Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityKOMMACE ✱ Le problème, c’est que même si tu m’disais « je t’adore » j’te croirais pas ! Je sais plus quand tu joues et quand tu joues pas - Page 3
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KOMMACE ✱ Le problème, c’est que même si tu m’disais « je t’adore » j’te croirais pas ! Je sais plus quand tu joues et quand tu joues pas

Ottis Heimann

Âge : 25
Lieu de naissance : florence (italie)
Quartier d'habitation / Colocation : South Boston
Situation sentimentale : en couple avec kat
Études / Métier : étudiant en technologie et innovation (6ème année)
Date d'inscription : 10/08/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : overlander (elle)
Icon : KOMMACE  ✱ Le problème, c’est que même si tu m’disais « je t’adore » j’te croirais pas ! Je sais plus quand tu joues et quand tu joues pas - Page 3 20fa7210
Faceclaim : Arón Piper
Crédits : lumos solem
Multicomptes : tatum ferguson & wilhem oswald
Description (1) :

If everything was perfect
you would never learn and you would never grow

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Ottis , il a le syndrome de peter pan. il veut pas grandir, il est bien dans son confort enfantin, gamin dans l'âme, tête à claques à l'humour de con. c'est simple, soit on le supporte, soit on le supporte pas. et même si t'arrives à le supporter, y'a forcément des moments ou tu veux l'étrangler. mais c'est un bon vivant, l'italien, une pile électrique, électron libre que tu peux pas attraper à mains nues. ambitieux, il a confiance en lui et s'il pense aller loin dans la vie, il va tout donner pour y arriver. n'a jamais connu l'amour, s'est toujours contenté de lui-même et c'est peut-être mieux comme ça. fêtard, un peu trop accro à la coco, mais c'est qu'un détail. sociable, toujours opé pour faire de nouvelles rencontres et il a tendance à mettre les gens à l'aise dès les premiers instants... ou pas.
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populaire ⬖ amical ⬖ blagueur ⬖ studieux ⬖ fêtard ⬖ loyal ⬖ capricieux ⬖ zen ⬖ sensible



Description (2) :

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Description (3) : Katalia Borgia : petite amie (29.06.20) ⬖ Magdalena Heimann : soeur ⬖ Rosa Gimenez : cousine ⬖ Lexie Coleman : amie ⬖ Harlem Wayne : ami
RPS en cours : katalia - harlem - james - saphyr - quentin - zephyr
Warnings : maladie/cancer, sexe

RPS : 192
Messages : 53945
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Ottis Heimann
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PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t114720-ottis-heimann-aron-piperRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155331-ottis-gustin-easton-loyd-quito-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155389-ottis-gustin-easton-loyd-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t155368-meetsachussets-hottis#6932223


Je n'en revenais pas de la façon dont Grace me parlait. Jamais depuis très longtemps je m'étais pris une claque dans la gueule avec ses paroles. On aurait dit une grande soeur qui engueulait sa petite sœur. Elle se victimisait, c'était abusé. En gros, j'étais la méchante. Sa mère était dans un hopital psychiatrique, mais que voulez-vous que je lui dise? Les miens sont morts sans que j'ai pu me mémoriser leur visage dans ma tête. Elle faisait sa belle à s'approcher de moi comme si elle allait m'en coller une. Je la regardais d'un sourire narquois. Faut pas défier Emma, ça risque d'être dangereux. Je lui attrapais rapidement le poignet en enfonçant mes ongles sans pitié. « Ne me compare pas à toi. Je t'ai rien fais, c'est toi qui foire tout et tu viens me chercher des embrouilles? J'te conseille de te faire toute petite espèce de... » On s'engueulait et on en oubliait presque pourquoi on était là. Konrad venait de m'interrompre en disant qu'il allait régler ça. Pff, et comment? Il savait à peine parler et il ne voyait que du bien dans Grace, j'en étais persuadé. Je regrettais un peu d'avoir été impulsive mais je détestais qu'on s'en prenait à moi. Je relâchai Grace en éloignant d'elle. Je lançais un regard pas très gentil au jeune homme. J'étais choquée, et vexée qu'il ne l'ait pas foutue dehors. Ils parlaient d'une Melody, mais moi je connaissais pas cette histoire. Pourquoi Grace était-elle au courant et pas moi? C'était des petits détails comme ça qui me prouvait que Konrad tenait à elle. J'avais jamais vu Grace comme ça, on aurait dit qu'elle allait s'effondrer. Bon, après tout, j'me suis dit qu'ils avaient aussi droit à un tête à tête sans qu'une ado pré-pubaire ne les observe. Je soupirais puis me décidai à partir, j'allais surement fumer une clope dehors. Trop énervée. « j'me casse. je reviendrais peut être quand tu auras sortis le chien. » dis-je en regardant Grace de haut en bas. Je n'aimais pas sa compagnie et encore moins avec Konrad. C'était peut être une erreur de les laisser tous les deux ensemble, mais merde j'en avais marre de me battre alors que je ne devrais pas d'après ce qu'ils m'ont fait tous les deux. Il n'y en avait pas un pour rattraper l'autre.
(Ottis Heimann)


