KOACE ✱ Let's go to the beach, each.

Tu t'étais plutôt bien installé à l'hôtel, le soleil était au rendez-vous tout se passer plutôt très bien il faut dire. Tu avais alors proposé à Konrad de vous retrouver à la plage afin de passer une petite après-midi tous les deux comme avant à rigoler, vous emmerder, s'amuser quoi. Tu prenais donc une douche rapide même si tu savais que tu en reprendrais une après à cause de l'eau de mer salée. Enfilant ensuite un bikini de la même couleur que tes yeux. Tu enfilais ensuite un mini-short de sport de couleur noir avec une inscription en rose flashy sur tes fesses. Un débardeur rose pétant, un sac de plage noir dans lequel tu avais mis tes cigarettes, ton téléphone portable et ta serviette de plage. Tu enfilais tes tongs rapidement et partie avec ta paire de lunette sur les yeux. Tu descendais puis sortais de l'hôtel direction la plage. Tu ne marchais pas longtemps pour te retrouver les pieds dans le sable chaud. Tu installais alors ta serviette, retirais ton haut puis ton mini-short que tu glissais dans ton sac de plage pour ensuite t'allonger sur le dos, gardant tout de même appuie sur tes coudes afin de pouvoir regarder les gens qui se baignaient attendant Konrad.

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† Koace †

Let's go to the beach, each.

Peu de jours que nous étions ici, un vrai paradis, Key West, soleil, ciel bleu, chaleur, ça me rappelle le Spring Break mais là, c'est en deux fois mieux. Bon je me remettais doucement de mon overdose, je suis sortis il n'y a qu'une semaine, j'ai encore mal sur certaines parties du corps, alors surprenant mais le gars Sheffield marche doucement, parfois même en se tenant les hanches, surprenant hein ? Bref. Grace m'avait textotée pour qu'on se donne rendez-vous à la plage privée de l'hôtel, j'avais accepté et là j'étais en train de me changer, avec difficulté ouais, d'habitude ce short de bain je l'enfile en deux secondes mais là, dix secondes étaient encore un peu juste, le marcel s'enfilait tranquille par contre, c'était surtout vers le bas du corps que je ressentais des douleurs plus ou moins importantes. Les lunettes de soleil sur le nez, ma serviette autour de la nuque et je quittais ma chambre pour me rendre sur cette plage où devait surement être Grace. En effet, elle était là, sur sa serviette, je souriais la voyant et une fois à sa hauteur je dépliais ma serviette pour l'étaler à côté de la sienne Hey. je m'allongeais dessus avec difficulté, je grimaçais même mais j'y arrivais.

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Tu étais allongé sur cette plage privée que l'hôtel mettait à votre disposition. Tes lunettes sur les yeux, ton corps plutôt svelte et bronzé en évidence afin de prendre au mieux le soleil. Tu attendais ici Konrad, espérant qu'il vienne rapidement mais tu ne pouvais t'empêcher de regarder les garçons qui jouaient au beach volley, si tu n'attendais pas quelqu'un tu aurais bien été te dépenser avec eux. Puis, sa voix te fit sortir de tes pensées. Tu tournais doucement la tête alors qu'en grimaçant il venait se poser sur sa serviette près de toi. « Tu vas bien ? » Tu venais déposer tes lèvres sur la joue de ton ami. « Ce summer camp s'annonce plutôt bien dis-moi. Le soleil, les beaux garçons, la fête. » Tu souriais doucement, désignant d'un signe de tête les mecs qui étaient en train de jouer au beach volley sur la plage. Tu remettais doucement tes cheveux en place avant de les attacher en une queue de cheval assez haute afin de ne pas avoir trop chaud non plus.

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† Koace †

Let's go to the beach, each.

