LOULLY ❥ la tentation interdite

Suite à mes paroles réticentes, Louis se décolla de moi, prenant suffisamment de distance pour s'allonger sur le lit. Je voyais bien qu'il le prenait mal d'une certaine manière, qu'il était mal à l'aise par rapport à tout ça. J'entendais son soupire, un lourd silence régnait entre nous. Il ne savait pas quoi dire et moi non plus. La situation était plutôt embarrassante. Pourtant d'une parole, Louis brisa ce silence. "C'est ce que l'on appelle se prendre un râteau ... pas vrai?" Il souriait, bien que je voyais que c'était plus un sourire de circonstance qu'autre chose. Je soupirais à mon tour. « Mais non... » Répondais-je, moi aussi mal à l'aise de l'avoir repoussé de cette manière. Mais je n'avais pas eu d'autre choix. Il l'aurait surement regretté par après, même s'il pensait le contraire. Il devait lui parler avant, je ne pouvais pas faire ça dans des conditions pareilles. "Je pense que je vais y aller... je t'en veux pas mais je me sens un peu mal a l'aise de t'avoir demandé ça... alors que c'est pas correcte envers Abby..... je suis désolé !!" disait-il en se levant su lit, s'apprêtant à quitter mon domicile. Je me levais alors aussi vite, lui attrapait la main avant d'ouvrir la bouche. « Tu n'as pas à t'excuser Louis. Ne crois-pas que je n'en ai pas envie non plus, je ne demande que ça, mais... c'est juste que je peux pas. Je veux pas que tu regrettes par après, que tu le fasses sous un coup de tête. Alors s'il te plait, ne pars pas tout de suite. C'est pas en fuyant que ça arrangera tout. » Je ne voulais pas pour autant qu'il parte. Je m'approchais alors de lui, déposais mes lèvres sur les siennes pour l'embrasser, pour le rassurer. Je pouvais au moins faire ça.

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Je me sentais mal. Mal de l'avoir quelque peux poussé et avoir eu des gestes déplacé enfin si on veux au vue des circonstances. Lilly me dit que ce n'est pas un râteau du tout. si tu le dit puis elle se justifie et m'explique que en gros si on ne va pas plus loin c'est que je suis officiellement avec Abby. et que vis a vis d'elle Lilly ne voulait pas aller plus loin avec moi. puis me demande de rester et de ne pas partir comme ça dans ces circonstance.
Je luis sourie alors avant qu'elle m'embrasse de nouveau. Si elle croit me faire passer l'envie en m'embrassant c'est loupé. Nos lèvres se quite un instant et je lui dit tu crois vraiment qu'en faisant ça je sache me retenir... en plus dis je en dirigeant mes yeux dans son décolleté. pourquoi ....... pourquoi....... je sourie alors puis lui dépose un bisous rapide sur ses lèvres puis un autre, et encore un puis un autre , puis tout plein avant de rester coller a ses lèvres si délicieuse entremêlant nos langues.

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"Si tu le dis..." Sa réponse avait été suspendue. Le repousser avait été loin d'être un râteau. Je me torturai moi-même en lui refusant cette tentation qui m'envahissait sans doute autant que lui. Heureusement que j'avais encore toute ma tête, ou en un rien de temps, je l'aurai totalement dévêtu. Mais ma raison m'avait retenue, m'obligeant à mettre fin à tout ça avant que je ne me laisse emporter à mon tour. Alors qu'il s'apprêtait à partir je lui attrapais très vite la main, l'attirant vers moi en lui suppliant presque de rester. Je n'hésitais pas à l'embrasser à nouveau alors que j'étais toujours démunie de mon chemisier. "tu crois vraiment qu'en faisant ça je sache me retenir... en plus" Je rigolais à sa remarque et répondit aussi vite. « Si tu veux je vais remettre mon chemisier. » lui demandais-je alors que je me doutais très vite de sa réponse. Il me déposait ensuite une multitude de baiser, jusqu'à en faire durer un pour laisser danser nos langues. Je prolongeais, collant mon corps au sien. « Si tu continues comme ça, je vais finir par craquer... » lui révélais-je. Mais je ne pouvais pas, je devais résister, je pouvais le faire!

