rescue me + lassa

Lassa n'avait pas l'air de prendre mon approche si mal, mais il n'était pas enchanté non plus. Je savais que c'était une mauvaise idée, mais bon, je voulais prendre des risques, lui monter que je n'étais plus une petite fille à se cacher derrière les bouquins. Même s'il avait l'air de dire qu'il aimait bien la Blaise actuelle, moi je voulais changer. « oui, et merci Lassa... de ne pas m'avoir embrassé toi aussi. parce que je sais que tu ne me ferais pas un truc pareil, tu me respectes trop. » Lassa sourit et je ne pus m'empêcher de sourire aussi. Peut être que c'était mieux comme ça. Mais chaque petit signe qui venait de lui me faisait douter. Comme cette manie qu'il a de toucher mes cheveux, de me regarder le sourire aux lèvres à chaque fois que je me rabaissais. « oh, pardon? un frôlement de lèvres? et tu viens me dire que j'embrasse bien, très bien même. t'es un menteur. » lui lançai-je en le taquinant à mon tour. Je me levai du banc et remit ma robe en place quand tout à coup, et ouais, un talon d'une de mes escarpins se cassa. « oh merde, fais chier. » je pouvais être vulgaire des fois. Je grimaçai puis retirai mes talons que je tenais en mains, me retrouvant pieds nuls. On aurait dit la princesse lac des cygnes qui venait de se transformer en cygne. Mais en voyant la tête que me faisait Lassa, je ne pouvais pas m'empêcher d'éclater de rire. Ma voix résonnait dans toute la région.

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Définitivement, cette soirée était étrange, très étrange, mais je l'aimais bien, malgré l'engueulade d'un peu plus tôt dans la soirée. C'était un peu de ma faute. Je l'avais provoquée avec de trop nombreux compliments, peu importe qu'ils soient véridiques, ce qui avait eu le don de la troubler profondément, et lorsqu'elle m'avait parlé de son léger soucis que je ne comprennais peut-être pas complètement au départ, je lui avais simplement dit de foncer. Foncer, oui. C'est ce qu'elle avait fait, même si elle s'était reculée presque immédiatement. Ça ne m'avait pas déplu, au contraire. Le baiser avait été agréable, et c'était vraiment super de savoir qu'elle voulait aller un peu plus vers les autres, rencontrer peut-être l'amour ou simplement «essayer», comme on pourrait dire. « J'aurais pu. Mais de un, tu m'aurais probablement giflé. Et de deux, tu m'en aurais voulu longtemps, je me trompe? » Je lui fis un grand sourire amusé. Je la taquinais, bien sûr. Je voulais détendre aussi un peu l'atmosphère. Fallait qu'on s'amuse, quoi. Qu'elle s'amuse. C'était sa soirée, pas la mienne, même si je faisais maintenant parti de la sienne. Elle retrouvait son joli sourire et ça me faisait grandement plaisir. À ses mots, je pris un air innocent. « Baaaaah. Tu veux que je te prouve que j'suis pas menteur? Pour ça, faut que je teste de nouveau! » Mon but n'était pas de la rendre mal à l'aise, oh non. Mais simplement de lui faire réaliser que je n'allais pas lui en vouloir et qu'elle n'avait pas à avoir honte d'avoir eu envie de m'embrasser une fois dans sa vie. Je regardai autour de nous alors qu'elle se levait, entendant la musique forte à l'intérieure, lorsque je l'entendis jurer quelques mots. Je retournai rapidement mon regard vers elle, inquiet, lorsque je vis qu'elle avait brisé l'un de ses escarpins. « Oh! » Blaise restait sur place, figée, un peu en colère, mais lorsque nos regards se croisèrent, elle éclata d'un grand rire, adorable comme tout. Je me levai à mon tour en rigolant également. « Bon. Trois choix. Soit on rentre, ce que je doute que tu aies envie. Soit tu enlèves ton autre escarpins et t'es pieds nus. Ou soit je te prends dans mes bras comme une princesse et je te traîne partout! Tu choisis!» Je pris même un sourire enfantin, comme si je faisais un mauvais coup, mais c'était vrai. Je m'approchai d'elle pour murmurer à son oreille presque silencieusement. « Pour le troisième choix, tu pourras sentir à volonté ma si bonne odeur... Pas bien, ça? »

