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If you're a party freak, then step on the floor [Valixie]

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« Profites de ta chance! Ça te rend unique, ça! T’as pas envie de… te blesser? J’sais pas, que je teste mes capacités d’infirmières? » Je souris de façon taquine en haussant les épaules, penchant la tête légèrement sur le côté pour l’observer. Parfois, je dois avouer que j’oubliais avoir déjà été stripteaseuse. Non pas parce que c’était un boulot dégradant, mais parce que c’est comme si maintenant, je ne considérais plus cela que comme un don. C’était avantageux, de savoir bien bouger en soirée, mais également de savoir bien se déhancher devant un mec qui n’a d’yeux que pour les vêtements qu’on retire un à un… J’avais déjà testé, et je dois dire que le résultat est toujours agréable. Bref! Pour ne pas m’emporter dans mes propres pensées, je croisai les bras de fierté en entendant Valentin dire qu’il aimait bien les portugaises seulement comme moi. Flatteur, quand même! « Je vais prendre ça comme un compliment : j’suis la seule portugaise importante pour le bel italien que t’es, toi! Ça t’va comme ça? » Je souris en coin en me passant une main dans les cheveux, en prenant bien soin de faire attention à la fleur qu’il était allé me cueillir quelques instants plus tôt. Je ne sais pas vraiment si c’est la fleur, ou l’alcool, ou juste la présence de mon ami qui m’avait poussé à faire ça, mais le deuxième baiser que je lui avais offert sur le coin de la bouche n’avait pas été accidentel, ni même simplement considéré comme un «bisou» amical. Il y a une différence entre un bisou et un baiser, pour moi, et là, la différence avait été flagrante, quoique je me situais un peu entre les deux. À voir Valentin aussi mal à l’aise, à bégayer et à hésiter dans ce qu’il allait me dire, je dois avouer ne pas avoir pu retenir une légère panique intérieure que je dissimulai du mieux que je pouvais. Bah quoi? C’est toujours…blessant de se faire repousser, même si dans cette situation, c’était moi la fautive. « Val, je suis déso-… » Je n’eus même pas le temps de terminer ma phrase que le bel italien me coupait la parole pour me dire que ce n’était pas suffisant. Quoi?! Avais-je bien entendu? J’hallucinais très sûrement, c’était pas possible qu’il m’ait dit ça. Mais visiblement, oui, parce que à peine quelques secondes plus tard, il déposait ses lèvres sur les miennes. Ce fut court. Mais je ne vais pas cacher que j’ai aimé, beaucoup même, malgré que ce fut bref. Très bref. À peine deux secondes. Je ne vais pas cacher non plus que j’aurais aimé que ça dure. Je suis une fille, bon dieu, et bien que je peux être garce par moments, les moments comme ceux-là, les baisers je veux dire, sont mes faiblesses. Immédiatement après ce court baiser, un moment de silence plomba l’ambiance, avant que Valentin ne se retourne pour dire tout simplement qu’il avait besoin de se nettoyer la main. Je lui indiquai du bout du doigt que se trouvait là-bas un petit lac, et je restai figée un court ici. Après quelques minutes, je finis par le rejoindre. « J’suis vraiment désolée, Val.. Ça doit être l’alcool.. Ou bien, enfin… Juste le fait que je te trouve dangereusement attirant, sur tous les points. » Mais ça, il le sait très bien lui-même, qu’il était craquant, attirant, délicieusement beau, bref : tout. Et je le lui avais déjà dit de toute façon lors de nos premières soirées ensemble, alors. Pour ce qui est de l’alcool, c’était faux. J’avais bu un verre et une bière, et j’étais capable de supporter une dizaine de verres avant d’être saoule. Deux : je disais peut-être des conneries quelquefois, mais j’étais très consciente de ce que je disais et faisais. Consentante inclus. « T’allais me dire quoi, tout à l’heure? » Je m’adossai donc à l’arbre qui se trouvait sur le bord du lac, juste à côté de Val, espérant qu’il ne m’en veuille pas. Et encore une fois, je ne me cacherai pas que j’avais encore envie qu’il m’embrasse. Mais espérer était une mauvaise chose!
