KOACE ✱ Let's go to the beach, each.

Tu venais de déposer tes lèvres contre les siennes avec tendresse et douceur. Tu étais persuadé que le geste que tu venais d'avoir en vers lui aller simplement lui montrer une nouvelle fois qu'il pouvait t'avoir dans son lit comme d'habitude quoi mais non. Contrairement à toute attente, Konrad prolongeait ce baiser sans ambiguïté certaine en te serrant juste plus profondément contre lui. Vos langues venaient entamer une longue et douce danse entre elle. Jamais en deux ans un moment comme celui-ci ne s'était produit et peut-être que si tout ces sentiments n'étaient pas réciproque cela risquait de te faire souffrir une nouvelle fois mais tu n'en avais rien à foutre pour la première fois depuis longtemps tu étais consciente et bien. Aucune drogue dans le sang, aucun alcool non plus, juste ivre d'amour et de tendresse. Puis, t'écartant doucement de lui, t'ouvrais les yeux calmement et le fixait. « Je... » Tu te résignais à lui dire que tu ne voulais pas que tout redeviennes comme avant, que votre relation se résume à du cul et de l'amitié à vrai dire Konrad ferait bien ce qu'il voudrait mais tu te promettais de ne jamais retomber dans son lit juste pour la baise. Après tout, Konrad n'est pas le seul à te prendre que pour t'avoir dans son lit mais il est le seul que tu aimes et que tu n'ais jamais aimé.

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† Koace †

Let's go to the beach, each.

On s'embrassaient, pour être franc, j'avais peur de cela, je ne savais pas où ça allait nous mener mais lorsque ses lèvres ont touchées les miennes c'est comme si tout s'arrêtait de tourner autour de moi, comme si il n'y avait qu'elle alors j'avais répondu à son baiser et depuis quelques longues secondes, nos langues dansent, je la serre un peu plus contre moi, je n'ai jamais fais ça avec elle, pas comme ça, c'est nouveau, en deux ans, c'est nouveau. Je suis amoureux, je m'en rend compte, il a fallut qu'on joue ce jeu de je t'aime et te déteste pour me rendre compte que plus elle me faisait souffrir, plus je l'aimais. Elle quitte mes lèvres pour se détacher de moi légèrement, elle plonge son regard dans le mien, elle commence à ouvrir les lèvres, je sais ce qu'elle va dire, je le sais, elle commence mais elle n'arrive pas à finir sa phrase, je pose ma main sur sa joue Moi aussi. je l'aimais oui, je le savais maintenant.

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Tu avais posé tes lèvres sur les siennes, il avait répondu avec une tendresse qui n'avait jamais existé entre vous. Puis, tu t'étais doucement détacher de lui, voulant lui dire quelque chose qui ne voulait pas sortir. Tu ne savais pas pourquoi mais ça ne voulait pas sortir, puis sans hésiter Konrad déposait une main sur ta joue pour t'avouer que lui aussi. Tu fermais doucement les yeux, ne pouvant qu'esquisser un petit sourire puis tournant doucement ta tête ton visage se retrouvait au creux de sa main. Tu déposais un petit baiser avant de le regarder une nouvelle fois dans les yeux. Tout ceci pour en arrivé à une chose que tu avais toujours espéré, que tu pensais désormais impossible. Tu lui souriais tendrement. « Je serai toujours là pour toi quoi qu'il arrive. Je te le promet. » Tu caressais doucement sa joue. Tes prunelles bleues pétillante se noyait dans ses yeux noisettes. Tu te laissais ensuite retombé ton dos sur ta serviette. « Stop les conneries d'accord ? » Tu le regardais, son visage à quelques centimètres du tien, ton buste complètement dénudé. Tu étais heureuse, tu planais enfin pour quelque chose qui n'était pas mortel enfin ça, ça restait à voir.

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† Koace †

Let's go to the beach, each.

Je n'avais jamais connu ça avec elle, cette tendresse, cette douceur, c'était tout nouveau pour moi, enfin non je l'étais déjà avec Elysia mais c'était totalement différent l'amour que je porte à Elysia est inconditionnel, celui que je porte à Grace est rationnel, je suis amoureux d'elle. Elle se détachait de mes lèvres après quelques instants à partagés ce baiser, elle voulait me dire quelque chose qui n'arrivait pas à sortir mais je savais ce que c'était, je le savais et je lui disais que je ressentais la même chose en posant ma main sur sa joue, elle souriait faiblement moi aussi. ses lèvres déposait un doux baiser dans le creux de ma main Je te le promet aussi Grace. elle caressait ma joue, je fermais les yeux, cette douceur qu'elle seule pouvait m'apporter, elle me comblait. Elle se rallongeait sur sa serviette, le haut de son maillot de main était à côté de moi, elle avait le buste dénudée, je savais qu'elle était heureuse, moi aussi je l'étais, je m'en rendais vraiment compte maintenant, je m'allongeais aussi, me trouvant à quelques centimètres d'elle. Ca dépend des conneries. Donne des exemples. je souriais légèrement tournant ma tête vers elle.

