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KOACE ✱ Let's go to the beach, each.

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C'était étrange, incomparable. Jamais plus tu ne rencontrerais un connard de son espèce et pourtant c'est ce que tu aimes le plus chez lui. Je crois que ce qui t'attirait vraiment c'est le fait que derrière ses aires de bad boy, de coureurs de jupons tu connaissais pas mal de ses faiblesses et au fond il était comme tout le monde un être humain qui savait souffrir mais qui a tellement souffert qu'il a appris à fermer son coeur. C'est ce que toi tu n'arrivais pas à faire, c'est pourquoi te piquer devenait un refuge. Lorsque que tu étais sous l'emprise de l'héroïne tu étais bien, tu étais vivante et en même temps tu étais morte c'était un cocktail molotov qui tôt ou tard exploserait. Il t'avait relevé, vous aviez échangé un regard puis te voilà courant vers la mer, le taquinant sur sa lenteur puis plongé dans cette mer bleu turquoise. Alors que tu remontais doucement, Konrad t'avouait que ce n'étais pas forcément une bonne idée vu que sa jambe lui faisait mal. Tu t'approchais alors doucement de lui et attraper ses mains. « Suis-moi, je suis sûre que ça te fera le plus grand bien. » Vous avanciez tous les deux doucement, toi devant et lui derrière jusqu'à ce que toi tu n'es plus pied enfin presque plus pied. Tu te retournais vers Konrad et lui souriais. « Laisse-toi aller maintenant. Laisse-toi flotter. Si jamais tu as trop mal on remonte mais essaye au moins. » Tu t'allongeais toi sur la mer, te laissant flotter tel un navire sur l'eau. Tu souriais à cette sensation si étrange. Le bourdonnement de l'eau dans tes oreilles, le silence du large et puis ta longue chevelure devenant tellement lourde à force de tremper dans l'eau. Le bonheur, il n'y avait rien, plus rien et pourtant tu souriais, tu paraissait heureuse.
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Jamais plus je ne rencontrerai une fille comme elle, sur le campus, juste évoquer son nom, c'est évoquer ses actes, ce qu'elle est, la garce des garces, une belle salope, et pourtant je crois que c'est et ce sera toujours ma salope préférée. Je déteste et je suis accro à la fois à ce côté là d'elle, je vous le dis, entre nous c'est un mélange, un cocktail, quasiment explosif, et je sais que jamais ça ne cessera même si maintenant, entre nous c'est l'eau plate qui coule. Nous sommes reparti sur de bonnes bases, à zéro, des amis, du temps passé ensemble, je profite, tout comme elle. La voilà à courir vers la mer et moi à essayer de courir, je boitais plutôt et elle en jouait de ça pour m'afficher en public, elle me taquinait mais j'arrivais tout de même dans l'eau mais cette douleur au niveau de la jambe, ça m'avait stoppé et j'en avais averti Grace mais elle venait vers moi et prenait mes mains et je me laissais faire comme si sa voix était ma conscience, j'avançais avec elle dans l'eau puis à ce moment où nous n'avions plus pied, je me laissais flotter comme elle me l'avait dit, et je fermais les yeux. Mais ça ne dura que quelques secondes, je commençais à sentir cette douleur monter et ma jambe se faisait lourde, j'arrivais pas à rester stable et à flotter J'arrive pas... tant bien que mal à l'aide mes bras j'essayais de revenir là où j'avais pied, jusqu'à m'asseoir dans l'eau avec juste quelques centimètres d'eau qui m'arrivait à la taille, je me tenais la jambe, je grimaçais.

