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Les retrouvailles + Bohème.

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Tu osais lui dire les choses et lui faire comprendre qu'il te plaisait, alors oui, peut-être que tu n’étais pas assez expressif, mais c’était déjà un énorme point pour toi de lui avouer. Tu étais une de ces femmes fières, toujours la tête haute, malgré tout ce que tu avais vécu. Ce n’était qu’une simple façade pour ne pas souffrir et paraitre toujours forte, tête dure et têtue, mais dans le fond, c’était tout le contraire. Petit coeur tout sensible, pas encore prêt à se faire ratatiner, mais qui se laissait parfois le temps d’un instant, de s’attacher à quelqu’un et ça avait été le cas avec lui. Comme un petit coup de coeur, tu ne l’avais vu qu’une seule fois et pourtant, tu avais cette hâte de le retrouver, ce sourire quand tu lisais ses messages. Mais pourtant, loin de cette forêt et de ce danger, la tension était bien différente de celle qu’il y avait eu auparavant, comme si tout avait été balayé d’un seul coup. Tu n’arrivais pas à le comprendre et inversement, cette petite bulle d’intimité si agréable n’existait plus. Tu venais de lui faire comprendre que tu ne continuerais pas ce moment avec lui, s’il ne souhaitait pas avancer et se battre. Pas l’envie de tout donner et de souffrir pour rien, pour finir seule et loin de tout. Parfois, tu pouvais être égoïste, mais tu en l’avais pas été assez et tu l’avais payé au prix le plus élevé. Ton regard défiait le sien, seulement un petit mètre te séparait de lui, ton coeur te disait de t’approcher de lui, mais ton cerveau te disait le contraire, alors tu ne bronchais pas, tu ne bougeais pas. Tu l’écoutais parler et tu prenais ces informations de plein fouet, en plein face et à vrai dire, tu ne savais plus quoi dire. Tu te sentais minable de lui prendre la tête après tout ça, une boule se glissait dans la gorge, le mal-être était bien présent. Quand tu ne savais pas quoi faire, tu jouais nerveusement avec l’une de tes bagues et tu te mordais l’intérieur de la joue, parfois jusqu’au sang. Tu ne baissais pourtant pas les yeux, restant face à lui, à l’écouter. « Je suis désolée de mon comportement. » laissais-tu glisser à mi-voix, décidant de briser cette distance pour le prendre dans tes bras. Sentir son odeur, sa chaleur, retrouver cette proximité au risque d’en souffrir plus tard.
@Bohème Chatelain
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Les mots ont coulé de source. Intarissables, inarrêtables. Une partie de moi culpabilise d'être faible alors que je m'étais toujours promis d'être celui qui rassure, qui porte le poids des autres, qui offre son épaule envers et contre tout... mais cette fois, cette toute petite fois je me permets de rendre les armes. J'avance les arguments et les dépose aux pieds de la jolie rousse, incapable que je suis d'expliquer autrement mon comportement. Sans doute que je ne souhaite pas qu'elle me haïsse, ou qu'elle se mette à me fuir alors que la nuit unique que nous avons passée en compagnie l'un de l'autre, bien que chaotique, a fait naître quelque chose en moi. Un espoir. Émotion que je pensais morte et enterrée depuis bien longtemps, et qui pourtant englobe mon petit cœur meurtri dans crier gare, sans attendre autre chose que d'un peu de compréhension. Loin de moi l'idée de vouloir de sa pitié, et à mon plus grand soulagement, je n'en vois pas trace dans le fond de son regard. Au contraire, je l'imagine lutter contre plusieurs émotions à son tour, bien que je n'en connaisse pas encore le sens, et qu'il ait tant à découvrir d'elle. Désolée de quoi ? De m'avoir considéré comme l'homme buté et insupportable que je suis ? J'ose la carte de l'humour, manœuvre dont je suis pour le moins passé expert, alors que mes bras, eux, accueille ce corps sans rien demander d'autre. La serrer contre moi, ajuster les battements de mon cœur aux siens. Mes doigts caressent délicatement son dos pendant un moment, nous berçant dans un silence qui, pour une fois, ne m'apparaît pas de façon désagréable. Je ne suis pas habitué à être poussé dans mes derniers retranchements, mais... peut-être que j'avais besoin de ça. D'un bon coup de pied au cul. Là encore, aucune envie de chercher sa pitié. Un brin de compréhension suffira. Je suis loin d'être sans défaut. Et tu risques de devoir souvent me secouer... je comprendrais si, sachant cela, tu préfères garder tes distances.
