Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityYou kidding me ? [Dunly] - Page 6


You kidding me ? [Dunly]

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
you kidding me ?

Ce soir je crois que j'ai ressenti toutes les émotions possibles et imaginables à ses côtés. La joie de l'emmener dans un lieu qu'elle n'appréciait pas, la colère de la voir monter sur cette scène, une sorte de violence incontrôlable lorsque ce type l'a touché, du dégoût en voyant sa bouche pleine (a), je m'étais même senti rassuré lorsqu'elle m'a rendu mon paquet sans toucher au joint, sans oublier cette once de ce qui ressemblerait à du bonheur en la voyant rire, bref elle était vraiment la seule à pouvoir me faire vivre autant de choses en seulement quelques heures. Mais la sensation qui primait sur toutes les autres, restera sans doute cette saleté de jalousie qui me ronge sans cesse et sans arrêt. Aucune seconde ne passe sans que j'ai cette crainte que ma jalousie prenne un jour le pas sur moi et détruise tout. Je savais qu'elle ne m'abandonnera jamais, sinon elle ne m'aurait jamais retenu l'autre jour à l'hôpital, cependant je la connais mieux que personne cette petite blonde, un geste ou une parole de travers et je pouvais la perdre. C'était un vrai bordel dans ma tête, quelque chose dont j'avais de plus en plus de mal à contrôler. Bref je n'avais pas envie de me prendre la tête avec ça pour le peu de temps qui nous restait ensemble, elle perdait une nouvelle fois son sang-froid lorsque j'eus l'envie de rendre visite à ses amies de la Quincy House. Elles sont pas connues pour avoir un grand cœur et l'âme charitable ? Aucune d'entre elles ne pourrait refuser l'accès à un jeune homme sans défense dans leur chambre (a) j'avais bien envie de l'énerver encore un peu plus sur ce sujet, quitte à dire de nouveau n'importe quoi. Tu dis n'importe quoi là. Pourquoi est-ce que je provoquerais un problème ? Au contraire je leur procurerais le coup de leur vie, elles te seront à jamais redevables pour ça. C'est utile d'avoir un frère aussi beau-gosse que le tien. Elle me proposa ensuite de dormir à l'hôtel en avouant qu'elle n'allait pas me laisser me détruire la face ce soir, je ne savais pas comment prendre ses paroles. Je hochais seulement les épaules en souriant. Tu sais quoi ? J'ai même plus le courage de m'engueuler avec toi ce soir. Je vais me contenter de te faire rager, j'adore t'énerver c'est ma façon de .. Te cacher ce que je ressens vraiment pour toi .. mais fermes là Duncan. Avant de dire l'inévitable je sortais rapidement le joint qu'elle avait refusé de fumer pour le mettre dans ma bouche, sortant ensuite mon briquet et l'approchant de ma drogue, ne finissant pas ma phrase, hors de question de le faire d'ailleurs.



CREDIT TO KAIJI FROM ILH



HJ:
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
you kidding me ?