✧. ❛ love on top. i know nothing's perfect but it's worth it after fighting through my tears and finally you put me first. it's you.

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Le problème, c’est que même si tu m’disais « je t’adore » j’te croirais pas ! Je sais plus quand tu joues et quand tu joues pas

Putain les mettre dans la même pièce c'était juste l'idée la plus mauvaise au monde, elles étaient là à se crier dessus, à s'envoyer des piques, je les regardais, c'était à la fois plaisant et soulant, toujours ce mélange dans ma vie, comme elles, Grace et Emma, le mélange de ma vie. Putain il fallait que je les stoppe alors ok j'avais presque pas de voix mais assez pour me faire entendre, et calmer Emma qui aller lui sauter dessus si je n'avais rien dit. Elle s'éloignait d'elle en me regardant vexée et déçue mais je voulais pas qu'on s'engueulent, j'allais pas très bien, pas la peine d'aggraver le tout. Me voilà à parler à Grace, elle sait fait passer pour ma sœur Melody, je l'ai mal encaissé, je veux juste des explications, simplement. J'écoutais tout ce qu'elle avait à dire, je savais que c'était sincère, surprenant mais sincère, elle en venait même à laisser couler une larme, Emma en avait marre, elle se cassait de la chambre, marre d'être en compagnie de Grace ou plutôt qu'elle soit en ma compagnie. Je soupirais la voyant refermer la porte, plus que moi et St-James, je la regardais J'te crois St-James. je toussais, je grimaçais, je me redressais un peuet je fermais les yeux, ça faisait du bien, de ne rien dire, rien regarder, juste penser, mais c'est ça le problème, je pense, mais dans ma tête c'est la merde totale.