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A croire qu'on aurait pu continuer encore longtemps dans nos délires, qu'avec elle c'est si facile de rire, de s'échapper, d'arrêter de penser et de dire de la merde. Aussi, elle continuait à me faire rire, et quand elle me proposa de me blesser pour voir si ses capacités d'infirmières étaient bonnes. Mais elle venait pas de me dire qu'elle allait seulement commencer ?! Heu c'est pas que j'ai pas confiance en toi, mais heu je crois qu'on va attendre que t'es faite ta première année avant hein ?! Lui avais-je répondu pour la taquiner encore un peu plus. Après tout, c'était un des métiers les plus délicat et compliqué de ce que j'avais pu entendre, alors autant avoir un peu de notion avant que je ne me jette d'un pont pour elle (a). Puis était venu le temps de la guerre entre nos origines et nous avions fini par trouver un terrain d'entente et je ne pus que lui répondre positivement à ce qu'elle venait de me proposer. C'est parfait ma chère ! L'épisode de la fleur avait du me tomber sur la tête, me faire devenir encore plus délirant, encore plus fou que d'habitude, sûrement du à ces deux petites bières, ou pas, mais je lui avais demandé un bisou, et ça avait un peu dérapé. Et j'avais pas l'impression que c'était accidentel. Et je crois bien que c'est aussi une des choses qui m'avait déstabilisé. Tellement que j'avais dit de la merde, tellement que j'avais agi sans penser, sans faire attention. Je ne m'en voulais pas vraiment, mais c'était trop bizarre. Comme un instinct jamais assouvi, qu'à présent je pouvais faire. Je me sentais gêné et j'étais donc parti devant vers le fameux lac qu'il y avait non loin de là. Puis alors que j'étais de dos, elle se mit à s'excuser et à me faire des compliments, à me dire ce qu'elle aimait chez moi. Seulement cette fois-ci, je ne le voyais pas comme de la part d'une simple amie. Il y avait plus et n'importe qui aurait pu l'entendre ou le comprendre. Et moi j'étais totalement pommé. Mon cœur s'était simplement mis à s'accélérer et j'étais incapable de lui répondre quoi que ce soit. A la place je m'étais retourné et lui avait adressé un faible sourire. J'allais pas moi aussi me fondre en excuse parce que je ne savais même pas pourquoi j'avais fait ça. Je m'étais agenouillé une fois arrivé au bord du lac pour décrasser mes mains, et mon sang parti avec, laissant une faible ouverture à l'intérieur de ma main. Je serrai mon poing alors qu'elle me demandait ce que je voulais lui dire tout à l'heure. Je me relevais et me tournais vers elle. Sateen et moi on est plus ensemble. Et je suis désolé de t'avoir embrassé, je ne sais pas ce qu'il m'a pris. Je suis peut-être en manque d'affection, j'en sais rien ... Avouer qu'entre moi et Dixie il y avait toujours eu plus ? Ça m'avait toujours fait peur et je ne savais pas comment gérer ça. Je ne voulais pas être encore un de ces mecs qui allaient passer dans son lit, je voulais être son ami avant tout, et c'était bien le genre de chose qui pouvait tout casser.
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« Roooh… j’ai déjà quelques techniques, tu sais. Et puis au pire, je fais la compagnie sexy, et on t’engage une infirmière toute moche. J’ai pas envie d’avoir d’la compétition, non mais oh! » Je fis une légère moue boudeuse en le regardant, puis souris de toutes mes dents. On se taquinait, et j’aimais ce moment de détente et de complicité qu’on partageait. Amitié? Bien sûr! Mais je dois avouer qu’à partir du moment où la petite «guerre» des nationalités avait commencée, et qu’il était allé me chercher cette fleur dans l’arbre, m’avait vue rougir, s’était blessé et que je lui avais accordé un simple bisou sur la joue, avant d’en faire un nouveau sur le coin des lèvres, je me sentais plus… bizarre. Bizarre ne décrirait pas assez parfaitement comment je pouvais me sentir en ce moment-même. Je me sentais attirée par Valentin, et m’excusant de mon comportement à son égard, je m’approchais de lui, en m’adossant près de l’arbre. Et là, pouf! Il m’annonça que ce qu’il voulait me dire avant de m’embrasser était qu’il n’était plus en couple avec Sateen. Quoi?! Et merde… j’avais dû faire une grosse gaffe là, quand même… Je me sentais encore plus mal, maintenant, surtout que mon cœur décidait de faire des siennes en battant un peu trop vite qu’à l’ordinaire quand je passais du temps avec lui. « Je m’en étais un peu doutée… Mais écoute. Les conseils de ce genre, par rapport à l’amour, je crois que c’est ceux dont je suis la moins douée. Heureusement que je suis pas psychologue de cœur, parce que je ferais faillite bien vite… Enfin, quand j’étais avec Sören, bien que mon histoire avec lui ait durée bien moins longtemps que la tienne avec Sateen : ça revient au même, ce sont deux histoires de cœur. Bref, quand j’étais avec lui et qu’il m’a abandonnée lâchement, j’me suis dit que… en fait, j’me suis rien dit du tout, pour pas te mentir. J’me suis dégradée, je me suis détestée, je pensais que c’était de ma faute. Je ne comprenais plus rien, et je ne voulais plus rien savoir de personne. Tu sais quoi? Si j’avais pas eu un ami, j’me serais retrouvée à l’hôpital avec de l’alcool et de la drogue dans les veines. Alors