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Si Lassa m'avait embrassé après? Je sais pas trop comment je l'aurais pris. C'est assez bizarre de penser à ça, enfin soit, j'étais obligée d'y penser comme je venais moi-même de l'embrasser. Dans chacune de ces phrases, je sentais le petit piège. Il cherchait des réponses que j'ignorais. Je ris doucement. « Arrête je t'aurais jamais giflé. » ça m'étonnerait en tout cas. Ou alors je me serais giflée moi-même, histoire de me punir pour mon acte qui n'avait ni queue ni tête. Je lui avais dit que c'était un menteur, et je savais bien que c'était un peu de la provocation mais rien de bien méchant. Je me redressais et râlais en voyant que j'avais cassé mon talon. C'était vraiment la merde et Lassa me donnait envie de rire. Nous échangions des rires amusé en vue de la situation. « mmh, plus tard, peut être. » répondis-je à sa remarque. Bah oui, s'il fallait l'embrasser une deuxième moi, ça ne sera pas non. Lassa me proposa ensuite trois solutions pour continuer la soirée. Moi qui pensait qu'il allait m'abandonner étant donné que je n'étais plus apte à marcher, sauf à pieds nus. Je fis mine de réfléchir alors qu'il glissa ces derniers mots à mon oreille. Je mentirais si je n'ai pas eu de frissons. Je plongeai mon regard ensuite dans le sien. « me traîner partout? est-ce que je prends ce risque? tu sais que ton parfum peut m’envoûter. dis moi Lassa. » je lui avais lancé un regard provocateur, comme si je savais ce qu'il manigançait dans sa petite tête. Je fis un léger tour sur moi même en faisant tournoyer ma robe, tout en ne le quittant pas du regard.

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J'étais désolé d'agir aussi bizarrement avec toi. Vraiment désolé. Mais au fond, je ne regrettais pas le très léger baiser qu'elle m'avais volé. C'était drôle comme à chaque fois qu'on ouvrait la bouche pour parler maintenant, peu importe si c'était elle ou moi, on pouvait faire des sous-entendus subtils. Très subtils, meme. Mais bon, soit on ne s'en rendait pas compte, soit on s'en rendait compte mais on ne voulait pas prendre la peine de se le faire remarquer, ce qui aurait gâcher cet atmosphere, aussi. « Bah t'aurais eu le droit! J'embrasse tellement bien, après tout, que.... » J'éclatai de rire. Je lui lançais des petites piques comme ça pour la provoquer, sans rien de bien méchant, et m'amusais comme je pouvais, en sa compagnie. Et puis voilà, elle cassait l'un de ses escarpins, ce qui me fit rire. La pire chose qui pouvait arrive à une fille lors d'un bal, excepté pour la robe et la coiffure, qui devaient arriver au top de ce qui ne devait pas être un désastre lors de cette magnifique et plus que parfaite soirée. « Tu peux continuer sur moi ! » Je lui fis un clin d'oeil taquin tout en m'approchant d'elle de nouveau. Qu'allait-elle choisir comme option? Marcher pieds nus? S'en aller? Ou me laisser la prendre dans mes bras et la trainer partout? Ce n'est pas comme si ça allait me déranger, après tout. J'étais muscle et je saurais très bien la transporter où elle voudrait. Je revenais vers son oreille pour murmurer encore une fois très doucement : « C'est un risque à prendre... Tu ne seras pas déçue, ma belle! » Bon allez, fallait que j'arrête, mais je ne pouvais pas. Sans meme attendre sa réponse, je me penchai de quelques centimetres vers l'avant, positionnai l'un de mes bras sous ses deux jambes, la soulevant, l'autre la soutenant en étant collée sur son dos. Je la regardais malicieusement tout en souriant de façon victorieuse. « Je t'ai kidnappée! T'as pas le choix... Attention, je vais t'hypnotiser de mes yeux, t'envoûter de mon parfum, te faire perdre tes moyens par mon sourire... Ça te va comme idée? » Je relevai la tête vers l'avant avant de lâcher un faible soupir. Cette soirée était extraordinaire, mais aussi bien étrange...

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J'essayais même pas de comprendre ce que disait Lassa, s'il y avait réellement un sens à ce qu'il me disait. On parlait un peu plus facilement, ce qui m'aidait à me sentir mieux, même si je ne portais plus mes escarpins, je gardais le sourire. Il voulait vraiment que je l'embrasse vraiment? Tenter une deuxième fois ce risque? Il avait l'air complètement indifférent, mais je voyais bien qu'il cachait quelque chose dans son jeu. Comme la façon qu'il avait de me parler au creux de mon oreille. Il disait que je pouvais continuer sur lui. Il se rapprocha de moi et me glissa des autres mots doux. J'aimais bien quand il prenait son air mi-coquin, mi-vicieux, on ne savait pas à quoi s'attendre. « ok, très bien. de toute façon je crois que je n'ai pas trop le choix. » j'haussai les épaules et tout en à coup, il me souleva et je me retrouvais dans ses bras, comme une princesse. C'était beau, romantique, oui trop romantique à mon gout mais bon, je pouvais sentir son parfum donc ça m'importait peu. « vas-y, hypnotise-moi, envoûte-moi, fais moi perdre tous tes moyens. prends donc ce risque. » lui dis-je à mon tour à l'oreille. Je m'amusais. Finalement, c'était pas si mal comme soirée. Un beau jeune homme en jeans portait une fille en robe de princesse qui tenait ses chaussures à la main. Lassa m'emmenait je sais pas trop où mais j'avais confiance en lui. J'avais juste envie de passer un peu plus de temps avec lui. Je voulais profiter de sa présence tant qu'il était près de moi. Je le regardais pensive, et sans un mot, je caressai lentement son menton avec mon doigt.

