between us is more than we had thought. † kondall.

† fbetween us is more than we had thought.†

kondall † Je m'étais levé et je l'avais rejoint dans l'entrée où elle était prête à partir, à oublier ce qui venait de se passer mais je pouvais pas oublier, que je le veuille ou non, ce moment on l'a vécu et cette sensation je l'ai ressentis tout autant qu'elle. Moi non plus je n'y comprenais rien et je pouvais bien voir sur son visage qu'elle était perdue, gênée, perturbée, troublée, elle ne voulait pas admettre que notre relation avait prit une autre tournure. Je déposais ma main sur la sienne, prête à baisser la poignée, je ne voulais pas qu'elle parte et je lui disais cash que même si je n'y comprenais rien à ce qui nous arrivaient, pour moi, maintenant, elle comptait vraiment et ça avait eu le don de la faire réagir, quelques instants de silence à se regarder des les yeux puis elle me sautait au cou pour m'embrasser, laissant tomber son sac au sol, je la serrais contre moi, une main dans ses cheveux, l'autre dans son dos, je l'embrassais comme dans ce moment précédent, différent de tous les autres baisers. Je la voulais elle et plus qu'en simple plan cul irrésistible mais ça voulait dire, me faire réaliser qu'elle avait réussit à créer une faille dans ce cœur que j'ai transformé en pierre et qu'elle seule à le contrôle sur cette faille.

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Je l'embrassais passionnément à présent, ne pouvant contenir la fougue charnelle qui s'était emparé de moi quand il m'avait dit ces mots. Je ne pouvais littéralement plus quitté ses lèvres, complètement retourné par l'instant. Il me serra vivement contre lui et sa main vint se mêler dans mes cheveux rebelle. Mon poux était devenu incontrôlable, je ne me lassais pas de ce moment. Entourant mes bras fin autours de son cou. Je ne pensais plus à rien. Je crois que je ne m'étais jamais donnée comme ça à quelqu'un. Je me suspendais à sa nuque alors que mes jambes frêles vinrent entourer sa taille. Je me détachais de ses lèvres en reprenant mon souffle et posais doucement mon front contre le sien, à ce moment là me revint en mémoire la fois où dans ma chambre je lui avais demandé de me baiser. Je souris légèrement et plongeant mes yeux dans les siens lui chuchotai tout en me mordant la lèvre. « Fais moi l'amour. » Mes lèvres s'étiraient, je ne pouvais pas m'en empêcher. Mes paroles résonnèrent dans ma tête de façon étrange. C'était tellement nouveau.

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kondall † Elle m'avait sautée au cou, s'était emparée de mes lèvres pour un baiser langoureux que je rendais immédiatement tendre. Une de mes mains se glissait dans ses cheveux et l'autre dans son dos resserrant ainsi mon étreinte sur elle, ses bras entouraient mon cou, ses fines jambes entouraient ma taille, elle ne touchait plus le sol, collée contre moi, je la tenais fermement ne cessant de finir cette danse tendre entre nous lèvres. Puis lorsqu'elle les quittaient, c'était pour coller son front au mien et me demander de lui faire l'amour, je ne pouvais que sourire même si j’appréhendais car c'était tout nouveau pour moi, du moins avec elle. Toujours la tenant contre moi, je plaquais de nouveau mes lèvres avec douceur sur les siennes et je quittais l'entrée pour arriver dans ma chambre et la déposer sur mon lit, mes deux mains venaient dès lors se coller sur ses joues où je continuais encore et toujours de l'embrasser, toutes ces pensées sur cette sensation ressentis me parcouraient l'esprit, j'oubliais le tout de notre relation, juste ce nouveau ressentis que j'ai pour elle et c'est tellement bizarre de la considéré comme une femme que je désire et plus comme un objet qui me fait plaisir.

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Suspendu à son cou, je vis un léger sourire s'installer sur son visage. Je me hâtais de retrouver ses lèvres alors qu'il resserrait notre étreinte en entourant mon bassin de ses bras. J'étais bien, tellement bien et ça faisait si longtemps que ça n'était pas arrivé que je n'arrivais même pas à m'en souvenir. Je me laissais transporter par la force de Konrad à travers la pièce et remarquais sa douceur. Mes joues se rosirent et je ne pus m’empêcher d'embrasser chaque parcelle de son visage avant qu'il ne me dépose délicatement sur le lit. Sans attendre ses mains virent entourer mon visage et s'approchant de moi, il m'embrassa de plus bel. Je ne pouvais plus m'arrêter, m'abreuvant de chaque baisé. Je plaçais une main dans sa nuque et m'allongeais sur le lit en l'amenant avec moi. Une boule étrange se glissa dans mon estomac et je souris. Finalement, j'aimais bien cette sensation.

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