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Caleb&Thaïs + you didn't ask me to come with you, so don't complain !

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« Oh putain deux jours et tu te plains ?! Vaut mieux entendre ça que d’être sourd ! » s’amusa-t-elle en éclatant de rire, oubliant un instant sa colère tant elle trouvait la situation quasiment risible. Bah, elle n’était personne pour lui jeter la pierre et surtout pour lui dire qui il pouvait côtoyer ou pas. Même si son degré de jalousie venait de prendre un envol considérable, elle tâchait de se maîtriser autant que possible bien que les propos de Caleb ne soient pas pour l’aider dans cette entreprise. « Pourquoi, parce que je vais coucher avec un type pour calmer ma solitude tu vas lui refaire le portrait alors que tu peux t’envoyer tout ce qui porte jupons de ton côté ? C’est macho ça… » Thaïs haussa les épaules, tâchant d’éviter de prendre ses désirs pour des réalités et pourtant, elle avait bien précisé être jalouse de son côté, sans équivoque ni retenue. Ah, cette franchise à la con qui lui avait tant porté préjudice par le passé… si seulement elle pouvait la museler une bonne fois pour toute, qu’il ne s’y trompe pas, elle s’en donnerait à cœur joie. « J’en ai pas de pouvoir de séduction pourquoi tu m’emmerdes ?! J’ai chaud, j’y peux rien, je viens d’un pays froid, pas chaud !! Et OUI je suis jalouse de toutes ces femmes qui te papouillent là, fais pas ton innocent ça se voit à des kilomètres que ça me déglingue ! Mais moi je suis ni friquée ni bombe fatale alors forcément ! » s’énerva-t-elle en lui flanquant un coup contre son bras histoire de faire bonne mesure. Thaïs n’avait pas grande force mais ça lui faisait du bien.
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« Mais c’est long ! » me défendais-je mollement peu désireux de lui avouer que j’étais un homme avec un énorme appétit sexuel. J’aimais le sexe, je ne m’en cachais pas mais je n’étais pas intoxiqué pour autant. C’était simplement que j’étais un sportif et un hyperactif de nature alors c’était une façon comme une autre de canaliser mon énergie. Il y a pire comme façon de faire hein ? Songeais-je avec ironie. « Peut-être que ça me déglingue parce que j’aimerai être ces types avec qui tu couches ! » grognais-je avant de tout simplement tomber sur le cul. Comment pouvait-on ignorer à ce point sa beauté et son sex-appeal ?! C’était ahurissant et à voir son mouvement d’humeur, elle était réellement sérieuse. Alors, comme les mots ne semblaient pas suffire, je me décidais à repasser à la bonne vieille méthode qui avait plus d’une fois prouvée qu’elle était efficace, du moins en ce qui me concernait.

« Idiote » murmurais-je avant de glisser une main sur sa nuque pour la faire se pencher vers moi et capturer ses lèvres dans un baiser passionné qui dura aussi longtemps que nous eûmes de l’air dans les poumons. Ce baiser était à cent lieues de celui que je lui avais donné au lendemain de notre première rencontre car cette fois-ci, je ne cherchai pas à briser la glace. Non, j’affirmais mon désir d’elle mais aussi ma possessivité sur ses lèvres rosées qui me narguaient depuis trop longtemps. « Rien à branler que tu sois friquée ou non, je me tape pas des nanas selon le nombre de zéro sur leur compte en banque. Rien à branler tout court des autres nanas. C’est toi que je veux et ça me rend dingue et si tu ne me crois pas quand je dis que tu es la femme la plus désirable que je connaisse… » laissais-je planer mes mots un instant avant de prendre une de ses mains et la plaquer contre mon entre jambe. « Je raconte toujours des cracks ? » demandais-je froidement.
