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KOACE ✱ Let's go to the beach, each.

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Les seringues. Tes seringues. Tes putains de seringue de merde venait de foutre en l'air un après-midi. Konrad était en colère, tu ne l'avais jamais vu comme ça. Il t'en voulait, il t'en voulait de ne lui avoir rien dit. Il t'en voulait d'être tombé aussi bas. A cet instant même, tu avais peur d'une seule et unique chose qu'il te laisse. Qu'il se casse à jamais et que tu restes comme une conne dans ton trou avec ta merde. Mais avant ça, il t'engueulait. Il te déchirait la gueule pour que tu comprennes que ta connerie avait un impact sur lui. Un impact assez important. Tu le fixais droit dans les yeux alors qu'il t'avouait que tu devenais comme ta mère. Il rajoutait même qu'il n'était pas un ami pour toi si tu lui faisais ça. « Non, tu as raison tu n'es pas un ami. » Tu gardais tes yeux dans les siens sans ciller à un seul moment. « Tu es bien plus que ça. Je voulais juste te protéger. Te protéger de ma connerie. Te protéger de moi je crois. Konrad je tiens à toi plus qu'à n'importe qui mais à pars te faire souffrir je ne sais rien faire d'autre. » Tu lâchais doucement son regard. « Je suis la pire amie que l'on n'est jamais connu. Et pourtant dieu sait que je donnerais ma vie pour que tu gardes la tienne. » Tu allumais ta cigarette, tirant doucement dessus, tu fixais le sable sur lequel tu y faisais des petits dessins avec ton doigt avant de frapper de toute ta force sur le sol. Tu avais la rage, la rage de te dire qu'une nouvelle fois tu venais de le blesser. La rage de savoir que ton destin était scellé tu finirais dans un asile c'était ta place puis tu éclatais en sanglot, fixant toujours le sol.
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Elle venait de gâcher l'après-midi à cause de ces putains de seringues. Je lui faisais confiance, surtout après mon overdose merde, j'avais besoin d'elle, de sa présence, de son soutien, je lui faisais confiance et elle ne m'a rien dit, elle se détruisait en s'occupant de moi pour éviter que je me détruise à nouveau, c'est con, complètement con. Je pète un câble, je me suis jamais vu comme ça, être aussi en colère après une fille, je ressens de la rage, de la haine mais surtout une souffrance, une grosse peine qu'elle venait de me foutre en pleine gueule. Elle voulait que je reste, que je ne l'abandonne pas, elle voulait que je ferme ma gueule sur ça, que je ne le dise pas à Jeno, bordel j'avais mieux à faire, beaucoup mieux, j'en venais à lui dire tellement blesser qu’avec tout ce qu'elle avait fait comme mal, je n'étais pas son ami. (color=#76ad23]C'est faux, A part me faire souffrir, t'as su me rendre heureux, avant que je découvre les seringues, j'étais heureux St-James, j'étais avec toi, je passais du temps avec toi, tu t'occupais de moi, tu me faisais oublier ma vie de merde, mais là tu viens de m'y replonger.[/color] ses paroles me touchaient et à la fin de ses mots je ne disais rien, elle allumait sa clope avant de taper comme une furie avec son poing dans le sable et éclater en sanglots. je soupirais puis je m'approchais en me tenant la jambe, je venais la tirer vers moi, et la serrer contre moi, j'avais pas ouvert ma gueule, j'avais juste fait ça, l'enlacer et j'ouvrais maintenant mes lèvres J'donnerais ma vie pour que tu gardes la tienne. je répétais ses propres mots, ils étaient sincères et valables autant pour moi que pour elle.