@Elöa Barclay
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Tu te sens si petite après tout ça, pour une gamine qui se plaint de ses petits problèmes alors qu’il y a toujours bien pire. Tu avais vécu dans une tour de verre, dans une cage dorée, loin de prendre tes propres décisions, dans l’ombre de ton père. Une vie que tu n’as jamais voulu mais dont tu ne pouvais pas choisir, puis ce jour est arrivé et tu as décidé de prendre ton envol, loin de lui, le confrontant à tout ce qu’il ne désirait pas. Tu ne lui parlais plus, tu n’avais plus répondu à ses messages du jour au lendemain et tu voulais qu’il disparaisse pour toujours de ta vie. Il t’avait volé vingt-quatre ans de ta vie, tu ne lui laisserais même plus une seule journée. Tu avais décidé de vivre loin de ta famille, donnant que très peu de tes nouvelles à ta mère, tu n’avais toujours pas les comptes bloqués, certainement grâce à ta mère. Mais tu savais que dans peu de temps, ton père allait te renier, et si possible, t’enterrer six pieds sous terre. Alors, tu préparais tes arrières, tu faisais du black dans le domaine du tatouage, avant d’ouvrir ton shop. Tu avais déjà une belle somme en liquide, ainsi tu pourrais assumer ton logement et ta vie, s’il venait à te détruire du jour au lendemain. Pourtant, tout cela avait l’impression d’être minime à côté de ce qu’il vivait. Tu t’étais excusée et tu avais décidé de te réfugier dans ses bras, de briser cette distance, cette barrière que tu avais mis quelques minutes auparavant. Tu rigolais légèrement à sa parole, mais tu gardais un goût amer de ce que tu avais pu lui dire. « Je suis nulle d’avoir parlé ainsi. » tu n’essayais même pas de voir son regard, tu préférais fuir cette fois-ci. Appréciant sentir ses mains dans ton dos, tu avais l’impression de retrouver un bout de cette bulle. « Tu sais que je suis très douée pour mettre un coup de pied au cul. » un léger sourire s’affichait sur tes lèvres, restant contre lui. « Je ne vais pas fuir, je resterais près de toi. » soufflais-tu doucement, reculant d’un petit pas pour le fixer « Seulement si tu le désires. » avouais-tu.
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@Bohème Chatelain
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Tu es quand même au courant que tu ne pouvais pas savoir ? Je ne lui cherche pas vraiment d'excuse, mais j'estime que la culpabilité ne nous mènera nulle part. Ce qui me fait douter, en revanche, c'est cette fuite subite au niveau de nos regards. Elöa ne me regarde plus, évite que mes prunelles sombres ne croisent les siennes, et la donne m'offre un froncement de sourcils en bonne et due forme. Si j'admets bien volontiers être quelqu'un de secret - profonde déformation professionnelle - une fois la franchise adoptée, je peine à ne pas comprendre qu'on ne me la rende pas. Voilà la raison pour laquelle je m'écarte de quelques millimètres seulement, afin de déposer l'un de mes doigts sous son menton. Est-ce pas de souhaiter qu'elle me regarde ? Que cette jolie rousse entre mes bras puisse lire pleinement l'ouverture que je lui offre sur un plateau ? Après m'être répété sans arrêt, et ce pendant des années, que le savoir est le pouvoir... difficile de ne pas songer que sa connaissance de mon passé est une opportunité tout à fait appréciable pour me faire du mal. J'essaie, non sans difficulté, de chasser cette idée de mon esprit mais elle demeure, coriace, implacable. Tu ne veux pas me fuir mais tu refuses de me regarder ? Mon ton ne possède rien de froid, rien de distant, j'ai besoin de comprendre. Cette fois, actions et mots se mêlent afin que je parvienne à sauter quelque pas qu'il me reste à sauter pour que cela fonctionne. Seulement il ne faut pas que je sois le seul à désirer la chose. T'avouer toutes ces choses n'est pas aisé pour moi... et je ne veux pas que tu me prennes en pitié ou que cette fois, ce soit ton tour de me fuir... ma vie n'est pas simple. Loin de là. Mais je ne veux pas me rapprocher de toi si à ton tour tu souhaites faire un pas en arrière...
