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DENZELINA | I Don't Want The World To See Me

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Valentina sortit du Auburn Cimetary la tête basse. Elle n'allait pas très bien ces derniers jours. Une sorte de dépression commençait à la hanter lentement. Ses parents lui manquaient énormément. Elle ne savait pas comment exprimer ce qu'elle ressentait, et le tout s'étouffait en elle. Habituellement, elle pouvait en discuter avec Jason ou Nina ou bien Lukas. Ils étaient à l'écoute lorsque la petite italienne avait mal au coeur. Cependant, Jason était occupé, et Valentina ne voulait plus profiter de la gentillesse de ses meilleurs amis. Elle ne voulait pas être celle qui se plaignait toujours et se morfondait. Ils méritaient une amie avec qui s'amuser, et non une amie qui passait son temps à vider son coeur. C'était stupide de penser ainsi, mais c'était comme cela que Val se sentait. Elle se sentait comme un poids sur les épaules des autres. Surtout ceux à Jason. Lentement, une idée noire commençait à s'insérer dans sa tête. Elle ne savait pas d'où venait cette idée, mais elle pensait que Jason n'était peut-être pas aussi occupé qu'il le prétendait. Elle pensait qu'il faisait semblant d'être occupé car il était tanné de devoir s'occuper d'elle. Après tout, le mec est souvent dans les bars. S'il a le temps de boire, pourquoi pas avoir le temps de parler avec elle? Non, il était clair qu'il en avait déjà marre d'elle. Elle s'était insérée dans sa vie, et elle a été trop idiote de croire qu'il allait réellement l'aimer autant.
Elle se dirigea vers le bord de la rivière et resta debout toute seule à fixer la glace formée. Elle ne savait pas combien de temps elle était restée là dans le froid à ne pas bouger. Elle ne savait pas quand les larmes ont recommencé à couler. Elle ne savait pas quand les sanglots sont devenus de plus en plus fort. Et elle ne savait pas quand elle s'était agenouillée dans la neige, son visage enfouie dans ses mains, pleurant son coeur. Elle s'en fichait, car les alentours étaient vides. Du moins, c'est ce qu'elle croyait. « Pourquoi! P-pourquoi v-vous m'avez laisser-sser s-s-seule! Pour-pourquoi.. Pourquoi vous et.. et pas m-moi! » cria-t-elle d'une voix brisée de sanglots. C'était déchirant à attendre, sa jolie voix d'ange si désespérée et remplis de tristesse.
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Denzel avait été réveiller ce matin par un appel vidéo de sa mère. Elle faisait souvent cela pour que Denzel puisse voir sa petite sœur. Hope avait bien grandit et Denzel avait été enchanté de la voir. Elle lui avait même fait un léger sourire et le cœur de Denzel avait complètement fondu. C'était rare de voir le jeune homme si doux et prévenant que quant il voyait sa sœur ou qu'il parlait de sa sœur. Après cet appel il prit sa douche, s'habilla et se coiffa. Il entreprit d'aller réviser un peu à la bibliothèque. Pour une fois le visage de Denzel n'était pas tout à fait fermer. On sentait qu'il y avait en lui une joie immense, il pensait à Hope, a sa fiertée. Oui parce que cette petite tête blonde était sa fierté, elle représentait comme son prénom l'indiquait : un espoir.
Après avoir manger très vite un sandwich à la cafeteria, le jeune homme voulu allé fumer une cigarette au bord la rivière qu'il fréquentait assez régulièrement. Il aimait le calme de la foret et de l'eau. Il aimait se retrouver seul dans la nature et se plonger dans ces pensées. D'habitudes c'était dans ces pensées négatives qu'il se plongeait. Mais cette fois-ci, c'était pour essayer de mettre au clair les choses dans son cerveaux. A propos de Valentina, Nina, Wendy et toutes ces nouvelles personnes qui était récemment entrée dans sa vie.
Seulement, alors qu'il s'avançait vers la rivière il vit quelqu'un accroupie dans la neige au bord de l'eau. « Pourquoi! P-pourquoi v-vous m'avez laisser-sser s-s-seule! Pour-pourquoi.. Pourquoi vous et.. et pas m-moi!»  Criait la voix qu'il mit une minute a reconnaître. C'était Valentina. Le cœur de Denzel accéléra d'un coup ces battements et il fit les gros yeux. Il resta un moment à l'écart, ne sachant quoi faire. Pourquoi cela faisait si mal de l'entendre pleurer ainsi ? De qui parlait-elle ?
Le jeune homme ne pouvait décemment pas la laisser la. Après tout ce qu'elle avait fait pour lui . Du moins c'était ce qu'il prétextait : que c'était pour lui rembourser tout les services qu'elle lui avait rendu. Mais dans le fond c'était plus que ça, c'était plus qu'un simple retour. Il se dirigea d'un pas rapide vers elle, inspira profondément prenant son courage à deux main il se mit à sa hauteur et saisit les deux petites main de Valentina pour lui découvrir le visage.