C'est fou comme cette dernière semaine avait été incroyablement fatigante. Il m’agace tellement, mais j'arrive toujours à me détendre, à lui pardonner en quelques sortes. Sûrement parce que je m'y suis habitué depuis toutes ces années. Mais l'entendre se vanter sur ses conquêtes, sur le fait qu'il a du succès et qu'il arrive toujours à déformer à son avantage mes dires, ça m'exaspère au plus haut point, pour ne pas dire que ça m'énerve grandement. J'ai l'impression de l'être de plus en plus, et que du coup, je n'arrive plus à me distancer de lui, à l'éviter, à lui faire croire que tout ce qu'il raconte me passe largement au dessus et que j'en ai rien à faire. Non, c'était fini ce temps. A présent je m'emporte bien plus souvent, et j'aime vraiment pas ça. Tellement que j'en deviens rouge de colère quand il me déforme mes dires. J'ai envie de le frapper mais j'y arrive pas, j'y arriverais jamais, pas en étant vraiment colère contre lui, à part si c'est pour le taper légèrement avec un magasine (a). Non, je dois tenir à lui quelque part, parce que sinon je me foutrais bien de ce qu'il peut bien lui arriver ce soir. Arrête tes conneries un peu ! Tu n'iras certainement pas faire ton gigolo dans ma maison, je te laisserais pas entrer ! Je ne cherchais pas à comprendre pourquoi j'étais aussi énervée contre lui à ce moment-là, pourquoi je n'avais pas envie qu'il aille voir une autre fille pour ce soir. Ou pour n'importe quel soir d'ailleurs. Je lui avais donc dit ensuite d'aller se coucher dans un hôtel à la place, pour qu'il nous fiche la paix, et j'ai vraiment cru qu'il était bien décidé à me laisser enfin tranquille, mais je pouvais pas le laisser partir tout de suite ... Pourquoi ? Et bien il n'avait pas fini sa phrase et elle n'étais pas rentrée dans les oreilles d'une sourde. C'est comme si je n'avais entendu que cette phrase là. Je me mis à le fixer alors qu'il sortait de nouveau un joint. Lassant, mais j'étais bien trop intriguée par ce qu'il venait de dire pour faire attention à son addiction. C'est ta façon de quoi ? De m'aimer c'est ça ? Tu n'as plus aucune raison de le faire. On est plus frère et soeur et je ne t'abandonne plus à présent, alors lâche moi la grappe ok ?! Oui je m'imaginais ça, qu'il m'aimait encore comme une soeur, mais il y avait quelque chose de plus, quelque chose que j'étais incapable de détecter, mais peu importait, pour ce soir, j'en avais marre qu'il m'énerve autant. J'ai besoin de dormir, de me reposer, de me calmer.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
you kidding me ?

Je n'arriverais jamais à comprendre comment elle fait pour me supporter, j'étais d'une mauvaise foi et très souvent mes propos étaient sans limite et très blessante à son égard. Pourtant après toutes ces péripéties que nous avons vécues ensemble, elle parvenait à me pardonner, à faire abstraction de mes conneries en me donnant encore et encore une nouvelle chance d'être un peu moins con avec elle. Cependant j'étais incapable d'être quelqu'un de bien, surtout avec elle, probablement un manque de courage de ma part, la peur qu'en étant sympa elle termine par vraiment s'attacher et par conséquent ce que je ressens pour elle depuis des années me feraient encore un peu plus mal qu'auparavant. J'ai besoin qu'elle me déteste, sans pour autant me haïr, oui c'est plutôt contradictoire mais je ne saurais m'expliquer mieux que cela. Je rigolais en l'attendant me dire qu'elle ne me laisserait pas entrer à la Quincy House pour m'empêcher de jouer au gigolo avec les membres féminines de sa fraternité, elle devait certainement avoir peur que je lui fasse une mauvaise réputation, je ne voyais pas les choses autrement sinon. C'est alors que j'allais faire une sacrée boulette, lui avouer qu'en réalité quand je la faisais chier c'était un peu ma façon à moi de cacher la vérité, de l'aimer en arrêtant de me voir comme un monstre, mais visiblement elle voulait que je termine ma phrase. Et elle n'allait certainement pas lâcher l'affaire. C'est bizarre, j'aurais pu lui dire que c'est ma manière à moi de l'aimer comme un frère, mais c'était tellement autre chose, je devais lui mentir et malheureusement pour elle j'allais encore une fois jouer à l'enfoiré. Je tirais une latte sur mon joint en continuant notre chemin qui arrivait bientôt à son terminus. Non c'est ma façon de te supporter. Disais-je d'un ton blasé. Finalement je me sentais obligé d'en remettre une couche, trop lâche pour être honnête avec Lily. Tu crois vraiment que je t'aime ? Je ne t'aime pas Lily, je n'aime personne. Ma vie se résume à faire chier les gens et si je te parle, si je reste avec toi, c'est juste pour être présent et voir la gueule que tu vas tirer lorsque tu craqueras pour de bon. Je prends mon pied à te voir en colère et me détester, tu comprends ? Nous étions presque arrivés, nous pouvons voir le bâtiment à quelques pas de nous, je m'arrêtais de marcher, tirant une nouvelle latte avant de recracher la fumée près du visage de Lily. Je ne t'aime pas, je suis ton cancer, tu ne le vois peut-être pas mais je vais finir par te briser d'une manière ou d'une autre. Tu n'arrives pas à te débarrasser de moi alors que l'envie ne t'as jamais manqué, tu ne peux pas et ça te bouffe de l'intérieur. J'affichais ce sourire de petit con qui me collait tant à la peau, je ne pensais pas à mot de ce que je disais, mais je me sentais tellement obligé de lui mentir de la sorte, d'être méchant avec elle, pire qu'une pulsion ..



