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(+ Anna FLASHFORWARD) Quand le volcan explose

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Le cauchemar avait fini par prendre fin et les semaines s’étaient écoulées entre rémission et soulagement. Les jumeaux allaient bien, Anna aussi et pour ma part, ma foi, j’étais dans mon état normal à la fois nonchalant et emmerdeur à souhait. Toutefois, je n’avais pas perdu de vue mon envie d’offrir une soirée romantique en compagnie de ma fiancée alors, c’est tout naturellement que je m’étais renseigné à son travail : pas de garde de prévue. Je pouvais donc lui faire une petite surprise pour mieux la kidnapper par la suite. Malheureusement à mon arrivée, elle était en consultation et je dus attendre mais une jolie infirmière prit pitié de moi car elle me tint compagnie. A son langage corporel, je savais que je lui plaisais et pour un séducteur de ma trempe, c’était juste amusant voire jouissif. J’aimais plaire, je n’allais pas m’en cacher mais je restais sage, je n’encourageais pas non plus, je savais me tenir. Non, je souriais simplement en faisant la conversation accoudée au comptoir de cette assistante médicale à bavasser comme deux bons vieux copains. Je la faisais rire, elle me faisait rire, rien de dramatique en soi si ce n’est qu’un seul mot de moi et j’obtenais son numéro et bien plus. Son attitude changea du tout au tout et je compris qu’Anna ne devait pas être loin. Je me retournais donc affichant un air heureux car mine de rien, j’étais toujours bêtement heureux de la voir. « Petit cœur ! Je t’attendais ! »
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Anna toujours en consultation par monts et par vaux après avoir enchaîné deux longues opérations, quoi de plus… normal ? Disons normal pour elle avant toute chose car c’était typiquement le genre d’adrénaline dans lequel elle baignait depuis des années. A sa décharge, après l’épidémie de grippe l’ayant assommée elle mais aussi Samuel puisqu’il avait été infecté également de son côté, la jolie russe avait grandement besoin d’un peu de normalité. Quelle ne fut pas sa surprise cependant en apprenant par son assistante que son fiancé l’attendait ! Le sourire aux lèvres, Anna sortit aussitôt de son bureau après le dossier de son dernier patient mis en ordre, mais la marque de joie de son visage se ternit aussitôt face à la vision qu’elle venait juste d’avoir. Pourquoi n’était-elle pas étonnée ? Cette infirmière était réputée pour faire du gringue à tout ce qui portait caleçon dans le coin. « Ah oui, tu m’attendais moi ? C’est marrant, il y a quelques secondes j’aurais juré qu’il ne s’agissait pas de moi justement » répliqua-t-elle froidement avant de tourner les talons pour revenir dans son bureau, dont elle n’avait pas quitté l’entrebâillement de la porte. Furieuse ? Possible. En même temps, ce côté séducteur chez Samuel l’énervait au-delà des mots quand il n’était pas dirigé vers elle. Etait-il en couple et sur le point d’être papa oui ou merde ?!
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Attendre Anna en bonne compagnie ne m’apparaissait pas relever de la haute trahison. J’avais tellement l’habitude d’être entouré de femmes toutes plus sublimes les unes que les autres pour m’enfermer dans une tour en attendant que ma douce n’arrive. La beauté de ces femmes me laissait passablement froid car j’avais beau avoir un passé de séducteur derrière moi, lorsque j’aimais réellement une femme, aucune autre n’arrivait à la supplanter dans mon cœur. Anna ne semblait pas être au courant car à peine était-elle là qu’elle disparaissait non sans une phrase lâchée froidement. Je levais les yeux au ciel avec un léger sourire. Jalousie quand tu nous tiens. « Pourtant je n’attends que toi mon amour » rétorquais-je en déposant un léger baiser sur ses lèvres, entrant dans son bureau. Elle n’allait quand même pas me foutre dehors pour un malheureux et bête sourire ?! J’espérais pas surtout que nous avions une soirée romantique qui nous attendait. « Ça a été ta journée de boulot ? » lui demandais-je les mains dans les poches de mon pantalon, conscient de son agacement.



