"Lost and insecure, you found me." |Billie&Julian|

The seventh thing I like the most that you do: you make me love You.

(Invité)

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Losing him ; the only one who's ever known who I am, who I'm not and who I wanna be.

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The seventh thing I like the most that you do: you make me love You.

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Losing him ; the only one who's ever known who I am, who I'm not and who I wanna be.

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The seventh thing I like the most that you do: you make me love You.

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Losing him ; the only one who's ever known who I am, who I'm not and who I wanna be.

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The seventh thing I like the most that you do: you make me love You.

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Losing him ; the only one who's ever known who I am, who I'm not and who I wanna be.

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The seventh thing I like the most that you do: you make me love You.

Devant tout cet étalage d’attention, de douceur et de tendresse, Julian ferma les yeux, se contentant de profiter de l’instant présent. Billie laissa ses lèvres traîner au coin des siennes avant de dériver vers sa mâchoire et d’y frotter le bout de son petit nez avant d’embrasser tendrement son lobe d’oreille et d’y souffler un remerciement dans le creux de cette dernière.
Le brun tourna la tête vers elle, dégagea le visage de Billie d’une mèche de cheveux et laissa sa main continuer jusqu’à la nuque de la jeune femme avant de la laisser glisser le long de sa colonne vertébrale et de s’arrêter dans sa chute de reins tandis qu’il lui donnait un autre baiser, tout en douceur, décollant lentement ses lèvres des siennes et qu’il reculait son visage pour la regarder d’un air un peu timide mais heureux.

« - Fais-moi penser à te jouer mon dernier morceau, il devrait te plaire… »

(Invité)

Ça ira, mon amour ; ça ira pour toujours.

Ses mains traînaient dans mon dos, s'arrêtant sur mes reins et une étrange sensation remonta le long de mon échine. Il me parla de sa musique et je souris. J'avais toujours aimé l'écouter jouer de la guitare ; à New York, nous nous faisions des soirées au coin du feu où il jouait sans s'arrêter, et je me contentai de l'écouter, roulée en boule sur notre canapé. Je bougeai contre lui, et vins me coucher par-dessus son corps, croisant mes mains sur son torse, sous mon menton et je le regardai par-dessous mes cils. « Tu veux bien me le jouer maintenant ? » Je jetai un coup d’œil vers l'armoire au bout de ma chambre, où ma guitare reposait tranquillement dans sa housse. « J'ai pensé à prendre ma guitare avant de partir de Cambridge. »

(Invité)

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