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davy & mira

Anonymous

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imagine comment je me suis sentie quand je l’ai appris davy, t’as même pas été foutu de me le dire directement.
bah félicitation, t’as réussi à m’atteindre, je suis là prête à revenir te hanter, prête à reprendre la partie. j’ferais pas deux fois la même erreur : disparaître de ta vie.
tu vas comprendre que tu peux pas vivre sans moi, que le venin il te consume encore, que t’en as besoin pour être entier.
ok elle le sait grand bien lui fasse, mais elle sait que t’as besoin qu’on te détruise, qu’on t’arrache le cœur de la poitrine et qu’on te le montre pour te prouver que t’en as un. elle sait que t’as besoin de moi près de toi, que plus tu me brises et plus tu me veux encore.
je reviens parce que c’est ce que t’as voulu davy, que je revienne, en l’épousant.
évidemment que c’est juste qu’à la mort nous deux et tu le sais parfaitement.
quand t’as fait ce serment avec elle tu t’étais déjà engager avec moi.
tu sais que ça me fait pas peur, moi je plonge la tête là première, j’embrasse mon destin et j’aime même l’idée de au fin fond des abysses.
c’était un défi à la con, putain.
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si je te l'avais annoncé moi-même, l'effet n'aurait pas été aussi percutant. tu aurais cru à une blague. j'voulais que ça pique ton égo, que ça t'touche le plus fort possible, que tu sentes cet effet jusqu'au fond d'tes tripes.
j'suis pas peu fier d'ma réussite. on verra si cette fois tu n'vas pas disparaître. n'assure pas des choses que t'es pas sûre d'pouvoir tenir.
bien sûr qu'ton venin me consume encore. j'cherchais la même déchéance ailleurs, j'ai presque failli la trouver même. mais elle est moins piquante que tu n'sais l'être.
elle n'est pas de celles qui veulent m'anéantir. elle a beau être la femme que j'ai épousée, elle n'a pas la prétention de détenir ce coeur mort. elle n'cherche pas à l'faire.
évidemment que j'attendais ton retour. j'voulais voir combien d'temps ça allait prendre avant qu'ça te rende folle pour reprendre ta place de reine des enfers.
j'pensais l'engagement caduque avec ton départ.

aussi con soit-il, un défi se relève.
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j’suis sure davy, sure d’être là dans les parages, sure que mes pas arriveront jusqu’à toi.
jusqu’à ce moment où dans tes pupilles il n’y aura qu’moi, moi prenant toute la place dans ce monde de chaos qu’est le tien, le notre.
t’as pas essayé de me retenir, davy t’as fais ce que tu fais le mieux, faire celui qui s’en fou.
t’as joué ta meilleure carte, tu m’as brisé un peu plus et j’ai fais la même en te laissant la face au néant, même pas foutu de foutre un game over car la fin n’existe pas pour nous.
je suis l’unique, celle qui te hantera toujours. tu peux m’apercevoir dans des mots, dans des gestes, dans une chevelure ou une odeur sucré, mais elles ne seront jamais moi.
il est déjà entre mes mains, elle n’aura que du vide, un espoir peut être, mais la finalité sera la même quoi qu’il advienne.

t’as voulu que je revienne et j’suis là à reprendre ma place et qu’est ce que tu vas faire maintenant ?

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si t'es sûre de ça, ils en sont où tes pas ? qu'est-ce que t'attends pour être là ? j'vois qu'des mots là, aucun acte pour m'prouver que tu dis vrai.
t'attends que ça d'remplir mon univers de toi, mais n'oublie pas que c'est toujours en effet miroir. si tu reviens m'engloutir, je fais de même. mais est-ce que j'ai vraiment cessé de vivre en toi, tout c'temps ? ou est-ce que le poison continuait de se diffuser insidieusement, te rappelant cette dépendance chaque jour ?
tu sais ma façon d'fonctionner. j'retiens personne. pas même toi.
crois moi que ce n'est pas la meilleure de mes cartes, j'en ai d'autres sous la main que j'pourrais cramer juste pour te voir faiblir, poser un genou à terre et m'supplier d'arrêter. dans l'néant j'ai réussi à trouver quelques lueurs, quelques branches où m'rattraper pour ne pas me ternir dans l'oubli. on est incapables de n'pas s'briser définitivement, faut qu'on se charcute minutieusement, jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien à détruire.
ils pourraient tout t'offrir que tu n'en voudrais pas. parce qu'ils n'te regardent pas comme moi. ils sont incapables de t'annihiler comme je m'amuse à le faire. aucun ne te fera pleinement vibrer comme moi. aucun ne m'arrive à la cheville à tes yeux et ça te rend dingue, dans l'fond.
c'est ton trophée, pas vrai ?