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Thaïs n’eut pas l’opportunité d’en placer une que déjà, elle écarquillait les yeux de stupeur. Comment ça Caleb aurait aimé être de ces types avec qui elle couchait ? Pour le coup, il lui avait coupé le sifflet en court de route et elle fut incapable de dégoiser un mot avant qu’il n’ait repris la parole. Sûrement avait-elle envie qu’il la rassure, qu’il lui dise ce qu’il pensait sans fioriture, sans hésitation. Qu’il la veuille, tout simplement, et aussi ardemment qu’elle avait l’audace de le désirer. A vrai dire, le baiser furieux qu’il lui offrit fut libérateur, au point qu’elle se surprit à en vouloir davantage. « Bah désolée mais c’est pas comme si on m’avait beaucoup complimentée là-dessus par le passé… je suis pas devin, moi ! » se défendit-elle légèrement avant de ne retrouver sa main plaquée contre la virilité manifestement très tendue de Caleb, qui acheva de lui assurer qu’effectivement, il ne racontait pas des salades et semblait la désirer avec la même ardeur qu’elle de son côté. « Non là j’avoue le message est clair » finit-elle par céder en repoussant sa robe par la même occasion, grimpant à califourchon contre ses genoux en se moquant bien de sa tenue tandis qu’elle caressait ses deux joues avec délicatesse. « J’ai pas envie que t’aille voir ailleurs et oui, je suis jalouse parce que je te veux, que tu me fais me sentir vraiment femme et pas comme un boulet. J’ai l’impression que tu viens de me rendre mon oxygène alors je sais, c’est complètement crétin peut-être mais rien à branler comme tu dis si bien… » Thaïs s’empara à son tour de ses lèvres avec une intensité folle, n’hésitant pas à ôter son nœud papillon ainsi que quelques boutons de sa chemise rien que pour avoir la chance de le frôler du bout de ses doigts. L’irlandaise ne pouvait pas voir… mais elle savait toucher.
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Je ne connaissais rien de son passé et je m’en fichais bien car ce qui m’importait était le présent. Je voulais qu’elle sache combien elle était séduisante, belle, intelligente, combien elle m’avait mis KO moi l’homme loup qui ne pensait pas ressentir à nouveau un tel sentiment pour une femme. Tout se mélangeait dans mon cœur et dans ma tête mais une chose était sûre : je la voulais elle, pas une autre. « Tu me rassures, j’en venais à être à court d’argument » plaisantais-je avec un léger sourire cette fois-ci bien plus séducteur alors qu’elle venait à califourchon sur mes genoux. C’était définitif, cette chieuse voulait ma mort mais je voulais bien périr entre ses bras, ce serait pour la bonne cause. « Il n’y aura personne d’autre si c’est ce que tu désires Thaïs » répliquais-je aussitôt une fois que le baiser qu’elle me donnait pris fin. J’avais chaud, je commençais à être vraiment pas à l’aise du tout dans mon pantalon mais je m’en foutais, je tenais enfin cette femme dans mes bras et nous n’avions pas l’intention de danser. Du moins pas une des danses habituelles bien que je ne désirais pas le moins du monde que notre première fois se fasse à l’arrière d’une voiture que ce fut une limousine ou pas. Mes doigts remontèrent lentement le long de sa colonne vertébrale avant d’atteindre sa longue chevelure blonde que je dégageais sur le côté pour avoir accès à son cou. Un cou que je butinais de mes lèvres avant d’effleurer la peau douce de sa joue pour mieux venir mordiller sa lèvre inférieure afin de mieux l’embrasser par la suite. « Qu’on soit clair. T’es à moi à partir de maintenant et comme d’habitude… tu n’as pas ton mot à dire. En fait si mais ça m’arrangerait que tu dises oui quand même » rigolais-je faiblement contre ses lèvres alors que mes mains se plaçaient sur ses hanches pour mieux descendre vers ses fesses. Hautement désirable.
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Thaïs n’eut pas le temps de répliquer quoi que ce soit ou plutôt aucune envie, se laissant porter par les évènements l’espace d’un instant alors qu’elle refusait de lutter pour la première fois en six ans. La jolie irlandaise sentait qu’il n’était pas utile de ne pas rendre les armes, ici et maintenant. Enfin, ils se trouvaient sur la même longueur d’ondes et quelque chose lui disait que ce n’était pas trop tôt… même si elle ne manqua pas d’éclater d’un rire sincère et cristallin alors qu’il faisait office de macho sur le retour. Il ne fallait pas croire, les trois quart du temps, ce côté de sa personnalité la charmait, la rassurait même. « T’inquiètes pas, j’ai déjà dit oui implicitement alors je le répète : oui… mais à une condition et je ne transigerai pas dessus : tu es à moi à partir de maintenant et ce qui va dans un sens va dans l’autre. Je préfère que tu m’épuises moi dans tous les sens du terme… » avoua-t-elle sans détour avant de ne reprendre les lèvres de Caleb, n’éprouvant aucune retenue à lui faire des avances au sein de cette limousine, pour la simple et bonne raison que c’était son premier tour dans une voiture si luxueuse. De toute façon, il n’irait pas bien loin vu qu’elle venait de lui ôter le dernier bouton de sa chemise et de faire choir avec une main experte sa ceinture sur le sol de la voiture. « Si tu veux que je m’arrête… sinon, laisse-moi te soulager » ajouta-t-elle d’une voix féline et provocatrice alors que son pantalon ne fut bientôt qu’histoire ancienne, ses lèvres s’attaquant à ce fameux phénomène l’ayant rendu si tendu et en même temps si clair au niveau de ses arguments…