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Tu étais là heureuse. Ta persévérance avait enfin payé, car Konrad c'était rendu compte que pour lui aussi tu n'étais pas qu'une amie. Tu étais bien plus que ça. De là à dire qu'il était fou amoureux de toi, tu n'en savais rien mais ce que tu savais c'est que tous les deux vous allez faire un petit bout de chemin ensemble, heureux et sans jalousie, ni prises de tête. Konrad te promettait lui aussi d'être toujours là pour toi alors que tu t'allongeais sur ta serviette, le buste dénudé, tu le fixais. Tu ajoutais par la suite que les conneries c'étaient fini. A cet instant Konrad te demandait quelle sorte de connerie avec un petit sourire en coin. Tu riais doucement, avant de lui déposer une petite tape sur sa joue. Puis reprenant ton petit air de séductrice, tu lui lançais un regard charmeur. « Tant que les bêtises sont faites avec moi je ne dirais rien mais sinon gare à toi. Enfin tu me connais Konrad après tout ce temps. » Tu souriais sensuellement, avant de déposer tes mains sur ta serviette, fermant doucement les yeux. Un état de zénitude planait sur la plage, les mecs qui jouaient au volley ne t'intéressait même plus bizarrement.

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† Koace †

Let's go to the beach, each.

J'étais enfin fixé, toute cette destruction avec elle pour me rendre compte que l'amour prenait le dessus, pour me rendre compte que j'en étais amoureux. Deux ans que je la connais, deux ans que j'ai su lire en elle, je suis le mec qui la connait par cœur, je connais sa couleur préférée comme son string préférée, c'est pour dire, en deux ans on a fait du chemin ensemble, un chemin vraiment vraiment compliqué mais aujourd'hui tout cette complication, semble s'envoler, j'ai les idées claires, je l'aime. Je le lui disais, moi aussi je l'aimais et moi aussi je serais toujours là pour elle, on allaient encore faire un bout de chemin ensemble, il y aura de la jalousie c'est sur vu comment on est mais il y aura aussi des moments de tendresses, d'amour, ce sera beaucoup moins compliqué, car on s'est dit qu'on s'aimaient, il reste juste à appliquer ce qu'on dit. Elle repose son dos sur sa serviette, j'en fais de même et lance une petite remarque qui m'amuse et qui la fait rire, je grimace légèrement toujours en souriant quand sa main me donne une petite tape sur la joue Oui j'te connais. Et j'veux être franc avec toi. Ça va être dur pour toi comme pour moi mais je suis prêt à faire toutes ces conneries qu'avec et uniquement toi mais je te préviens, tu m’empêchera pas de mater des culs, je change pas ce que je suis hein, je reste le connard dont tu es amoureuse, j'arrête juste de foutre ma bite dans le vagins d'autres que toi promis. je rigolais, ça m'amusait.

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Il te faisait rire, il t'avait toujours fait rire. A vrai dire, tu ne voulais pas le faire changer c'était comme-ça que tu l'avais aimé et tu sais que de toute manière il ne changerait pas. Konrad resterait toujours un tombeur, un mateur de cul, il aime ça. Tu riais de plus bel à sa remarque. « Tu pourras mater tous les culs que tu veux mais le seul que tu auras c'est le mien. Et puis, je n'empêche pas les autres mecs de me mater le cul alors je ne voudrais pas priver les autres de tes si beau yeux. » Tu riais de plus bel, avant de venir poser tes avant bras sur le torse de Konrad sans appuyiez pour ne pas lui faire mal. Tu le regardais avec un petit sourire en coin avant de déposer un baiser sur son torse. « Je te promets de ne pas faire ma jalouse. Enfin, je vais essayer. » Tu riais doucement, tel une petite peste. Avant de tourner doucement ton visage vers les garçons qui jouaient toujours au volley-ball. Puis sans ajouter un seul mot, tu venais te mettre à califourchon sur le bassin de Konrad, restant en appuie sur tes tibia pour ne pas lui faire mal. T'étais hyper câline comme fille et tu avais vraiment tout le temps besoin de bisou surtout en ce moment.