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Tu étais là, il était là comme-ci jamais rien n'avait eu entre vous comme-ci tout avait été tout beau, tout rose. Mais non, vous aviez ressenti le poids de vos erreurs qui pèsent encore mais vous étiez tout deux là au summer camp en Floride prêt à profiter à fond à commencer par la mer dans laquelle vous vous baigniez malgré les premières réticences de Konrad, tu avais réussi à l'emmener dans un endroit où ses pieds ne touchaient pas le sol mais lorsqu'il avait mal à la jambe cela fût un calvaire pour lui de revenir sur le rivage. Une fois qu'il été assis, tu accourais vers lui. « Je suis désolée. Je n'aurais pas dû... » Tu te posais doucement face à lui, caressant avec lenteur la cuisse puis la toute la jambe qui le faisait souffrir. « Ça va aller ? » Tu le regardais avec cet air de gamine ayant fait une connerie auquel il ne pourrait résister. « Remontons. » Tu te relevais, aidant Konrad à faire de même afin de regagner calmement vos serviettes. Une fois allongée sur la tienne, tu te remettais sur le ventre et faisait sauter les noeuds de ton haut de maillot de bain afin de ne pas avoir de marque. Ce n'était absolument pas choquant puisque la plupart des filles ici se promenaient seins nus sur la plage alors toi avec juste ton dos dénudé tu ne faisais rien de mal et puis Konrad les avaient déjà vu alors après tout rien ne t'en empêcher.
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Certes je ne pouvais pas oublier ces deux ans plein de hauts et de bas, surtout de bas, quasiment que de ça mais voilà il fallait que je laisse ça au fond de ma tête et que je fasse avec pour avancer. Je venais de repartir à zéro avec elle, depuis mon coma, aucune engueulade, même quand on passaient du temps ensemble, c'est ça qui m'avait le plus manqué, c'est ça qu'il y avait au tout début mais au fil du temps ça s'est dégrader mais passons. J'avais mal, physiquement, surtout au niveau de ma jambe droite, les effets de l'overdose m'ont vraiment affaiblit, je m'en remet mais très doucement, même si je suis un coriace. Je suis là les pieds dans l'eau, Grace qui vient vers moi, je lui fais confiance, malgré tout ce qui s'est passé entre nous, je n'ai jamais cesser de lui faire confiance et on marchent, jusqu'à ne plus toucher pied au sol, je flotte tout comme elle, pendant quelques secondes, je suis bien, je ferme les yeux mais je grimace de suite, ma jambe s’alourdit et je commence à couler mais à l'aide de mes bras j'arrive à revenir là où j'ai pied et à m'asseoir un peu plus haut, à me frotter la jambe, la douleur était vraiment intense cette fois. C'est pas ta faute.. elle me caressait la jambe, elle voulait me montrer qu'elle était désolée de m'avoir forcer à venir ici mais c'était moi qui avait voulu, elle ne m'avait pas forcée du tout. J'en sais rien.. elle m'aidait à me relever, et on pouvait bien voir que je boitais et comme il faut, on marchaient doucement jusqu'à nos serviettes où on se rallongeaient dessus, la douleur s'estompait de plus en plus et je la voyais détacher son haut de maillot de bain, j'avais un sourire discret aux coins des lèvres toujours en la regardant puis je portais mon regard de nouveau sur cette jambe maudite, à bien la regarder, elle avait bien enflée.

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Finalement de voir Konrad dans cet état te donnait légèrement l'envie d'arrêter de te piquer du matin au soir. Le voir souffrir comme ça, te faisait du mal, car au fond tu savais que tout ce qui arrivait été de ta faute. Si tu l'avais laissé heureux avec Emma rien de tout ça ne serait arrivé mais quand quelque chose ne va pas dans ton sens tu ne peux t'empêcher de le corriger. Un peu égoïste la St-James. Enfin bref, une fois que la douleur s'était installé dans sa jambe vous remontiez doucement mais sûrement. Il s'installait sur sa serviette, puis tu faisais de même prenant soin de dénouer ton haut de maillot. « J'ai tout le temps que des mauvaises idées moi en fait. » Tu bougonnais doucement en regardant l'état de la jambe de Konrad. Elle était bien enflée, tu comprenais pourquoi il avait mal maintenant. De plus, portait un poteau électrique ça doit être dur. Tu prenais par la suite ton tabac à rouler, une feuille et un filtre et puis roulais une cigarette que tu donnais à Konrad. « A défaut de te donner mon corps pour me faire pardonner, je te donne des clopes. » Tu riais doucement avant de t'en refaire une. Tu l'allumais et tiré dessus en regardant partout autour de toi, tu observais les gens, leurs petites mimiques et ça te faisait rire.