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Kommace Հ Le problème, c’est que même si tu m’disais « je t’adore » j’te croirais pas ! Je sais plus quand tu joues et quand tu joues pas.
Emma était énerver, vraiment très énervé vu la manière dont elle te serrait le poignet. « Retire tes sales pattes de moi tout de suite Müller ! » Tu la regardais le visage fermé, les yeux agresseurs mais ta remarque ne la fit pas arrêter. Non, c'est seulement le timbre faible de la voix de Konrad qui stoppait tout. Te livrant à lui sur le pourquoi du comment tu t'es fait passer pour sa soeur, tu lâchais une larme. Tu étais sincère, tu n'avais jamais été aussi sincère de ta vie. Enfin bref, Emma quittait la chambre lassait de t'entendre pleurer et bien bon débarras. De toute façon elle était néfaste à ton air. « Va te faire foutre Emma ! » Hurlais-tu alors qu'elle venait de t'insulter de « chien ». Fixant Konrad par la suite, tu déposais doucement une main sur la sienne. « Pardonne-moi je t'en supplie. Je ferais tout ce que tu me demandes mais pardonne-moi ! » Tu baissais doucement les yeux, honteuse. « Oui, j'ai voulue couché avec toi pour prouver que tu ne tenais pas vraiment à Emma. Oui, je suis une garce. Oui, je suis la pire amie qu'on peut avoir mais je te jure que jamais je n'aurais voulu qu'Emma le sache. » Tu relevais alors doucement ton visage, tes yeux étaient emplis de larmes mais en même temps de rage. « Je suis jalouse ! Jalouse que ce soit elle plutôt que moi ! Mais tu n'avais pas le droit. Pas le droit de me déballer toutes ces horreurs au bal ! Pas le droit de faire ce que tu viens de faire, pas le droit de te retrouver ici ! » Tu reniflais doucement avant d'essuyer tes larmes et de t'asseoir dans le fond de la chaise. « Je peux te détester au plus au point, je ne supporterais pas de te perdre un seul instant et encore moins pour une histoire de cul. » Tu soupirais doucement. « C'est bon Konrad, j'ai compris. Toi et moi ne sommes qu'une histoire de cul. Ton acte m'a bien fait comprendre que je n'ai pas le droit de t'obliger à m'aimer. Alors, même si je ne l'aime pas, même si j'ai envie de la buter. Emma t'aime et tu l'aimes aussi. Je suis sûre qu'elle te pardonnera un jour. C'est tout le mal que je vous souhaite, être heureux ensemble. » Tu le regardais dans les yeux, même si au fond ce n'était absolument pas ce que tu voulais, tu ne pouvais plus le rendre malheureux et le voir dans cet état à longueur de temps. Il fallait t'y résoudre St-James Konrad n'était pas pour toi.

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C. Konrad Sheffield a écrit:
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Le problème, c’est que même si tu m’disais « je t’adore » j’te croirais pas ! Je sais plus quand tu joues et quand tu joues pas

Emma en pouvait plus, pour elle, c'était qu'elle qui devait être ici pas Grace, et pour Grace bah logique, que elle ici et pas Emma, et dire qu'elle étaient pote, et il a fallut une chose pour que leur relation descende aussi bas, moi. Grace s'expliquait sur le pourquoi du comment face à ce qu'elle à fait pour pouvoir me voir, encore des piques qu'elles se lancent, je suis trop faible pour leur gueuler dessus mais Emma décide de partir, du moins elle reviendrait quand St-James ne sera plus là. Grace.. je sais pas.. je sentais sa main qui tenait la mienne, elle ne me laissait pas parler, elle enchainait les mots, elle se justifiait, j'entendais, ça entrait par une oreille et ça s'intégrer dans ma tête. Je sais que tu voulais pas... ses yeux remplis de larmes, à la fois la tristesse et la rage, je lisais clairement ça en elle, oui je la regardais, c'est vrai que j'avais pas eu le droit mais elle sait très bien que je me lance dans des trucs ouf et je sais jamais ce qui peut arriver, j'ai faillis y passer et je crois que je le réalise pas encore. Toi non plus t'avais pas le droit... pas le droit de me faire ça. Elle me regardait, assise dans le fond de sa chaise, elle blablatait encore, je ne pouvais qu'écouter puis elle se trompait, je ne l'aimais pas, c'était juste différent avec Emma, j'étais juste trop bien avec elle, mais je ne l'aimais pas, entre elle et moi c'était pas réciproque Je l'aime pas... je suis pas amoureux d'elle... j'enfonçais ma tête un peu plus dans l'oreiller, je fermais les yeux mais j'avais pas le droit de lui faire ça, elle méritait pas que je la traite comme une fille banale.. elle était différente... je serrais toujours la main de Grace, du moins elle ne devait rien sentir, j'étais si faible, si vulnérable, une vraie merde.