Je devais rejoindre Grace à la plage privée de l'hôtel, ça me fera du bien de la voir, je me remet à peine de mon séjour à l'hôpital suite à cette overdose qui m'a bien affaiblit, dans le genre bien comme il faut quoi et ce Summer Camp tombe pile poil pour que je récupère. Même si j'avais encore du mal à marcher, j'arrivais sans trop perdre de temps sur la plage et je voyais la fille St-James allongée sur sa serviette surement à mater des mecs, les habitudes ne se changent pas, et je souris m'approchant d'elle jusqu'à étaler ma serviette à côté de la sienne une fois arrivé à sa hauteur. On peut dire que ça va.. et toi ? je frissonais légèrement au contact de ses lèvres sur ma joue, avec un sourire restant dessiné sur mes lèvres et sa petite remarque me fit légèrement rire va les voir au lieu de rester là à baver sur eux. j'étais jaloux et possessif et dieu sait que si j'avais été en pleine forme, son cul n'aurait pas bouger de là, mais j'étais trop faible pour me lever, aller parler à ces mecs, me faire comprendre, et revenir, elle pouvait faire ce qu'elle voulait, j'allais pas dire non, enfin que par la parole après dans les actes, c'était même pas la peine De toute façon , j'peux pas faire grand chose donc. je riais comme un con en regardant mes jambes, putain de douleur.

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Konrad était enfin arrivé et le voir là avec toi sur cette plage ça te faisait extrêmement plaisir d'autant plus qu'il aurait pu y passer vu l'overdose qu'il avait faite juste avant le summer camp. Enfin bref, ça avait l'air de bien aller et ta petite remarque l'amusé mais jusqu'à un certain point. Même s'il ne voulait pas le dire, tu savais qu'il n'aimait pas du tout te savoir avec d'autre type que lui lorsqu'il était là. Tu le regardais alors doucement et riais à sa remarque. « Je ne suis pas assez en forme aujourd'hui alors si c'est pour me faire recaler c'est mort. » Tu lui faisais un petit clin d'oeil avant de poursuivre. « Et puis, faut les laisser venir par des petits regards, des petits sourires, comment j'ai fait avec toi pour t'avoir dans mon lit ? » Tu riais de plus bel avant de te taire. Et puis merde il fallait mieux en rire qu'en pleurer. « Mais bon, il viendrons jamais vu que tu es là. » Tu lançais cela avec ton petit air taquin. Puis tu te mettais sur le ventre afin de pouvoir plonger tes prunelles dans celle de Konrad. Au passage les mecs du volley pourraient mater ton popotin, quel beau stratagème St-James. « Bon, sinon comment ça va toi ? Je veux dire la douleur. Elle est supportable ? » Tu le regardais avec tendresse détaillant doucement le bas de son corps là où était la douleur.

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† Koace †

Let's go to the beach, each.

Ça faisait du bien de me retrouver là avec Grace après ce qui m'est arrivé. Allongés sur nos serviettes, le soleil nous tapait dessus, et les yeux de Grace dérivaient sur des mecs plus loin qui jouaient au beach volley, je lui avais fais une remarque à laquelle elle ne manquait pas de rire Genre. elle se faire recaler, elle a juste à faire les beaux yeux, et bouger son cul et elle va où elle veut en compagnie de qui elle veut. Erreur. C'est moi qui t'as eu dans mon lit et qui après me suis amusé avec toi comme un petit jouet. je souriais et lui rendais son clin d’œil, elle s'attaquait à un sujet assez sensible pour nous deux, j'y mettais fin direct avec cette petite phrase, je voulais pas m'engueuler avec elle, je voulais passer du bon temps, juste ça. Genre ça fait quoi que je sois là ? je riais légèrement avant de poser ma tête sur la serviette et de fermer les yeux alors qu'elle me demandait comment je ressentais la douleur. Non. Je bouge d'un centimètre, j'ai mal mais je fais avec, j'ai fais le con, je le mérite point. je tournais ma tête vers elle, plongeant mon regard dans le sien, juste ça, le silence et je la regardais.