maintenant j'veux voir des actes, mira. montre moi qu'tu veux vraiment reprendre ta place.
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crois moi j’serais la plus vite que tu ne le penses, l’ombre derrière toi quand tu t’y attendras le moins. t’sais très bien que ça fonctionne pas au sifflement avec moi, c’est quand je le décide.
évidemment que t’as été là, à chaque instant, comme une douleur dans le poitrine, comme une épine dans les doigts, hante les cauchemars, les rêves. t’as toujours été là dans l’obscurité parce que tu es ancré en moi, dans chaque parcelle de mon être. poison délectable, qui est devenue addiction au fil du temps, je serais jamais sevré de toi, jugement rendu il y a bien longtemps.
je préfère crever que de poser un seul genoux à terre, pas même pour toi.
crois moi ce genoux c’est toi qui le posera en me suppliant d’être tienne pour l’éternité, enfer et damnation délice d’un avenir partager sur les trônes de l’Enfer
regarde toi aussi, t’en épouse une autre, pour me voire revenir auprès de toi parce que tu sais que t’as besoin de me sentir tout prêt. réanimer ce cœur qui ne fonctionne que lorsque je suis la, quand je le presse dans ma main. t’as besoin de moi davy, on est un tout que lorsqu’on est ensemble. alors ouais ça me rend dingue, dingue de savoir que tu me rends faible, tu me rends capable du pire et j’aime ça.

je vais te trouver davy et quand se sera le cas, regarde moi dans les yeux et dis moi que tu veux que je la reprenne cette place, fais moi vibrer à nouveau
la réciproque est vrai et tu le sais parfaitement.
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tu essaies de me punir encore un peu pour avoir un semblant de contrôle sur la situation ? comme tu l'entends, tant que tu reviens, que ton retour me transperce.
la douleur a été intense ? tu l'as sentie, mon odeur passer sous tes narines sans jamais me voir ? le frisson qui te tord le bide à l'idée que se soient mes mains qui auraient pu te toucher, te serrer, t'empoigner avec force ? le manque qui devient obsédant, réveille en sursaut et qui provoque l'unique réflexe que de m'chercher près d'toi ? tu l'as senti, tout ça ?
le jour où j'foutrais le genou à terre pour toi, mira, c'est parce que t'as planté le pieu qui m'anéantira, que l'dernier souffle de vie qui m'maintient dans c'bas monde sera pour t'prouver que seule la mort m'séparera d'toi, que j't'attendrais au purgatoire avant d'prendre nos places en Enfer.
parce que t'as déjà douté du fait que t'avais besoin d'moi, peut-être ? pas moi. ouais j'ai besoin du pire de toi pour m'sentir vivant, j'ai besoin qu'on s'détruise, de c'te douleur qui nous électrise. t'es capable du pire, tout comme moi avec toi.

quand tu m'verras, que tu te planteras devant moi, montre moi à quel point tu veux y revenir, à ta place. que tu n'veux pas la quitter cette fois. et j'me permettrai d'te faire vibrer encore et encore, de la force du manque de toi.
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ça fait des années que je contrôle rien quand il s’agit de toi. je saute sans parachute et j’espère juste la chute me tuera sur le coup.
ouais j’ai aucune illusion, la mort c’est ce qui nous attend tout les deux, on sera peut être comme ces cons de shakespeariens, s’entre tuer pour atteindre le prochain chapitre.
toi qui l’raconte avec précision, tu sais que c’est l’cas parce que t’as fais la même chose. trois mois à chercher, à sentir l’âme qui se cherche sa jumelle, silhouette qui attire le regard, espoir qui fige le temps, le souffle couper et ce sentir briser chaque fois que ce n’est pas moi.
combien y en a eu qui n’étais pas moi, que t’as espéré détourner de leur route pour qu’elle devienne marionnette, juste assez pour donner l’illusion.
le jour où ça se produira, emmène moi avec toi, parce que la mort elle nous prendra ensemble.
quoi qu’il arrive, on sera plus fort qu’elle, on dominera l’autre monde, on jouira de la torture, du châtiment tant qu’on peut régner ensemble.
j’ai cru naïvement que j’arriverais à me défaire de toi, de nous, de besoin de se torturer. j’ai cru que tu m’oublierais, que je serais qu’un mirage (vrai prénom de mira) dans ta vie et puis j’ai compris.

