KOMMACE ✱ Le problème, c’est que même si tu m’disais « je t’adore » j’te croirais pas ! Je sais plus quand tu joues et quand tu joues pas

J'aimais pas en arriver là, où je devais me fâcher pour me faire comprendre. Je sais pas ce qui m'a prit d'avoir développés des sentiments pour lui. C'était plus facile avant, je le considérais comme mon meilleur plan cul, mais le cul a tout foiré. C'était ma faute, c'était moi qui lui avait dit que je supportais pas le voir baiser avec des autres filles. Dès l'instant où j'avais prononcé cette phrase, je sentais que ça allait mal finir. Je croisais les bras en fronçant les sourcils. Je l'écoutais reconnaître ses tords mais je n'y croyais pas un mot. « je te crois pas et je ne sais même plus avoir confiance en toi depuis que tu m'as trompé.» je lui remettais la faute, encore et encore. Il avait beau se victimiser ça serait toujours pareil. Moi j'étais persuadée qu'il n'avait pas de coeur et il le disait lui-même qu'il n'en avait pas. Konrad avait l'air d'avoir un passé qui était encore très présent dans sa vie actuellement. J'étais pas un jouet, et s'il voulait s’apaiser il avait cas aller voir Grace. Je l'aimais Konrad, je l'aimais tellement. Mon visage s'attendrissait et je me penchai vers lui pour attraper son visage entre mes mains.  j'étais capable de faire n'importe quoi pour toi, par amour. j'aurais tout fait pour te rendre heureux. je serais restée dans les moments difficiles, comme maintenant. tu ne t'imagines pas à quel point je t'aime.» ça y est je sentais les larmes me monter aux yeux, mais pour les retenir, je vins imprimer mes lèvres contre sa bouche. Le dernier baiser que je pouvais lui offrir, car c'était vraiment fini, il ne voulait pas de ma deuxième chance et finalement, je n'en voulais pas non plus. Je quittai son lit, ne voulant pas prolonger ce moment qui me faisait plus de mal qu'autre chose, et je le regardais doucement. « maintenant je vais t'oublier, ou du moins tout faire pour que tu disparaisses de ma vie. je ne veux plus te voir, je ne veux plus entendre parler de toi, c'est fini. Plus d'amitié, plus de cul, rien.» putain ça me faisait mal de dire ça, et là je voulais trop pleurer et m'enfermer quelque part. Mon coeur saignait.