VALOUMY ❥ Don't wanna loose you

Il était clair que j'étais prêt à tout pour elle, pour la garder près de moi, pour qu'elle soit heureuse. C'était aussi pour ça que je n'arrivais pas à lui avouer que je fréquentais toujours Rosalia, parce qu'il est clair qu'elle ne l'acceptera jamais et qu'elle s'effacera plutôt que d'aller trucider mon ex pour qu'elle m'ait rien que pour elle. C'est aussi ça que j'aime plus que tout chez elle, ça, et le fait qu'elle n'avait pas des caprices de princesses, qu'elle soit humble et discrète. J'en peux plus des populaires et des folles, ça m'exténue. Le fait qu'elle soit sur moi ainsi, la sentir aussi proche, qu'elle m'embrasse aussi souvent, j'allais pas tenir bien longtemps avant de la déshabiller et d'en faire mon quatre heures (a). Et il semblait que ce soit réciproque. Seulement quelque chose la bloquait. Son frère et Peter. Ce dernier n'était pas réellement un problème, faudrait juste qu'elle ne crie pas comme une tarée, et c'est juste loin d'être son attitude. Mais concernant son frère, j'avoue que ça pouvait bloquer. Seulement, l'un comme l'autre, on était juste incapable de se décoller, on s'était déjà bien trop rapproché pour se séparer. Tu l'as déjà fait techniquement et ça va m'être impossible de te lâcher là j'en ai bien peur ... On peut toujours aller s'enfermer dans la salle de bain ?! Ou faire genre de prendre une douche ? Ou carrément d'en prendre une ? Ouais des solutions il y en a toujours, surtout pour ce genre d'envie insoutenable.

Je n'avais pas besoin d'être riche pour elle heureuse, je n'avais pas besoin d'être tous les jours noyées sous les cadeaux, je m'en fiche de tout ça, je veux seulement être avec celui qui me donne le sourire en étant près de moi. Certes les choses sont allées très vite entre nous, on a même parlé bébé dès notre deuxième rencontre, mais dans tous les cas de figure je ne verrais plus ma vie sans lui à présent. Je serais toujours cette fille super timide qui rougit à n'importe quel compliment, cette fille paumée qui a peur de se mêler à la foule, mais quand je suis avec lui, même si ce gros côté de ma personnalité persiste à montrer le bout de son nez, je me sens bien, mieux, vivante. Et c'est grâce à lui, à sa présence et son amour. En restant sur lui, je me mordais bêtement la lèvre tellement j'avais envie de lui et sa proposition me fit de nouveau rougir, mais j'étais bien évidemment carrément partante. Puis de toute façon je pense pas qu'il revienne d'ici une bonne petite heure .. Disais-je avec un petit sourire malicieux sur les lèvres avant de l'embrasser de nouveau. Je me levais ensuite doucement de ses jambes, allant voir quelques secondes si mon Peter dormait toujours aussi bien, c'était le cas, il dormait comme le gros bébé qu'il est. Je souriais de nouveau en attrapant la main de mon homme pour tirer ses belles fesses musclées du canapé. Ça nous laisse le temps pour prendre une bonne petite douche. Même si personnellement, ce n'est pas vraiment la douche en elle-même qui m'intéresse.

Être là avec elle sans pouvoir faire ce qu'on faisait presque tous les soirs depuis plus de trois mois c'était pas du tout imaginable. J'avais envie d'elle tous les soirs, à chaque fois que je la vois, depuis le premier jour où je l'avais vu, même de dos. Alors l'avoir au-dessus de moi, impossible de ne pas avoir envie d'elle. Le seul problème c'était qu'on était pas vraiment chez nous quoi, ou dans nos chambres. Mais ça rajoutait justement un peu de piquant, un peu d'adrénaline et d'interdit qui pimentait toujours la relation. C'était pas vraiment ce dont on avait besoin, mais je n'allais certainement pas m'en plaindre. Je la laissais aller vérifier voir si Peter dormait toujours aussi profondément avant qu'elle vienne me chercher par la main, pour ensuite se diriger vers le lieu qu'on allait squatter pendant au moins un bon quart d'heure. Une fois à l'intérieur, je fermais à clé la porte, par simple précaution et retirais mon haut Pas sûr que je puisse attendre que l'eau soit chaude ... Dis-je avant de l'attraper, de la tirer contre moi et de l'embrasser passionnément parce que j'avais bien trop envie d'elle et de l'aider à retirer tous ses vêtements.