moi je te dirai pas que c’était peut-être pas la bonne. Que tu vas trouver mieux, parce qu’on y croit pas, à ces mots-là. Tu verras, Val. Tu verras que si c’est terminé, c’est que c’est ça, la meilleure chose. Pour vous deux. » Je n’allais pas être de ce genre de personnes à être toute douce pour amadouer quelqu’un après une rupture amoureuse en lui faisant des « à croire » en affirmant que c’est impossible, qu’ils étaient faits l’un pour l’autre, qu’ils devaient vivre heureux jusqu’à la fin de leurs jours et avoir une multitude d’enfants adorables et mignons. Je n’étais pas non plus le genre de filles à faire les faux culs et à faire semblant d’être tellement désolée pour la rupture pour en profiter et l’attirer dans mes filets. Non. J’appréciais réellement Valentin, beaucoup, même. Beaucoup plus que je ne l’imaginais moi-même, et j’allais pas profiter de la récente rupture, même si parce qu’il m’avait embrassée, j’avais l’impression d’être attirée dangereusement vers ses lèvres. Ressaisis-toi, Dixie! Je poussai un soupir. « Surtout, tu n’as pas à t’excuser, sinon j’aurais l’impression que tu regrettes et que tu n’as pas aimé. Moi par contre, je suis désolée d’avoir provoqué ça. Non pas que je regrette de t’avoir embrassée sur le coin des lèvres en premier. C’est…c’était loin, très loin d’être désagréable. Mais je suis désolée parce que je n’étais pas au courant. Et je ne veux pas que tu penses que je profite de la situation, et que je veux juste t’attirer dans mes filets, et te barrer sur ma liste des mecs avec qui j’ai pu coucher… » J’avalai ma salive avant de rectifier : « J’suis plus comme ça, maintenant. Alors même si j’ai terriblement envie d’poser mes lèvres sur les tiennes une nouvelle fois, j’le ferai pas. » Autant jouer la sincérité et l’honnêteté. C’était vrai. À quoi bon le cacher, même s’il était mon ami?
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Ah ben si elle avait déjà des notions dans le métier d'infirmière ça changeait tout ! Ou presque. Mais ce n'était pas pour ça qu'elle me fit davantage sourire, non, c'était quand elle me proposa d'engager une infirmière toute moche. Et ma réponse est sortie tout de suite. Elle ne pouvait pas douter de ma sincérité pour le coup De la compétition ? Non t'as pas à t'en inquiéter il n'y a que toi que je veux. Comme infirmière. Bon mes deux derniers mots n'étaient pas sortis très spontanément, c'était plus pour rectifier le tir histoire que ça ne devienne pas trop ambiguë. Parce que c'était déjà pas mal avec ce qui s'était passé par la suite. Et pour le coup, j'avais peur d'être allé trop loin et d'être à deux doigts de perdre une amie. Oui c'était elle qui m'avait tenté, mais c'était bel et bien moi qui avait franchi le pas. Et je ne le regrettais pas, loin de loin, je suis juste un peu sous le choc. Ça fait à peine deux jours que je ne suis plus avec Sateen que déjà j'embrasse une autre fille. Une fille qui m'avait toujours fait de l'effet sans que vraiment je ne me l'avoue. Alors oui ça me déstabilisait un peu trop. Et la distance entre elle et moi pourrait peut-être arranger les choses. Puis je lui avais enfin dit pour moi et Sateen et ce qu'elle m'expliqua me surprit. Je l'écoutais. Attentivement. Mais c'était la première fois qu'on me disait ce genre de chose. Oui ça faisait mal, mais même moi je me le disais que si on était plus ensemble c'était pour une bonne raison et surtout qu'on avait pris cette décision à deux. Même si parfois j'ai plus l'impression de m'être fait largué. Et avec ce qu'elle venait de me dire, je me devais de la rassurer un peu. Je lui offris un léger sourire, toujours un peu gêné et lui répondis C'est une décision qu'on a pris à deux. Elle ne m'a pas abandonné, et même quand elle l'a fait, j'ai toujours su aller de l'avant. Donc ne t'inquiète pas pour moi surtout, je vais bien. Et c'était vrai. D'ailleurs je lui offris un sourire bien plus franc pour bien lui montrer que c'était le cas. Seulement, pour l'heure, avec elle, j'étais confus et tout s'embrouillait dans ma tête. Puis elle se remit à parler, à m'interdire en quelque sorte de m'excuser si je n'avais pas regretter ce baiser, et ce qu'elle m'annonçait par la suite, j'avais l'impression qu'elle me faisait une déclaration limite. Elle avait autant apprécié ce simple baiser ? Non pas que ça me déranger, mais je n'avais jamais vraiment fait attention que j'aurais pu lui plaire. J'étais légèrement penaud, ne sachant pas quoi dire. Alors je restais quelques instants à la regarder, réfléchissant à ce que je pourrais dire. Je regrette pas. C'est juste que ... c'est bizarre. Je m'étais persuadé que j'allais passé le restant de ma vie aux côtés de Sateen, et se libérer d'une habitude avec une personne, j'ai du mal. Bon beaucoup moins qu'avec mon ex de folasse, mais ça reste quelque chose d'assez compliqué et j'ai l'impression que mes sentiments se mélangent. Moi aussi j'avais envie de l'embrasser de nouveau, mais je voulais pas aller trop vite, je ne savais pas où j'en étais et c'était peut-être encore un peu tôt. Je me rapprochais alors de mon amie, lui tendit la main et lui demandais avec un sourire affectueux Tu veux faire un tour au bord du lac ou tu préfères rentrer ?