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C'était pas sa faute, elle n'avait pas besoin de se foutre le seum à elle-même, c'était moi qui souffrait, physiquement comme mentalement et moralement, cette overdose m'a donné un sacré coup de faiblesse, pire un effet secondaire sur ma jambe droite, je la sens encore, mais si ça se trouve avec l'ampleur que ça apprit, dans deux semaines, je ne la sentirai même plus ou pire, on devra m’amputer car elle s'infecte de l'intérieur et... bref passons. J'avais mal et je préférais arrêter d'essayer de me forcer à lui faire plaisir, je n'ai tenu que quelques secondes à faire la planche, à flotter, j'ai du arrêter car ma jambe se faisait trop lourd, on remontaient doucement après vers nos serviettes, ça allait légèrement mieux même si en la fixant bien cette putain de jambe, elle avait doublé de volume. Non pas tout le temps. Regarde, tu m'a rencontré. je souriais légèrement lâchant mon regard sur elle quelques secondes avant de le reposer sur ma jambe que je massais légèrement de ma main. Je riais à sa remarque prenant la clope qu'elle venait de rouler pour moi C'est pas faux. je la portais entre mes lèvres, et sans lui demander je venais fouiller dans son sac pour chercher un briquet mais à la place je tombais sur ses seringues. Tu te fou de ma gueule ? la clope tombait de ma bouche, je la fixais Grace. Tu comptes t'en faire encore longtemps ?

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Tu avais voulu l'emmener oublié sa douleur mais a pars faire enflé sa jambe et lui foutre un mal de chien dans cette foutue jambe tu n'avais rien fait de bien. Vous voilà donc allongé sur vos serviettes respectifs. Alors, que tu venais de dénouer ton haut de maillot, tu attrapais ton tabac à rouler pour faire une cigarette pour Konrad ainsi qu'une seconde pour toi après avoir doucement sourit à sa remarque. Une fois la première cigarette faite, tu lui donnais avec un petit sourire avant de confectionner la tienne. La terminant tu ne prêtais aucune attention vers Konrad lorsqu'il te demandait si tu comptais en faire longtemps. « Des clopes ? Non, c'est bon j'ai fini. » Tu te retournais alors vers lui, laissant tomber ton haut de maillot de bain en même temps que ton visage se décomposer. « Je... je vais t'expliquer. » Tu essayais de lui récupérer les seringues des mains mais si le beau brun n'avait pas de force dans les jambes, il en avait dans les bras. « Elles sont usagées, j'ai juste oublié de les jeter. » Il y en avait qu'une seule d'usagé dans le lot mais tu espérais que sa passe mais à la vue du visage de Konrad ça ne passerait pas et il comptait bien te passer un savon surtout après ce qui venait de lui arriver.
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Il fallait calmer ma jambe, j'avais préféré sortir de l'eau, enfin on avaient décidé de sortir de l'eau, elle culpabilisait pour m'avoir entrainer là-dedans mais c'était entièrement ma faute, elle avait juste voulu me faire passer du bon temps, rien de plus. On étaient de nouveau allongés sur nos serviettes puis la voilà encore à s'occuper de moi en me roulant une clope, je souriais la regardant faire avant de la porter à mes lèvres lorsqu'elle me l'a tendit puis elle s'en préparait une à son tour, je me mis en tête de chercher un briquet dans son sac, car on trouve de tout dans un sac de femme, et en effet, de tout, comme des seringues, usagées ou non. Je n'en revenais pas, je les tenais toutes dans ma main, je la regardais, elle venait de me foutre un coup là. Y a rien à expliquer. elle essayait de les reprendre mais j'avais encore l'usage de ma force dans mes mains, c'était peine perdu pour elle Et en plus tu te fou de ma gueule, Je sais reconnaitre une usagée et là-dedans, il y en a qu'une ! je la fixais, putain elle venait de me foutre une gifle au mental là. T'as pas le droit. Pas après ce qui m'est arrivé bordel ! je les jetais avec violence dans le sable avant de me relever enfin c'était peine perdu à peine debout que je retombais, j'avais pris l'appui sur la jambe douloureuse Putaiiin fais chier. je ne pleurais pas mais j'avais envie, elle venait de me faire mal là J'te faisais confiance..