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† Koace †

Let's go to the beach, each.

Je la faisais rire, tant mieux c'était mieux que de la voir pleurer comme tout à l'heure, je lui disais que j'étais à elle, c'est sur mais qu'elle n'allait pas m'empêcher de mater des culs ou d'aller vers d'autres filles, je savais me retenir, j'allais pas toutes leur péter le cul. Je sais St-James, ton cul est à moi et le mien à toi. Ouais... molo quand même. j'étais encore plus jaloux et possessif qu'elle alors si elle voulait vraiment me foutre en rogne c'était facile elle avait juste à bouger son cul à des mecs pour que je m'emporte vite. Ses bras se posaient sur mon torse, elle ne voulait pas me faire mal et c'est pas son baiser sur mon torse qu'elle venait de me donner qui allait me faire mal, au contraire c'était agréable. J'ai jamais dis que tu devais changer, fais la si tu veux. elle riait, je riais avant qu'elle se mette à califourchon sur moi, je passais mes mains sur sa taille, je la caressais Tu comptes remettre quand ton haut de maillot de bain, pas que ça me gêne mais j'aimerais être le seul à pouvoir apprécier ce genre de vue. je rigolais appréciant quand même la vue et attendant qu'elle recouvre sa belle paire de seins.

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Il était jaloux, possessif et tu le savais. Tu savais aussi que pour le rendre encore plus jaloux il en fallait très peu, juste que tu te rapproches d'un garçon que tu lui fasses un câlin même amical et tout pouvait partir en couille. Mais à vrai dire ce côté jaloux, c'est vraiment quelque chose qui t'attirait. Peut-être parce que tu te sentais moins seule, peut-être aussi que tu avais besoin de te sentir aimer et apprécier. Non, non ton égo n'était pas non plus surdimensionné. Tu aimais plaire à la gente masculine c'était comme ça, tu aimais les regards qui se posaient sur toi. Rien que ça te suffisait, tu n'attendais pas d'un mec qu'il finisse automatiquement dans ton lit. Konrad te prit volontiers à califourchon sur lui, vu qu'il passait ses mains sur ta taille afin de la caresser. Te regardant, il omit tout de même une demande celle de bien vouloir remettre ton haut de maillot de bain afin que personne ne puisse profiter de cette vue que tu pouvais offrir. Tu riais avant de te pencher pour attraper le bout de tissus que tu enfilais, le renouant par la même occasion. « Pour ce qu'il y a à voir en plus. Je peux même faire voeux de chasteté si tu veux. » Il était vrai que tu n'avais pas la poitrine de Lolo Ferrarri donc bon. Ce n'était pas non plus un complexe, cela allait avec ton corps quoi. Puis, tu avais ri sur la seconde partie de ta phrase. Voeux de chasteté, Grace St-James voeux de chasteté mais où vas le monde. Prenant ton sac par la suite tu farfouillais dedans pour en sortir un paquet de blonde, oui tu avais une flemme de rouler c'était assez impressionnant. « Tu en veux une ? » Tu regardais Konrad en souriant.

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† Koace †

Let's go to the beach, each.

Elle me connaissait par cœur, elle savait comment je marchais, elle savait ce que j'aimais, elle savait ce qui pouvait me faire partir en vrille, elle connaissait ma jalousie, ma possessivité, le moindre petit truc pouvait me faire péter un câble mais c'était comme ça, je suis comme ça et elle le sait. Je savais qu'elle aimait plaire, j'allais pas lui interdire ça, je suis égoïste, jaloux et possessif mais je suis fan de la liberté, alors elle peut faire ce qu'elle veut mais elle est à moi, point barre. Je pouvais de mon côté être totalement libre, je pouvais rester le connard que j'étais, elle pouvait rester la salope qu'elle était mais voilà maintenant on s'appartenaient l'un à l'autre, tant qu'on savaient ça, c'était parfait. Elle se mettait à califourchon sur moi, je caressais ses hanches et j'admirais cette vue qu'elle m'offrait de son buste dénudée mais je voulais être le seul à pouvoir voir ça alors je voulais qu'elle renfile le haut de son maillot de bain, ce qu'elle faisait avec un petit sourire aux coins des lèvres. J'ten demande pas t'en. je rigolais légèrement, c'est vrai elle à pas le physique le plus parfait du monde mais pour moi elle me comblait, sa poitrine, son cul, son visage, elle, tout était parfait. Elle sortait de son sac une blonde et m'en proposait une, je souriais, même pas besoin de parler qu'elle m'en tendait déjà une, je la prenais et la portais entre mes lèvres T'as un feu ?.

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