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ORLANE & DEXTER ♕ le coeur sensible.

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Elle s'obstinait à vouloir sortir du lot, à vivre en marge, là où aucune femme ne s’était jamais hissée. Peut-être ne le faisait-elle pas exprès, mais alors ce serait de nouveau surprenant. Elle était extraordinairement inattendue, et j’en prenais goût, j’en reprenais vie. La simple idée de l’imaginer partir me fragmentait le coeur prématurément. « Prince ou crapaud, ça ne change rien pour moi. » Je penchai la tête sur le côté, comme à mon habitude, j’avais peine à la croire sur sa simple parole. Elle parlait toujours trop peu pour me laisser supposer beaucoup. Je détestais le mystère, détestais le trouver si séduisant.«Forcément, tu dois avoir une préférence?» Elles voulaient toutes des princes, sauf celles qui s’en croyaient déjà indigne. J’avais peur que ce soit son cas, que son coeur soit noir au point de lui laisser conjecturer de telles faussetés. Si c’était le cas, j’acceptais encore une fois de lui tendre la main. La conversation dévia rapidement sur son passé et mon présent, nos désastres amoureux qui n’en finissait plus de gouverner nos vies. Il suffisait de le dire à voix haute pour que je me trouve ridicule, absolument pathétique de courir après un coeur qui était déjà tenu prisonnier. J’avais opté pour la facilité, pour la sureté, en attendant que Valentine se libère mon coeur était hors de danger, c’était aussi paresseux et aussi simple que cette justification. J’en étais las de devoir faire attention alors je me suis attaché, sans mesurer la hauteur de ma chute, je suis tombé amoureux d’un ange qui n’oserait jamais me faire de mal, par plus qu’elle n’oserait en faire à son copain actuel. Alors c’était ça ma vie, j’aimais sans rien recevoir en retour et ça m’avait convenu jusqu’alors, jusqu’à aujourd’hui. Je la remerciai silencieusement de ne pas avoir questionné ma manière de survivre, de ne pas m’avoir jugée, car je l’aurais aussitôt vu dans ses yeux. La seconde d’après je lui demandais de les clore, de ne faire confiance aveuglément alors que je m’appropriais ses lèvres de ma paume. J’aurais voulu dire que ce baiser fut suffisant, mais l’imaginaire ne fit qu’intensifer ma soif, la porter au bord de l’insupportable alors que je tenais déjà à peine sur Terre. Le temps s’arrêta, laissant mon coeur absorber la moindre douceur de ses lèvres contre ma peau brûlante de passion. Je lui demandai si elle arrivait à sentir mes lèvres contre les siennes malgré l’obstacle, elle hocha la tête et ce fut tout ce dont j’avais besoin pour me réjouir, pour me sentir craquer du plus profond de mon âme. Je n’opposais aucune résistance quand elle libéra sa bouche de ma main. Un instant plus tard son souffle allumentait le feu brûlant sur mes lèvres, je pouvais sentir mon torse se gonflait d’impatience, mon coeur s’expandre au bout de sa capacité... « Je ne peux plus y résister. C'est beaucoup trop dur. » Qu’un murmure à mon oreille, j’en éclatai en un million de fragments volants. Je me perdis avec elle, oubliant ce qui nous avait réunis, ce qui nous éloignait toujours et m’adonnai à satisfaire sa bouche autant que la mienne. Je gémis mon consentement contre elle, prenant goût à son parfum fruité qui avait su me manquer en l’espace de quelques minutes. J’en étais complement dingue. Malade,déjà. Elle m’arracha ma friandise quelques secondes après m’en être à peine délecté. « Et toi, tu arrives à les sentir? » Je ressentais bien quelque chose, un sentiment qui justifierait bien l’emploie du mot ‘’magique’’ pour le définir. Je n’avais aucune envie de rouvrir les yeux, tout était tellement plus clair dans la noirceur, dans l’oublie du monde. Mes doigts cherchent son cou aveuglément, le bout de mes doigts se tortillant à quelques-unes de ses mèches brunes. Hum. «Définitivement.» Soufflais-je en m’emparant de sa bouche à nouveau, joignant ma langue à la sienne pour capturer son attention, son essence. En un élan de passion je me retrouvai sur elle, sa tête retrouvant avec douceur la texture de mon oreiller. Je me positionnai à califourchon sur elle, prenant soin de ne pas l’étouffer, en fait, mes lèvres et mes doigts étaient encore les seuls à profiter de sa beauté. Je perdais rapidement la tête, trop épris pour être raisonnable, mon torse avait prit feu. Une main curieuse se glissa sous son t-shirt, remontant jusqu’qu’à son nombril, où mon index s’abandonna. J’en oubliait de la laisser reprendre son souffle, et moi le mien. Elle était trop délicieuse pour s’arrêter, comment le pourrais-je? Pourquoi le devrais-je? Et pourtant, contre tous désirs, toutes attentes, j’eus un mouvement de recule en entendant mon coeur battre dans mes oreilles. Je me relevai d’un bon, posant une main avide contre mon torse toujours incroyablement nu. «Arrêtes de faire ça.» Dis-je un sourire étampé sur les lèvres. Je ne convaincrais personne avec ce visage, tant pis… j’en voulais encore, mais pas encore, pas comme ça, ce n’était pas correcte. Je passai le dos de ma main contre mes lèvres rougies par la motion, espérant en retirer toutes traces de son passage. Délicieuse tentation. Je la regardai des pieds à la tête, toujours tenté de m’allonger sur elle, de finir ce que j’avais commencé, arg! Quelle torture. Je secouai la tête en me tournant vers mon terroire pour en sortir un de mes t-shirts de couleur bleu pâle. Je pouvais presque sentir le tissus fondre sur ma peau enflammée. «Pas avant un ou deux rendez-vous Orlane, si on va faire ça, il faut le faire proprement, je suis un gentleman après tout.» Je ne me croyais pas moi-même. Je passai ma langue contre mes lèvres, hum, elle était toujours là, heureusement. «Tu as faim?» Dis-je rapidement pour penser à autre chose qu’à la douceur de sa peau. «On t’a déjà parlé de la fameuse cuisine des Winthrops? Tu ne peux pas partir d’ici avant d’avoir au moins visiter les lieux.» Je levai un sourcils, tentant de ne pas paraître absolument désespéré. Mon unique désir était de la voir rester..