@Elöa Barclay
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Tu haussais doucement les épaules, ayant un peu honte de ton comportement après avoir découvert une partie de sa vie et de ses problématiques. Bien sûr que tu voulais avancer avec lui, apprendre à le connaitre davantage et passer plus de temps à ses côtés. Ce n’était pas une option pour toi, enfin du moins, s’il l’acceptait aussi de son côté. Tu ne voulais pas avancer que dans un sens, tu voulais qu’il soit sur la même longueur d’onde que toi, dans le même état d’esprit. Ce coup de coeur, ce coup de foudre peut-être, à vrai dire, tu n’avais pas de mot pour décrire ce sentiment qui grandissait en toi pour cet homme. Tu étais contre lui, dans ses bras, la tête contre son torse, entendant les battements de son coeur, vibrer petit à petit. Tu lui disais à voix haute que tu ne voulais pas fuir, que tu ne partirais certainement jamais et que tu serais là pour l’accompagner quoiqu’il pouvait bien se passer. Mais tu fuyais son regard n’assumant pas forcément tes paroles précédentes. Bien évidement que ça allait te tomber sur le coin du bout du nez, il n’avait pas mis bien longtemps pour soulever ton petit menton, t’obligeant à relever les yeux dans sa direction. Petit sourire qui s’affiche sur tes lèvres, ton regard qui se posait de nouveau dans les siens. « La preuve que je ne fuis pas ton regard. » tu lui tirais la langue telle une petite enfant, dans le fond tu l’étais toujours, enfant un jour, enfant pour toujours. Pour rien au monde tu voudrais perdre ce côté un peu enfantine, c’était ce qui t’animait et qui te donnait tout ton charme à l’heure actuelle. « Est-ce qu’il se serait passé tout ça, si je ne t’aurais pas fait comprendre que tu me plaisais, que tu m’intéressais et que je voulais aller plus loin ? » La discorde était venu de ça, que tu ne voulais pas avancer seule, que tu ne voulais pas te jeter dans la gueule du loup, sans être certaine d’être accompagnée. « Tu sais que je le veux, et que je ne te prendrais pas en pitié, mais que si tu as besoin, je resterai présente. » laissais-tu glisser entre tes lèvres. Ton regard qui ne le quittait plus, seulement quelques centimètres qui te séparaient de lui. Tu déposais cette fois-ci un baiser au coin de ses lèvres.
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@Bohème Chatelain
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Un petit rire s'échappe de mes lèvres alors que la demoiselle me tire la langue, comme le ferait un enfant qui exige un bonbon sans l'obtenir. C'est si léger en sa présence que toutes les problématiques de mon existence paraissent soudainement moins lourdes. Le poids s'allège au fil des secondes, tandis que mon cœur, lui, fait des embardées que je ne désire même pas contrôler. Je crois que je pourrais rester ainsi des heures, juste à la serrer dans mes bras, à nous rassurer l'un l'autre comme nous l'avons si bien fait lors de notre rencontre. A croire que le hasard peut faire bien les choses, et que Cupidon est en mesure d'envoyer une petite flèche ni vu ni connu pour troubler mes pensées et mes actes. Tu sais que je peux faire la même ? que je réponds d'un ton délicieusement taquin avant de lui tirer la langue à mon tour. Nous sommes tels deux enfants jouant, et la donne me rappelle un film français que j'ai adoré. La donne m'arrache un petit sourire, bien que la conversation dérive vers un sujet un tantinet plus sérieux. Fidèle à mon caractère franc, je secoue négativement la tête. Bien sûr que non je n'aurais rien vu... Si je suis vraiment honnête, et je souhaite réellement l'être, je serais resté sans attente de ta part et n'aurais probablement pas remarqué ce qui se passait réellement entre nous. A dire vrai... j'aurais refusé d'y croire... A être un homme de Lettres, un homme de mots, je crois que j'avais besoin qu'elle me le dise. Qu'elle soit franche d'abord, pour elle, pour moi, pour nous. Une fois encore, c'est Elöa qui ose déposer un baiser au creux de mes lèvres, et cette douce sensation m'emporte vers des cieux éloignés, cléments, emplis de béatitude. Dès lors, je me laisse porter par mes propres émotions, osant m'emparer de ses lèvres avec une douceur presque maladroite. J'ose. J'ose prendre les choses en main et lui prouver, non plus seulement armé de mots mais également d'actes, qu'elle a fait naître quelque chose en moi. Quelque chose de profondément positif. Je pense qu'il faut que je te montre quelque chose. Dès lors tu sauras presque tout ce qu'il y a à savoir, et qui te prouvera que je te fais confiance. Plus que cela, même... que je murmure contre ses lèvres, liant nos fronts ensemble afin de ne surtout pas m'éloigner du plus petit millimètre.