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cette petite soirée avec Lilly avait l'aire de me remonter le moral car je ne pensais plus du tout à mes problème et à l'absence de ma sœur. De plus je n'avais pas tous dit à Lilly à propos d'Abby mais je n'avais pas envie de parler de ça. Mon histoire avec Abby prenais une drôle de tournure et je me demandais si elle allait encore durer. Je n'arrivais pas au lui pardonné de m'avoir caché l'existence de sa maladie. En deux ans m'avoir cacher ça, je lui en voulait. Mais ce soir j'avais une toute autre occupation. L'attirance que j'avais pour Lilly était bien présenté et m'arrêter de l'embrasser non je ne pouvait pas. tu es parfaite comme ça et puis je doute que je te laisse te rhabiller aussi vite. lui dis je en lui souriant tendrement. Puis me colle contre son corps. Je devenais dingue au contact de son corps et je n'arrivais plus du tout de me passer de ses lèvres. Passant une de mes mains dans ses cheuveux je descend ma mains tout en jouant avec ses douces et délicieuse lèvres dégrafant son soutif. Ma main avait en réalité glissée et malencontreusement dégrafé son soutif. oups dsl j'ai comme l'impression que ce morceau de tissus est de trop. je ne comptait pas m'arrêter de l'embrasser, ses lèvres puis son coup lui caressant sa longue chevelure dorée

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Le malaise partait peu à peu, rendant l'atmosphère plus détendue et habituelle. Je l'avais embrassé, espérant que ce soit un assez bon argument pour qu'il ne me plante pas. Je ne voulais pas le voir partir, il venait tout juste d'arriver et avait prétexté avoir besoin de lui changer les idées. ce baiser n'arrangeait apparemment en rien son envie, surtout lorsque nos corps se collaient l'un à l'autre. Je lui avais dit que s'il le voulait, je pouvais me couvrir histoire de ne pas jouer avec la tentation, mais il n'était pas de cet avis. "Tu es parfaite comme ça et puis je doute que je te laisse te rhabiller aussi vite." Je souriais à ses propos, décidant ainsi de l'écouter et de ne pas me précipiter sur mon chemisier. Ses lèvre se liaient à nouveau aux miennes, jusqu'à en oublier de faire une pause le temps de reprendre son souffle. Sa main caressait mes cheveux, descendant peu à peu dans mon dos jusqu'à dégrafer mon soutien-gorge. « Ne joue pas à ce petit jeu Louis, tu finiras par perdre. » lui dis-je de mon sourire alors que d'une main je tenais mon soutien-gorge pour éviter qu'il ne tombe et qu'il en profite. Je résistais, plus que lui.

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Lilly tenait son soutif pour ne pas qu'il tombe ceci me fit rire sachant que Lilly me menaçait me disant que j'allais perdre. Je fis alors une mine boudeuse tels un enfant qu'il n'avais pas le droit de faire ce qu'il voulait. Je lui tourne alors le dos puis fit comme si elle n'était pas la. Je devais arrêter de lui tournait autour elle ne voulait pas que cela aille plus loin et je devait respecter ça. Je n'était pas un violeur. Cependant moi j'étais pas pudicité du tout alors je fit tomber mon haut au sol ainsi que mon pantalon me retrouvant en boxer. ainsi je suis à égalité avec toi lui dis je en me retournant face à elle... enfin presque dis je en levant les yeux au ciel. inutile de cacher ... Je l'ai ai déjà vue de toute façon et puis j'ai compris je ne te toucherais plus... Il nous reste plus qu'à faire une soirée pyjama une soirée pyjama mdr si tu as quelque copine à inviter hésite pas surtout... plus on est de fou plus on rit c'est bien connu.

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Il était difficile pour moi de me contenir à son égard. Il était tout ce qu'il y a de plus attirant, et je me refusais à lui par pure principe. J'étais plus faite de raison que de transgression. J'étais comme ça, ce genre de femme qui ne peut concevoir le fait d'être le problème dans un couple qui n'est pas le sien. J'étais avant tout une amie pour lui, et devais jouer ce rôle. Je voyais cette mine boudeuse qu'il avait affiché sur son visage car il obtenait pas ce que je voulais. Je lui résistais, difficilement mais j'y parvenais. Mais ce n'est pas en le voyant se débarrasser de ses vêtements que j'allais le rester longtemps. "Ainsi je suis à égalité avec toi. Enfin presque." Mon regard ne pouvait s'empêcher de se régaler de la vue qu'il lui offrait si fièrement. "Inutile de cacher ... Je les ai déjà vue de toute façon et puis j'ai compris je ne te toucherai plus... Il nous reste plus qu'à faire une soirée pyjama. Si tu as quelques copines à inviter n'hésites surtout pas!" Je tenais toujours mon soutien gorge d'une main pour éviter de lui dévoiler ma poitrine. « Arrête ça tout de suite ou je risquerai de te sauter dessus. » lui révélais-je, emprisonnant toujours cette tentation. « Et des soirées pyjama ça se fait entre filles, et seulement entre filles. Donc si j'en invitais, je suis désolée de te dire que tu ne pourras être présent à cette petite soirée. » je le narguais de mes paroles avec mon plus beau sourire.