« Hey, doucement Valentina ... »

il avait employer un ton d'une douceur incroyable. Il la regardait d'un regard qu'il voulait rassurant, même si ce n'était pas son fort de calmer les gens.
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Valentina avait froid. Oui, elle était agenouillée dans la neige donc c'était pas très intelligent de sa part, mais elle n'avait pas froid que physiquement. Mentalement, c'était comme si son coeur était devenu vide et de glace. Un peu comme un film de Disney. Quand tout va bien, son coeur est un joli paysage ensoleillé aux couleurs chaudes avec des papillons qui volaient partout. Et là.. Là son coeur était vide, il y avait une tempête de neige sur ce joli paysage et tout était dans des tons sombres et bleus. Son coeur était totalement à l'envers, c'était pire que la douleur qu'elle a ressentit lorsque les larmes ont coulés quand elle avait sa mère morte dans ses bras et la main de son père inanimé dans la sienne. C'était pire car c'était comme si la réalité lui avait donné un énorme coup dans la gueule et que pour la première fois, elle réalisait qu'elle était réellement seule dans ce monde.

Cependant, elle n'était pas aussi seule qu'elle le croyait. Pendant qu'elle sanglotait, elle n'a pas entendu les pas dans la neige qui s'approchait d'elle. Val était si perdue dans son désespoire qu'elle a complètement coupé ce qui se passait autour d'elle. Elle n'a pas remarqué que quelqu'un s'était baissé devant elle pour lui prendre les mains. Cependant, lorsqu'elle entendit la voix de Denzel, elle revint à la réalité, surprise. Pendant un moment, son regard noisette rougit et remplis de larmes se fixa dans celui de Denzel, puis elle détourna la tête, honteuse. Son visage reluisait de larmes, elle se sentait atrocement laide.

« L-laisse-m-moi D-Dez ! » dit-elle faiblement en enlevant ses mains des siennes. Elle s'essuya assez férocement le visage de ses mains qui étaient presque blanches tellement la circulation de son sang était lente. « Tu v-veux toujours que je te f-foute la p-paix, alors vas-y pro-profites-en cette fois-ci, a-abandonne-moi ! » Elle ne réalisa pas qu'elle avait dit "abandonne-moi" plutôt que "laisse-moi". Abandonnée, c'était le mot qui décrivait le mieux comment elle se sentait. Elle tremblait, elle était pâle, et si elle restait encore agenouillée dans la neige vêtue d'un simple legging noir, elle allait littéralement mourir de froid.
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Valentina avait l'air absente. Elle regardait Denzel comme si elle avait mit du temps à le reconnaître. Le jeune homme fronça les sourcils et constata avec stupeur à quel point la peau de Valentina était blanche et froide. Elle avait les yeux rouges comme si elle avait pleuré pendant des heures. Comment une personne d'habitude si joyeuse pouvait se plonger dans une tristesse si profonde. Denzel tenta, étonnamment, de garder les mains de Valentina dans les siennes mais en vint. Elle les retira d'une traite pour s'essuyer le visage en lui demandant de la laisser tranquille.  « Tu v-veux toujours que je te f-foute la p-paix, alors vas-y pro-profites-en cette fois-ci, a-abandonne-moi ! »  Disait-elle déterminé et pleine de colère et de rancoeur. Du moins c'est ce que Denzel percevait dans ces paroles. Le jeune homme inspira une grande bouffé d'air glacée, la prenant au mot il commença à s'en aller. Mais à chaque pas que Denzel faisait quelque chose dans son cœur lui disait de se retourner et de ne pas la laisser la. Quelque chose plus fort que sa fiertée. Plus fort que son envie de solitude. Plus fort que tout en faite. Il s'arrêta et resta de dos se demandant ce qu'il était en train de faire et ce qu'il comptait dire. Denzel était bloqué entre deux parties de lui : le nouveau Denzel, celui qu'il aspirait à devenir et l'ancien Denzel qui parvenait souvent à ces fins malgrè toutes ces bonnes résolutions. Puisqu'il était venu sur le bord de cette rivière pour faire le point, qu'il le fasse directement avec une des personne concerné.