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Je ne lâcherai pas l'affaire, puiserai jusqu' ma dernière ressource pour lui prouver qu'il avait tord. « Forcément, tu dois avoir une préférence? » Une préférence? Faudrait-il déjà avoir le choix entre deux options. « Ca fait longtemps que j'ai arrêté de croire au prince charmant. » Je bougeais la tête de droite à gauche légèrement pour appuyer mes propos. Je n'étais pas naïve, et encore moins rêveuse. Je savais littéralement que l'image du prince n'existait que pour pigmenter l'histoire de l'amour, mais qu'il n'était pas fait de chair et d'os. Ca faisait déjà un moment que je m'étais fait à l'idée, que je gardais les pieds sur terre. Je l'écoutais ainsi se confier à moi d'une certaine manière. J'enviais cette fille, elle avait de la chance d'avoir un homme tel que lui à ses pieds, mais elle était bête de ne pas saisir cette chance sans se poser de question. Je ne la connaissais pas, je ne pouvais la juger, bien que pour moi c'était clair et net, elle était devenue ma rivale sans même qu'elle le sache, qu'elle ait fait quelque chose pour. Elle avait volé son coeur pendant que lui était entrain de voler le mien. Je doute qu'elle fasse partie un jour de mon cercle d'amis. Je ne la détestait pas, loin de là, mais elle attisait de la jalousie en moi. Valentine doit être une femme bien, à l'entendre parler d'elle de cette manière. Mais je lui en voulais de le faire souffrir de cette manière, de rester indécise sur son choix à jongler entre son bonheur actuel et celui qu'elle a mit sur attente. Peu importe, nous ne nous éternisions pas sur nos peines de coeur. On n'était pas là pour se plaindre l'un à l'autre. De sa nature surprenante, il avait posé sa main sur ma bouche, créant un baiser éloigné entre no lèvres séparées. Imaginer était ma meilleure arme pour ressentir ce petit quelque chose. Mais il avait amplifier mon désir, et d'un geste de la main, je dégageais la sienne qui recouvrait ma bouche pour lier mes lèvres aux siennes. Tous mes sens s'éveillaient à nouveau, je m'emportais une nouvelle fois dans cette harmonie. « Définitivement. » Sa réponse me fit frisonner. Les poils de mes bras s'étaient hérisser en un mot provenant de sa bouche. Comme si sa voix résonnait à l'intérieur, se bousculant contre les parois de ma peau. Ses lèvres se posa sur les miennes reprenant l'harmonie que j'avais interrompu le temps de lui poser ma question. Nos langues s'étaient entrelacées, commençant une danse endiablée. Il avait basculé sur moi faisant de moi une dominée. Je sentais la chaleur de sa main se poser sur mon ventre, alors que les miennes glissaient le long de son torse, appréciant ses tracés parfaits. Nos bouches se fusionnaient toujours, à ne même pas prenne le temps de gonfler nos poumons d'air. Je n'avais plus envie de me détacher, d'assouvir complètement ce manque qui m'avait torturé jusqu'à de nouveau être comblée. La passion prenait le dessus, mes mains parcouraient son torse et se glissaient dans son dos. D'un bon, il recula, mettant fin à cette atmosphère qui s'intensifiait. « Arrêtes de faire ça. » Je relevais la tête, prenant appui sur mes coudes. Son sourire en coin la trahissait « Arrête d'être aussi irrésistible alors. » lui répondais-je d'un sourire amusé et tenté. Je n'en pouvais rien si j'étais si tentée. Je n'étais que la victime de sa beauté, si bien extérieure qu'intérieure. Il me charmait. J'étais si conquise par sa personne que j'en perdais la tête, le contrôle. C'est dingue comme sa réticence m'attirait. Je n'avais pas l'habitude que l'on me "fuit" de cette manière. Je trouvais ça terriblement attirant, surtout venant de lui. Mon regard suivait ses déplacements, jusqu'à savourer une dernière minute son torse dénudée qu'il recouvrait d'un t-shirt. « Pas avant un ou deux rendez-vous Orlane, si on va faire ça, il faut le faire proprement, je suis un gentleman après tout. » Je l'écoutais dire, alors que je me redressais complètement de manière à être en position assise sur son lit. Je me frottais les lèvres, cherchant des traces de son passage. « Je n'ai pas l'habitude des gentlemen, mais l'idée me plait bien. » lui révélais-je de mon plus beau sourire. J'aimais vivre des choses différentes avec lui. Il était différent, et c'est ce qui me plaisait chez lui. J'étais prête à faire des sacrifices s'il le fallait. « Tu as faim? On t’a déjà parlé de la fameuse cuisine des Winthrops? Tu ne peux pas partir d’ici avant d’avoir au moins visiter les lieux. » On dérivait sur autre chose, laissant de côté un instant ce désir ardant qui prenait le contrôle de tout mon être. « Je ne comptais pas partir d'aussi tôt. Fais-moi donc visiter, je te suis. » lui répondais-je. Tout ça m'avait ouvert l'appétit, dans tous les sens du terme. J'aurai tout accepter comme occupation si ça pouvait me permettre d'encore rester en sa compagnie.