CREDIT TO KAIJI FROM ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
you kidding me ?

Evidemment qu'il n'allait pas appuyer mes dires, mais j'eus osé tout de même espéré qu'il avoue un peu le fait qu'il ne pouvait pas se passer de moi. En quelque sorte c'est ce qu'il me prouvait tout le temps, mais je n'arrivais pas à lui faire dire pourquoi. Pourquoi il a besoin de se retrouver dans la même ville et pays que moi pour éviter de me faire la gueule. Bon ok, j'en ai rien à faire. Bon ok, un peu moins depuis qu'on a appris qu'on était plus frère et sœur du tout. Je n'arrive toujours pas à me le rentrer dans le crâne, à prendre ça en compte, tout comme lorsque ma mère est partie pour un monde meilleur. Un changement si brutal ... Il me faut du temps pour l'assimiler, même si j'en ai bien conscience. Il reprit donc mes paroles, comme je l'avais imaginé, et me fit savoir que c'était donc sa façon à lui de me supporter. Je n'avais pas envie de chipoter, j'aurais très bien pu lui demander pourquoi il avait arrêté sa phrase pour simplement me dire ça, chose que je sais pertinemment et qui ne lui fait pas mal à la gorge en le disant. Enfin, ce n'est qu'une supposition. Mais ce qu'il rajouta par la suite me fit assez mal. Vraiment. Et pourtant j'en ai toujours eu rien à faire de lui, alors pourquoi est-ce que ça me blessait autant ?! Pourquoi est-ce que j'avais envie de le gifler et de partir en courant et en pleurant jusque dans mon lit ?! Je préférais laisser largement place à la colère, parce que après tout c'est ce qu'il voulait non ?! Ça me laissera déjà un peu moins vulnérable à ses yeux. Je devenais rouge comme une tomate, encore plus quand il se compara à un cancer avec son petit sourire de salaud que je ne pouvais pas supporter, encore moins dans ces moments-là. Et dire que je faisais des efforts pour qu'on puisse bien s'entendre. Je me rend bien compte que ça ne sert décidément à rien. Soit ! Tu l'auras voulu ! JE ME BARRE !!!! Je le dépasse alors, totalement hors de moi, même pas assez calme pour répondre à ses paroles et marche à la limite de la course et rajoute sans me retourner BONNE NUIT ! Je crois bien que c'est la première fois que je me retrouve autant en pétard. Quelle nuit ! Et elle était bien loin d'être terminée. Pire que le café la colère ...
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
you kidding me ?