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j'étais en sous vêtement devant elle et cela ne me dérangeait absolument pas du tout et Lilly me dit que si je continue ainsi elle me sauterais dessus chose qui me fit hausser les épaules en accompagna on ma remarque. ça c'est des parole en l'aire, tu me résiste et me résistera encore et toujours tels est notre avenir... à vrai dire j'étais pas très fiers de lui dire cela car je considérait Lilly bien plus qu'une amie mais elle visiblement, elle souhaitait pas tout mélanger, amitiés, attirance, amour... On va appeler ça les trois A.....bref je devais et devrais me contenter que de l'embrasser, jouer avec ses lèvres sans espérer bien plus. Que m'arrivait il? Avais je des sentiment pour la jeune femme? Des sentiment naissant ou des sentiment enfouis et récemment déterré... Ce que je voulais je ne pouvais pas l'avoir et j'avais pas d'autre choix que de faire avec. Puis elle me répond à propos de cette fameuse soirée pyjama. Je soupire car je me faisais encore une fois de beau film, des trucs pas infaisable décidément j'avais tout contre moi. t'es pas sympa avec moi vraiment, je me donne à toi tu me repousse, puis tu me refuse une soirée pyjama ... J'ai comme l'impression que la solitude à foutu un coup à mon charme légendaire. j'allais me retrouver seul, célibataire, ayant juste comme plaisir, me faire des films... Je m'assi alors sur le bord du lit. J'étais à présent sérieux, je sais pas bien ou ce que notre relation ...étrange.... Allait nous conduire j'espérais seulement pas perdre notre lien si spécial et espérait bien plus mais j'étais sûrement le seule à vouloir aller plus loin.

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Il s'était subitement débarrassé de ses vêtements, ne restant qu'en boxer. Et j'avais beau lui dire que j'allais lui sauter dessus si ça continuait, il n'en croyait pas un mot. "Ca ce sont des paroles en l'aire, tu me résistes et me résistera encore et toujours tels est notre avenir...ça c'est des parole en l'air, tu me résistes et me résisteras encore et toujours tel est notre avenir..." Sa manière de dire ça me fit légèrement rire. On aurait dit un enfant triste de ne pas avoir ce qu'il voulait. « Résister ne veut pas dire que j'en ai pas envie. » Lui dis-je comme pour le rassurer. Je résistais difficilement d'ailleurs, et peut-être allais-je finir par perdre le contrôler à un moment donné. "T'es pas sympa avec moi vraiment, je me donne à toi tu me repousses, puis tu me refuses une soirée pyjama ... J'ai comme l'impression que la solitude à foutu un coup à mon charme légendaire. " Je l'écoutais dire. Le voir tirer la moue m'attendrissait plus qu'autre chose. Je m'approchais alors de lui pour le prendre dans mes bras, lâchant mon soutien-gorge que je tenais; collant ma poitrine à lui pour éviter qu'il ne tombe quand même. « Oh mais arrêtes de dire n'importe quoi. Tu sais très bien que c'est pour te taquiner! » lui dis-je alors que je lui déposais un bisous en coin des lèvres pour lui sourire et le regarder dans les yeux.

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je n'étais pas non plus idiot et je voyais bien que Lilly me résister à contre cœur d'ailleurs lors de notre ballade dans la neige on s'est avouer notre attirance l'un pour l'autre avec même la présence de sentiment. Mais Lilly avait des valeurs elle ne voulait pas passer pour la briseuse de couple ce que je comprenait mais croyez vous vraiment que la situation actuelle n'allait pas déjà nous causer du tord? oui je sais mais en attendant tu ne me le montre pas ... Mais je comprends je ne t'en veux pas elle s'approche alors de moi se collant à moi. Je lui fis un sourire tendre j'aimais cette situation même si j'espérais bien plus mais je m'en contentait, de l'avoir contre moi, yeux dans les yeux. ou crois tu que cela va nous conduire? Il faut se l'avouer ça fait trop longtemps que sa dure, ça fait Un peut moins de deux ans qu'on se tourne autour et depuis plusieurs jours les chose on dérapé un jour ou l'autre on ne contrôlera plus rien et j'attends ce jour avec impatience. j'espérais seulement que cela ne change en rien notre relation. Je passe alors mes bras autour d'elle lui faisant un câlin. Lilly avait posée sa tête contre mon torse et moi je jouais avec ses cheveux de mes doigts baladeur.

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