« Tu sais ce que c'est que l'abandon ? »

Il ne savait pas vraiment pourquoi il disait ça. Il fallait bien qu'il commence quelque part.

« Quel question... Je l'ai vu dans tes yeux le jour même ou je t'ai vu. »

Denzel pivota pour se retourner vers Valentina , la regardant, la, toute seule prêt du bord de l'eau avec un air si désespéré.

« Tu n'es pas seule Valentina, tu as une famille, des amis je supposes. Tu ne devrais pas verser tant de larme, pas toi. Alors, oui c'est vrais je t'ai mainte et mainte fois rejeter... J'ai du mal à m'y faire mais malgré tout ce que j'ai fait pour te repousser tu es encore la. Et la tu me demande de te laisser ? Pire, de t'abandonner ? Pendant l'espace d'une seconde j'allais écouter cette petite voix qui me disait de m'en aller et de ne jamais, plus jamais te parler j'avoue mais … Je me suis dis... Pourquoi ? Pour quels raisons je ferais ça ? »

Le jeune homme se rapprocha de Valentina, se remit à sa hauteur et rapprocha son visage du sien. Il avait reprit son regard habituel, vide et sans émotion. Il ne savait pas ce qu'il racontait les paroles lui glissaient toutes seuls de la bouche, comme si c'était une seconde nature.


« Pour quel raison je laisserais seule une personne qui mérite tout l'amour du monde ? »

Il la regardait droit dans les yeux comme si il voulait que ce message rentre bien dans son crane. Il n'avait pas conscience que les mots qu'il venait de dire n'était pas anodins. Pour lui ce n'était que le fond de sa pensé. Valentina était fragile, elle était pure et méritait d'être épargné des douleurs du monde. Elle méritait d'être heureuse, d'avoir une vie épanouie, et surtout, que quelqu'un sèche ces larmes.

« Tu peux tout me dire Valentina. »

Dit il pour finir.
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Elle ne savait pas pourquoi il était revenu sur ses pas. Lorsqu'il s'était levé, elle a sentit une autre partie d'elle se briser en milles morceaux. Et voilà une autre personne qui s'en allait de sa vie, qui en avait marre d'elle. Elle le savait que ça allait être ainsi. Tout d'abord ses parents, puis Jason, ses meilleurs amis, et maintenant Denzel. Enfin, ses meilleurs amis n'étaient pas partis, mais elle sentait bien que parler de ses problèmes n'étaient pas leurs inquiétudes numéro un. Ils étaient amis avec elle car elle était aimable, gentille et toujours si énergique. C'était évident qu'ils ne voudraient rien savoir d'une Valentina en larmes.