@Elöa Barclay
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Tu pouvais être un petit ange, comme être un petit démon, tu avais toujours sur l’épaule l’ange et l’autre le démon. Parfois, tu basculais du côté obscur et ton côté angélique essayait de reprendre un peu le dessus. Tu avais un tempérament de feu, et ce n’était pas prêt de s’arrêter, bien au contraire. Tu revivais, enfin tu pouvais faire ce que tu désirait, t’habiller comme tu le souhaitais et vivre paisiblement ta vie. Alors parfois, tu avais tendance à t’enflammer, à penser trop vite et ne pas réagir comme il le faudrait, comme tu l’avait fait avec lui. Malheureusement, tu ne connaissais pas toute sa vie en seulement une soirée et quelques messages, ce n’était pas possible. Tout comme lui, il ne pouvait pas connaitre ta vie, il en savait que trop peu à ton sujet. Mystérieuse, il était rare que tu parles de toi, préférant reporter l’attention sur les autres personnes plutôt que sur ta petite personne. Tu préférais rester sur le derrière de la scène, laissant la place aux autres pour se mettre à la lumière des projecteurs. Tu lui avais tiré la langue pour appuyer tes propres, rigolant quand il en faisait de même. Tu n’arrivais pas à l’imaginer, une fois dans son travail, sérieux, le visage fermé et à défendre ses clients. Il était totalement différent quand il était en vacance et heureusement pour toi, tu n’appréciais pas les gens trop sérieux, ta devise avait toujours été : le ridicule le ne tue pas. « Finalement j’ai bien fait le faire, on va pouvoir avancer en tout état de cause. Tu ne pourras pas dire que tu n’étais pas au courant de tout ça, maintenant ! » laissais-tu glisser avec un léger sourire sur tes lèvres. Alors oui, tu avais osé déposer tes lèvres à la commissure des siennes, après tout, tu voulais avancer et tu voulais lui prouver. Tu n’avais cependant pas imaginé, une seule seconde, qu’il allait t’embrasser. Tu prolongeais cet agréable baiser, déposant une main sur sa joue. Le rouge qui te montait légèrement aux joues après ce premier échange. « Et qu’est-ce que tu veux me montrer ? » oui tu étais curieuse et la patience n’était pas ton fort.  
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@Bohème Chatelain
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En tout état de cause, je ne pouvais que songer à tout ce qu'il me reste à découvrir chez Elöa, chaque petite information qu'elle partagera en ma compagnie lorsque le temps sera venu. Voilà ce que j'espère silencieusement, m'armant d'une patience ne m'allant guère au teint en général. Mais pour la jolie rousse, cette concession, cet effort, je me sentais capable de le faire. Preuve en est, d'avoir osé embrasser ses lèvres, sans réfléchir, sans crier gare. La demoiselle entre mes bras ne me repoussant pas, j'opte pour conserver ce lien entre nous, cette proximité à laquelle je m'habitue petit à petit et qui devient de fait plus familière. Je le confesse bien volontiers, parfois il faut me mettre les points sur les virgules... Autant mon métier d'avocat me permet d'évoluer en toute confiance de mes capacités, mais un environnement plus personnel risque de me donner du fil à retordre. Mon visage devient d'ailleurs sérieux, sans en devenir sévère pour autant, mais impliquant ce qui va suivre. Je me détache bientôt davantage d'Elöa afin de commencer à déboutonner ma chemise. Je m'arme d'un degré de confiance en elle vraiment très élevé pour oser montrer ce qui va suivre. J'ose espérer que ton regard sur moi ne changera pas après ça... Une grande inspiration et j'ôte le vêtement précautionneusement, le gardant en main afin de tourner le dos à la jolie rousse. Ce qui est porté à son regard n'est autre qu'un dos couvert de profondes cicatrices, comme si mille coups de fouets y avaient été portés. Ce qui n'est pas très éloigné de la vérité, bien que ma confession n'aille pas encore jusque là. J'attends. Dans un silence anxieux, j'attends que la jeune femme réagisse, en espérant de tout coeur ne pas la faire fuir.