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Tu avais été sincère. Non, ce n'était pas ton ami, c'était bien plus que ça. Lui et toi ça fait maintenant deux ans que vous vous connaissez, que vous vous supportez malgré les orages et les tempêtes. Au bout de deux ans, deux ans à se chercher, à se taquinait, à jouer au chat et à la souris ça ne crée pas que des liens d'amitié. Tu étais capable de faire pour lui ce que tu ne ferais pas pour ton propre père. Konrad faisait partie de toi, de ta vie. Tu pleurais, tu n'en pouvais plus il fallait que tu craques de toute manière. Ça faisait longtemps tiens, le bal quoi. Mais contrairement au bal Konrad t'attirait contre lui pour t'enlacer avec ta tendresse. Tu n'opposais aucune résistance. « Pourquoi ? » Tu sanglotais dans ses bras avant de lever les yeux vers lui. « Pourquoi avons-nous besoin de nous détruire ? Pourquoi avons-nous besoin de bousiller nos vies ? » Il est vrai que ta destruction était devenue ta principale occupation mais la destruction de Konrad aussi. Vous vous détruisiez mutuellement en vous faisant du mal. « Tu crois que c'est parce qu'on tient trop l'un à l'autre ? » Tu esquissais un petit sourire, car ta remarque était plutôt enfantine mais en tout cas si c'était ça, ça faisait mal. Très mal de se dire que pour se prouver qu'on s'aime il fallait que vous vous entre tuez. Les gens normaux ne font pas ça, ils se le disent tout simplement.
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J'étais bien plus qu'un ami à ses yeux, elle venait de le dire, elle était sincère, même si elle avait acceptée qu'on ne soient qu'amis l'un par rapport à l'autre, il y aura toujours plus pour elle, j'étais beaucoup plus que ça, elle était toujours amoureuse, j'étais fixé. Sa dernière phrase me faisait quelque chose, elle donnerai sa vie pour moi, j'avais beau la détester comme l'aimer, c'était un sentiment réciproque alors sans un mot j'étais venu la prendre dans mes bras, l'enlacer, elle pouvait pleurer, j'étais là, je lui montrais que je n'allais pas la laisser. Parce que c'est comme ça. On adorent le mot "compliqué" je crois. je souriais légèrement comme un con, je la serrais un peu plus contre moi en y repensant elle avait raison, deux ans qu'on se connait, deux ans qu'on se détruit et qu'on s'aiment, pourquoi ? Elle me posait la question, on tient l'un à l'autre, c'est du réel J'en sais rien, mais je suis pas un type normal St-James. je prenais son visage entre mes mains Je tiens à toi Grace. J'ai eu beau te haïr, j'ai eu beau t'aimer, je t'ai toujours fais confiance, et j'ai toujours tenu à toi car quand tu es venu me voir il y a deux ans pour de l'herbe, j'ai tout de suite vu que je t'avais tapé dans l’œil, et tu m'a aussi t'apé dans l’œil sauf que j'adore le compliqué, mais je n'aurais jamais pensé qu'avec toi ça prenne une telle ampleur mais je tiens à toi Grace St-James.

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Tu étais en pleurs dans ses bras, ça faisait tellement longtemps que tu ne savais même plus la sensation que cela faisait de te serrer contre son torse chaud. Tu souriais doucement à sa remarque, vous étiez compliqué, anormaux tous les deux sur ce coup-là il n'y avait aucune différence. Vous détruires mutuellement était la seule chose qui vous plaisait comme-ci vous aviez besoin de ça pour vous sentir bien, vous sentir sûr de ce que l'autre pense de vous. Ses mains sur ton visage te sortait doucement de tes pensées. Tu le regardais, l'écoutais et souriais faiblement pour montrer bonne figure. « Crois-moi Konrad des connards j'en ai connu à commencer par mon père mais des connards comme toi jamais ! Tu as beau me faire souffrir, me blesser au plus profond de moi, m'humilier je ne peux pas. Je n'y arrive pas, je n'arrive pas à ne plus tenir à toi c'est incontrôlable. » Tes yeux étaient pétillants comme à chaque fois que tu le regardais. Il était comme ta drogue, ta bouffer d'oxygène, ta nicotine et comme toutes ces merdes il t'était nocif. Jamais personne ne t'avait fait autant souffrir, tu pourrais crever pour lui.
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Elle était dans mes bras, je la serrais contre moi, ça pouvait paraitre paradoxale, il y a même pas cinq minutes, j'étais là à lui crier dessus et là, on avait l'impression que jamais je n'avais été en colère, que j'ai toujours été là pour la prendre dans mes bras, qu'elle pleure dans mes bras, que je sois là pour la réconforter, lui montrer qu'elle pouvait compter sur moi. Je lui répondais qu'on se détestaient et s'aimaient à la fois car nous étions bercés dans ce monde d'illusion, rien n'est rose pour nous, tout est si compliqué, je continuais de parler en prenant son visage entre mes mains, je plongeais mon regard dans le sien, j'essuyais de mes pouces les quelques larmes qui coulaient encore, elle s'était légèrement calmée et après que mes mots ce fut elle qui ouvrait les lèvres. La même chose pour moi. T'es unique comme salope, j'te jure pire que toi j'ai jamais trouvé pour le moment et je te déteste comme je t'aime, je ne peux pas ne pas tenir à toi... mon front se posait contre le sien, je ne perdais pas son regard d'une seconde Tu es la pire chose et la meilleure chose qui me soit arriver Grace.