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Je m’avouais vaincu, enfin, avec un peu de retard. Ses lèvres étaient un délice que je ne pouvais nier ni ignorer. Elle envenimait le moindre pore de ma peau, de mon coeur souffrant en solitaire à mon souffle qui apprivoisait de nouveau le sien. Je l’embrassais avec passion et naturel, une main jouissant des plaisirs de se mouvoir contre elle, découvrant quelques douceurs là où je me serais interdit tout passage si j’avais encore toute ma tête. Je ne me lassais pas de l’avoir, de la posséder d’une certaine manière encore trop chaste. Je sentis ses mains glisser contre la peau de mon torse, brûler lentement leur chemin jusqu’aux muscles de mon dos, m’attirant sur elle comme une aimant à son métal favoris. Je ne pu retenir un murmure quand il fut le temps de reprendre le dessus sur ma faiblesse, elle gagnait cette fois, mais je ne lui céderais pas victoire trop longtemps. Il ne semblait y avoir meilleure manière de retenir l’attention telle qu’Orlane qu’en se gardant une part de mystère, une part inaccessible. Je n’avais pas l’habitude de jouer à ces jeux, mais mon désire de la revoir faisait fondre toutes convictions anciennes. L’avoir et la garder, me rendre indispensable. Je me hissais sur mes jambes, faiblesse aux genoux de n’être pas aller au bout de mon vouloir, souriant malgré moi, comblé malgré tout. Elle se redressa à son tours, à l’aide se ses coudes. Ah, tellement belle. « Arrête d'être aussi irrésistible alors. » Je levai un sourcils, amusé par sa remarque. «Les femmes d’abords.» Soufflais-je juste avant de me retourner vers mon armoire et d’enfiler quelque chose de plus convenable. Je pouvais sentir ses yeux me brûler le dos, arg, elle allait me rendre dingue. Quand je me retournai, elle était assise au coin du lit, pied flottant dans les airs… irrésistible. Je m’en mordis la lèvre. « Je n'ai pas l'habitude des gentlemen, mais l'idée me plait bien. » Elle me sourit comme si je n’étais pas déjà suffisamment séduit. Je craque, c’est définitif. «Cela veut-il dire que tu accepterais un rendez-vous avec moi?… Hypothétiquement, bien sûr.» J'espérais déjà savoir la réponse à cette question, mais ce ne pouvait être que ce baiser qui me donnait une confiance hors norme, qui bombait mon torse d’énergie, de bravoure et de quelques chose de subtilement sucrée qui s’apparentait au goût de sa beauté. Je lui proposai une visite, un repas, je ne savais plus, ma tête était déjà bien ailleurs. « Je ne comptais pas partir d'aussi tôt. Fais-moi donc visiter, je te suis. » Aux derniers mots, j’étais déjà à son chevet, tirant une main fébrile vers elle, adorant à l’avance les instants qui allaient suivre celui-ci. Peu patient, je me servis moi-même, glissant mes cinq doigts entre les siens, à une place qui semblaient leur être dû. Je me sentais déjà mieux, presque apte à être sage, apte à ne pas lui voler encore une fois un peu de délice. Mais c’était tellement dur, surtout injuste. Je l’aidai à se relever d’un geste rapide, elle atterrit un bref moment entre mes bras, un bourrasque de parfum titillant mes narines. Le moment suivant resta perché quelques secondes entre l’espace et le temps, ce mouvement de mes yeux se faufilant jusqu’à ses lèvres, testant mes limites. Insupportable. Je fis un pas vers l’arrière, m’assurant que sa main soit la seule à me saisir. «On dirait que tu le fais exprès.» Dis-je plus à moi-même qu’à elle, comme elle n’avait pas pu suivre le cours de mes pensées. Je l’attirai vers la sortie, frôlant la porte où nous avions échangé notre premier baiser, d’une épaule. Ma chambre sera à jamais hanté par son passage, bien joué. Nous descendîmes les marches une à une, côte à côte, comme deux enfants qui ne pourraient survivre s’ils ne partageaient pas le même air. Ou peut-être n’étais-ce que dans ma tête. En arrivant dans la cuisine, déserte par miracle, je me hissai vers le réfrigérateur, reprenant possession de ma main trop brûlante entre la sienne. Le simple contact en devenait torture, je ne savais plus penser qu’à la déshabiller il me semblait. «Alors? Qu’as-tu envie de manger?» L’appareil ouvert, la fraîcheur m’aida à reprendre mes esprits. Dans une maison d’homme comme celle-ci, ce n’est pas les choix qui manquaient, l’épicerie était faite à tous les deux jours par un malchanceux à qui c’était le tours cette semaine. Je n’arrivais pas à penser, la savoir si prêt me… à l’aide.