@Elöa Barclay
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Un petit jardin secret, voilà ce qu’il y avait au fond de ta petite tête, essayant de mettre dans cet endroit, tout le passé, ton ancienne relation, cette relation néfaste avec ton père. Parfois, quand tu y repensais, tu aurais aimé avoir cette relation si aimante que tu pourrais voir entre un père et sa fille. Malheureusement, le pouvoir et l’argent ont fait qu'il était une personne que tu connais toujours pas, froid et sans sentiment. Pour lui, il n’y avait que le business et avoir un enfant lui permettait de savoir que son entreprise ne coulera pas avec lui. Pourtant, tu n’étais pas celle qui lui fallait, loin de l’idée de reprendre son entreprise lors de son départ en retraite, tu avais déjà une idée bien précise de ta vie, loin de lui. Tu ne parlais que très peu de cette relation, de ces années derrière ta fenêtre à regarder jouer les enfants de ton âge. Tu voudrais pouvoir tirer un trait à tout jamais sur ces sentiments, cette peur de te refaire avoir et de te retrouver briser et manipuler. C’est pour cette raison que tu ne donnais jamais ta confiance et pourtant avec lui, c’était totalement différent. Tu abaissais toutes les barrières, te laissant voler à ses côtés en espérant ne jamais retomber et t’écraser au sol. « Un peu d’ordre, ne fait jamais de mal. » soufflais-tu doucement. Ce baiser, ces papillons dans le ventre, une sensation indescriptible qui te faisait tellement de bien, un soulagement même. Alors qu’il te parlait de te montrer quelque chose, tu ne pensais pas à ça. Lorsqu’il se plaça dos à toi, levant sa chemise, ton coeur s’arrêta un instant. « Personne ne devrait subir ça. » soufflais-tu doucement, posant délicatement ta main dans son dos, le regard attristé par tant de violence, tu essayais de comprendre ce qu’il avait pu subir, mais c’était bien trop douloureux et compliqué. « Mon regard ne changera pas et ça tu peux en être certain. » soufflais-tu doucement, le laissant se rhabiller. « Tu sais, la raison qui me fera fuir c’est la trahison » se faire tromper et la violence, c’était deux points que tu ne pourrais certainement jamais pardonner, pour le reste, rien ne te repoussait.
@Bohème Chatelain
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Pour l'heure personne ne peut espérer que je sois plus franc encore sur l'homme que je suis, ou ai été. La main d'Elöa contre mon dos meurtri par les coups à ni plus ni moins l'effet d'un baume, m'offrant quelques instants de paix dans ma vie chaotique. J'en viens d'ailleurs à clore mes paupières, tâchant de profiter de toute la douceur et la compréhension que la jolie rousse m'offrait, et auxquelles je ne suis clairement pas habitué. Ses propos semblent la cerise sur le gâteau, ajoutant à mon bien-être un degré supplémentaire tandis que je me rhabille, reboutonnant soigneusement ma chemise avant que mes Iris sombres et brillants ne la contemplent à nouveau. C'est une longue histoire... complexe et pas jojo, on va dire. Afin de ne rien précipiter entre nous et de laisser la porte ouverte pour de future potentielles confessions, je reporte toute mon attention sur la jeune femme, étonné par sa réaction. Beaucoup auraient fuit en voyant cela... que j'admets bien volontiers en esquissant un sourire, osant lever délicatement ma main afin d'en caresser sa joue. Un simple effleurement, mais qui en dit bien plus sur moi et mes émotions que l'on ne pourrait le penser. Voilà qui tombe très bien ! Un autre de nos points communs, car je ne supporte ni mensonge, ni tromperie. On obtient difficilement ma confiance en général... quand elle est donnée, je ne la reprends pas, mais si on me trahit c'est définitif. Est-ce que, maintenant que je me suis quasiment mis à nu dans le sens propre du terme, tu accepterais de me parler de toi ? Je pensais être un mystère complexe mais j'ai trouvé mon Maître en la matière... Ton plaisantin afin de détendre l'atmosphère, mais j'avoue lui tenir une perche quoi qu'il en soit. Je veux la connaître. Elle. Ne pas être le seul se mettant à nu. Je viens d'offrir sur un plateau la preuve de mon désir d'aller plus loin... à son tour, désormais.
@Elöa Barclay
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