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Sincèrement, j'aimais bien passer du temps avec Blaise. Si je ne l'avais pas eue dans ma vie, je ne sais pas ce que j'aurais fait. Je tenais tellement à elle. Sans raison peut-être, peut-être avec raison, mais c'était comme ça. Je me sentais obligé d'être là pour elle, mais ce n'était pas une obligation que me dérangeait, loin de là. Je l'adorais tout simplement. C'était le genre de fille qui pouvait me faire rire à un rien, sourire simplement en la voyant, qui me permettait d'être un bon gars aussi, et qui me donnait la possibilité de toujours être là pour elle, pour mes amis. C'était ça, une vraie amie. Et elle l'était. On se taquinait, malgré tout ce qui s'était passé depuis le début de la soirée. Ça avait beau être étrange, ça ne me dérangeait pas tellement. Murmurer près de son oreille. Elle savait que je n'étais pas le type de mec à vouloir la tirer dans mon lit que pour de la baise, de la baise pure et simple. Non, je n'étais pas comme ça, et surtout pas avec elle. Je serais incapable de faire cela à une fille si adorable comme elle. Je lui proposais alors de la transporter pour le reste de la soirée, puisque ce ne serait pas très agréable pour elle de se promener les pieds nus toute la soirée. « Non, t'as pas le choix ! J'ai décidé d'être galant ce soir. Surtout que j'dois me faire pardonner d'être en jean... » Je lui fis un clin d'oeil amusé. Bah quoi, ça avait été la première remarque qu'elle m'avait faite lorsque j'étais arrivé pour lui porter secours, à cause de son cavalier qui l'avait abandonnée. Quel idiot, d'ailleurs. C'est donc ce que je fis : la prendre dans mes bras comme une princesse et la transporter partout où elle voudrait aller. Comme dans les comptes de fées du genre Cendrillon, Blanche-Neige, la Belle au bois dormant... Bref, tout cela. « Je vais essayer, princesse... » Je commençai à marcher en direction de je ne sais où. En fait, je savais où j'allais : vers une piste de danse extérieure. Il n'y avait quasiment personne, à croire que tout le monde préférait danser à l'intérieur avec la musique. Pas besoin de musique! Lorsque je fus presque arrivé, Blaise qui était dans mes bras caressa doucement mon menton. Je m'arrêtai afin de pencher la tête pour la regarder dans les yeux. Je souris en me mordant la lèvre inférieure, avant de pencher un peu plus la tête pour déposer un baiser sur le bout de son nez. « Tu devrais vraiment remporter le titre de Reine du bal, tu es magnifique, sincèrement.. »

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Dans les bras de Lassa, je me sentais belle, jolie, drôle, admirable, bref, il m'embellissait en quelques sortes. Je ne savais pas l'expliquer. Le petit jeu de séduction auquel nous jouions m'amusait beaucoup. C'était bien la première que je pouvais un peu me laisser aller sans qu'il n'y ait de soucis. Je ris lorsqu'il répétait encore qu'il était en jeans. Je voulais qu'il m'envoûte, qu'il me fasse perdre tous ses moyens. « mon pauvre. » dis-je alors qu'il dit qu'il allait essayer. Je m’agrippais à son cou alors qu'il m'emmena vers une autre piste de danse plus calme. Qu'est-ce que les autres allaient croire en voyant Lassa porter une folle dans ses bras? Je tournai ma tête vers lui puis caressai son menton de mes doigts. Lassa se pencha pour déposer une bise sur mon nez. Je souris. C'était bien, il m'avait pas embrassé. Il avait pas craqué. Mais moi, à force d'être proche de lui, de sentir son odeur, ça me donnait envie de craquer. Je savais pas ce que j'avais, mais j'étais de plus en plus fascinée par lui. Il me voyait déjà remporté le titre de Reine du bal. N'importe quoi. J'éclatai de rire. Mes yeux jouèrent avec les siens. « tu vas me prendre pour une folle, mais j'ai envie de t'embrasser, encore une fois. » c'était dit. Cette situation m'amusait beaucoup, et oui j'avais envie de toucher ses lèvres, celles qui étaient si proches de moi. Il suffisait d'avancer ma bouche de quelques centimètres pour attendre la sienne.