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« Ah! Je vois! J’en ai de la chance, d’être ton infirmière attitrée. Enfin, ta future infirmière! » Un léger silence s’installa, même si je souriais à ces deux dernières répliques. Même si les trucs qui allaient venir n’étaient pas pour rendre l’ambiance aussi joyeuse et festive, il fallait dire que j,appréciais beaucoup ma soirée. Vraiment. Val m’avoua qu’il n’était plus en couple avec Sateen, ce qui me surprit, mais ne m’étonna pas, au fond. Pas qu’ils ne faisaient pas un beau couple, au contraire. Mais si tout avait été parfait de ce côté, il ne m’aurait pas embrassée directement sur les lèvres après ma «tactique» du baiser du coin des lèvres. « Non mais je voulais dire que… moi, on m’avait abandonnée. Lâchée comme une merde. Et je m’étais répétée encore et encore que c’était bien ce que je suis, que j’ai toujours été et serai toujours : une merde. Mais jamais, au grand jamais, écoute-moi bien, tu n’as le droit de te dire ça, ein! Jamais! Même si tu me dis que ça va bien, au fond, parfois… c’pas l’cas… » Je baissai les yeux en me remémorant mon premier baiser avec Sören, qui s’était enfin passé après une longue et puissante engueulade à la sortie du bar. Avait suivie une nuit torride et des plus agréables, puis ensuite le bal, et il était parti. Disparu, comme ça. Et même si je le détestais, que j’avais passé le cap enfin, je n’arrivais pas à complètement l’oublier, parce que ça avait été mon…vrai premier amour. Je crois. Mais bon. Voilà que je me retrouvais avec Valentin, pour une simple soirée entre potes, où on avait dansé, bu, rigolé, où on se taquinait, on s’amusait. Et où on s’était embrassés. J’avais aimé. Oui. Ça c’était clair dans ma tête, mais ça restait…embrouillé, tout de même. Bizarre, mélangé. C’est sûr que j’avais toujours été attirée un peu plus que la normale par Valentin, mais avant ce baiser, aussi bref fut-il, je ne m’étais pas rendue compte à quel point. Aux mots de Val, je levai l’index de ma main gauche en l’approchant de mes lèvres, comme pour lui indiquer de se taire. « Ne te justifie pas, je te disais seulement ce qui en était de mon côté. Ce n’était qu’un petit baiser. On… va pas paniquer pour un baiser...n'est-ce pas? » Je lui souris, tout en pensant aux choses qui me manquaient d’être aux côtés de quelqu’un. Je connaissais tous mes points faibles. Quand on m’adossait contre un arbre, un mur, une table, qu’on dégageait mon cou de tous mes cheveux, qu’on posait ses lèvres dans le creu de mon cou tout en déposant de tous petits baisers le longs de mon épaules : c’était une des choses qui me faisais littéralement craquer. Pourquoi je me surprenais à penser à ça? À en rêver, en quelques sortes? Je n’en ai pas la moindre idée. Peut-être parce que ce baiser d’à peine deux secondes qui ne voulait probablement rien dire me ravivait cette impression et ce désir, cette envie, cette faiblesse qui en réalité m’abritaient plus que quiconque ne pouvait l’imaginer. Val me sortit de mes pensées un peu trop sentimentales en me tendant la main pour que je me relève en me proposant deux choix. « Marchons encore un peu, si tu veux bien. De toute façon, j’imagine que j’ai pas terminé ma mission, pour ce soir..? » Je baissai la tête en tournant celle-ci vers le lac, afin de regarder l’horizon. C’était calme, très calme, même, et tout d’un coup, je me sentais vraiment, mais vraiment mal à l’aise. Je ne savais plus trop quoi dire. M’en voulant, d’un côté, mais ne regrettant pas, de l’autre.