Sauf que Denzel était revenu. De toutes les personnes, elle ne s'attendait vraiment pas à ce qu'il revienne pour être là pour elle. Elle n'écoutait pas totalement ce qu'il lui disait, car elle était trop occupée à essayer de focuser son regard sur lui. Ses larmes lui rendaient la vision floue, mais elle cligna une fois et ses larmes tombèrent. Elle fixa Denzel, remarquant que son visage était près. Qu'est-ce qu'il disait? Il lui racontait quoi là? Elle ne comprenait pas tout ce qu'il lui disait. C'était comme si cela rentrait d'une oreille et sortait de l'autre. Son regard se perdit dans celui à Denzel. Puis il lui dit qu'elle était la personne qui méritait tout l'amour au monde. Elle se mordit la lèvre, ses yeux se remplissant de larmes à nouveau. Il l'acheva en disant qu'elle pouvait tout lui dire.

Valentina fondit dans les bras à Denzel. Elle passa ses bras autour de sa taille et se colla contre son torse, pleurant à nouveau. Elle se sentait pathétique. « J'ai laissé mes.. p-parents m-mourir Denzel.. Je ne les ai p-pas défendu, je me suis c-cachée comme une trouillarde! JE SUIS HORRIBLE! » Elle ferma les yeux très forts, comme si elle allait disparaître. Elle voulait disparaître. « Je suis un monstre... J'aurais dut les aider contre ces voleurs.. J'aurais dut mourir avec eux! Je ne mérite pas cette vie! Je suis tellement égoïste Denzel.. » Elle serra son ami encore plus fort, une force étonnante venant de la petite italienne à l'allure fragile. « Je fais tout foirer, c'est pour ça que personne ne veut de moi.. Tu ne veux pas de moi, parce que je suis horrible.. » Le froid lui montait à la tête. Valentina divaguait et disait n'importe quoi. Elle était complètement ailleurs.
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En larme dans ces bras. Valentina était en larme dans ces bras et pendant l'espace d'un instant l'esprit de Denzel était ailleurs. Il sentait Valentina trembler, il sentait à quel point elle était vulnérable et à quel point elle avait froid. Son cœur devint fou comme jamais. D'une part il n'avait pas l'habitude d'une tel proximité et de deux il était surprit de voir à quel point la peine et la détresse de Valentina était forte. Elle s'était blottit dans ces bras, comme si elle était en recherche de sécurité. Denzel ne pouvait pas la rejeter, après tout, c'était lui qui avait décidé de rester non ?
Le jeune homme passa donc ces bras autour de la jeune femme. Il ne savait pas trop quoi faire à part ça et était sûrement très maladroit mais il essayait. Il essayait. Pourquoi il essayait au fait ? Pourquoi il était la ? Une petite voix dans sa tête se le demandait, même si, de toute façon il ne pouvait plus fuir maintenant.
Lorsque Valentina lui parla de ces parents, de la mort de ces parents, du fait qu'elle se trouvait horrible et qu'elle se trouvait monstrueuse : le cœur de Denzel se serra. Il se serra parce que quelque part il avait l'impression de s'entendre parler, il avait l'impression d'entendre les mots qu'il employait pour se définir lui même. Il savait ce que c'était de se sentir mal, de se sentir en dessous de tout. Il ne savait pas que Valentina avait perdu ces parents, il ne s'était jamais pausé de question sur sa situation ou quoi que ce soit d'autre. Il s'était contenter de regarder les apparences et ça lui avait suffit. Mais maintenant. Maintenant il savait tout. Il savait qu'elle aussi avait connu cette peine qu'était la pertes d'un proche. Et pour elle cela avait du être encore pire : c'était ces parents. Le jeune homme était complètement déboussolé : la mort était déjà un sujet dont il n'aimait pas parler parce qu'il ravivait en lui des choses qu'ils s'appliquait à enfouir profondément et aussi parce qu'il était touché par les pleures de Valentina. Il était touché parce qu'il les comprenait plus que personne. Il la serra un peu plus fort dans ces bras.