je serais là, dans ton champ de vision, tout près sans que tu ne me vois venir.
est-ce que j’ai vraiment besoin de le dire, tu sais plus lire dans nos silences.
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on est pas des héros shakespeariens, on est bien pire, sans doute plus lamentables encore puisqu'on est incapables de se retenir sans se heurter encore plus fort que la fois d'avant, qu'on est inaptes à s'comporter comme le commun des mortels ni à mettre un point définitif à tout ça, parce qu'on sait que quoi qu'il arrive, la chute est inévitable et qu'on s'entrainera mutuellement vers le précipice.
j'cherchais ta perversion dans leurs regards, ta diablerie dans leurs gestes, mais à chaque nouvelle félure, le souvenir de toi s'estompait. ton portrait, écorché par leurs empreintes sur ma peau, ta voix étouffée par leurs cris, ton corps enterré sous les leurs, enchevétrés. pourtant, dans toutes celles-là, c'était un bout d'toi que j'cherchais.
tu veux vraiment en décompte ? tu veux vraiment découvrir toutes celles qui se sont dépêchées dans mes draps ces derniers mois ? ne t'inflige pas plus de cicatrices toi-même. laisse moi te torturer l'esprit en gardant le silence, ne te donnant que des bribes d'informations quand bon me semble. laisse moi piquer ton égo en susurant un prénom au hasard au creux d'ton oreille.
tu veux partir avec moi parce que t'as pas envie d'continuer d'te battre si j'suis plus là ?
on fera danser les flammes à la hauteur de nos déviances. qu'importe le châtiment, pourvu qu'on le laisse nous engouffrer ensemble.
tu ne seras jamais qu'un simple mirage dans ma vie. tu ne l'as jamais été. tu es le mirage, l'oasis, la réalité dure, le fracas assourdissant d'un crash d'avion, le souffle brûlant d'la tentation et la vapeur glaciale d'une haine insupportable.

j'veux te voir, te sentir, t'entendre arriver. que tu sois incapable de retenir ton souffle quand tu m'verras dans c'croisement d'ta vie.
c'est plus simple de lire dans tes silences quand j'vois tes yeux. ils parlent pour toi, ouvrent ton âme sans qu'tu le contrôles. regarde moi sans rien dire.
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ces trois mois j’ai pensé que j’allais revivre, devenir comme ces autres que je ne serais jamais. je pensais que je guérirais de toi et de ton emprise.
ça n’a fait qu’accentuer le manque, le besoin de ta chair. faire mal encore davantage, je respirais plus. je sais que quoi qu’il advienne nos destins sont liées, inévitablement.
je te laisserais pas m’effacer, jamais davy. je veux que tu me vois dans toutes celles que tu toucheras, je veux que lâche mon prénom chaque fois que tu atteindras la jouissance.
t’as plus besoin de me chercher en elle, je suis là, j’ai toujours été là mais t’as mit tout ce temps pour revenir jusqu’à moi. pour me planter en plein cœur pour que je suffoque. que mon âme se fissure un peu plus au point de me ranimer et me ramener jusqu’à toi.
j’veux partir avec toi parce que y a plus que le vide si t’es pas la.
je viens de passer trois mois dans un monde où tu n’es pas et j’en veux pas.
tu es le poison, l’apocalypse, l’éclipse, le volcan qui déferle et emporte tout sur son passage, tu es mon univers, l’éternité, mon roi, ma damnation, tu es une promesse, la fureur, l’envie de meurtre

j’veux te voir, j’veux lire à nouveau en toi, j’veux voir la flamme se raviver dans tes yeux quand tu poseras les yeux sur moi. J’veux sentir ta peau se réchauffer. J’veux tout de toi encore et encore inlassablement.
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mais tu t'es rendu compte que la délivrance était fade, que c'était mieux d'te sentir vivante avec moi que vide avec le reste du monde.
pourquoi t'es pas revenue avant ? la fierté malsaine qui nous empêche d'agir normalement ? le besoin d'te sentir faiblir pour pouvoir revenir à la vie au moindre signe indirect que j'pouvais t'offrir ?
alors ancre toi plus fort s'tu veux pas que je t'oublie. n'pars plus si longtemps pour qu'ça arrive.
c'est pas moi qui suis parti. j'suis resté là où tu m'as laissé, à peaufiner le meilleur moyen de t'atteindre. on me l'a servi sur un plateau d'argent. dans les rangs de ta propre confrérie. je suis le loup qui entre dans la bergerie, qui mord ses proies sans les achever. même toi j'vais pas t'achever. te faire suffoquer, prier pour que j'abrège tes souffrances, mais tu ne trouveras jamais de répit. parce que quoi qu'il arrive, si j'te veux je t'aurai.
alors reste dans c'monde où j'suis, où on s'perd pas.
tu es le début et la fin, la déchéance, la reine de mon royaume. tu représentes le pire et à la fois ce qu'il y a d'mieux. l'ouragan, le tsunami, le séisme. sublime catastrophe de ma vie.

alors ramène toi. viens récupérer ce qui te revient de droit. donne moi tout de toi. ton corps en manque, ton coeur meurtri, ton âme errante.
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