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Je perdais complètement la tête, je n'avais pas toutes mes idées en place et un rien m'attirait vers lui. J'avais l'impression de devenir une folle à lier, misérable face à toutes ces tentations. Une vraie torture, mais que j'appréciais par dessus tout. Il était tout ce que je voulais. Je le prenais avec ses qualités et ses défauts de fabrication qui me faisaient plus fondre qu'autre chose. La tension montait très rapidement, intensifiant cet atmosphère assez spécial. Mon coeur battait à toute allure, j'en sentais les pulsions résonner dans les veines. Ma tête allait finir par exploser, tant de chose s'y bousculait à l'intérieur que j'avais l'impression qu'on était à plusieurs. Mes mains se laissaient porter, c'est comme si je ne les contrôlais plus, qu'elles se hissaient tout naturellement le long de son torse, appréciant ce qu'elles découvraient. Mes lèvres se fusionnaient aux siennes parfaitement, je n'avais même plus envie de m'en détacher, j'en avais besoin pour survivre face à tout ça. Je frissonnais au moindre de ses gestes, de ma peau contre la sienne, de mes lèvres sur les siennes, de mon coeur si près du sien. Et s'il ne s'était pas reculé vers l'arrière, Dieu sait comment aurait été la suite des événements. Un sourire de circonstance se dessinait sur mes lèvres, cachant des idées salaces mises en pause. « Les femmes d’abord. » Outch, il avait eu la réplique parfaite pour me contredire d'une certaine manière. Mon sourire ne pouvait que s'étirer face à ça alors que je décidais de me taire. Il avait eu le dernier mot, pas de chance pour moi. J'aurai ma revanche. « Cela veut-il dire que tu accepterais un rendez-vous avec moi?… Hypothétiquement, bien sûr. » De sa question, je pris un air mystérieux, même hésitant, histoire de le déstabiliser un peu. « Hum, je ne sais pas... Ça dépendra de cette journée... » Et comment que j'accepterai un rendez-vous de sa part. Tout ce qu'il voulait même, j'étais prête à tout lui accorder, même mon coeur. Mais j'aimais le mystère, c'est un peu comme ça que l'on fonctionnait d'ailleurs. « Et jusqu'ici, tu es plutôt bien parti. » enchaînais-je à la suite après une poignée de secondes silencieuse. Mon sourire ne s'estompait pas. Il était toujours présent, et le restera tant que je serai encore en sa compagnie. Je faisais de lui mon petit rayon de soleil, sans même qu'il fasse quoi que ce soit pour. C'était ainsi, et plus autrement. Je ne comptais pas partir d'aussi-tôt. J'avais même dans l'idée d'habiter sous son lit, histoire de partager ses nuits. J'intercepta la main qu'il m'avait tendue, laissant nos doigts se fondre les uns aux autres. D'un geste, je me retrouvais tout contre lui, ma poitrine écrasée contre son torse, j'étais capable de sentir la chaleur que tout son corps dégageait. A cet instant précis je me sentais en toute sécurité, sa carrure me rassurait. « On dirait que tu le fais exprès. » Je l'écoutais dire, fronçant mes sourcils. « Qu'est-ce que j'ai fait? » demandais-je d'une voix presque innocente, qui ne collait absolument pas à mon personnage, voulant savoir la raison de cette parole. Je me laissais ensuite guider par sa main qui me tirait en dehors de sa chambre. J'aimais ce contact, sa peau tout contre la mienne, nos doigts entrelacés... Mon regard glissait vers nos mains, et je ne pu avoir un petit sourire en coin. Mes pas suivaient les siens, ma main ne lâchant pas la sienne, jusqu'à arriver dans cette fameuse cuisine qu'il m'avait invité à visiter pour manger. Sa main délaissait la mienne, laissant mon bras tomber le long de mon corps. « Alors? Qu’as-tu envie de manger? » Il avait ouvert le réfrigérateur, alors que je m'avançais vers lui pour jeter un coup d'oeil à cette caverne d'Alibaba, version alimentaire. Ce que j'avais envie de manger? Lui. Un Dexter si beau, si frais, si parfait, si... « Je ne sais pas. Surprends-moi. » C'était les seuls mots que j'avais réussi à sortir de ma bouche. A vrai dire j'avais du mal à réellement me concentrer sur le contenu de ce frigo. Puis il y avait tellement de choix que j'en devenais indécise. Je lui laissais ainsi la lourde tâche de choisir à ma place. Peut-être qu'en répondant ça, ma réponse faisait référence à autre chose. Je perdais la tête, la preuve.
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Quand je l’invitai à sortir avec moi, sans subtilité aucune, elle hésita. Non par soucis de réponse, mais par envie de torture. Elle y réussit assez bien, cruellement silencieuse, mon coeur se retourna comme la Terre cerclait autour de son orbite. Un silence remplis de promesses qui ne dura que le temps de sentir le monde s’échouer sur mes épaules. Vile créature, je la ferai payer un jour. « Hum, je ne sais pas... Ça dépendra de cette journée... » J’arquai un sourcils, je ne me serrais pas attendu à cette réponse, mais je l’adorais encore plus que mes hypothèses. Elle voulait que je travaille pour la séduire et je n’avais d’autre souhait que d'exaucer ce voeu. J’y oeuvrerais jour et nuit pour ne serait-ce que lui arracher un sourire. « Et jusqu'ici, tu es plutôt bien parti. » Je lui rendis ce sourire qu’elle avait entre les lèvres, séduit par cet ajout. «Alors il y a encore place à amélioration? Je suis ouvert à toutes suggestions, que dois-je faire pour combler les lacunes? Je veux un «oui» affirmée.» Tout pour changer son hésitation en affirmation. Ce que j’avais voulu avant de la revoir aujourd’hui ne ressemblait en rien à ce que je désirais actuellement. D’un monde à l’autre j’avais voyagé sans m’en plaindre, maintenant conscient de mon attachement, de ma condamnation à toujours vouloir un peu plus. «J’y pense. C’est injuste que tu saches où me trouver et que le contraire sois faux.» Ce n’était pas exactement une question, mais j'espérais tout de même avoir une adresse où la rejoindre si j’avais envie à mon tours de lui rendre visite sans l’annoncer. En un souffle, elle c’était retrouver contre moi, logé en toute sécurité entre mes bras, mes muscles tendus par sa présence. Son effluve teintait l’air d’un exotisme paradisiaque, oh comme j’aimerais que mes draps soin contaminés à leur tour. « Qu'est-ce que j'ai fait? » Demanda-t-elle suite à mon accusation justifiées de milles et unes raisons. «Tu es en train de me faire perdre la tête.» Je n’en avais même pas besoin pour le dire, plus besoin de le penser pour le sentir. J’étais dingue, complètement, par sa faute et surtout... d’elle. La quittant des yeux quelques instants, je la traînai jusqu’en bas, m’arrêtant devant le réfrégirateur, la tête complètement ailleurs, perdue dans les nuages. « Je ne sais pas. Surprends-moi. » Sa requête ne m’aida en rien. Je pouvais la sentir près de moi, sa voix non loin de mon