Dès que j'ai sentie ses mains entourer ma taille dans ce magasin il y a quelques mois, il m'avait déjà donné des sensations que je n'avais jamais connus et aujourd'hui encore, après trois mois de vie ensemble, trois mois à s'embrasser et faire l'amour presque tous les soirs, j'ai toujours autant envie de lui, si ce n'est pas plus chaque jour. Finalement je ne regrette pas d'avoir attendue 26 ans pour connaître ce plaisir entre un homme et une femme, je ne regrette pas qu'il soit le seul, car il est le seul que je veux. Pas besoin d'avoir des tas de prétendants, des tas d'hommes dans mon lit, car mon mari me satisfait au-delà de mes espérances. Et aujourd'hui encore, alors que je n'étais pas réellement pour le faire chez mon petit frère, je n'ai pas résisté bien longtemps avant de lui sauter au cou et d'aller m'enfermer dans la salle de bain avec lui. Il retirait son haut et je ne pouvais m'empêcher de dévorer son corps parfait des yeux en l'écoutant de dire qu'il n'était pas certain de pouvoir attendre que l'eau devienne chaud. Tu me donnes bien assez chaud comme ça. Disais-je avant qu'il ne m'attire contre son corps pour m'embrasser d'une façon qui me rendait littéralement folle. Je sentais ensuite ses mains parcourir mon corps, me déshabillant petit à petit, je l'aidais retirant chacun de mes vêtements avant de me retrouver totalement nue face à lui, l'aidant à son tour à se retrouver en tenue d'Adam en retirant son jean tout en l'embrassant avec passion.

C'était fou d'être en totale symbiose avec une autre personne, d'être autant amoureux l'un de l'autre, bien que je me doutais qu'elle l'était bien plus elle, vu qu'elle n'est pas la seule dans mon cœur pour ma part, mais ça ne m'empêcher pas de l'aimer comme un dingue et d'avoir sans arrêt envie d'elle, d'avoir sans arrêt envie de la toucher, de l'embrasser, de la faire sourire, de la rendre heureuse. C'est pourtant ce que je faisais mais je savais que ça ne durerais pas éternellement. Mais je préférais me retirer ces idées de la tête parce que j'allais me retrouver de nouveau distant et la rendre triste. Hors, je veux lui donner tout le bonheur et plaisir du monde avant de la faire souffrir. Une fois que nos vêtements furent tous enlever et que ma femme ne semblait plus vouloir lâcher mes lèvres, je l'attrapais par les jambes pour la faire s'asseoir autour de mes hanches et l'emmener jusqu'à la douche et commencer à faire couler de l'eau, ne tournant que le robinet d'eau chaude pour l'instant. Tant pis pour l'eau froide, ça ne pourrait que nous faire du bien. Toujours aussi chaud ? Dis-je en séparant nos lèvres le temps d'un instant alors que l'eau froide nous tombait bien dessus, pour qu'ensuite je récupère ses lèvres et que mes mains se baladent sur tout son beau corps alors que je l'avais calé contre l'un des petits murs de la douche.

Je ne vois pas comment il pourrait faire pour me blesser, pour me briser le coeur, car même si son éloignement m'avait fait un peu de peine, il revenait toujours, toujours aussi intentionné et aimant. Je n'avais rien à lui reprocher et c'est mieux ainsi, car je serais juste incapable de le retenir si un jour quelque chose venait à se passer entre nous. Non j'aimais notre vie actuelle, mais je l'aimerais encore plus lorsque nous aurons notre propre chez nous, notre propre douche pour faire les folies qu'on désire sans avoir peur de se faire voir. Il passait ensuite mes jambes autour de sa taille pour nous faire entrer dans la douche, ouvrant l'eau, mais même si je frissonnais à cause du froid, je m'en moquais. Toujours. Lui disais-je avec un petit sourire, je m'en fichais de la chaleur de l'eau, du moment que son corps réchauffait le mien, c'est tout ce qui comptait. Il me calait ensuite contre l'un des petits murs de la douche, je plaçais alors doucement mes bras autour de son cou pour l'embrasser de plus belle, attendant le moment où nos corps ne feront plus qu'un, une nouvelle fois. Je le serrais un peu plus fort contre moi, ne serait-ce que pour le sentir un peu plus, sentir son corps que le mien, son odeur enivrant mes narines, profitant de ces quelques minutes de bonheur avec mon homme, peu importe que nous soyons chez nous ou non.