«  Valentina … Non … Ne dis pas ça de toi, tu sais il y a des chose qui ne peuvent être évité. Ce n'est pas de ta faute tout ça . Eh regarde moi ... »

Il leva son visage en tenant son menton entre son pouce et son indexe , le ton de sa voix était plus que sincère. Jamais, il n'avait jamais parlé à quelqu'un comme ça. Comme si sa propre vie en dépendait. Comme si la mémoire de Sally en dépendait. Il la fixait dans les yeux.

« Ne t'empoisonne pas la vie avec cette culpabilité. Pense un peu à eux ..P ..Penses à ce qu'ils auraient voulu pour toi. Ils auraient voulu que tu soit heureuse et épanouie. Pas que tu te pourrisse la vie avec ce genre de pensés. Ils auraient voulu que tu vive pour honorer leur mémoire. Et tu as tord Valentina, tu as tord , tu as tord quant tu dis que je ne veux pas de toi ... »

Denzel ne trouvait plus les mots. C'était comme si ces mots n'étaient pas suffisant. Comme si ceux-ci n'exprimait pas toute sa pensée. Il prenait sa a cœur parce qu'il savait ce que c'était que de se sentir comme ça et il ne souhaitait cela à personne. Son esprit était confus, il sentit une boule se former dans sa gorge quant il pensa à la douleur que Valentina devait sentir. Il voulait l'apaiser mais pour lui ces mots était insuffisant.Tout les mots étaient insufisant. Alors il rapprocha son visage de celui de Valentina lentement et déposa un baiser sur ces lèvres. Un baiser qu'il fit durer un moment, jusqu'à ce qu'il estime qu'il avait donné tout ce qu'il avait pue pour la soulager un tant soit peu.
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Elle ne savait plus ce qui se passait. Elle savait que Denzel lui disait des mots, elle savait qu'il essayait de la convaincre de quelque chose, mais elle ne savait pas de quoi. Elle était noyée dans ses larmes, elle n'entendait que ses sanglots. Par contre, lorsqu'il releva sa tête et qu'il fixa son regard dans le sien, Valentina cessa de respirer. Denzel.. Pourquoi était-il là? Il a accepté d'être amis.. Mais elle était loin de croire que leur amitié incluait ceci. Incluait lui, Denzel, en train de la réconforter. Elle cligna des yeux, et resta hypnotisée par Denzel.

Vive pour honorer leurs mémoires. Pourquoi pas mourir à leur côté avec dignité plutôt que se cacher comme un bébé? Pourquoi pas être restée en Italie afin de porter justice à ses parents en trouvant les voleurs? Elle a fuit, elle ne méritait rien. Alors pourquoi Denzel essayait-il de la convaincre qu'elle en valait la peine? Elle se trouvait horrible. Depuis son arrivée à Cambridge, Valentina se laissait aller, et elle n'aimait pas celle qu'elle devenait. Son premier verre d'alcool, son premier baiser et déjà sa première expérience sexuelle. Et tout cela en moins de 5 mois. Elle n'avait pas de quoi être fière, loin de là, elle était dégoûtée. Elle a tant essayer de fuire la réalitée qu'elle s'était perdue dans tout cela.

Mais Denzel... Denzel était là. Denzel la gardait droite, parce qu'avec Denzel, c'était elle qui s'occupait de lui. Elle voulait être sage quand elle était autour de lui, elle voulait être bien. Elle doublait ses efforts avec lui, car c'était la seule personne qu'elle désirait avoir son appréciation. Pas Jason, pas Lukas, pas Ricardo. Denzel. Car contrairement à tous les autres qui cherchaient de la joie dans la compagnie de Valentina, Denzel était le seul qui la fuyait. Et comme on dit: « Fuit-moi je te suits, suit-moi je te fuis ». C'était pas mal comme ça que tout se passait entre eux. Il la fuyait depuis le debut, et maintenant qu'elle lui avait demandé de partir, il était resté. Et là.. Et là il collait ses lèvres aux siennes.. Quoi?!