oreille. Je l’avais pourtant volontairement laissé là-bas, ne comprenait-elle pas que je n’arrivais plus à fonctionner, à désirer autre chose que l’embrasser? Je clos les yeux un instant, essayant de m’imaginer faire autre chose que la posséder, mais c’était peine perdu. «On commence par le dessert?» Lentement je posai mes paumes sur la surface métallique et glacée du réfrigérateur, la porte complètement refermée par mes soins. Je n’avais pas réussi à rouvrir les yeux, à contenir mon besoin primaire qu’elle avait maintenant au coin des lèvres. Je dois l’avoir, et tout de suite. Soupirant ma défaite je me retournai pour la voir, le souffle déjà raccourcis par ma soif. Je bondis sur elle sans attendre de réaction, m'emparant de sa bouche sans laisser de rester, mes mains s'agrippant à sa taille et la soulevant de terre pour qu’elle soit enfin à ma hauteur. Ses jambes s’entortillèrent à ma taille, mes paumes se glissèrent sur ses fesses, question de support évidemment… Mon torse se gonfla d’impatience, comme chaque fois que nous échangions un baiser, la tension électrique parsemait l’air, le rendait toxique. J’allais exploser, j’avais déjà éclater en mille morceaux. Je fis un pas vers le comptoir gigantesque de marbre qui se trouvait au centre de la cuisine, venant y déposer mon trésor avec le plus grand soin, sans jamais laisser nos lèvres se perdre. J’adorais son parfum, sa saveur, la douceur et l’ardeur dans son baiser toujours bien calculée. Je détachai mes lèvres subitement, choisissant de reculer pour la torturer elle et moi tout à la fois… Pour me faire désirer surtout. Mes mains tombèrent sur ses cuisses, mon regard attrapa le sien, entrevoyant rapidement sa bouche rosée, marquée par mon passage. Plus belle image qui soit. «Complètement dingue oui.» Je fis un pas vers l’arrière, levant un doigt ans les airs pour la conjurer de rester bien sagement là où je l’avais laissé, assise sur le bord du comptoir. «Des crêpes, ça te plairais?» Je levai un sourcil, les yeux encore perdus contre la source de toutes mes obsessions. Je n’attendis aucune réponse avant de me précipiter sur le garde-manger et d’en sortir notre contenant de farine, celui de sel, de sucre. Je revins les bras pleins et déposai le tout sur le comptoir à ces côtés.

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La torture était ma meilleure arme. S'il m'avait démunie de toute ma carapace, j'étais encore capable de jouer de cet atout pour le faire mariner. Je voulais le mettre à l'épreuve, le tester, et en même temps je me testais. Un jeu que je prenais toujours un malin fou à mettre en place, où seule moi peux dicter les règles pour faire bouger les pions. « Alors il y a encore place à amélioration? Je suis ouvert à toutes suggestions, que dois-je faire pour combler les lacunes? Je veux un «oui» affirmée. » J'aimais se détermination, et ne pouvais en être que séduite. « Ce n'est pas à moi de te le dire. Tu as su te débrouiller tout seul jusqu'ici. A toi de voir ce que tu pourrais faire de plus. » dis-je d'un sourire amusé. Je voulais le laisser faire, surtout pas lui imposer des tâches. Il me surprenait toujours, sans doute de sa propre nature. J'aimais cette qualité en lui, sa spontanéité de toujours me surprendre, de me satisfaire sans même qu'il le sache. Je craquais littéralement pour lui, et savais qu'il n'allait pas avoir du mal à tirer un "oui" affirmé de ma part. Il était déjà dans ma tête, il ne me suffisait plus qu'à le prononcer. Quelle vilaine que je pouvais-être par moment. « J’y pense. C’est injuste que tu saches où me trouver et que le contraire sois faux. » Il n'avait pas tord. J'en savais surement plus sur lui qu'il n'en savait pour moi. Je lui devais bien cette fière chandelle, puis si c'était pour le voir débarquer chez moi à l'improviste, c'est avec un très grand plaisir. Rien que pour ça, je resterai enfermée chez moi pour être sûr de ne pas manquer sa visite. « Ce n'est pas bien difficile, je suis la dernière chambre des Mather. » J'aurai très bien pu le faire de nouveau mijoter, utiliser la torture en l'obligeant à trouver par lui-même, mais j'avais bien trop hâte de le revoir que j'en étais incapable. De ces paroles, je me levais d'un coup de vent, tirée par sa main pour atterrir dans le paradis de ses bras. Un moment en suspension que j'avais apprécié du mieux que je pouvais. « Tu es en train de me faire perdre la tête. » Voilà la raison de son accusation à tord. « Je pourrais dire pareil de toi. » Oh que oui, il me retournait la tête, le coeur, tout de tout. Je devenais folle, folle de lui. Je me laissais guidée, jusqu'à arriver dans la cuisine des Winthrops. Sans perdre de temps, je désobéissais sa demande de rester là, fouinant du regard le contenu du réfrigérateur. Je ne savais que manger, autre que lui. Mon ventre criait famine, mais je n'arrivais à me décider sur tout ce choix, trop préoccupée à penser à autre chose. J'attendais qu'il me surprenne, du manière comme une autre. « On commence par le dessert? » Sa réponse ne pouvait que me plaire. Je n'avais même pas eu le temps de réagir que d'un volte-face, nos lèvres se liaient à nouveau pour mon plus grand plaisir. Je faisais durer ce baiser, l’accompagnant dans cette danse. Je me laissais portée par ses bras, jusqu'à entourer sa taille de mes jambes, mes bras se glissant derrière sa nuque jusqu'à se rejoindre pour se croiser. Ses mains se glissaient sous mes fesses, histoire de me supporter et de m'empêcher de glisser. Je me retrouvais assise sur le comptoir en marbre, sentant le froid recouvrir mes fesses qui s'étaient posées dessus. Je décroisais mes bras, laissant glisser mes mains jusqu'à ses joues que je tenais fermement sans quitter une seule seconde sa bouche. Quel plaisir. Tous mes sens s'éveillaient à nouveau, mes yeux ne voulaient s'ouvrir, ma respiration s'accélérant. D'un recul, il rompait cet instant si... Je grognais silencieusement d'avoir interrompu ce moment, alors que mes dents venaient se glisser sur ma lèvre inférieur pour faire pression. « Complètement dingue oui. » Il faisait un pas en arrière, me laissant dans cette torture de ne pas avoir continuer cet échange. Il m'ordonnait à nouveau de ne pas bouger de son doigt. Je décidais de m’exécuter contre ma volonté, mon désir souffrant se son absence. « Des crêpes, ça te plairais? » Il n'attendit aucune réponse de ma part qu'il revenait vers moi les bras chargés de tous les ingrédients. « Et comment! » finis-je par répondre en retard, me remettant dans mes émotions. Je restais toujours assise sur le comptoir, mon regard ne le quittant plus, je le désirais ardemment. « J'espère que tu connais la recette? » Je sentais que ce moment allait être un pur délice. Faire la pâte à crêpe avec lui... Si tentant.
