elle était officiellement la grand gagnante de cette partie. Tu veux des fleurs avec ça Leyna ? Pourquoi pas tiens, autant inaugurer ce moment. On dirait bien, oui. Elle pris sa bière dans ses mains et en but une longue gorgée, réfléchissant à ce qu'elle pourrait bien faire maintenant qu'il était à sa merci. La Dunster ne voulait pas non plus l'obligé à faire quoi que ce soit qu'il n'avait pas envie de faire, mais ce regard là, il était trop provocateur, ça faisait ressortir ce même trait de personnalité chez elle. En guise de réponse à "ce dont elle était capable", Ley' lui tendit la main afin de se diriger dans les toilettes des femmes où elle verrouilla la porte d'accès après avoir vérifier que tout était bien vide. Une fois de plus elle s'approcha de lui, venant positionner son visage à seulement quelques centimètres du sien. Son coeur commençait à battre de plus en plus rapidement. C'était le moment décisif. Tu as toutes les cartes en main désormais. chuchota-elle à un débit presque inaudible.
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On dirait bien, oui. C’était à elle de décider ce qu’elle voulait faire la tout de suite. De loin, je la regardais comme pour la mettre au défis de me demander ce qu’elle désirait en ce moment-même. Je ne connaissais que trop bien ce comportement chez une femme. Elle mit plusieurs secondes avant de venir me prendre la main pour m’emmener aux toilettes du bar. Derrière elle, elle fermait la porte à clé. Puis, elle venait se positionner en face de moi, brisant l’espace personnelle. Tu as toutes les cartes en main désormais. Son visage était si proche du mien, que j’aurais pu l’embrasser. Pourtant, je n’en fis rien. Leyna me cédait les cartes et je ne pensais pas qu’elle me les donnerait aussi facilement. Un sourire narquois au bord des lèvres, je devenais soudain sérieux. Mes yeux n’étaient plus qu’un puits sombre. Posant une main sur son bras droit, je remontais jusqu’à son visage, rapprochant mes lèvres des siennes. Encore une fois, j’aurais pu l’embrasser et lui donner ce qu’elle désirait, mais je m’arrêtais. « C’est presque trop facile » lui soufflais-je. Brusquement, je laissais retomber ma main jusqu’à son poignet pour la tirer. Je déverrouillais  la porte et laissait un billet de cinquante dollars au barman. C’était beaucoup trop, mais je n’en avais rien à faire. Dehors, la limousine nous attendait, muette et silencieuse. J’ouvrais la portière et la faisait grimper dans la voiture. Je la laissais donner un ordre au chauffeur. Je tenais toujours son poignet entre ma main et c’est sans ménagement que je la faisais grimper sur moi. « Alors mademoiselle Carlson, vous me laissez toujours les cartes en main ? »


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La brunette savait qu'elle devrait probablement se sentir extrêmement coupable d'être entrain de draguer l'ex petit-ami d'une de ses bonnes amies, surtout qu'ils s'étaient fraîchement laissés. Pourtant ça ne lui effleurait même pas l'esprit. Là tout de suite, elle se trouvait dans les toilettes d'un bar un peu miteux, leurs visages respectifs se trouvant à peine à quelques centimètres l'un de l'autre. Elle voulait qu'il l'embrasse, qu'il lui arrache sa robe, qu'il fasse ce qu'il voulait. Bien sur Calvin Mikhaïlovitch était trop bien pour ça, il se faisait désirer. À la place,il l'entraîna à l'extérieur, la ramenant plutôt dans la limousine. Leyna demanda au chauffeur de retourner à l'appartement du jeune homme sur Harvard Square, préférant de loin ce lui à sa chambre de la résidence Dunster. Beaucoup plus intime et sexy. Il vint ensuite la faire monter sur lui. Elle pouvait le regarder dans les yeux, c'était tout simplement une torture tout cela. La belle se mordillait la lèvre inférieure pour résister. Non. La patience est une vertu, mais elle a bien sûr ses limites. Peut-être qu'elle risquait de se brûler royalement, peut-être que ce n'était pas du tout ce qu'il recherchait, mais tant pis s'en était juste trop. Elle approcha son visage du sien pour venir l'embrasser avec passion, c'était limite presque féroce. Aucune volonté la demoiselle Carlson, elle n'en avait strictement rien à foutre.
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Non. Ce fut les seuls mots qu’elle prononçait, avant de venir écraser ses lèvres contre les miennes. Je forçais un barrage dans sa bouche tout en maintenant son corps contre le mien par ses hanches. On peut dire qu’elle n’était pas du genre à être patiente, mais cela ne me dérangeait pas. A cet instant, j’étais trop alcoolisé et trop mal pour penser à Milena. La présence de la brunette, m’avait fait oublier que je venais de rompre et que j’avais surement perdu la femme de ma vie. Avec elle, je me transportais ailleurs et c’est ce dont j’avais besoin ce soir. Je libérais une de ses hanches et glissais sa main sur sa cuisse, remontant lentement sous sa jupe. Elle ne portait pas de collant et c’était une attention que j’aimais de la part des femmes. Je détestais les collants. C’était pour moi un barrage entre l’objet de mes désirs. Autant qu’elles mettent des bas ! Je la caressais lascivement tandis que mon autre main remontait jusqu’à sa nuque et tirait légèrement sur ses cheveux pour qu’elle recule la tête en arrière. Puis, je venais déposer des baisers dans son cou. Ce soir, je n’avais pas envie de précipiter les choses. Je voulais prendre mon temps et faire durer le plaisir.