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EDIT : J'ai eu un petit problème avec les réponses de mes derniers RP. Pas juste ce sujet. J'ai dû les supprimer et les reposter. Heureusement que j'les enregistre sur Word! *meurt*
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Après nos aventures et nos délires dans la rue en sortant du bar, nous nous étions dirigés vers le lac pour que je puisse me rincer la main. C'est alors que je lui avais fait part du fait que je n'étais plus avec Sateen. Elle avait réagi d'une façon à laquelle je ne m'attendais pas du tout. Mais ce n'était pas du tout pour me déplaire, au moins ça me changeait de ce que mes autres proches pouvaient penser et me dire. Oui je vivais bien finalement cette rupture, ça me faisait du bien. On était peut-être devenu trop proche, trop amoureux, trop attachés l'un à l'autre, et se séparer un temps ne pouvait faire que du bien. Sauf que c'était ça le piège. Une fois le break lancé, j'avais peur qu'on ne veuille plus se remettre ensemble. Mais voilà, c'était arrivé, et si nous deux c'était fini, il fallait que je l'accepte. Sauf qu'en parlant de tout ça, Dixie me confia son vécu face à sa rupture, et ça me faisait mal au cœur qu'elle me dise tout ça. Je ne le pris même plus pour moi, bien qu'elle m'interdisait de ne jamais penser que je pouvais être une merde. C'est gentil ce que tu me dis Dix' merci ... Mais tu as vraiment pensé ça de toi à cause de ce mec ?! J'espère que t'as vite réalisé que ça n'en valait vraiment pas la peine ! Parce que si moi je ne suis pas une merde, toi t'es encore plus loin de l'être ! Mais elle devait le savoir à présent, mais j'avais eu ce besoin de le lui rappeler, parce que je ne la connaissais pas à cette époque encore et je n'avais pas été là pour elle à ce moment-là. Puis alors que je lui faisais part de mes doutes et de mes ressentis face au baiser que je lui avais donné, elle me fit savoir que ça ne servait à rien de se prendre la tête pour un simple baiser. Et elle avait raison. Mais on était parti sur des excuses et c'était en quelque sorte ce que je voulais faire, pour lui faire comprendre pourquoi je l'avais embrassé d'un coup sans réellement donner suite. Oui tu as raison, n'en parlons plus ... Sauf que j'étais pas sûr que c'était vraiment ce dont elle avait envie, et encore moins ce que moi je voulais. Pommé bonjour ! Putain depuis que je suis plus avec Sateen j'ai l'impression que ma tête et mon cœur font à chaque fois un looping pour ne plus avoir aucun repère. Ce qui est fort chiant et pas vraiment pratique. Mais bon, je ne voulais pas m'y attarder pour ce soir, et juste profiter de cette petite soirée en compagnie de mon amie pour me changer les idées. Je lui avais donc proposé de continuer notre balade ou si elle voulait rentrer. Elle me fit savoir qu'elle n'avait certainement pas encore finie sa mission pour ce soir et franchement à ce moment, j'ai bien cru que j'allais dire encore quelque chose qui allait me donner envie de l'embrasser. Je divague complètement. Je me contentais de regarder au loin et de lui répondre autre chose Je sais pas trop ... Je me sens tout de même beaucoup mieux qu'il y a deux heures. Et les bières n'y sont absolument pour rien. Lui répondis-je en lui souriant tendrement. Je ne savais pas quoi dire d'autre, je me sentais gêné, gêné par ce que je venais de penser, et par ce qu'il s'était passé quelques instants plutôt, par ce qu'elle m'avait en quelque sorte avoué. Fallait bien avouer que ce qu'elle m'avait dit me perturbait et m'avait retourné le cerveau encore plus.