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Le chemin épineux était ouvert, votre relation. Entre amour, amitié et engueulade entre vous ce n'était pas un long fleuve tranquille. Vous étiez donc là tous les deux a vous cherché comme deux adolescents pré-pubères. Toi qui matait les garçons, lui qui était jaloux mais qui te rappelait que dans votre c'était lui qui menait la danse et pas quelqu'un d'autre. « Ça fait qu'ils peuvent penser des choses qui ne sont pas les vraies choses. » Il menait la danse jusqu'à ce que tu parles de sa douleur, de son overdose. Il plantait son regard dans le tien, t'avouant qu'il avait mal mais que c'était de sa faute. Tu soupirais doucement, posant une main sur sa joue. « Ça peut arriver à tout le monde tu sais. » Caressant doucement sa joue tu venais y déposer un bisou. « J'y passerais moi aussi un jour c'est sûr. » Tu lui souriais doucement, essayant de le rassurer. « On va se baigner ? » Tu te levais, t'étirais et proposé ta main à Konrad afin de l'aider à se lever. Une fois sa main dans la tienne, tu le tirais de toute tes forces jusqu'à en tomber sur le cul. Tu éclatais alors de rire. « M'aide pas surtout ! » Tu le regardais morte de rire.

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† Koace †

Let's go to the beach, each.

C’est vrai que notre relation est la relation la plus compliqué que j'ai jamais vécu avec une fille. Il y a eu de l'amour, il y a eu de l'amitié, il a eu des engueulades, deux ans de ce mélange, pas de trêves, toujours la même rengaine, je t'aime et je j'aime, je t'aime et te déteste, je te déteste et te déteste, tant de douleur pour l'un comme pour l'autre puis par la suite beaucoup plus pour elle. Maintenant nous étions reparti à zéro, depuis mon overdose, elle n'a pas cessée de s'occuper de moi, de passer du temps avec moi, elle voulait être mon amie, elle est, et je suis le sien. On se cherchent encore légèrement sur le "nous" de notre relation, tout ce mélange puis elle et son trop bon gout pour les hommes à les mater et moi mon trop fort gout à aimer les filles et à en être jaloux et possessif même trop. Comme que nous sommes ensemble ? je riais, c’est vrai que si ces mecs nous voyaient, ils pourraient croire ce genre de chose Ça pourrait être marrant. je souriais reposant ma tête sur la serviette avant qu'elle se préoccupe de ma douleur, ma tête se tournait vers la sienne et je lui faisais savoir que j'avais mal, physiquement et moralement mais bon, j'étais un coriace, elle me connaissait, j'allais pas mourir de déprime et de mal-être, enfin j'espère. Je sais.. elle caressait ma joue, sa tendresse me touchait vraiment, et son baiser sur celle-ci me fit sourire et frissonner. J'le permettrais pas. la voir un jour dans le même état que moi, jamais ça n'arrivera Ouep. elle s'était levée et me tendait sa main, je glissais la mienne dans la sienne et alors qu'elle tirait pour me relever, je l'aidais tout de même et lorsque je fus debout, elle fut le cul dans le sable morte de rire, je riais aussi Si aller viens ! à mon tour je tendais ma main et lorsque la sienne se glissait cette fois-ci dans la mienne, je ne tombais pas, je restais où j'étais et elle se relevait pour arriver à quelques centimètres de moi, je souriais T'as vu je suis coriace. je déposais un baiser sur sa joue avant d'essayer de courir vers l'eau mais c'était un sketch, je boitais à moitié avant de me tenir la jambe et de marcher en arrivant.