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« Ce n'est pas à moi de te le dire. Tu as su te débrouiller tout seul jusqu'ici. A toi de voir ce que tu pourrais faire de plus. » Elle fit craquer ce sourire sur mon visage, figé à jamais dans le temps et l’espace, entre deux battements de coeur accélérés par sa présence. J’aimais bien jouer, mais voilà que le jeu du hasard et de l’amour était ma plus grande faiblesse. Je n’avais su séduire auparavant de sentiments permanents à mon égard, j’arrivais à capter l’attention quelques jours peut-être avant que l’on me prenne pour fou. Les fausses identités que je me forgeais pour plaire n’avait jamais réaliser leur tâche première, peut-être qu’aujourd’hui j’arriverais à faire mieux et plus en restant simplement moi-même. Elle avait déjà fait fondre toutes mes barrières de protection, le choix n’existait plus. Je lui demandai de manière peu subtil de m’offrir un moyen de la rejoindre à défaut de ne pas avoir son numéro de téléphone. « Ce n'est pas bien difficile, je suis la dernière chambre des Mather. » La dernière? Ça lui allait bien d’être en marge un peu et ça me plaisait de ne pas la savoir encercler par tous les fronts. «Et s’il m’arrivait d’avoir l’envie de venir te rendre visite, pourrais-je avoir la mauvaise surprise de te trouver occuper avec un autre?» Je grognai ces derniers mots, trop empoissonné par l’idée que je me faisait d’une telle scène. S’il ne tenait qu’à moi je la retiendrais ici, sous surveillance, pour être sûr de ne pas perdre ma place.

Elle ne me refusait jamais ses lèvres alors que je m’attelais à en découvrir les moindres secrets. Pendant ses instants j’oubliais tout, de mon prénom aux fantômes de tous mes prédécesseurs. Je trouvais une ardeur, une passion de vivre que j’avais oublié il y a longtemps en me condamnant au célibat. Un an maintenant que je n’avais frôlé le corps d’une femme, que je n’avais pas caresser l’idée de la posséder autrement que par la parole... Orlane me donnait envie de tout. Alors que je sentais ses mains se glisser dans mon cou, sur mes joues, que ses jambes se nouèrent et se dénouèrent à ma taille, je croquais cet instant de paradis sans avoir la volonté de m’arrêter. Si ce n’avait été de mon envie de vengeance à la torture qu’elle me faisait subir depuis son arrivée, j’aurais bien pu y passer la nuit. Pour reprendre mes esprits je décidai de mettre la main à la pâte, littéralement. En lui proposant des crêpes, son enthousiasme illumina son visage. « Et comment! J'espère que tu connais la recette? » J’haussai les épaules. «Parfaitement oui, j’ai de multiples talents, tu sais?» Je relevai les yeux, ma langue glissant sur mes lèvres, complètement obsédé par mon envie de m’emparer des siennes. J’en devenais malade. J’espère qu’elle était fière d’elle-même. Je me précipitai vers le réfrigérateur, m’emparant du lait et des oeufs en assumant que c’était ce qui manquait à la recette que j’improvisais de mémoire. En regardant la table pleine je ne pu m’empêcher de soupirer, il ne lui faudrait pas longtemps avant de deviner que j’étais en terrain plus ou moins inconnu. «J’ai une confession à faire... » Je me glissai jusqu’à elle, posant mes mains contre ses cuisses, mon bassin à quelques centimètres du sien. «Je n’arrive pas à penser par ta faute, je vais vraiment avoir besoin d’assistance.» Mes lèvres se hissèrent jusqu’à son visage, se retenant de parcourir l’entière distance. Torture, torture, je ferais tout pour être embrassé de nouveau par elle. «S’il te plaît?» Soufflais-je délibérément contre sa peau.
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J'étais tel un oiseau en plein vol qui découvrait de nouveaux horizons. Il avait cette qualité de me laisser penser que j'étais différente pour une fois, ce sentiment d'être unique pour quelqu'un et de vraiment compter. Il me laissait être moi-même en m'ôtant ce côté rébellion et difficile que je simulais. Avec lui je n'avais plus peur de rien. Même pas de fermer les yeux et de me retrouver dans le noir le plus complet. J'étais prête à lui offrir corps et âme, d'être au bord de l'implosion sentimentale. Je mourais déjà d'envie de le revoir avant-même de l'avoir quitté. Je voulais faire de cette soirée une éternité, mon petit coin de paradis. « Et s’il m’arrivait d’avoir l’envie de venir te rendre visite, pourrais-je avoir la mauvaise surprise de te trouver occuper avec un autre? » La question était inévitable. Il s'imaginait tout scénario possible qui était censé me coller le plus à ma façon d'agir. Mais ce qu'il ignorait, c'est que cette personnalité presque libertine était en train de partir en fumer à chaque seconde que je partageais en sa présence. « J'ai désormais bien mieux à faire que de fricoter avec un autre. » Ma réponse ne pouvait être on ne peut plus claire. C'est comme si je n'avais plus envie de me partager, que j'avais envie d'être le désir d'un seul et même homme et de m'abandonner à lui. Ca y est, je suis folle. C'était irréversible. Rien que cette pensée venait littéralement de prouver que je ne partageais plus les mêmes intérêts qu'avant de venir pointer le bout de mon nez chez lui. Le temps était si rapide mais si bénéfique. J'étais presque méconnaissable. La personne que j'ai toujours été au fond s'éveillait de plus en plus et mon coeur criait son nom de plus en plus fort. Je ne pouvais plus revenir en arrière.