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Il faut croire que dans la vie, les choses auxquelles on s’attend le moins sont celles qui nous atteignent le plus, celles qui sont les meilleures à vivre, et celles qui risquent de nous faire souffrir le plus. Tout concorde avec ceci : je ne m’étais jamais attendue à être en couple avec Sören, et voilà qu’il m’avait durement abandonnée grâce à un simple petit SMS. La souffrance avait été inexplicable. Je ne m’étais pas non plus attendue à ce que mon meilleur ami vienne me retrouver à Harvard, alors qu’il habitait lui aussi au Portugal, comme moi. Je crois que nos retrouvailles avait été l’un des meilleurs moments de ma vie jusqu’à présent, parce qu’il avait toujours été important à mes yeux. Et puis finalement, cette soirée avec Valentin, où une multitude d’imprévus était au rendez-vous, je devais avouer que c’est une des choses au cours de ma vie qui m’a atteinte le plus, à l’exception de la mort de mon grand frère, il y a sept ans de cela. Comment cela m’atteint? En ne comprenant rien du tout. Il faut dire que moi aussi, de mon côté, je suis mélangée, et perdue, juste à cause d’un simple baiser. Un simple baiser de deux secondes à peine… Ces pensées quittèrent cependant, et peut-être heureusement mon esprit l’espace de quelques minutes, le temps que j’écoute ce que mon ami avait à dire et le temps pour moi de répondre. Sa réponse me fit sourire. « Tu sais, quand tu sors avec un mafieux, toutes les raisons sont bonnes pour croire qu’on était une bonne à rien et qu’on ne valait rien à ses yeux… C’est comme ça que je me sentais, à notre pseudo-rupture par SMS. Et puis..toi aussi c’est gentil c’que tu me dis, Valou! » Mon sourire s’étira un peu plus pour lui démontrer que j’étais sincère face à ce que je disais. Il faut dire qu’avant, je n’avais jamais pu dire à qui que ce soit le secret de ma relation avec Sören : il était de la mafia. Mais l’amour fait bien – ou mal – les choses, parce que j’étais tout de même tombée follement amoureuse de lui. Mais ça, c’était bien avant les vacances d’été, avant le Summer Camp, et bien que jamais auparavant je n’avais vécu une vraie relation, même s’il faut dire que je ne n’en ai pas encore vécu une réelle et sincère, je me surprends moi-même de voir la vitesse à laquelle cette douleur au cœur à cause de cette relation a cicatrisé rapidement. Bref, un moment de silence perdura, avant que je me souvienne de ce bref baiser partagé avec Valentin quelques minutes plus tôt. Très loin d’être désagréable, il me perturbait au plus haut point. Comment? Je n’en avais pas la moindre idée. Mais c’était la vérité. Je crois qu’il avait décelé une pointe d’hésitation et d’incertitude lorsque j’avais dit qu’il était peut-être mieux de ne plus en parler, parce qu’il me répondit sur le même ton. Ce ton qui voulait dire : oui, n’en parlons plus, mais… Ce ‘’mais’’ qui fait si bien les choses et qui vient déranger n’importe qui à n’importe quel moment. Nous continuions donc de marcher sur le bord du lac, parce que je lui avais dit que je préférais continuer à marcher plutôt que de rentrer, et aussi parce que je n’avais pas terminé ma «mission» avec lui, soit de lui changer les idées. En tout cas de mon côté, bien que je n’en ait pas eu besoin, je devais avouer qu’il avait réussi à me changer les idées complètements et à me perturber de manière assez…intense. « Tu n’sais pas trop? Si tu penses que j’ai terminé et réussi, je peux partir, aussi… Enfin, j’en ai pas vraiment envie, maintenant.. ! » J’étais loin d’avoir envie de partir. Très loin. Parce que j’étais perturbée, et que je me surprenais à espérer qu’il puisse ou veule m’embrasser une seule autre fois. Je secouai la tête rapidement à cette idée, parce que c’était stupide de ma part. Je pouvais pas faire ça. Surtout parce qu’il venait de terminer une longue relation avec Sateen, et donc parce que je m’en voudrais peut-être après? Enfin… J’ajoutai à la suite, d’une plus petite voix, une voix timide, gênée, pas très sûre d’elle-même, alors que d’habitude, et principalement en début de soirée, j’avais été pleine de vie et sûre de moi-même à fond. Amusante, même. « Les bières n’y sont pour rien? Alors…qu’est-ce qui te fait ou t’as fait aller…mieux? » Je me mordis la lèvre inférieure, pas certaine de si j’aurais dû me fermer la gueule ou non.