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« Chiche kebab » murmurais-je sans même savoir d’où me venait cette connerie mais sur le moment, j’avais été tellement subjugué par son rire cristallin que je ne pus dire autre chose que ces deux mots. Je voulais bien n’être qu’à elle si elle n’était qu’à moi. Bien sûr, il se poserait toujours le problème de son boulot car il n’était pas certain que je supporte longtemps qu’elle s’effeuille devant des inconnus même si au final, ce serait entre mes bras qu’elle se donnerait complétement. Je savais également que j’allais au-devant d’une nouvelle perte dont je n’arriverai très certainement pas à m’en relever mais j’étais un homme de défi et je préférais vivre que survivre surtout que Thaïs me faisait me sentir vivant comme jamais avant elle. « Oh putain ! » lâchais-je dans un murmure tandis qu’elle tentait réellement de me tuer de plaisir. D’ailleurs, je n’arrivais pas à réfléchir ni même à penser convenablement, pas alors qu’elle était en train de me torturer de la plus douce des façons. Finalement, j’allais peut-être revoir mon opinion sur cette histoire de limousine. « Thaïs.. attends pas comme ça » repris-je en glissant mes doigts sur sa nuque pour la relever bien que c’était un véritable exploit que je réalisais car je n’avais aucunement l’envie qu’elle cesse cette délicieuse torture mais… non définitivement pas comme ça. « J’ai pas envie de venir sans toi » lui avouais-je tandis que je l’allongeais sur le sol de la limousine. Certes, ce n’était pas confortable mais cela avait le mérite de nous donner un peu plus de champ d’action et en parlant d’action, mes doigts trouvèrent rapidement le chemin de sa féminité tandis que mes lèvres, elles, honoraient cette poitrine délicate qui avait mainte et mainte fois effleuré mon torse.
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Caleb arracha un nouveau sourire à Thaïs, cette fois-ci nettement plus canaille alors qu’il la défiait sans méchanceté aucune de poursuivre sur la voie qu’il venait de se lancer. Oh il allait rapidement s’apercevoir du fait que la jolie irlandaise soit une femme de parole : une fois qu’un homme l’avait marquée, elle ne le lâchait pas d’une semelle bien que sa jalousie risque d’être fortement inconfortable dans les semaines à venir. Mais elle voulait croire qu’ils sauraient tous deux trouver un terrain d’entente, une fréquence de communication qu’ils capteraient tous les deux car à vrai dire, ils étaient aussi jaloux et possessifs l’un que l’autre… « Serait-ce que tu as aimé ma petite attention ? » s’amusa-t-elle alors qu’il venait de la pousser à redresser la tête, avant de ne perdre aucun temps à l’allonger sur le sol certes inconfortable de la limousine mais qui ferait bien l’affaire pour le moment. Le désir grimpait si fortement dans les veines de Thaïs qu’elle se moquait bien de l’endroit tant qu’ils n’émettaient plus la moindre réticence à se donner l’un à l’autre… et à se marquer de façon définitive, d’une certaine manière. « Tu es encore plus cruel que moi ! » s’exclama subitement la jolie irlandaise avant de ne s’emparer des lèvres de Caleb avec fougue, celle-ci se mêlant à l’urgence que ses caresses avaient prodiguées. Elle n’hésita pas à entourer ses hanches de ses cuisses pour faire descendre progressivement son caleçon en se dandinant tout contre lui, prodiguant d’un même temps une caresse qui ne pouvait que le pousser à se tendre plus encore.
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Cette femme avait toutes les qualités requises pour rendre un homme fou et pourtant, elle avait jeté son dévolu sur moi, l’homme des cavernes par excellence. J’ignorai ce qu’elle me trouvait mais je ne m’en plaignais pas car Thaïs me plaisait énormément. J’avais longuement fait l’autruche ces dernières semaines mais la voir aussi belle dans cette robe de soirée –qu’elle avait entre-temps ôté ; au bras d’un autre homme m’avait fait réaliser ce que je refusais de comprendre. « Il faudrait être fou pour ne pas aimer trésor » osais-je le surnom affectueux qui me brûlait les lèvres. J’aimais bien donner des surnoms à mes proches sans savoir d’où me venait cette manie mais qu’importe, pour l’heure, j’étais bien plus occupé par ce corps diablement chaud et désirable sous le mien que par une histoire de surnom. « Moi cruel ? Je ne vois pas du tout de quoi tu veux parler » lâchais-je avec une mauvaise foi évidente tandis que je tirais sur sa petite culotte en dentelle pour l’en débarrasser, faisant fi une bonne fois pour toute de l’endroit où nous nous trouvions. Je ne voyais qu’elle, je ne ressentais qu’elle et lorsque je fus nu par ses bons soins, je glissais sur ce corps magnifique jusqu’à déposer de légers baisers sur son ventre plat, continuant ma descente infernale jusqu’à sa féminité dont j’en flattais les moindre replis de mes lèvres et de ma langue. Durant de longues minutes, je savourais ainsi cette femme, prenant mon temps pour la combler, pour lui faire comprendre au combien qu’elle n’était pas qu’une jolie poupée entre mes bras mais belle et bien une femme seulement voilà, j’étais un homme comme les autres et le besoin quasi impérieux de la posséder coulait dans mes veines comme de la lave en fusion. J’attrapais mon pantalon pour prendre une protection –rien n’était prémédité mais j’étais un homme paré à toutes les éventualités ; que je revêtis avant de revenir capturer ses lèvres tandis que je me fondais en elle de la plus délicate et subversive des façons.