Peu importe où nous nous trouvions, j'avais toujours une envie folle d'elle, comme si elle était ma drogue, comme si je ne pourrais jamais m'en passer, mais que j'allais un jour devoir le faire, alors je profite un max d'elle, ce qui me rend forcément plus fou d'elle. C'était un cercle vicieux qui me donnait mal au crâne quand j'y réfléchissais trop et qui me brisais déjà le coeur. Elle est tellement parfaite, et j'allais tellement la faire souffrir. Je n'arrivais pas à me retirer ça de la tête, mais il le fallait. De toute façon, à force de l'embrasser, de me coller à elle, de sentir son corps sous le mien et sous la paume de mes mains avec l'eau chaude qui commençait à couler sur nous, je ne pouvais que penser à elle, à plaisirs et désirs combinés. Je rentrais peu à peu à elle tout en continuant de lui bouffer les lèvres pour descendre dans son cou et caresser sa douce poitrine. Il ne fallait pas qu'on soit trop long certainement, et ça ne risquait pas d'être un très gros problème vu comment elle me rend dingue. Tellement que j'oubliais toujours de me protéger avec elle. Je n'en avais pas envie non plus, j'adorais la sentir pleinement.

Mon cœur s'emballe toujours aussi vite quand je le sens me toucher, quand je sens ses lèvres s'approcher des miennes, quand je sens son odeur dans mes narines. Jamais je ne pourrais me passer de lui et de toute façon je ne vois pas pourquoi est-ce que je devrais m'en passer. Il m'entraînait alors sous la douche de mon frère, me faisant frissonner lorsqu'il m'embrassa. Je prolongeais en l'embrassant tout aussi passionnellement que lui. Il me rend complètement dingue, je ne ressens cette chose qu'avec lui et seulement avec lui. Je le sentais ensuite entrer en moi et comme à chaque fois il me procure des sensations de malade, je n'ai pu empêcher un petit cri de s'échapper de ma bouche lorsqu'il commença à entrer en moi. Et ses caresses sur ma poitrine, ainsi que sa bouche descendant doucement jusqu'à ma nuque n'arrangeaient rien à mon état. Je soupirais doucement de désir, tentant de me canaliser pour ne pas réveiller Peter même si l'eau pouvait masquer le bruit .. Sait-on jamais (a). Je passais mes mains dans son dos, le caressant tout en me collant le plus possible contre moi pour mieux le sentir me donner du plaisir, j'ondulais par ailleurs mon bassin pour l'aider dans ses gestes et lui donner autant d'envie qu'il m'en donne afin de venir l'embrasser de nouveau.

C'est officiel je ne pourrais jamais me passer de cette femme qui semblait toujours aussi parfaite, du moins à mes yeux et je me sentais toujours aussi chanceux de l'avoir rien que pour moi. Mon désir pour elle ne faisait qu'augmenter chaque jour avec nos ébats juste parfaits, ça ne pouvait pas s'amoindrir. J'avais encore plus envie d'elle même quand je lui faisais l'amour c'est un peu abusé, mais c'était le cas, j'y allais de plus en plus vite, plus fort, plus passionnément alors que je remontais vers ses lèvres tout en glissant une de mes mains dans ses cheveux alors qu'elle s'agrippait à moi et m'aidait dans mes mouvements pour nous faire ressentir davantage de plaisir. Si seulement ce moment pouvait durer éternellement ça m'irait parfaitement, même si c'était juste impossible, même si je savais que j'allais vite finir. Au moins avec elle j'étais sûr de garder ma forme physique même si je faisais beaucoup moins de sport que l'année dernière. Je gardais mon corps contre le sien alors ma main tenait toujours aussi fermement sa jambe pour éviter qu'elle ne glisse trop bien que je me demandais bien comment on arrivait à ne pas tomber.

J'ai connu ce plaisir charnel il y a quelques petits mois maintenant grâce à lui et il m'avait rendu clairement accro, accro à nos ébats, mais surtout accro à lui. Heureusement qu'il me tenait la jambe et que mon dos était collé contre l'un des murs de la douche, sinon j'avais de grandes chances de tomber par terre. Ça m'empêchait d'ailleurs de pouvoir faire de trop grands mouvements, mais mon bel Italien arrivait parfaitement à nous faire du bien avec ses gestes. Il allait d'ailleurs plus vite, plus fort et ça me rendait carrément folle, je me retenais de crier, mais je ne pouvais éviter mes petits gémissements, je sentais déjà l'orgasme arriver dans quelques secondes, voir petites minutes tellement Valentin s'y prenait à merveille, comme à chaque fois. Je restais agripper à son dos avec mes mains, mais j'en passais une sur sa joue pour la caresser en l'embrassant avec amour et passion, toujours en bougeant mon bassin du mieux que je pouvais malgré le mur derrière moi. J'arrêtais de l'embrasser quelques secondes tellement le plaisir montait, doucement je remontais ma main de sa joue jusqu'à derrière sa tête en collant la mienne contre la sienne tout en me mordant les lèvres tellement je prends du plaisir avec lui.