Valentina prit un moment avant de réaliser ce qui se passait. Elle ferma les yeux, et se détendit un peu dans les bras de Denzel. C'était fou comment ses lèvres pouvaient lui enlever toutes traces d'angoisses ou d'inquiétudes. Comme si plus rien n'existait, comme la nuit où il a dormit chez elle. Elle répondit doucement au baiser, mais très rapidement il cessa. Val colla son front au sien, adorant la chaleur qui émanait de Denzel. Les yeux fermés, elle murmura faiblement: « Je ne veux pas rentrer chez moi Denzel.. » C'était assez claire. Elle n'avait pas la force de retourner chez Jason, elle n'avait pas la force de souper avec les parents adoptifs de celui-ci. Ils étaient trop gentils, ils étaient trop généreux, et elle ne pouvait plus supporter cela. « J'ai froid.. » Elle se reblottit le visage contre le torse à Denzel, cherchant de la chaleur. Son corps tremblait énormément.
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Son regard était lointain. Il était vague comme si elle était ailleurs. Denzel ne le savait mais c'était exactement le même regard qu'il avait quant il pensait à Sally. Un regard qui n'arrivait pas à s'accrocher au présent, un regard désespérément prisonnier du passé et de ce sentiment de culpabilité. Le jeune homme fronçait les sourcils. Il s'était résigné, si il était la, si il était resté c'est que tout ça : Valentina, le décès de ses parents, la voir pleurer. Tout cela ravivait en lui des choses qu'il ne pouvait ignorer. Il avait réussit à mettre juste un instant l'homme froid et distant qu'il était, le Denzel qui refusait tout contact. Mais même si il était de côté, il était toujours la, guettant le moindre de ces gestes pour lui faire regretter juste après.
La mort était un sujet tabou pour Denzel, un sujet qui touchait son cœur. Il ne pouvait décemment pas laisser quelqu'un d'aussi fragile que Valentina endurer seule une douleur aussi terrible. C'était comme si il voulait prendre une partie de sa peine. Comme si il disait : « Vas y tu peux te reposer sur moi, me donner un peu de ta peine, moi j'en ai l'habitude c'est mon fardeau quotidien. » . Sa tête refusait catégoriquement que Valentina en souffre. C'était effrayant de voir à quel point il voulait protéger cette fille. Il voulait protéger ce qu'il y avait de pur en elle, ce je ne sais quoi qu'il la rendait unique, qui la rendait si jolie et lumineuse.
Lors de leur baiser la jeune fille avait fermé les yeux, quelque part comme Denzel avait eu peur qu'elle ne le repousse il en fit rassuré. Lorsqu'il scella l'union de leurs lèvres elle colla son front au sien et il la regarda dans les yeux ne disant pas un mot. Des mots, il en avait trop dit, il sentait que tout ce dont elle avait besoin la, c'était une présence. Quelqu'un pour ne pas être seul et lui permettre de reprendre ces esprits. Elle avoua tout bas qu'elle ne voulait pas rentrer. C'était normal. Après tout qui voudrait rentrer dans une grande maison qui serait sûrement vide. Denzel réfléchit à l'endroit dans lequel il pouvait l'emmener. L'idée de prendre sa voiture et de l’emmener loin d'ici lui effleura l'esprit. Lui, quant il avait de mauvaises pensées, il aimait prendre la voiture et rouler sur l'autoroute. Mais il pensa un instant qu'elle voudrait peut-être s'allonger. Elle murmura qu'elle avait froid et se blottit contre lui à nouveau. Elle devait être épuisée d'avoir pleurée si fort. Denzel la serra légèrement contre lui la couvant comme si il voulait la protéger de quelque chose.

« Il faut qu'on aille au chaud Valentina. »

Même si Denzel était en ce moment en train d'intégrer la Dunster House il avait tout de même conservé son appartement individuelle. Il n'était pas fan de la vie en communauté, il n'était pas encore prêt pour ça même si il lui arrivait d'y dormir quelque fois parce qu'il n'avait pas le courage de se rendre à son appartement. C'était souvent le Samedi soir quant il était trop saoul. Denzel se redressa doucement et tendis la main à Valentina.