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« Trésor ? » s’étonna-t-elle subitement non sans une large trace d’amusement dans la voix bien que Thaïs ne put guère se concentrer davantage sur ce petit surnom affectueux qu’il venait de lui donner face aux attentions dont il la gratifiait. Il fallut rassembler tout son self control pour ne pas hurler de plaisir là, tout de suite, et alerter ainsi le chauffeur de la limousine totalement inconscient de ce qui pouvait bien se passer à l’arrière. Certes, elle aurait pu partir du principe on ne peut plus véridique que la cabine était insonorisée mais par principe, puisqu’ils n’étaient pas seuls… Thaïs ne voulait pas être bruyante. « Bien sûr que si tu es cruel ! Mais j’adore ça… » lui murmura-t-elle à l’oreille avant de ne la mordiller avec douceur, reprenant bientôt ses lèvres tandis que ses hanches, ses traîtresses, se soulevaient en vue de donner davantage de marche de manœuvre à Caleb. Cette fois-ci, impossible que de contenir de longs gémissements, même si elle tâchait de les étouffer contre les lèvres du jeune homme. La fièvre s’emparait d’elle à chaque va et vient de cette danse ancestrale et si elle avait eu l’audace de l’avouer, sûrement Thaïs aurait-elle énoncé qu’elle n’avait jamais connu pareil plaisir, pareille émotion. Il n’avait pas seulement ravi une première fois entre eux, il venait de s’emparer d’autre chose et plus les secondes filaient, plus la jolie irlandaise en prenait conscience. « Caleb… » murmura-t-elle alors qu’ils atteignaient ensemble un paroxysme de plaisir jamais atteint jusqu’à lors, la laissant cette fois sans souffle, et sans autre volonté que celle de le garder tout contre elle en caressant longuement son dos… non sans mettre de côté le fait qu’elle ait tout de même planté ses ongles à plusieurs reprises dans sa peau à ce même endroit. « Tu ne vas pas partir, hein ? »
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Le surnom m’avait échappé mais je ne le regrettais pas car je trouvais qu’il lui allait à ravir. Elle était un peu mon trésor et même si ça faisait cucul la praline, je m’en battais les roustouquettes car je pensais ce surnom. Thaïs était entrée dans ma vie au moment où j’en avais le plus besoin. Elle n’avait pas simplement accepté d’être ma partenaire, elle avait été dès le départ bien plus que cela. C’était un peu un coup de foudre au ralenti à la fois sournois et imprévisible. Aujourd’hui, je savais que ce que je ressentais pour cette femme dépassait le cadre d’un simple partenariat de danse mais il était encore trop tôt pour moi d’y mettre des mots ou même d’oser les prononcer. A la place, je laissais s’exprimer mon corps qui lui, savait très bien se faire comprendre et les gémissements de Thaïs n’en étaient que de belles récompenses même si je n’étais pas en reste de mon côté. Aucune femme ne m’avait donné autant de plaisir qu’elle et ce fut donc comblé que je retombais légèrement sur elle, tentant de retrouver ma respiration. « Où veux-tu que j’aille ? Je ne risque pas de sauter de la voiture alors qu’elle roule » murmurais-je à son oreille avant de déposer un baiser au creux de son cou pour me redresser sur mes coudes. « Je n’ai pas envie de partir… et j’entends par là que j’aimerai que tu deviennes plus qu’une partenaire et bien plus qu’une amante d’une route. Enfin si tu le souhaites aussi » bafouillais-je légèrement sur la fin car je me sentais un peu con. D’ailleurs, je me glissais sur le côté pour m’allonger sur le dos ne sachant pas si je devais l’attirer dans mes bras ou me contenter de me rhabiller. Les relations sociales n’étaient franchement pas pour moi.
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