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On parlait de nos ruptures respectives et de nos états une fois largués et j'étais surpris que mon amie avait très mal vécu sa rupture. Je ne comprenais pas vraiment pourquoi elle s'était sentie comme une merde après, surtout qu'il ne m'avait pas semblé qu'elle soit resté longtemps avec lui vu qu'elle ne m'en avait jamais vraiment parlé. Enfin, ce n'était qu'une impression et peut-être que ça avait duré bien plus de temps après tout. Mais j'étais encore plus choqué quand elle m'annonça que c'était un mafieux. Je haussais les sourcils, choqué qu'à nos âges c'était possible. Peut-être plus facilement dans mon pays. Remarque aux USA tout pouvait arriver, encore plus qu'ailleurs. Je n'avais jamais voulu avoir affaire avec ce genre de mec, bien que j'en avais côtoyé qui était prêt à y rentrer quand j'étais en maison de redressement à mes 16 ans. Des caïds, des tarés, et je savais parfaitement que ce n'était vraiment pas le genre de fréquentation qu'une fille aussi bien que Dixie devait avoir. Oui elle avait plongé dans la drogue, mais c'était pour une raison, pas pour faire du mal autour d'elle et d'en tirer profit. Je mis du temps à répondre le temps de reprendre mes esprits, puis grimaçais légèrement T'es vraiment mal tombé, mais une chose est sûre, c'est bien mieux que tu ne sois plus avec. Il t'a déjà bien assez fait souffrir ... Je n'en revenais pas. Parce que j'appréciais pas qu'un tel type ait pu approcher ma Dixie et encore plus lui faire du mal gratuitement. Oui moi aussi j'avais un casier et un côté bien trop violent, mais il était toujours justifié. Et puis merde, je suis pas dans la mafia quoi. C'est la pire chose qui puisse arriver. Enfin bon, valait mieux parler d'autre chose plutôt que je commence à m'énerver contre un mec que je ne connaissais même pas. Elle venait déjà de découvrir mon côté violent, pas besoin d'en rajouter une couche. On était donc parti pour se faire des excuses sur ce qui s'était passé entre nous quelque minutes plutôt, et on devait plutôt être débiles à s'excuser tous les deux pour si peu. On s'était mis à marcher pour ensuite parler d'autre chose. Et franchement, je ne savais plus où se trouvait mon cerveau, tellement que je pensais à des trucs irréalistes. Et je lui faisais comprendre plutôt que c'était grâce à elle si je me sentais déjà mieux. Même si on allait pas se prendre en fou rire pour l'instant. C'est pas que ça avait mis un froid, mais une gêne assez intense et palpable. Aussi, quand elle me fit savoir que si j'allais mieux elle pouvait partir de suite, je lui répondis du tac au tac, un peu trop spontanément Non ! Puis je retournais la tête devant moi, me rendant compte que j'avais été trop spontané. Elle me demanda ensuite pour quelle raison du coup j'allais mieux. Je la regardais de nouveau et lui dis dans un sourire Toi banane ! C'est un peu évident non ?! J'avais besoin de m'amuser, de dire de la merde, de faire le con, et c'est plutôt bien réussi je trouve. Et même en repensant à Sateen, j'ai pas mal, je me sens bien, et c'est grâce à toi, grâce à cette soirée. Je lui serrais un peu plus la main, et l'approchais de ma bouche pour lui déposer un baiser. Rajouter que notre baiser y était peut-être pour quelque chose ne servait à rien. C'était déjà une gêne assez intense, pas besoin d'en rajouter davantage.

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Dixie & Valentin

Raconter nos expériences amoureuses à l’un et à l’autre nous permettait de nous confier un peu plus et de se faire confiance mutuellement. Du moins, c’est comme ça que je voyais la discussion. Il n’était plus avec Sateen, je n’étais plus avec Sören : célibataires en forces! Bon d’accord, j’exagère un peu. À voir l’expression choquée de mon bel italien me fit faiblement sourire. Quoi de plus normal que d’être sous le choc face à une telle révélation? Il fallait dire que l’amour m’avait rendue aveugle, comme le mentionne le dicton, parce que je n’avais jamais pris en considération les conséquences néfastes que le fait de sortir avec un mafieux aurait eu sur moi et sur mon entourages, mes amis, mon grand frère, etc…Heureusement, même si ce n’est pas quelque chose de très joyeux, les répercussions négatives ne m’avaient atteintes que moi et moi seule, et non personne à qui je tenais. Une chance! En plus de ça, en en parlant avec Valentin, je me rendais compte qu’il avait l’air…protecteur. Peut-être je me trompais, mais sa façon de répondre me donnait cette impression. « Je suis mal tombée peut-être, mais s’il n’était pas parti, je serais toujours à son bras, follement amoureuse de lui, sans voir ce qui pourrait m’arriver par la suite… Rassure-toi, je vais bien, maintenant! » C’était difficile à croire, parce que je me souviens qu’à l’arrivée au Summer Camp, j’étais tellement dévastée que j’avais presque fait une overdose. Heureusement, j’avais des amis, et des amis sur qui je pouvais compter, qui m’avaient sortie de là, en fait. Et puis, il faut avouer que cette rupture avait quand même eu un effet bénéfique sur moi. « En plus, tu sais, c’est grâce à cette rupture que j’ai commencé à diminuer ma consommation…de drogue. » Eh oui : je ne ressentais plus le besoin ni l’envie de me sniffer un rail de coke tous les soirs comme avant. Seulement en partys. Et il faut dire que j’arrivais plutôt bien à me contrôler, même si je craquais, parfois. D’ailleurs, en temps normal, après notre soirée, si j’avais encore été une accro aux drogues dures, je serais retournée à ma chambre d’hôtel pour me prendre un truc, afin d’oublier plus facilement ce…baiser qu’on avait