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Anna se passerait bien de faire preuve d’autant de jalousie, cela lui éviterait des sueurs froides, des inquiétudes et surtout, surtout, bien des crises de nerfs. Tout ceci était néfaste pour les jumeaux mais elle n’y pouvait rien : il ne viendrait pas à l’idée de la jolie russe de sourire de cette façon si chaleureuse face à quelqu’un la draguant ouvertement, et elle pensait naïvement qu’il en serait de même pour Samuel… mais là-dessus, autant l’un respectait la jalousie de l’autre, autant le second semblait s’en amuser. « Ma journée a été chargée, comme tu t’en doutes, j’ai pris beaucoup de retard avec cette satanée grippe et il s’avère que les malades m’ont malheureusement attendue il a donc bien fallut que je fasse avec. Mais j’avais besoin de cette adrénaline » avoua-t-elle cependant, sans se dérider une seconde bien qu’elle n’ait pas repoussé son fiancé pour autant. « Je ne savais pas que tu viendrais me chercher bien que l’attente ne t’a sûrement pas semblée insupportable du peu que j’ai vu. »
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Devais-je à nouveau lui dire qu’elle bossait trop ? Je crois que c’était peine perdue, elle ne m’écouterait sans doute pas et j’étais passablement fatigué de lui courir au cul à ce sujet alors j’haussais les épaules en observant son bureau où je n’avais encore jamais mis les pieds. Tout était rangé et ordonné à son image. Quand on connaissait le bordel qu’était le miens… On pouvait aisément se dire que nous étions tous les deux les parfaits opposés. « Besoin de cette adrénaline ? J’ai déjà au beau-fils accro aux antidouleurs, on peut arrêter les junkies dans la famille ? » plaisantais-je face à sa beauté glaciale mais comme je le pensais, les foudres ne tardèrent pas à arriver. « Arrête Anna… Je n’ai rien fait de mal, je n’étais pas en train de la prendre contre le comptoir… Je la touchais même pas ! » répliquais-je le plus calmement possible comme à chaque fois que je sentais qu’une dispute n’était jamais loin mais hors de question que de la laisser éclater. Non, je voulais passer une soirée tranquille avec elle !

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A la première réplique de Samuel, Anna fut aussitôt piquée au vif et cessa tout rangement de dossier, plaçant même ses mains contre ses hanches d’un air profondément désapprobateur. « Navrée de te contredire mais je ne vois pas le rapport. Aimer l’adrénaline ne m’en rends pas accro ou à avoir besoin d’une cure de désintoxication… mais j’aime l’image que tu me renvoies, elle était très agréable je te remercie » rétorqua-t-elle sans aucune chaleur car pour le coup, il ne s’agissait plus de jalousie mais bien de vexation. Samuel avait souvent la fâcheuse tendance à parler non sans une large dose de maladresse mais là, la comparer à l’addiction de Caleb… quel compliment foireux ! « Certes tu ne la touchais pas mais je n’ai pas vraiment que tu la décourageais en lui souriant façon pub pour dentifrice ! Mais je devrais juste m’habituer au fait que tu adores qu’on te caresse dans le sens du poil » poursuivit-elle tout en reprenant son rangement.
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« Je plaisantais Anna ! Tu as passé trop d’heures avec tes malades pour perdre le sens de l’humour ? » répliquais-je en essayant de conserver mon calme et ma nonchalance pour justement ne pas rentrer dans son jeu. Je savais bien qu’elle allait me rentrer dans le lard, Thaïs m’avait prévenu mais si j’avais prétendu vouloir m’amuser à cette dernière, la réalité était tout autre. Je voulais qu’Anna cesse d’être aussi frileuse au sujet de ma fidélité. « Est-ce que tu vas mal prendre mes propos toute la soirée ? » lui demandais-je avant de soupirer. Voilà le fond du problème : mon côté séducteur. J’aimais séduire, je ne m’en étais jamais caché et Anna vivait assez mal avec la chose mais je ne pouvais pas changer. C’était comme demander à quelqu’un de souriant de faire la gueule à longueur de journée. Je ne pouvais pas, j’aimais séduire, j’aimais être le centre d’attention d’une pièce parce que j’avais l’impression d’exister au moins comme ça. « Rassures-moi, tu me penses tout de même pas capable de te tromper ou d’accepter un numéro autre que le tiens ? Je te suis fidèle Anna alors on pourrait éviter cette dispute ? S’il te plait… J’ai prévenu autre chose pour nous ce soir qu’une soupe à la grimace » lui répondis-je en m’approchant d’elle pour l’attirer dans mes bras.