Nous étions tout ce qu'il y a de plus proche. D'une embuscade émotionnelle, me lèvres s'étaient liées aux siennes une nouvelle fois, ne se lassant toujours pas de ce contact qui éveillait des papillons dans mon ventre. Mon coeur s'accélérait alors que tous mes désirs ne se rapportaient qu'à lui. Ce moment savoureusement délicieux qui d'une interruption laissait en suspend toute autre tentation éveillée. Affreux. Il me torturait et semblait fière de me voir grogner silencieusement, restant sur l'appétit qu'il venait de m'ouvrir en un rien de temps. Il revenait les bras chargés d'ingrédients, près à démarrer l'atelier culinaire qui consistait à faire des crêpes. Des crêpes que je voulais manger à la seule condition qu'il se retrouve enroulé à l'intérieur. je salivais rien qu'à penser au goût qu'il pouvait avoir. Je m'impatientais de commencer la recette. « Parfaitement oui, j’ai de multiples talents, tu sais? » Je ne bougeais pas de là où il m'avait déposé. Je restais immobile, m'obligeant personnellement à ne pas le rejoindre pour éviter de lui grimper dessus sauvagement. « Je n'en doute pas. Il faudra que tu me les fasses tous découvrir. » disais-je alors que je sous-entendais beaucoup de chose à la fois. Je devinais très vite qu'en réalité il ne maîtrisait pas autant la recette qu'il venait de l'affirmer. Son soupire le trahissait alors qu'il revenait jusqu'à moi avec les ingrédients manquants. « J’ai une confession à faire... Je n’arrive pas à penser par ta faute, je vais vraiment avoir besoin d’assistance. S’il te plaît? » Ses mains se posaient sur mes cuisses. Tout le moindre contact direct avec lui me rendait désormais folle. Il m'avait ensorcelée. Ses lèvres étaient de nouveau si proches de mes miennes. Je me pinçais les lèvres assez fort comme pour leur interdire tout accès, résistant à cette tentation trop forte de l'embrasser. Il me torturait, je le torturais -bien que je m'auto-torturais pour la peine. Je pouvais même sentir le souffle de ses mots s'écraser sur mon visage. Je retenais presque ma respiration, empêchant ma poitrine de se gonfler trop fort de désir. « D'accord. Et quel sera mon rôle? » finis-je enfin par répondre après une poignée de silence et de lutte face à toute cette tentation.
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Pour une fois elle m’avouais en face ce qu’elle avait sur le coeur, c’était doux à l’oreille et un baume pour l’âme. J’arriverais peut-être à m’endormir cette nuit en sachant qu’elle serait elle aussi seule dans le sien. Je mentais, dans tous les cas l’adrénaline ne me laisserais pas m’assoupir suffisamment longtemps pour quitter cet univers. Je planais depuis ce baiser, à l’aise pour une fois en la présence d’une femme qui avait toutes les chances de me fractionner un bout de fierté. En toutes complicités, je me laissais découvrir et me délectait des mystères qu’elle voulait bien dénouer pour moi. Je m’amusais à me faire désirer, l’embrassant avec sincérité, mais coupant court à la démonstration d’affection. Elle supportait mieux que moi nos séparations, ou peut-être n’étais-ce qu’une illusion, mais pour ce que je savais de mes émotions, j’étais déjà las de me contenter de lui embrasser seulement les lèvres. Elle restais immobile sur le comptoire, tacitunre aussi alors que je devinais au mieux les ingrédients nécessaire à la confection de notre gourmandise. Je ne pensais qu’à me servir de son ventre pour assiette, je suis complètement dingue. Je lui confiai que j’avais de multiples talents, je mentais bien sûr, il faudrait désigné de miracle le jour où elle me verrait nommer une seule de mes qualités. Je ne m’en trouverais aucune. « Je n'en doute pas. Il faudra que tu me les fasses tous découvrir. » Pour reprendre le jeu là où nous l’avions laissé avant de perdre la tête et le souffle par sa faute, je dis: «C’était à mon tours je crois. Nomme moi trois talents que tu possèdes et que j’ignore encore.» J’étais avide de tout connaître déjà, le flot de découverte n’allait pas assez rapidement pour mon goût. Au moins je savais maintenant où la retrouver si une question me brûlait trop ardemment les lèvres. Elle arrivait toujours à me surprendre, malgré mon habituelle capacité d’intuition. Je n’osai même pas, cette fois, réfléchir trop longuement sur mes hypothèses. Je rabaissai les yeux sur les ingrédients, la tête emplie de désirs qui brouillait ma capacité à réfléchir. Ah, ce qu’elle pouvait me faire sans même s’en rendre compte. Je me rapprochai d’elle, glissant mes mains contre ses cuisses, m’amusant à la rendre d’autant plus impatiente. Mon visage vascilla vers le sien, s’approchant dans le but de mettre mes lèvres à son accès. Elle ne profita pas de l’occasion pour mettre fin à ma soif. Ce qu’elle faisait n’était tout simplement pas légal. « D'accord. Et quel sera mon rôle? » Elle répondu trop tard, je perdais complètement la tête, trop tenté, trop sensible à son parfum. «Ton rôle sera de ne pas déconcentrer le chef qui essaira, en vain, de ce débarasser de ces envies présentes de dévêtir la sous-chef. Tu crois pouvoir faire ça Orlane?» Je savais que non, il n’était pas rare de voir une femme redoubler d’effort pour avoir une chose qu’après se l’être fait interdire. Je glissai ma langue contre mes lèvres, y trouvant ce goût de sucre qui n’était pas hissé là avant sa rencontre. Ma bouche trouva son oreille, frôlant sa lobule juste un peu, juste assez. «Dans ma tête, tu es en train de me supplier de continuer, mon prénom au bord des lèvres… je suis en train de perdre la tête.» Ce n’était qu’un murmure à peine audible, j’étais déjà gêné de le dire. Il n’y avait rien, absolument rien de plus sexy qu’une femme qui supplie et qui soupire, qui verbalise son besoin, qui crie mon prénom. Un long frisson me traversa l’échine à force d’y avoir penser trop fort. Hum, ce serait tellement délicieux, ici, maintenant, mais il ne fallait pas. Pourquoi déjà? Je me reculai d’un pas vers l’arrière. Lui jetant un dernier coup d’oeil avant de me mettre à la tâche. Oh je bouillais de l’intérieur, un simple contact me pousserais complètement au bout de moi-même, me casserait en deux. Je plongeai une main dans mes cheveux, nerveux de ne plus savoir me retenir, incapable de faire taire sa voix, sa nudité, son plaisir imaginaire. Je commençai la recette malgré tout ce qui faisait battre mon coeur à un rythme virtigineux.