partagé, et qui me perturbait toujours assez franchement. Il fallait que je me ressaisisse, merde. J’étais pas une fille aussi timide, d’habitude. Normalement, je fonçais, mais là, je bloquais. Peut-être parce que je ne voulais pas aller trop vite? Mais trop vite pour quoi? Telle était la question qui m’occupait l’esprit depuis une dizaine de minutes. Une question qui ne fit que me perturber encore plus lorsque Valentin me lança un «non» catégorique par rapport au fait qu’il ne voulait pas que je parte. Je devenais peut-être folle, aussi, mais il fallait que je me calme. De la tête aux pieds. C’était nécessaire, si je ne voulais pas faire une connerie… D’ailleurs, je regardais le bel italien, et son sourire me fit chaud au cœur. Ma gêne s’intensifia lorsqu’il prit ma main pour y déposer un baiser. La même gêne que lorsqu’il avait déposé cette fleur qu’il avait cueillie pour placer dans mes cheveux. Elle s’y trouvait toujours, d’ailleurs. « Alors là, pour dire de la merde, je te l’accorde, c’est réussi! Pour faire le con, même chose! Pour t’amuser… j’crois pas que c’est encore très réussi! Tu sais, t’as pas dansé très longtemps avec moi… ! » Je m’amusais à cligner des yeux maintenant, faisant battre mes cils de façon presque séductrice, parce que c’est vrai qu’on avait dansé un peu, mais qu’il était vite parti de la piste de danse pour retourner s’asseoir, avant que ce con d’inconnu vienne nous déranger. Je souriais, tout en regardant tout autour de moi, avant d’éclater de rire. « Bon… y’a pas de musique, ni de piste de danse, mais c’est pas grave… Si? » Je me mordis la lèvre inférieure en détournant le regard, un instant. Bah quoi? Je voulais qu’il me fasse danser… Qu’y a-t-il de mal à ça? Excepté le fait qu’il prétendait ne pas être si bon danseur : moi j’étais toujours persuadée du contraire.
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Dixie & Valentin

Déjà le fait que mon amie s'était droguée maladivement par le passé ne m'avait pas toujours conforté dans le fait qu'elle allait bien, alors savoir en plus de ça qu'elle avait fréquenté un mafieux, et en être carrément tombée amoureuse, ça m'inquiétait encore plus. Je peux être carrément protecteur et sûrement trop quand il s'agit de mes proches, de mes amis, de ma famille. Elle avait bien du le remarquer à force. Valait mieux pas que je croise la route de ce mec, il passerait un sale quart d'heure, c'était certain. Déjà la larguer comme il l'avait fait n'était pas digne d'un vrai mec qui mérite au mieux d'être castré. Et en plus de ça un mafieux dans la nature quoi. Un de plus. De quoi ruiner une vie, voire même des tonnes parfois. Ma Dixie avait donc eu de la chance dans son malheur. C'était bien mieux ainsi qu'ils ne soient plus ensemble. Elle me fit savoir qu'elle allait carrément mieux et j'en étais ravi, même si elle me l'avait bien fait comprendre par le passé. Elle rajouta ensuite que c'était grâce à ça qu'elle n'était plus dépendante de la drogue. Je lui adressais un sourire en lui répondant simplement Un mal pour un bien. Puis malgré toute la gêne qu'on créé entre nous de plus en plus, j'en avais encore plus rajouter sans même avoir le temps d'y réfléchir. C'est toujours ces réponses spontanées qui vous tuent. Mais maintenant c'était trop tard, et en plus de ça je lui avais carrément baisé la main. Il y a certaines choses qu'on ne pourra pas m'enlever, malgré la gêne occasionnée. Je reste un gentleman, un dragueur, un charmeur, un italien quoi. En même temps, face à ce que je lui avais dit, c'était la chute que j'étais obligé de donner. Tant pis si ça remplissait encore notre vase. Tant pis s'il finit par déborder, même si je redoutais un peu ce moment parce qu'il serait complètement imprévisible. Je lui avais donc fait savoir que je m'étais vraiment changé les idées grâce à elle, mais elle me fit remarquer qu'on avait pas assez danser. Je m'étais mis à rire quand elle s'était mis à battre des cils, la voyant venir à des kilomètres. Je regardais autour de nous. Pas un chat. On ne nous prendrait pas pour des fous donc si on se mettait à danser, là, sans aucune musique. On aurait très bien pu se mettre de la musique venant de nos portables, mais ce n'était pas le même charme après tout, et je n'avais jamais dansé avec une femme sans musique. Ouais c'est con mais c'était tentant, voyant si c'était faisable ou non. Et puis je la fis tourner sur elle-même et lui disait avant de la prendre dans mes bras Que des choses superflues ... J'avais passé ma main dans le bas de son dos puis avait commencé à bouger, lentement, tout en la gardant lentement, et rajoutais au creux de son oreille Si tu veux accélérer la cadence, tu n'as qu'à le demander ... Oui parce que à vrai dire, les danses de salon ou en couple, ça me connaissait un peu beaucoup. Ma mère m'y avait forcé en parallèle du foot. Et jamais je ne m'en suis plaint, vu comment ça a toujours attiré les femmes comme des mouches.

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