Elie-sara & William - jeu de la st valentin

Alors qu’ils dansaient, Will embrassa Elie qui plus que de se laisser faire lui rendit son baiser en le rendant encore plus passionnel. Une chose est sûre, elle embrassait bien et ce baiser eut le don de réveiller Will qui d’un coup décuva et avait envie de beaucoup plus. Après tout, c’était la saint valentin, c’était fait pour ça … Will avait sa main qui descendait le long des fesses puis au début des cuisses d’Elie, il sentait qu’il arrivait à la limite de la robe de la demoiselle et au toucher il pouvait sentir la chaleur qui se dégageait et de lui et d’elle. Pendant ce temps-là, Elie de son côté avait ôté le nœud papillon qui pendait autour du cou de Will. Ensuite elle lui fit enlever sa veste, il détacha ses bras de la jeune femme pour qu’elle puisse lui retirer mais ils continuaient de s’embrasser fougueusement. Elie se débarrassa de la veste et Will reposa ses mains sur le corps muy caliente de sa partenaire. Il cherchait un endroit dans la chambre où aller, il passa ses mains sous les fesses d’Elie et la souleva sans difficulté. Il la porta à travers la chambre et la plaqua contre le mur où il était appuyé quelques minutes auparavant, les jambes de la demoiselle l’enlaçant il sentait la chaleur de ses cuisses lui donner de plus en plus chaud. Avec une de ses mains, Will descendit jusqu’au genou d’Elie puis remonta en lui caressant la cuisse lentement et délicatement. Sans vraiment se rendre compte sa main passa sous la robe d’Elie et il commença à sentir ses petites fesses parfaitement faites … de son autre main il commença à chercher la fermeture de sa robe. Il commençait à l’ouvrir puis finalement il porta Elie, fit un peu de place sur le bureau puis l’allongea sur l’espace de travail qui d’habitude ne servait pas à ça … Will avait vraiment envie d’elle et il avait envie de passer la vitesse supérieur mais Elie décida de prendre les choses en main non s’en en déplaire à Will …

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Même pendant que je lui retirais son nœud papillon et sa veste, nos lèvres se s’étaient pas quittées, elles restaient collées l’une à l’autre, échangeant l’un des baisers les plus passionnés que j’ai connu jusqu’à présent. Etait-ce ma frustration due au début de la soirée qui le rendait si intense ? je n’en savais rien, et que je savais que bientôt, je réfléchirai encore moins. J’étais en train de franchir une limite. Si la scène d’avant dans la salle de bal n’avait pas provoqué une rupture, j’étais en train de tromper ma petite amie. Et pourtant, j’étais incapable de repousser William, je ne voulais pas arrêter ce moment. Sans que je m’y attende, il passa ses mains sous fesses et me porta contre lui, comme si j’étais une plume. Le geste ne fit que m’exciter d’avantage, e je m’accrochais à son cou de mes deux bras, pressant encore plus ma poitrine contre son torse. Je le sentis me plaquer avec délicatesse le long d’un des murs de ma chambre, et je priais pour que la pièce voisine fut inoccupée pour que personne d’autre que Will iam n’ait entendu le gémissement qui venait de sortir de ma gorge. Alors que je pensais qu’il allait faire une pause, il caressa ma cuisse jusqu’à passer la main sous ma robe, jusqu’à effleurer le tissu de mes dessous. J’avais l’impression que j’allais exploser tellement l’envie qu’il arrache mes vêtements se fit plus grande. J’avais l’impression qu’il était partout, puisqu’une autre de ses mains dit glisser la fermeture éclair de ma robe jusqu’à ma chute de rein. Les frissons dans mon dos reprirent de plus belle. Je me sentis à nouveau soulevée. Allait-il m’allonger sur le lit ? Non, il m’allongea sur mon bureau, qui heureusement n’était occupé que par mon PC que j’avais poussé dans un coin pour m’asseoir plus tôt dans la soirée. Il allait reposer ses mains sur moi, mais je le repoussais. Je n’étais pas le genre de fille à me laisser faire du début à la fin. Je me mis complètement debout et fit glisser ma robe de soirée à mes pieds. J’étais à présent à moitié nue devant lui, uniquement vêtue de mon ensemble soutien-gorge et boxer en dentelle noire qui me mettait le plus en valeur. Il s’était assis sur mon lit pour me regarder me déshabiller, et je pris place sur ses genoux, le renversant en arrière. D’une main, je prenais appui sur la matelas, et de l’autre j’ouvrais un à deux les boutons de sa chemise tout en embrassant au fur et à mesure sa peau nue qui se découvrait sous mes doigts.

