KOACE ✱ Let's go to the beach, each.

Vous étiez pareil en fait, jaloux, possessif, égoïste tous les deux. Mais tu avais confiance en Konrad et tu voulais croire qu'il ne te ferait plus jamais de mal. De toute façon il était au courant de ce qu'il l'attendait s'il commençait à embrasser ou tripoter une fille. Qu'il soit proche d'elle, qu'il aime bien les draguer lorsque tu n'es pas là ça ne te fait rien mais que tu apprennes qu'il en a tripoté une ou encore qu'une la tripoter ça partirait en couille c'était obligé. Tu ne fixais pas de limites, pas de règle, la liberté juste vivre et s'amuser mais il fallait pas oublier qu'il était à toi quand il s'agissait de choses corporelles. Tu étais donc à califourchon sur lui, tu avais remis ton haut à sa demande et tu rigolais bien avec lui. Tu avais pris ton paquet de blonde qui était dans ton sac et en avait donné une à Konrad qui te demandait du feu. Tu pris alors ton sac et le renversait sur ta serviette, laissant tomber ton téléphone portable, tes lunettes de soleil, ton mini-short, ton t-shirt, du monoï mais aussi quelques capotes. Enfin parmi tout ces objets tu trouvais le fameux briquet que tu tendis à Konrad avec un sourire aux lèvres. Allumant sa cigarette, tu allumais la tienne après avant de tout ranger dans ton sac dans un bordel monstre. Tu étais plutôt ordonné quand il s'agissait de ta chambre mais pas du tout quand il s'agissait de ton sac à main après tout tu étais une femme. « Tu as prévu quelque chose pour ce soir? » Tirant sur ta cigarette, tu le regardais avant de relâcher la fumée petit à petit.

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† Koace †

Let's go to the beach, each.

Tout se jouait maintenant sur la confiance. On étaient libre de faire ce qu'on voulaient, on étaient pas du genre à respecter les règles et à être de gentilles personnes, on faisaient ce qu'on voulaient quand on voulaient et ceux qui avaient un problème avec ça pouvaient aller se faire foutre. Il y avait juste une seule règle, on pouvaient aller voir des filles ou des mecs, on pouvaient leur parler, rigoler avec, s'amuser avec, mater ou même draguer mais interdiction au tripotage, je crois que si je la voyais tripoter un mec ou qu'un mec la tripote, je pèterai un câble et c'est la même chose pour moi si elle voyait une fille me tripoter ou que j'en tripote une, c'était juste ça, on s'appartenaient l'un à l'autre, son corps était mien, le mien était sien. A califourchon sur moi, on riaient, on profitaient l'un de l'autre, elle sortait de son sac en paquet de blondes, elle en prenait une et m'en tendit une, je la foutais entre mes lèvres et lui demandais du feu et là elle vidait son sac sur sa serviette, des choses intéressantes dans le sac d'une femme, toujours, une fois le briquet en main elle remettait le tout dans le sac, et le posait à côté, elle allumait ma clope et la sienne, je tirais dessus avant de répondre à sa question. J'avais penser aller en boite enfin j'sais pas si y en a une dans le coin, pourquoi ?.

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Tu n'étais pas encore prête à quitter ta petite vie de fêtarde de vingt piges pour un mec mais tu étais tout à fait prête à construire quelque chose avec Konrad. Cela risquait de prendre un certain, après tout Paris ne s'est pas construite en un jour mais tu étais prête. Prête à ouvrir ton coeur. Maintenant, il ne restait plus que lui. Tu ne lui laisserais qu'une seule chance et il le sait très bien. Enfin bref, pour le moment tout se passé pour le mieux. Tu étais à califourchon sur lui en train de fumer une clope alors qu'il t'avouait qu'il voulait aller en boite, te demandant même pourquoi lui avoir demandé ce qu'il faisait ce soir. Tu baissais alors doucement la tête pour le regarder avec un petit air de chien battu. « Je ne sais pas quoi faire ce soir... Je peux venir ? » Jamais il ne pourrait résister à ton regard de cocker et puis même s'il y avait d'autres gens tu t'en fichais, tu n'étais pas là pour passer la soirée accrocher au cul de Konrad, s'il voulait bien de toi tu irais là-bas pour t'amuser, pour vivre ce summer camp qui n'avait pas si mal commencé à fond.

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† Koace †

Let's go to the beach, each.

On étaient encore jeunes, on avaient encore de la marge avant de crever, de vieillesse j'espère mais avec toutes ces merdes que je fume, j'en sais rien enfin bref je ne veux pas y penser. Elle était à moi maintenant, à moi seul, je la laissais complètement libre mais son corps était à moi c'est tout. Elle était à califourchon sur moi, on fumaient nos clopes, elle me demandait ce que je faisais ce soir, moi-même je savais pas quoi faire, aller en boite je pense, c'était même quasiment sur si j'avais pas d'autres idées J'en sais rien.. si tu veux. je la regardais, cette tête là, en deux ans j'ai du la voir je ne sais plus combien de fois, alors je me prenais plus la tête, quand elle la faisait, je cédais car elle était trop mignonne quand elle la faisait.