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C'était bizarre, Blaise ne parlait pas dans mes bras. Elle restait calme, sage, sans un mot, se contentant de me regarder. Comment je le savais? Je jetais parfois des regards discrets vers le bas et voyait qu'elle avait son regard constamment posé sur moi. Est-ce que je l'envoutais vraiment? Ou jouait-elle juste le jeu? De toute façon, l'important c'est qu'elle semblait beaucoup moins réticente à mes approches et mes compliments qu'en début de soirée, et ça c'était un bon point, parce que je ne voulais pas gâcher sa soirée pour de bon. « Je vois que j'suis pas mal doué, quand même! » Je souris. Blaise s'accrochait à mon cou, caressait doucement la base de mon menton, jusqu'à ce que je penche la tête vers son visage et dépose un petit bisou sur son nez. C'étaient de petites attentions que j'aimais lui faire, surtout ce soir. Elle méritait tout plein de choses, en fait. Surtout le titre de reine du bal. S'il y en a qui disaient le contraire, c'était parce qu'ils étaient tous de simples idiots. Ce n'est pas seulement les Eliot qui méritaient ce titre. À côté des bleus, que je ne détestais pas, mais que je ne portais pas nécessairement dans mon coeur, Blaise valait cent fois mieux qu'eux. Puis, me regardant directement dans les yeux, elle m'avoua une deuxième fois avoir envie de m'embrasser. J'étais surpris, tout de même. Mais après tout...pourquoi me dégager de cette envie qu'elle avait? C'était mon amie, je pouvais lui faire confiance. Mais je n'allais pas «craquer» le premier. Nos visages étaient près, vraiment près. Surtout parce que je venais de déposer un baiser sur son nez. « Qu'attends-tu, alors? Que tes talons soient réparés? » Je lui lançai un sourire amusé et taquin, tout en la transportant jusqu'à la piste de danse, qui était quand même assez loin encore.

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J'écoutais plus trop ce que me disait Lassa en fait. Il m’envoûtait comme il l'avait souhaité. J'avais jamais remarqué qu'il était aussi beau, son visage était parfaitement bien dessiné et son sourire, il était juste renversant. Je sais pas ce que j'ai, mais je ressens pleins de choses. J'aime être proche de mon ami de la sorte. Ça renforce les liens, c'est sur. Mais il faut rester vigilent aussi. Je ris doucement à sa rélfexion. Oui Lassa t'es doué, même hyper doué, t'es content? Après avoir glissé mes doigts sur son menton, il n’embrassa sur le nez. Je trouvais ça mignon, mais un peu trop à mon goût. Moi j'avais envie de l'embrasser vraiment et il ne semblait pas contre l'idée. « j'attends ton accord, mais je prends ça comme un oui. » mon regard jouait avec le sien puis je venais capturer ses lèvres une deuxième fois. Cette fois-ci, c'était un vrai baiser, un beau, le genre de baiser qu'on ne voulait pas voir s'arrêter. Je caressais sa nuque après avoir laissé tomber mes escarpins à terre. Le contact de ses lèvres et de sa langue était trop agréable. J'embrassais Lassa, oui. Pourquoi? Je ne savais pas, ou peut être que je ne voulais pas le savoir, tout simplement.

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Je me demandais maintenant comment la soirée avait bien pu tourner comme cela. Et par «comme cela», je voulais dire, les compliments, le premier petit baiser, les sous-entendus, les petites blagues de séduction, la prendre dans mes bras comme une princesse, la complimenter encore une fois et...ce nouveau baiser. Je ne svais vraiment pas comment on en était arrivés là. On était amis, pourtant. Des amies proches, certes, mais je ne pensais pas jusque là. Bon, et puis tant pis. J'entendis un claquement au sol, et y jetai donc un bref coup d'oeil : Blaise avait laissé tomber ses talons brisés au sol. Je la tenais fermement dans mes bras pour ne pas qu'elle tombe, alors que nos lèvres étaient soudées et que nos langues partaient à la conquête de l'une et de l'autre. C'était agréable, et non pas désagréable. Elle savait embrasser. Sa main était accroché à ma nuque, près de mes cheveux. Je la laissais faire, mais y participais aussi en fait. Je caressais doucement son dos sans la lâcher. Je la laissais faire jusqu'à ce qu'elle ait envie d'arrêter, en fait, mais entre deux baisers où l'on reprenait quelque peu notre souffle, je murmurai contre ses lèvres : « Tu vois...j'ai réussi à t'envoûter, juste avec mon parfum... » Je continuais de l'embrasser tout en avançant, très lentement, vers la piste de danse extérieure. Nous étions arrivés.

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