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Votre après-midi se passé à merveille à pars cette putain de douleur dans la jambe de Konrad qui l'énervait plus qu'autre. Tu le connaissais et tu savais qu'il ne tenait pas en place mais sa putain de jambe l'empêchait de faire énormément de choses du genre profiter de cette mer bleu turquoise mais à vrai dire ce n'était qu'un détail puis qu'une nouvelle fois tu venais tout gâcher. En effet, le beau brun venait de fouiller dans ton sac pour chercher un simple briquet mais à la place il y trouvait une multitude de seringues. Le voyant, tu devenais toute blanche. Il s'énervait contre toi, après tout il n'avait pas tort, ce qui lui était arrivé ne t'avais visiblement pas servi de leçon et même si Konrad pouvait te détester par moment, tu savais qu'il tenait à toi et que te perdre à cause de cette merde le rendrait fou de rage. Tu baissais honteusement la tête alors qu'il essayait de se lever après avoir jeté des seringues dans le sable. « Je suis désolée. Je ne voulais pas te faire du mal mais je crois que je ne sais faire que ça. A vrai dire, je pensais que me piquer ne toucherais que moi. » Tu relevais doucement ton visage, les larmes aux yeux tu posais tes mains sur chacune de ses joues. « Je te promets, je te jure d'arrêter mais ne me laisse pas tomber. Le seul truc c'est que je n'y arrive pas Konrad. J'ai l'impression que quand je n'ai pas ma dose, je deviens irritable limite méchante. J'en tremble limite. » Tu savais que tu étais accro mais tu ne voulais pas voir la vérité en face. Tu te faisais peur à toi-même en fait. Même si ta pire peur était de devenir comme ta mère. « N'en parle pas à Jeno, je t'en supplie je n'ai pas envie qu'il s'inquiète pour moi. » Tu soupirais doucement. « Je deviens comme elle putain ! » Oui ta mère avait eu sa période toxico pour faire sa thèse et c'est ça qui a tout fait péter dans son cerveau.
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C'était si bon d'être là avec elle, elle me faisait oublier cette overdose, Emma et notre rupture, mon coma, bref, elle était adorable de s'occuper de moi ainsi. On étaient revenu à nos serviettes, j'avais pas pu tenir le coup de nager, avec ma jambe qui me faisait souffrir assez fortement, allongé là à côté d'elle, je ne souffrais pas, bien au contraire. J'avais cette clope qu'elle m'avait roulée entre les lèvres, j'avais fouillé dans son sac, trouver un briquet mais je tombais sur des seringues, usagées comme encore prête pour piquer, elle venait de me foutre une gifle, non, une bonne grosse droite au moral là. J'en revenais pas, elle pouvait fumer des joints, sniffer de la coke mais en faisant bien gaffe aux doses mais pas ça, pas les piqures, non elle peut pas me faire ça, j'viens de faire une overdose putain, ça lui a pas servit de leçon merde ? J'pête un câble, elle me blesse, elle me fait mal. Je me lève ou j'essaye mais rien à faire, c'est trop dur, même ce petit effort de merde j'y arrive plus, je retombe dans le sable, une douleur atroce à la jambe, je jette les seringues dans le sable, je lui dis ma façon de penser. Putain Grace mais tu vois rien, tout ce que tu fais ça me touche ! TOUT ! je levais les yeux vers elle, elle pleurait, ça faisait mal de la voir comme ça mais elle était fautive. Grace... j'ai fais le con dans ma vie, j eles compte même plus mais jamais je me suis piquer, c'est la seule chose qui me fait peur, de devenir une merde, de tomber encore plus bas. Tu viens de le faire, te piquer, me le cacher, être là pour moi, me montrer ton sourire alors que derrière t'es accro à cette putain de merde ! j'avais mal, très mal J'dirais rien, tu lui diras comme une grande bordel. et je l'entends me dire et se dire à elle-même qu’elle devient comme elle, comme sa mère. C'est moche mais vrai. ça faisait mal de dire ça, surtout à elle, qui me touchait plus qu'aucune autre, je lui faisais confiance Jt'e faisais confiance Grace. J'ai accepté que toi et moi ont reparte à zéro, qu'on soient amis à nouveau, mais faut croire que je suis pas ton ami.

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