Build sandcastles with a sexy boy. - With Sullivan.

J'aimais le soleil, cela me rappelait le Portugal, Madeire, mon enfance. Mon pays natal me manquait parfois, et c'était la raison pour laquelle j'avais liquidé la maison à Londres mais pas celle au bord de mer, au Portugal, elle appartenait à grand-mère, je ne pouvais pas la vendre. J'avais pu payer le voyage pour le spring-break à Cancun grâce aux économies que j'avais fait depuis quelques temps, et je ne le regrettais pas. J'aimais Harvard, cela me permettait d'avoir de grands espoirs pour la suite de ma vie, on avait là-bas les meilleurs études, mais c'était parfois pesant pour moi, cela me donnait une très grande pression, que d'être dans une des meilleurs universités du monde, alors je méritais un peu de vacances.

Je me baladais sur la plage, pieds nus, et souris de voir tous ces enfants jouer à l'eau, à faire des châteaux de sable, cela me rappelait la première fois que j'avais emmené Rio à Madeire, que je lui avais montré mon petit coin de paradis lusitanien. Je ne regardais pas devant moi, mais l'horizon me semblait parfait, ici, loin des soucis. Je m'assis dans le sable, à côté d'enfants faisant un château de sable, cela m'amusait. Enfin, jusqu'à ce qu'une demoiselle ne regarde pas devant elle et explose leur château, avant d'atterrir dans mes bras -et m'offrir une vue plongeante sur sa poitrine aussi-. Je la lachais, et elle pour se dégager, elle se mit dans une situation assez compromettante, surtout à côté d'enfant. Elle balbutia légèrement, ce qui m'amusa. « C'est pas grave. Par contre, ta position actuelle n'est pas adéquate pour le moment, j'ai pas envie qu'on pense que tu me.. devant des enfants. » Je ne connaissais pas son nom et j'étais déja en train de dire des choses comme celles-ci, well, pas le meilleur début de relation pour une fille que je ne connaissais pas encore. Enfin, les enfants vinrent râler sur la demoiselle, ce qui me fit pouffer de rire. « Votre château avait une faille de toute façon.» Dis je en leur tirant la langue, avant de me relever. La demoiselle toujours à genoux, décidément, dieu voulait que nous fautions ensemble apparemment. « Tu vas bien ? Je mangerais bien une glace, t'en veux une ? » Dis je en lui tendant la main.