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Tu étais bien, ça faisait un bon moment que tu n'avais pas été comme ça à pars avec cette putain d'héroïne mais Konrad était mieux qu'une dose d'héroïne, car avec lui il y avait pour une fois la douceur. Il était doux et de la douceur entre toi et lui ça n'était pas tous les jours. Alors, qu'il fixait tes prunelles bleues pour te parler sincèrement, tu avais juste envie de l'embrasser. Mordant doucement ta lèvre tu le fixais souriant faiblement. « Je ne veux plus que son déchire. » Tu gardais ton front coller au sien alors que tu venais embrasser le coin des lèvres de Konrad avec tendresse. Ce baiser n'avait rien de normal, car lorsque vous baisiez, lorsque vous vous donnez à l'un et l'autre ce n'était pas tout à fait tendre disons que c'était plus fougueux, plus brutal. Vous aviez appris à faire l'amour comme des animaux et rien d'autre alors que pourtant tu l'aimais, oui tu l'aimais plus que ta propre vie et tu étais persuadé que c'était lui, lui l'homme de ta vie, celui qu'il te fallait mais Konrad ne ressentait pas vraiment même pas du tout la même chose. Il ne te voyait que comme une amie, une très bonne amie avec qui il prenait plaisir à copuler.
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Je ressentais encore de la colère, de la haine et de la peine face à ce qu'elle avait fait mais je ne voulais plus lui montrer que j'avais mal, oui j'avais mal mais il fallait qu'on arrête de se détruire comme elle le disait si bien. Elle était dans mes bras, je la serrais, elle pouvait sentir que j'étais là, que malgré ce qu'elle avait fait, je ne la laissais pas tomber, j'étais là et serais toujours là pour elle. Mon front était collé au sien, je plongeais mon regard dans le sien encore tout brillant, j'étais d'accord avec ses mots Moi non plus. elle venait porter ses lèvres aux coins de mes lèvres, jamais elle n'avait agit de la sorte, je ressentais de la tendresse dans son acte, de l'amour certes mais un mélange de douceur et de tendresse, quand je couchais avec c'était sale, de la baise, je n'ai jamais fais l'amour avec elle, jamais. J'étais perdu à ce moment je ne savais pas quoi faire, l'embrasser, ou me retirer ? Pour moi elle était une très bonne amie avec qui le cul c'était magique mais voilà, j'en savais trop rien il y avait peut-être plus ? J'en savais strictement rien, je savais pas quoi faire, tant pis, je venais à mon tour déposer un baiser au coins de ses lèvres avec cette même douceur et tendresse dont elle avait fit part, je savais pas dans quoi je me lançais, j'étais partagé.

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Il te détestait, tu le détestais mais en même temps vous vous aimiez. Vous vous aimiez, vous étiez fou l'un de l'autre tellement vous que vous vous faisiez souffrir mais aujourd'hui s'en était trop. Votre jeu qui vous amusez temps au début c'était retourné contre vous et vous avez blessé, meurtri jusqu'à en perdre l'autre. Alors que tu lui avouais ne plus vouloir se déchirer avec lui, il te disait que lui aussi en avait marre puis il embrassait doucement le coin de tes lèvres comme toi tu venais de le faire. Tu n'avais jamais vu Konrad comme ça, d'habitude il se contente de te sauter salement et puis c'était tout mais aujourd'hui il était tendre, il était doux et tu ne pouvais résister à l'embrasser tendrement. A vrai dire tu ne contrôlais même plus tes faits et gestes. Tout ce dont tu avais envie c'était de l'embrasser, d'être dans ses bras. Pour la première fois de ta vie tu n'avais aucune pulsion sexuelle en vers lui simplement de l'amour pur et dur. C'était donc ça être amoureuse. Tu n'avais jamais vécu, car tu avais peur, peur de souffrir mais avec Konrad tu étais près à tout. Souffrir pour lui jusqu'à en devenir quelqu'un d'autre. Ce n'était vraiment pas toi ça. Certes tu pouvais être une garce mais pas jusqu'à couper Konrad de toute présence féminine à ses côtés. Tu ne te reconnaissais plus mais tu ne pouvais rien y faire tu avais juste d'être avec lui, d'être aimé par lui.
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Je l'avais tellement détesté que j'avais souhaité qu'elle pourrisse en enfer, je l'avais vraiment souhaité parce que j'avais réellement mal de ses actes, de ses paroles. Mais je l'ai aussi tellement aimé, j'étais accro à elle, au point de vouloir la baiser, qu'elle me donne du plaisir, ça c'est produit, en deux ans, on a coucher ensemble deux ou trois fois, mais on ne faisaient jamais l'amour, on baisaient, salement, à la va vite, comme ça, pour se faire du bien. Et la sentir contre moi, entendre toute cette sincérité sortir de ses lèvres, ça me fait du bien et si je suis toujours partagé entre haine et amour avec elle à cause de ce jeu qu'on s'est fixé, j'en ai ma claque, je veux que ça se termine et vite, j'ai besoin d'elle pas en tant que punching ball mais en tant qu'amie et je me rend compte qu'il s'agit même de plus que ça depuis qu'elle vient de m'embrasser sur le coin des lèvres, je me sens encore plus perdu. J'avais alors tenté, je ne savais pas où ça allait conduire mais je tentais, je répondais à son baiser en portant mes lèvres aux coins des siennes, avec cette même tendresse, cette même douceur dont elle avait fait part pour agir ainsi. Après quelques instants, elle portait de nouveau ses lèvres aux miennes, mais pour un vrai baiser, plonger ses lèvres dans les miennes, la première fois qu'on s'embrassaient ainsi, la première fois que je ressentais ça, alors il s'agissait donc bien de ça, plus je jouais de ma langue avec la sienne, plus je la serrais contre moi, plus je l'embrassais, plus je me rendais compte de cette vérité que j'ai mis tant de temps dans l'ombre, je suis amoureux, je ne m'en rend compte qu'au bout de deux ans.

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