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S'il y a bien une chose que Leyna n'aurait jamais imaginé ce soir, c'était bien cette situation. À la base elle était venu voir Calvin simplement en ami pour le consoler comme elle devait le faire. Certes, elle l'aidait à passer à autre chose, mais d'une tout autre façon ! D'un autre côté, c'était un peu inévitable quoi, deux âmes en peine, une attirance qui existait depuis bien longtemps, et on y ajoute de l'alcool en plus. C'était dans la nature de la jeune femme d'être ainsi, cette limousine en avait vu de toutes les couleurs. Et puis on ne pouvait pas dire que Calvin était tellement plus sein à ce niveau, enfin pas à voir ce qu'il dégageait. Elle posa ses mains sur la nuque de ce dernier afin d'approfondir ce baiser et de profiter de chaque secondes. De son côté, le jeune homme était tout aussi habile de ses mains, c'était tout à son avantage de savoir plaire à une femme. Il vint également l'embrasser dans le cou à son plus grand bonheur ! Elle n'avait couché avec personne depuis sa rupture avec Marshall et ça faisait du bien de retrouver ces moments d'intimités. Ley' en profita pour passer ses mains sous le chandail noir de l'ancien prof responsable des Eliots et caressa délicatement son torse comme de la soi. Musclé le jeune homme malgré ce qu'on pourrait croire.
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De ses mains libres, elle venait caresser mon torse sous mon t-shirt. J’esquissais un sourire contre ses lèvres. Puis, je reprenais mon souffle tout en mettant fin à notre baiser. Est-ce que cela serait correct de le faire ici ? Est-ce que je ne faisais pas une erreur en couchant avec l’amie de mon…ex ? Certainement, mais c’était trop tentant pour y mettre fin. Finalement, la limousine s’arrêtait. Je supposais que nous étions en bas de notre immeuble. Glissant mes mains sous les fesses de la jeune femme, je la soulevais pour la poser à côté de moi. « On ferait mieux de monter » J’étais du genre spontanée, mais elle avait dû coucher avec d’autre homme dans cette voiture et pour l’aboutissement d’une vieille attirance, je voulais qu’elle en garde un souvenir unique. A présent, je n’étais plus professeur et je pouvais faire ce que bon me semblait. Le chauffeur nous ouvrait la porte et je sortais à la suite de Leyna. Puis, nous entrions dans l’immeuble pour monter dans l’ascenseur. A peine entrée, un long silence envahissait les lieux, alors que l’ascenseur montait vers le dernier étage. L’atmosphère devenait vite éléctrique, car quoi que l’on pense, nous avions envie l’un de l’autre. « Oh et puis merde » Soudainement, je la plaquais contre le mur, écrasant mes lèvres sur les siennes. Je la soulevais pour qu’elle vienne enrouler ses jambes autours de moi.  


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