vasi pose les mots davy. est-ce qu’un jour on arrivera à être l’un à l’autre. que l’on ait le courage d’assumer une bonne fois pour toute. que malgré la douleur, malgré les failles, malgré les ouragans, tsunamis, tremblement de terre, on arrête d’aller chercher ailleurs ce qu’on s’accorde sans artifices, sans mensonges.
t’entends pas ma voix qui t’appelle inlassablement, cri, hurle ton nom sans relâche.
tu sais que j’te veux et que je peux supporter tout de toi.
j’ai besoin qu’tu me réclames davy, j’ai besoin que t’me prouves que y a que moi dans ta tête, dans ce coeur qui bat.
jouer encore l’un contre l’autre, douleur intense, coup pour coup, dent pour dent. j’veux que tu me cherches, que tu captes mon regard quand tu serais entrain de les toucher davy.
que ce soit mes courbes que tu sentes à nouveau sous tes doigts.
pourquoi tu me rejoins pas, pourquoi tu te consumes pas avec moi. c’est mes mains que tu veux, ma bouche sur chaque parcelle de ton épiderme.
tu pourrais finir cette nuit, nos corps enlacés.