« Vient .On va quelque part ou personne ne pourras t’embêter. Même pas tes vilaines pensée. »
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Il faut qu'on aille au chaud, oui. Elle approuvait ce que Denzel disait, mais elle ne fit rien pour le montrer, car son visage reluisait de larmes encore, et son corps tremblait comme une feuille. Elle voulait dire "Oui Denzel, emmène-moi au chaud s'il te plait, c'est gentil" mais rien ne sortait. Son cerveau ne voulait pas agir comme elle le voulait. Elle ne ressentait presque plus ses bras qui étaient autour de la taille à Denzel. En fait, elle ne savait même pas si elle arriverait à le lâcher. C'était comme si son corps était figé, littéralement.

Elle regarda la main que Denzel lui tendait en lui disant qu'il allait l'emmener quelque part où personne ne pouvait l'embêter, même pas ses vilaines pensées. Elle releva la tête curieusement, puis ferma les yeux très fort afin de se concentrer à reprendre le contrôle de son corps. Elle lâcha Denzel puis prit sa main, par contre lorsqu'il se releva, elle n'y avait plus. Elle tomba dans la neige. « Dez je ne sens pas mes jambes.. » Les larmes lui remontèrent aux yeux. Pourquoi était-elle si pathétique? Elle lâcha un long souffle qui lui tua les poumons, puis se força à se relevé, la douleur était visible dans ses yeux. Elle s'aggripa à Denzel pour garder son équilibre, tout en serrant sa mâchoire pour s'empêcher de claquer des dents tellement elle tremblait.
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Valentina trébucha et quelque part dans le fond de son cœur cela lui fit de la peine. Elle lui faisait penser à un petit animal qui apprenait à marché. Il sentait à quel point elle était mal là l'aise de cette situation. C'était l'une des capacités de Denzel, pouvoir sentir la peine des autres. Il la sentait mais ne le disait jamais, parfois il faisait semblant de ne rien voir. Mais la, face à Valentina il fut incapable de cacher quoi que ce soit.

« Ca va ? » ; demanda-t-il doucement sachant que c'était une question débile.

Elle s'accrocha à lui et il ne rechigna pas. Par automatisme encore il retira son gros manteau et le posa par dessus celui de Valentina, sur ces épaule. Il était tellement grand que cela lui faisait presque une cap. Celui-ci était remplit de sa chaleur corporelle et devrait la réchauffer le temps qu'ils arrive à la voiture de Denzel.

« On va dans ma voiture, elle n'est pas garé loin »

Il se sentait obliger de tout préciser vu que Valentina semblait ne pas trop réagir à ce qu'il faisait et disait. Comme si sa peine était la seule chose qui l'a guidait la maintenant. Denzel leva les yeux au ciel se demandant pourquoi il était rester... Puis il balaya cette pensé en secouant légèrement sa tête de gauche à droite. Cette fois-ci c'était la dernière. Elle l'avait accueillit chez elle, il l'accueillait chez lui comme elle en avait besoin. Et il voyait bien qu'elle était en détresse et qu'elle en avait besoin. Il marchèrent doucement jusque la voiture de Denzel une Volkswagen Tiguan R-line qu'il avait eu il y avait trois ans de cela pour noël de la part de ses parrains. Il ouvrit la porte du côté passager et regarda Valentina s'installer , puis alla devant le volant. Sa voiture sentait le parfum d'homme, son parfum. Il démarra et mit le chauffage pour que Valentina ne craigne plus le froid.

« Tes mains sont gelées, mets les dans les poches de mon manteau elle sont toujours chaudes. »

Le jeune homme eu le réflexe d'allumer la radio mais baissa le volume . Une chanson de Birdy passait, Shelter. Il aimait beaucoup la fragilité de la voix de cette chanteuse. Il finit par enfin s'engage sur la route .

« On en a pas pour longtemps . Y'a t'il quelque chose que tu veux écouter en particulier. »

Denzel ne savait pas vraiment quoi dire. Réconforter les gens ce n'était pas son genre et surtout pas dans ses habitudes.
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