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A califourchon sur lui, tirant sur ta cigarette avant de l'enterrer dans le sable tu lui avais demandé ce qu'il comptait faire ce soir. Lorsqu'il te dit qu'il comptait aller en boîte tu lui demandais avec ton air de chien battus si tu pouvais venir avec lui ne sachant quoi faire ce soir. Il ne mit pas longtemps à résister et à accepter. De toute manière depuis deux ans dès que tu as quelques chose à lui demandait tu le regarde de la sorte comme ça tu es sûre qu'il va accepter. Justement, lorsqu'il accepta tu souriais grandement avant de venir déposer un baiser sur sa joue. « T'es trop mignon ! » Tu te décalais alors de sur lui pour venir te mettre entre ses jambes qui étaient écartés. Fixant l'écume de la mer tu souriais pensant déjà à la tenue que tu mettrais ce soir. Tu te tournais tout de même vers Konrad. « Vaut mieux une robe moulante et courte genre je suis une salope mais je reste glamour ou alors un mini-short du genre je suis une paysanne ? » Tu riais doucement sachant déjà que Konrad te dirait le mini-short histoire de se foutre de ta gueule.

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† Koace †

Let's go to the beach, each.

Ce soir j'allais surement aller en boite de nuit, elle me demandait si elle pouvait venir, et avec la tête qu'elle faisait, cette tête auquel j'ai le droit depuis deux ans quand elle veut me demander un truc, j'arrive pas à refuser, j'accepte. J'ai le droit à un baiser sur la joue, je souris terminant ma clope et l'écrasant dans le sol et elle vient se mettre contre moi, entre mes jambes, j'étais bien avec elle là, vraiment. Le mini-short direct ! je riais avant de poser mes mains sur son ventre et de le caresser du bout des doigts T'es folles, la robe moulante mode salope glamour, c'est ce qui te va le mieux. je souriais fermant les yeux, profitant du moment.

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Le soleil, Konrad, la mer tout était réuni pour que tu passes une très bonne après-midi et justement tu passais une très bonne après-midi. Konrad avait accepté que tu viennes en boite avec lui et tu étais toute contente comme une gamine à qui l'on promet qu'elle ira en boite alors qu'elle n'a que quatorze ans. Profitant un peu de la vue sur la mer, tu t'étais mis entre les jambes de contre caller contre lui. Quant à lui, il avait glissé ses mains sur ton ventre pour le caresser doucement. Alors que tu pensais à ce que tu allais mettre ce soir, tu lui demandais lequel du mini-short ou de la mini-robe moulante serait le mieux. Pour commencer Konrad avait ri et t'avais évidemment dit le mini-short. « Oui, c'est ce que je me disais aussi avec les sabots et la choucroute sur la tête. Même pas tu passes la soirée avec moi je suis sûre. » Tu riais de plus bel alors qu'il t'avouait que la mini-robe moulante c'était le top. « Je pensais à la même chose en plus pour se trémousser contre tout le monde c'est le mieux. » Tu le regardais d'un air sérieux avant d'éclater de rire. Malgré tes airs de pepette lorsqu'on te voyait sortir tu étais une fille nature. Qu'on te voit en survêtement ou en mode pouffe tu n'en avais rien à taper.

(Invité)

† Koace †

Let's go to the beach, each.

Je devais avouer que je passais une après-midi de rêve. Grace, ce temps, cette chaleur, l'endroit, tout était si parfait et je profitais de tout, d'elle. Elle voulait venir en boite ce soir avec moi et avec la tête qu'elle faisait, cette même tête à laquelle j'ai le droit depuis deux ans pour qu'elle obtiennent ce qu'elle veut de moi, je pouvais pas refuser, j'acceptais et en prime j'avais le droit à un baiser sur la joue et un joli compliment, chanceux le gamin. Elle s'installait contre moi, entre mes jambes, je posais mes mains sur son ventre que je caressais et on parlaient de la tenue qu'elle mettrait ce soir, c'était amusant. Tout juste, avec ça tu fais le porte manteau c'est tout. je rigolais avec elle avant de lui dire que je préférais sincèrement la robe moulante Corrige s'te plait. Se trémousser contre moi. je souriais pinçant le bout de son nez, elle arrivait à me faire oublier toutes mes merdes.

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Votre sujet de discussion était sur la tenue que tu allais porter ce soir, vu que le jeune homme avait accepté que tu ailles en boite avec lui. Alors que pour rigoler, tu lui disais que tu allais venir en mini-short et en sabot il riait et te traiter de porte manteau. Tu riais mais ne manquait pas de le reprendre. « Un porte manteau baisable tout de même ! » Tu riais doucement en le regardant alors qu'il te corrigeait. Il voulait que tu te trémousse contre lui et pas contre n'importe quel gigolo qui passerait par là. « D'accord que contre toi et puis si tu es mignon, t'aura le droit de me faire un bisou sur la joue. » Riant encore une fois. C'est affolant comment tu pouvais être comme une gamine avec lui, vos délires ne décollait pas du collège mais c'est ça qui vous amusiez plus qu'autre chose.

(Invité)

† Koace †

Let's go to the beach, each.

On étaient en train de parler de sa tenue pour ce soir et je dois dire que le sujet était bien amusant, de vrais gamins sérieux. D'abord un délire sur elle en mini-short avec des sabots, je la traitais de porte-manteau et elle ne manquait pas d'ajouter une remarque qui me fit bien rire Tout de même c'est vrai ! puis parler plus sérieusement en parlant d'une robe moulante, elle ne devait se trémousser que pour moi et que contre moi, elle s'amusait, on diraient de vrais gamins sérieux Je suis mignon. je rigolais venant lui pincer le bout du nez Non sérieusement... je savais plus quoi dire, si je pouvais fermer ma gueule et apprécier l'instant, je le ferais.

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