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Alors que Will avait commencé à ouvrir la robe d’Elie il la porta jusqu’à son bureau et la posa dessus, alors que les jambes que la demoiselle étaient toujours enlacé autour de la taille de Will, ce dernier avait réussi retirer ses lèvres de la boucher sensuelle d’Elie pour lui embrasser le cou puis les épaules … mais à peine avait-il commencé qu’Elie le repoussa ce qui plus beaucoup à Will. Il se retrouva assis sur le lit à regarder la jeune fille qui se tenait debout devant lui … elle finit d’ouvrir sa robe et la laissa glisser le long de son corps sublime. Will put enfin contempler le corps magnifique qu’il imaginait et qu’il effleurait depuis tout à l’heure. Elie n’était plus vêtu que de son soutient gorge et d’un petit boxer noir en dentelle, le tout la mettant parfaitement en valeur. Il y avait tout ce qu’il fallait où il fallait, des seins parfait et un petit cul … des plus ronds et des plus jolis … Elle s’approcha doucement de lui et s’assit sur ses genoux avant de le pousser sur le lit. Will était maintenant allonger sur le lit avec une créature de rêve à moitié nue sur lui, pas de doute que la saint valentin n’était pas si mal finalement. Il ferma les yeux un instant, juste le temps pour qu’Elie se penche sur lui et commence à l’embrasser. Alors que ses lèvres se posait sur sa peau, elle enlevait un à un les boutons de la chemise de Will en embrassant les nouvelles parties de son corps qui se découvraient petit à petit … Will se laissait faire, il profitait, après tout elle était à moitié nue et lui plus qu’habiller encore. Il n’avait qu’une envie, arracher sa chemise et le reste de ses vêtements mais la méthode d’Elie faisait durer le plaisir ce qui était encore bien meilleur. Pendant qu’Elie était à son affaire Will n’avait pas grand-chose à faire mais cela ne l’empêchait pas de balader ses mains sur le corps parfait de la jeune femme. Il passait ses mains sur ses cuisses et ses fesses, il baladait ses doigts le long du dos et de chute de rein de la demoiselle. Il n’arrêta que l’espace d’un instant pour se relever et finir d’enlever sa chemise. Maintenant qu’il était torse nu il se releva, attrapa Elie et senti sa poitrine contre son torse, il l’embrassa de nouveau et caressa sa cuisse jusqu’à passer sous le boxer pour sentir ses fesses sous ses mains …

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Un à un, j’ouvrais les boutons, embrassant, léchant ou mordillant sa peau au passage. Je ne savais pas s’il était imberbe où s’il faisait partie de ces hommes qui prenaient soin d’eux en s’épilant le torse, mais sentir de la pouce douce sous mes doigts chez un homme me donnait encore plus envie de lui. Lorsque le dernier bouton sauta, il se releva pour m’aider à libérer ses bras deux manches. J’aurais aimé qu’il reste allongé pour que je puisse ouvrir sa ceinture et la lui retirer par la même occasion, mais ce n’était que partie remise. Je passais mes bras autour de son goût et m'emparait de ses lèvres à nouveau.
Une de des mains caressait le bas de mon dos et je sentais l’autre faire des va-et-vient le long de mes cuisses, elles effleuraient la dentelle de mon boxer avant de repartir dans l’autre sens, me frustrant à chaque fois d’avantage. Quand enfin ses doigts se glissèrent sous le tissu et se rapprochaient de mes fesses, j’émis un second soupir. J’étais à retirer mon soutien-gorge moi-même tant j’avais envie que ses lèvre chaudes et humides se posent aussi sur mes seins. Je le repoussais à nouveau sur le lit pour rependre les choses en main. Il ne me quittait pas des yeux, mais ça ne m’intimidait pas, bien au contraire. Pour moi, c’était comme un encouragement. Tout en restant assise et hors de sa porte, j’ouvrais la boucle de sa ceinture que je fis glisser dans les passants jusqu’à complètement la libérer et la jeter plus loin dans la pièce, là où avait surement atterrit la chemise quelques instants plus tôt. J’en profitais pour ouvrir le bouton de son pantalon ainsi que sa braguette avant de m’allonger à nouveau sur lui. Je repris la même position que tout à l’heure, et tout en posant ma bouche sur la sienne, je m’amusais à passer mes doigts à la lisière de son boxer, sans jamais passer vraiment dessous. En le frôlant juste assez pour le provoquer .