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Votre relation s'était le grand huit sauf qu'il fallait avoir le coeur plus que bien accroché ainsi que la ceinture si l'un de vous deux ne vouliez pas être éjecté au vol. Tu pensais ne jamais souffrir autant que le jour où ton père t'avais annoncé que ta mère était une psychopathe mais si Konrad avait réussi à faire l'impensable. Mais aujourd'hui c'était fini. Vous étiez reparti sur de bonnes bases comme des amis et pour une fois tu comptais bien resté son ami même si cette situation te massacrait le coeur, les tripes tout. Alors que vous rigoliez tous les deux sur le fait que vous pourriez passer pour un couple aux yeux des autres tes pensées s'égarèrent un peu mais très vite tu revenais à la réalité. « On a trop joué à ça on a vu ce que ça nous a coûté. Une amitié, un couple donc stop la casse. » Tu lui souriais doucement, lui avouant par la suite que toi aussi tu finirais par faire une overdose et peut-être même que tu y resterais. Il te disait que non mais lui dévoilant les nombreuses marques de piqûres sur le bras tu en rigolais. « N'en sois pas si sûr. » En fait, tu ne savais même pas pourquoi tu en rigolais les nerfs peut-être ouais c'était ça les nerfs pour ne pas fondre en larmes tu préférais rire. Konrad n'allait sûrement pas apprécier mais que ce soit lui comme toi vous ne vivez plus, vous survivez. Puis, tu lui proposais d'aller se baigner, il accepta. En bonne copine tu voulais l'aider à se relever mais c'est toi qui te retrouvais sur le cul, glissant par la suite ta main dans celle de Konrad, tu te relevais vos deux corps à une distance très minime. Tu lâchais doucement sa main esquissant un fin sourire à sa remarque puis sans un mot de plus tu courrais en direction de la mer. Te retournant pour voir Konrad marchait tu riais doucement. Passant à côté des beaux volleyeurs, tu les fis se retourner avant de crier. « ALLEZ BOUGE TES FESSES PAPY ! » Et voilà comment afficher Konrad devant tout un paquet de mecs gonflés à bloc. Tu riais de plus bel, avant de plonger dans une vague pour ne remonter la tête que quelques minutes après.

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† Koace †

Let's go to the beach, each.

Tant mieux si entre elle et moi c'était de nouveau du neuf. Tant mieux si entre elle et moi c'était reparti sur de bonnes bases, des amis. Deux ans dans une relation à la fois destructrice et passionnelle, je n'ai jamais été amoureux contrairement à elle, mais je dois avouer avoir été accro à cette fille plus de fois que je ne l'aurais voulu, un mélange de haine, de passion, de désir, de destruction, un amour destructeur si on veut, sauf que cet amour ne tenait que d'un côté le sien. Je n'aurais jamais pensé qu'on reparte à zéro nous deux, on a eu tellement de merdes, on s'est tellement détruit à tour de rôles, mon overdose à été l'élément qui a dit finalement stop à tout ça, elle a été là pour moi, l'amie que j'avais au début de ces deux ans, je la retrouve et je ne veux pas que ça change, j'ai besoin de cette Grace là mais je ne suis pas sur qu'elle me veut comme un simple ami, elle est toujours amoureuse de moi et le sera toujours, je le sais, mais je garderais la bouche fermée sur ce sujet, je ne veux pas remuer le couteau dans la plaie pour chacun de nous alors que tout s'arrange, alors que tous les deux, nous passons du temps ensemble, plus qu'agréable. Je venais de la taquiner sur le fait que passer pour un couple à la vue des mecs qui jouaient non loin de nous au beach volley pourrait être divertissant mais elle avait raison stop à la casse, restons en là Tu marques un point. je souriais la regardant avant de l'entendre dire après quelques une de mes paroles, que je ne devais pas être si sur de moi, elle me montra toutes ses marques de piqures, elle abusait sur ce coup, un peu trop Surement.. j'allais tout faire pour qu'elle arrête tout mais je sais ce que je dis. dans le genre déterminé et pas prêt d'abandonner, j'étais un champion. Elle voulait qu'on aille se baigner, je devais avouer que par ce soleil qui commençait à me cramer la peau, de l'eau fraiche me ferait du bien, j'attrapais ça main, elle tirait, son cul dans le sable et moi relevé, elle explosait de rire avant que ce soit l'inverse, moi qui la tirait pour qu'elle se relève, mais cette-fois on étaient debout tous les deux, à quelques centimètres l'un de l'autre. Elle souriait à ma remarque avant de courir vers l'océan, elle, elle pouvait courir moi je boitais et en prime une fois qu'elle avait les pieds dans l'eau là voilà qui m'affichait devant tous ces types à qui elle avait mater le cul, merci St-James. Je souriais hochant la tête comme exaspéré avant de la voir plonger, j'arrivais enfin dans l'eau, ça faisait du bienJe sais pas si c'est une bonne idée finalement, j'douille grave là avec ma jambe.. je restais là comme un con débout alors qu'elle relevait la tête hors de l'eau, elle au moins s'amusait, moi je souffrais.

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