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« Tu connais mon mal habituel avec le second degré alors si en prime tu te mets à l’humour douteux, on ne va pas s’en sortir ! » reprit-elle aussi calmement qu’elle le put bien que l’envie de l’envoyer bouler pour mieux s’enfermer dans son bureau façon barricades était diablement forte. Mais Anna voulait dépasser ce genre de crise d’hormones en folie et quelque part, les paroles suivantes de Samuel l’aidèrent en la matière. « J’essaye de faire en sorte que non » avoua-t-elle sans pour autant cesser de froncer les sourcils. La jolie russe était ainsi faite, on ne la braquait pas difficilement mais il était loin d’être facile de la détendre après coup. « Je pense que tu ne me tromperas pas, mais je n’y peux rien, de mon côté je décourage toute tentative de séduction à mon égard et toi tu souris. J’ai tort de croire que nous aurons les mêmes réactions. » Bien que légèrement crispée, Anna entoura néanmoins la taille de Samuel de ses bras : diable qu’elle aurait aimé avoir un caractère plus facile…
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Oui Anna avait toujours eu un souci avec le second degré mais depuis que nous étions à Cambridge, ce n’était pas allé en s’arrangeant. Des fois, je me disais que c’était moi le problème, que je la rendais ainsi mais j’étais bien trop égoïste pour m’effacer. J’aimais cette femme et je voulais bien désamorcer tous les conflits de la Terre si cela me permettait de rester auprès d’elle. « Je vais ranger mon humour à deux balles alors » boudais-je à moitié car j’en étais malade quand je ne pouvais pas emmerder mon monde. Même atteint de cette connerie de grippe, j’avais failli me faire tabasser par des étudiants en manque d’humour. « Anna, nous sommes à l’opposé l’un de l’autre sur ce terrain. Je sais que tu n’encourageras jamais quelqu’un à te séduire et pour ma part, tu sais très bien que je n’irais jamais jusqu’au bout. C’est un pan de ma personnalité que je ne pourrais jamais changé même pour toi petit cœur. Je fais des efforts mais tu as accepté de te marier avec un séducteur, tu savais que tu risquais de voir des femmes me tourner autour mais tu es la seule que j’aime et que je désire. Fais-moi confiance, c’est tout ce que je demande. Je sais bien qu’avec mon passé sentimental, je devrais être au contraire l’opposé de l’homme que je suis… La seule chose que je peux dire pour te rassurer est que tu es la seule et l’unique à mes yeux » répondis-je en essayant de ne pas sortir de connerie pour détendre l’atmosphère seulement, ce genre de conversation me mettait mal à l’aise au possible.

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En effet, éviter de faire de l’humour vaseux dans un moment pareil, c’était une idée pas mauvaise du tout ! Anna n’était pas d’humeur pour cela et ne possédait pas non plus l’énergie suffisante pour ne pas s’énerver au-delà des mots si d’aventure il poursuivait dans cette voie. Hélas, si Samuel était parfaitement capable d’éviter de faire de l’humour second degré maintenant, il n’en serait jamais de même au sujet de son tempérament de séducteur profond. « Mais tu ne peux pas t’attendre non plus à ce que je le prenne bien. Je n’y peux rien, non seulement je suis une femme jalouse mais en prime quelqu’un qui manque de confiance en elle. Deux traits de mon caractère qui me poussent à exploser quand je vois ça mais en prime j’ai les hormones qui me picotent alors je dois dire que je ne suis pas aidée. D’un côté je sais que je suis ta future femme et de l’autre, ce n’est pas évident de se trouver canon avec… je ne sais même pas combien de kilos en trop. Sans oublier que l’infirmière qui te faisait de l’œil, elle se tape la moitié de l’hôpital et est trèès douée avec la gente masculine, crois moi. »
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