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Il était la cause de tous mes désirs. Je sentais la température de mon corps augmenter au moindre contact avec lui. Ma peau me brûlait alors que mon coeur battait au rythme du sien. Il le torturait, me laissant à chaque fois sur ma faim pendant que mon être tout entier se retournait dans tous les sens. Je ne pouvais que lui rendre l'appareil, en le cherchant un peu plus, jusqu'à le trouver assez près de moi pour rompre tout contact. Je le rendais dingue comme lui le faisait si bien avec moi. C'en était devenu un jeu amusant. Un jeu que j'avais pris goût avec lui, bien que je savais pertinemment que je me privais aussi. Horrible. Pour compenser cette multitude d'envie qui me caressaient l'esprit, je voulais savoir tout de lui. Je ne partirai pas d'ici sans en savoir assez sur lui. Tel un livre, j'avais envie d'y lire toutes les pages qu'il contenait, pour être sur de ne manquer aucun passage jusqu'à y découvrir la fin. J'avais soif d'apprendre sur sa personne, de découvrir le moindre de ses secrets. Mais je réalisais très vite que la tâche ne sera pas si aisée. « C’était à mon tour je crois. Nomme moi trois talents que tu possèdes et que j’ignore encore. » Il faisait référence au jeu que l'on avait laissé derrière nous, bien trop emportés par l’embuscade de nos émotions. Il gardait ce mystère en lui qui me faisait littéralement fondre. J'aimais sa manière de se préserver, de ne pas en dire de trop, de me donner cette envie de m'aventurer de son monde à lui. Il voulait savoir trois de mes talents. A vrai dire, je ne savais pas vraiment quoi dire. J'étais loin de venter mes mérites. Je n'étais pas du genre à me lancer des fleurs, et pourtant je trouvais très vite réponse à sa question. « Alors, premièrement il est impossible de me résister, deuxièmement j'obtiens toujours ce que je veux, et pour ce qui est du troisième, peut-être auras-tu l'occasion de le découvrir par toi-même. » Mes paroles étaient plus un avertissement qu'une révélation. Il avait réussi à me résister jusqu'à maintenant, mais un moment donné, il finirait par succomber et arrêterait de me torturer comme il prenait un malin fou à le faire depuis le début. Je le voulais, de toutes les manières possibles, de toutes les émotions et sensations qu'un être humain est capable de ressentir. Je t'aurai, je te le promets. J'aurai pu lui révéler certains traits plus caractéristiques, mais je n'y voyais pas l'intérêt. S'il voulait tant me connaître, il finirait par percer mon mystère de sa propre curiosité. Tout était à notre disposition et nous pouvions commencer la recette dès que on le souhaitait. Je faisais confiance à sa mémoire, lui qui m'avait assuré connaître le recette. Je serai à ses ordres, m’exécutant à la moindre des tâches qu'il me confierait. J'allais me la jouer bonne élève, jusqu'au bout. J'attendais qu'il me dise quoi faire afin de pouvoir commencer notre pâte à crêpes. Il glissait ses mains sur mes cuisses, se rapprochant suffisamment de moi pour éveiller à nouveau tous mes sens. Je le détestais de me tenter autant. Je résistai difficilement mais surement de m'emparer de ses lèvres. Je me vengeais, de toutes ses précédentes tortures qu'il m'avait durement infligées. « Ton rôle sera de ne pas déconcentrer le chef qui essaiera, en vain, de se débarrasser de ces envies présentes de dévêtir la sous-chef. Tu crois pouvoir faire ça Orlane? » Un sourire amusé s'étendit sur mon visage. Ces paroles ne pouvaient en rien arranger ce désir ardent qui bouillait à l'intérieur de moi. « Dans ma tête, tu es en train de me supplier de continuer, mon prénom au bord des lèvres… je suis en train de perdre la tête. » Je me mordais la lèvre inférieure rien qu'à l'entendre dire ces paroles. Mon regard ne lâchait pas le sien alors que j'étais à deux doigts de lui sauter dessus. « Je suis désolée, mais ne comptes pas sur moi pour cette tâche. C'est au-delà de mes capacités. » Lui soufflais-je entre deux respirations alors que je me retenais littéralement, luttant contre cette tentation trop intense. « C'est sans doute ce qu'il risquerait de se passer si on continue comme-ça. » C'était trop difficile. Tout s'actionnait à l'intérieur de moi, la tête remplie d'idées les plus salaces les unes que les autres. Il me tentait de trop, et ce n'était qu'une question de temps avant que je ne me libère complètement.
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