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Kommace Հ Le problème, c’est que même si tu m’disais « je t’adore » j’te croirais pas ! Je sais plus quand tu joues et quand tu joues pas.
Tu n'en pouvais plus, cette journée avait plutôt été éprouvante pour toi. Entre ta mère et ses crises à la con, Konrad dans un lit d'hôpital et Emma qui fait sa gamine alors qu'honnêtement ce n'était ni le moment, ni l'endroit pour régler vos comptes. Suppliant Konrad de te pardonner, tu en avais les larmes aux yeux. Tu n'en pouvais de lui courir après pour être rejeté de la sorte. Tu cherchais vraiment ce qu'étais ton problème. Pourquoi Konrad ne voulait pas de toi ? Pourquoi ne voulait-il que ton corps ? Tu soupirais alors doucement, Konrad était faible et tu étais impuissante face à cette merde qui l'avait rongé jusqu'au bout enfin presque. Alors que tu venais de lui reprocher tout un tas de choses, il te faisait lui aussi remarquer que tu n'avais pas le droit, pas le droit de gâcher sa vie de la sorte. « Je sais.. » Tu baissais alors honteusement les yeux, avant que Konrad ne t'avoue qu'il n'était pas amoureux Emma. Il disait qu'il ne voulait juste pas la traiter comme une fille banale, car elle ne l'était pas. Tu caressais alors doucement les cheveux de Konrad l'écoutant attentivement puis retirant doucement ta main de sa chevelure tu le regardais. « Elle en a de la chance. » Tu soupirais doucement à nouveau. Toi aussi tu aimerais avec ce quelque chose qui fasse que tu n'étais pas banale. « La différence c'est que ce n'est pas une salope elle. » Tu gardais alors doucement la main de Konrad dans la tienne avant de déposer un baiser sur sa joue. « Je suis désolée. Repose-toi maintenant. Je peux partir si tu le désires. »

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Emma venait de quitter la chambre, il n'y avait plus que moi et Grace. Je lui en voulais toujours mais je voyais dans ses yeux, cette tristesse et cette rage mélanger, elle regrettait de m'avoir fait ce mal, mais elle détestait tant que cette attention que j'ai avec Emma ne soit pas celle que j'ai avec elle, elle est jalouse, celui qui ne le voit pas est aveugle. Je venais tout de même lui avouer que je n'avais pas de sentiments pour Emma mais juste que je la considérais différente des autres, sa main qui caressait pendant ces quelques minutes mes cheveux, venait à s'enlever, ça ne lui plaisait pas que je lui dise ça mais c'était la vérité, elle peut faire mal par moment, pour Grace elle fait mal. J'en sais rien si elle en as de la chance... je la voyais soupirer puis me dire qu'elle au moins n'était pas une salope, j elâchais un faible sourire en regardant St-James La différence, c'est que j'ai un léger penchant pour les salopes. qu'est-ce que je voulais dire par là, Grace ne me laissait pas indifférent, mais ça c'est depuis le début. Ses lèvres sur ma joue et sa main dans la mienne J'le désire pas. j'ajoutais rien d'autre, je refermais un peu plus ma main pour lui montrer que je voulais qu'elle reste, je fermais de nouveau les yeux, en toussant légèrement.

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Ta jalousie pour Konrad envers toutes ses filles, en était venu limites maladives et même épuisantes pour toi. Tu avais l'impression de te battre seule contre un harem de bombasses à moitié nue. C'était aussi la première fois que tu te battais autant pour un mec. Mais pourquoi ? Pourquoi lui ? Pourquoi ton chemin a-t-il croisé le sien il y a deux ans ? Le destin peut-être. Que des foutaises ! Emma venait de partir et tu te retrouvais là en face de lui. Même à l'article de la mort, le teint blafard et sans forces il restait beau. Il serrait tant qu'il pouvait ta main alors que tu lui avouais la différence entre toi et Emma. Lui disant que toi tu étais une salope, il eût un faible sourire où vos yeux se sont croisés, les tiens se sont plantés dans les siens et il t'avouait qu'il avait un penchant pour les salopes. Ton regard s'attendrit doucement et un petit rire sortait du fond de ta gorge. Puis, tu t'apprêtais à le laisser afin qu'il se repose mais lui préférait que tu restes là près de lui. Tu te levais alors doucement pour poser tes fesses sur le bord du lit, caressant alors doucement la joue de Konrad tu lui souriais avant de déposer un baiser sur son front. « Repose-toi quand même. » Tu le regardais doucement, tes yeux bleus restaient bloqué sur lui. A vrai dire, tu pourrais rester des heures à le regarder de la sorte.

