Build sandcastles with a sexy boy. - With Sullivan.

E. SULLIVAN S. HUMPHREY&CHUCK A. DAVIS

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Cette journée débutait bien, je venais de coucher avec un bel inconnu, enfin, je connaissais juste son prénom, et vu sa langue et son âge, il devait aussi être à Harvard. Je l'attendais qu'il se rhabille. « Oui, bien évidemment. Chose promise, chose due. » Je souriais, et lorsqu'il fut complètement rhabiller, je m'approchais de lui pour lui capturer la lèvre inférieur pour la mordiller, avant de m'écarter, et glisser mes doigts entre les siens pour le tirer en dehors de la chambre, prenant mon sac au passage. Je me dirigeais vers l'ascenseur, l'emmenant bien décidée à manger ma glace. J'entrais dans l'ascenseur, c'est alors qu'une famille arriva, nous retrouvant alors serrer. Je me retrouvais contre contre coller à Sullivan, ma cuisse entre les siennes, j'en profitais pour discrètement bouger un peu ma cuisse pour m'amuser à jouer encore avec lui. Je déposais un baiser dans son cou, puis je remontais mes lèvres jusqu'à son oreille. « Plutôt sympathique... » J'eus une moue taquine à son égard, et lorsque la porte de l'ascenseur s'ouvrit, je fus la première à sortir. Je l'attendais dehors, pour qu'il m'accompagne jusqu'au glacier.

Une fois rhabillé, je fermais derrière moi et nous prenions l'ascenseur, dans le but d'aller manger cette glace que nous avions mérités après tout ce sport de chambre que nous avions fait. La demoiselle posa sa main sur ma cuisse, mais l'enleva bien vite en voyant une famille rentrer à son tour dans la cage d'acier, ce qui fit qu'elle dut se coller contre moi, et qu'elle en profita pour titiller à nouveau mon entrejambe, alors que des enfants se trouvaient à quelques centimètres de nous, pas gênés pour un sou, au moins. Cela n'était pas sans effet sur moi, bien évidemment, même si cela me gênait que ces petites têtes blondes soient aussi proches de nous. Elle sortit la première de l'ascenseur, et je la suivais. Je marchais à côté d'elle sur la plage, ma main posé sur ses fesses, jusqu'à ce que l'on arrive au marchand de glaces, où je commandais deux fois les plus gros cornets avec le plus de goût. Je ne fus pas dérangé par quelques gamins revanchards de ma grimace de tout à l'heure, même si je fus un peu mis mal à l'aise par le pied de la demoiselle qui se retrouvait juste sur mon entrejambe. Décidément, je n'avais jamais connu de demoiselle comme elle, c'était certain.