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Kiley D. Westbrook dit « West» ◈ origine : Américaine ◈ groupe : Eliot ◈ qualités : Social - Généreux- Brillant- Comique ◈ défauts : Insouciant- Tête en l'air- Impulsif- Fendant ๑ feat Liam Hemsworth _ | ✎ Qui est Kiley Voilà mon apprenti docteur se cherche des liens de toutes sortes. Que faut-il savoir sur Kiley avant de demander des liens. Tout d’abord il s’agit d’un homme en or, il veut être dans la profession médical non pas pour faire fortune, mais pour aider les gens. Quoi que l’argent ne le dégoute pas non plus. Il est né dans le luxe et adore en être entouré, petite classe ouvrière prenez garde, il est mal à l’aise entouré de gens moins fortuné, alors si vous désirez un lien positif il faudra user de votre jugeote pour ne pas qu’il se soit aperçu de votre statue économique avant de vous connaitre. Sinon il est généreux et aime bien rigoler. Il n’est pas contre une petite bouffé de ganja de temps en temps. Il est le genre de type à ne pas s’en faire avec les petits problèmes de la vie et il voit toujours la situation du bon côté. Donc voilà pour mon Kiley je cherche de tout, de la connaissance à la petite amie, du meilleur ami au pire ennemi, je suis ouvert au lien tordu de ce monde et j’attends vos demandes avec impatience. Histoire Vous connaissez l’adage d’être plus préoccupé par la fin du monde que la fin du mois ? Enfin c’est un peu sous cette pensée que j’ai grandi, on pourrait dire que j’ai été choyé dans un sens. Parce qu’en grandissant je n’ai jamais manqué de rien, j’avais la nourriture toujours prêtes pour les repas, j’avais des fringues de bonne qualité, j’en avais pour toute les saisons et pour toutes les occasions. Mes parents sont chirurgiens, tous les deux travaillent dans le même hôpital, et y ont travaillé du plus loin que je me souvienne. J’ai passé une grande partie de mon enfance à l’hôpital presbytérien de New-York, je me rappelle que lorsque mon père ou ma mère était en chirurgie j’allais dans la salle de repos et cette femme médecin, qui avait l’âge de ma grand-mère, m’accueillait toujours avec le sourire, et j’écoutais souvent Dallas avec elle. Les infirmières m’avaient trouvé un mini sarreau et un stéthoscope et je m’amusais à jouer au médecin en attendant mes parents. À vrai dire j’ai toujours su au fond de moi que je deviendrais un jour médecin, avec un père neurochirurgien et une mère spécialiste en néo-natalité c’était quasiment certain que je me retrouverais un jour dans cet univers. Vous n’imaginez même pas le sourire radieux émanant du visage de mes parents lorsque je leur ai annoncé que je voulais devenir médecin, et que comme eux je voulais sauver des vies. Je n’étais pas encore sorti de l’école secondaire que ma mère m’enseignait déjà l’anatomie et mon père m’établissait les bases d’un bon chirurgien, enfin quand ils étaient là, parce que bien qu’ils étaient des parents géniaux, ils étaient avant tout mariés à leur travail. C’est un peu pourquoi les fêtes étaient sacrées pour nous. C’était un des seuls moments où on se retrouvait en famille, réunis tout le monde. Donc voilà après le lycée j’aurais effectivement pu aller à Cornell, le programme de médecine y est très bien, et en plus j’aurais fait mon internat avec mes parents, mais j’avais besoin d’aller voir comment c’était fait ailleurs, comment c’était de vivre par moi-même, enfin façon de parler, parce que mes parents subvenaient encore à mes besoins financier. Donc après avoir passé d’excellant SAT j’ai décidé d’appliquer pour Harvard, je serais loin de chez moi sans toutefois être à l’autre bout de la planète, je pourrai donc jouir d’une grande liberté et en même temps être à la maison pour Thanksgiving sans avoir à me taper quatre heures d’avion. L’arrivé à Harvard fut quelques peu déboussolant. J’étais loin de me douter qu’étudier à cette école mythique serait aussi mouvementé. Quand on pense à Harvard on pense à l’excellence, à la crème de la crème, mais entre les soirées Mather, les guerres inter maison et tout le tralala j’ai dû prendre quelques mois pour m’y habituer. Et puis il y a eu l’attentat. Là ma mère a pété un câble, elle voulait que je revienne à New-York, heureusement que mon père l’a résonné parce qu’après tout ce temps Harvard c’est devenu chez moi. |
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