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Depuis deux ans je supporte cette jalousie maladive qui l'habite, cette jalousie qu'elle dégage vis-à-vis de moi, j'aime, oui au fond j'aime qu'elle soit jalouse, mais ça soule, des crises de merde, des engueulades, depuis deux ans c'est ça, avant on étaient potes, maintenant, je sais même plus où j'en suis avec elle, pourquoi elle m'a avouer qu'elle m'aimait, tout serait différent je suis sur, mais c'est le cas, c'est différent, juste pas dans le bon sens. Juste nous deux dans cette pièce, c'est comme si toute tension était disparue, elle me tenait la main, je la serrais du mieux que je pouvais, nos regards se croisaient plusieurs fois, le timbre de voix était calme, bordel je me reconnaissais plus avec elle. Elle voulait me laisser mais non, je voulais pas rester seul, sans attendre, ses fesses se posaient sur le bord de mon lit, sa main caressait ma joue et ses lèvres ne tardaient pas à embrasser mon front J'me repose, j'fais pas d'effort, je reste le cul ici, dans ce lit, avec une douleur sur tout le corps.. je venais poser ma main sur sa joue St-James... la fille avec qui je sais plus où j'en suis.

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C'était bizarre. La tension n'existait plus entre vous, comme-ci tout était redevenu comme avant. Pour la première fois en deux ans, vous vous parliez avec calme, avec douceur, vos regards se croisaient vous paraissiez si complice alors que votre quotidien n'était fait que de déchirure, de cassure jusqu'à la blessure fatale du bal. Tu avais eu mal à cause de ses paroles, il avait eu mal à cause de tes actes. A chaque fois que vous vous engueuliez cela ne mettait en cause que vous, votre fierté et votre amour propre. Mais la blessure du bal mettait en cause une troisième personne, une personne à qui Konrad tenait vraiment et ça c'était la seule raison pour laquelle il ne pouvait te pardonner. Enfin pour laquelle il avait du mal à te pardonner. Ta main parcourait alors doucement sa joue, tu lui avait demandé de se reposer et il te répondit qu'il ne pouvait que se reposer en restant allongé ici. Tu lui souriais tendrement. « Pas faux mais c'est ton visage. Il est si.. si blanc. » Tu examinais chaque parcelle blafarde de la peau de Konrad avant que celui-ci ne pose sa main sur ta joue chaude et légèrement bronzé. Le contraste entre vous était juste énorme. Enfin bref. Sa phrase te fit sourire et tu venais sans un mot posait ta tête sur le torse du beau brun, sans l'appuyer évidemment pour ne pas lui faire mal mais juste pour lui prouver que tu étais là et que tu serais toujours là. « C'est compliqué. C'est toi et moi, c'est nous. Les histoires trop simples on trouve ça chiant alors on complique. » Tu restais contre lui, essayant de lui transmettre un petit peu de ta chaleur.

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C'était devenu bizarre entre nous, comme si dans ces deux ans, rien de compliqué était survenu, tout était simple. Attention, tendresse, douceur, bordel j'avais pas connu ça avec elle, sauf au SB où ok c'était bizarre mais voilà après tout ce qui s'est passé, qu'on en soit là, enfin je sais même plus où on en est bah c'est bizarre. Je devais me reposer, oui, je le faisais déjà, sa main sur ma joue, ses yeux dans les miens, je ne me rendais pas compte à quel point ça me faisait du bien de la voir, vraiment. Sérieux ?.. même couleur que mon cul p'tin, première fois.. je rigolais légèrement comme un con, ça faisait mal mais tant pis, je posais ma main sur sa joue, lui avouer que c'était juste compliqué entre nous, elle posait sa tête sur mon torse, c'est vrai que c'était nous, on adoraient ne pas faire dans le simple. Pas faux. je voulais en placer une autre mais la porte s'ouvrait de nouveau, Emma était là, la façon dont elle regardait Grace, j'avais un léger gros pressentiment sur ce qui allait arriver.
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