Je n'arrive même plus à savoir ce que je veux réellement avec elle. J'ai ce besoin de l'énerver pour toutes ces raisons qui me sont propres, pour toutes ces raisons qui font que je suis ici à la suivre à Harvard alors que j'aurais très bien pu continuer mes études à Londres et probablement travailler avec le paternel, mais non j'ai préféré la suivre à Harvard, pour étudier le droit dont je ne sais même pas à quoi ça va me servir, à me défoncer tous les soirs et foutre la merde le plus possible .. Donc oui j'ai besoin qu'elle s'énerve après moi, qu'elle ne ressent rien de plus que de la rage, mais au fond une fois mon but atteint, une fois Lily à bout, ça me fait tout aussi mal. Cependant je ne le montrais pas, du moins pas lorsqu'elle est face à moi. Elle s'énerva et s'exclamait qu'elle se barrait. Je lui montrais alors le chemin de la main comme pour lui dire 'je t'en prie, casses toi' bien qu'en réalité ce n'est pas ce que je voulais. Elle accéléra le pas, rouge de rage. Pourquoi est-ce qu'enfaîte ça ne me fait pas aussi plaisir que ça ? Pourquoi mes dires, mes gestes et ce que je ressens et pense sont en total désaccord les uns avec les autres ? Je vais finir par devenir fou, si ce n'est pas déjà fait. Elle s'énerva d'autant plus lorsqu'elle me souhaita bonne nuit, oui Lily c'est la seule fille qui te souhaite bonne nuit alors qu'elle est en train de péter un câble à cause de toi, maintenant elle était bien devant moi, je grimaçais légèrement en la voyant sortir de ses gonds, mais foutu pour foutu .. Ouais c'est ça va chier ton caca nerveux en te bouffant un pot de chocolat devant tes séries pour gonzesses. Tu pourras même envoyer des sms à tes grognasses de meilleures amies pour leur dire la soirée de merde que je t'ai fait passer, au moins t'auras quelqu'un avec qui m'insulter. Disais-je presque en hurlant en la regardant s'éloigner. J'aurais pu fermer ma gueule, mais non j'étais encore obligé d'en rajouter une couche. Mon joint dans ma bouche, je tirais une latte avant de la recracher et d'avancer de quelques pas pour qu'elle m'entend. Et compte pas sur moi pour te suivre encore, rien à foutre si tu te fais agresser. Bon là je disais carrément n'importe quoi, bien sûr que j'en avais quelque chose à faire, surtout à cette heure-ci près de l'université avec des étudiants plus cinglés les uns que les autres. Je m’asseyais sur le bord du trottoir pour terminer mon joint, mais aussi pour la regarder du coin de l’œil jusqu'à ce qu'elle rentre.



CREDIT TO KAIJI FROM ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
you kidding me ?

Oui, je croyais vraiment que me barrer de la sorte, comme une voleuse allait un peu le clouer sur place. A croire que je mise trop d'espoir sur lui. Et j'en ai vraiment ras le bol. Il le fait vraiment exprès c'est pas croyable. Il le fait vraiment exprès de me faire mal comme ça. Je sais bien que je lui en ai fait baver, mais là, il va vraiment trop loin et j'en peux plus. Tellement que les larmes coulent à force, avant même que j'arrive à destination et bien cachée sous ma couette. Tête baissée, je m'étais stoppée, et essayais de ravaler mes larmes tant bien que mal pour ensuite me retourner et lui répondre Je préfère largement me faire agresser plutôt que de d'écouter une seconde de plus ! Dis-je entre deux larmes, parce que je m'étais mise à lâcher des larmes de nouveau. Pas le gros chagrin, juste l'énorme pincement au cœur, l'horrible serrement qui te force à pleurer contre ton gré. C'était bien la première fois que mon frère arrivait à me faire pleurer, et franchement j'aime pas ça du tout. Je n'avais pas non plus envie de partir sur une telle dispute, en lui disant ce genre de chose, mais il ne me laissait guère le choix. Il sait très bien que je ne vais pas la laisser parler sans me défendre. Cette fois-ci, je me met carrément en colère pour finir en pleurs. C'est totalement inédit pour nous deux, et je me fous bien de savoir comment il va réagir. Je ne pourrais pas supporter l'entendre encore me critiquer une fois de plus. Alors j'essuie mes larmes d'un coup de bras, lui montrant bien qu'il avait réussi à me faire pleurer, puis me retournais et me mis à courir vers la Quincy House. En talons.


Fin de la scène
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)