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Elie avait finalement retiré la chemise de William et ce dernier ne se fit pas prier pour se redresser et l’embrasser de nouveau. Ses lèvres étaient bien trop attirantes pour reste loin d’elles si longtemps. En même temps, il passait une de ses mains dans le dos de la demoiselle pendant que l’autre main caressait une de ses cuisses. Au bout de plusieurs va et vient, Will glissa sa main sous le boxer et passa ses mains sur la peau douce des fesses d’Elie. Will arrêta d’embrasser Elie sur ses lèvres si excitantes pour mieux dévier dans son cou. Il effleurait à peine la peau avec ses lèvres de manière à donner envie plutôt qu’à satisfaire, il finit de descendre son cou puis continua sur ses épaules. Il commença à dégrafer le soutien-gorge mais à peine avait–il poser ses doigts sur l’ouverture qu’Elie le repoussa sur le lit. Will n’avait qu’une envie c’était de retirer le soutif et le boxer d’Elie pour mieux continuer ses baiser partout sur son corps si enivrant … Mais ce que sa partenaire avait à lui proposer n’était pas moins bien loin de là, elle détacha la boucle de sa ceinture et l’enleva de son pantalon dans un geste sexy ; elle retrouva la chemise quelque part dans la pièce. Elle ouvrit le pantalon de William et se rassit comme tout à l’heure et revint l’embrasser. Elle passait ses doigts le long du boxer sans avoir envie de l’enlever mais juste pour exciter un peu plus William. Will excité de plaisir mordit légèrement la lèvre d’Elie et sans la prévenir dégrafa le soutien-gorge d’une main mais sans l’enlever, laissant ainsi apparaitre une légère partie la forme délicate de ses seins … William remonta sa main des fesses d’Eli le long de son ventre, puis de ses cotes avant d’effleurer un de ses seins et de sentir le téton pointer. Will retira finalement le soutif et pu enfin voir les deux seins magnifique à la forme parfaite. Il mit chacune de ses mains sur les hanches d’Eli et commença à remonter jusqu’à pétrir délicatement sa poitrine. Alors qu’il commençait à se redresser pour embrasser Elie un peu plus bas que ses épaules, elle le repoussa sur le lit …

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En général, j’aimais parler pendant les préliminaires, j’aimais faire des commentaires, dire ce que j’avais envie, confier ce qui me plaisait ou non. C’était un moment de plaisir et d’échange pour moi, surtout avec Kaleigh. Mais ce soir, avec Will entre mes cuisses et moi à moitié nue sur lui, je ne ressentais pas les même besoins. Je voulais juste sentir des choses, aller au bout, me faire plaisir à moi seule en profitant du corps d’un homme qui se laissait bien faire. Et qui curieusement, lisait presque mes pensées tant ses mains se posaient là où je les voulais. Sa main posée sur mon dos, qui montait et descendait le long de mes reins, ne se posa qu’une infime seconde sur la fermeture de mon soutien-gorge. Et pourtant, l’ouvrit du premier coup. Les bretelles glissèrent le long de mes épaules et de mes bras, dévoilant un peu plus ma poitrine à ses yeux affamés. Mes tétons durcirent d’un coup, juste avant que ses doigts ne s’en approchent et commencent à les titiller. En un geste, il retira complètement le fin sous-vêtement en dentelle. Il ne me plus restait plus que mon boxer, et je frissonnais encore plus. Pas de froid mais de désir. Etre nue alors que la personne en face de moi non avait toujours eu le don de m’exciter sans vraiment que je ne sache pourquoi. Les mains de William se posèrent en coupe sur mes seins, avant de commencer à jouer avec. Sentir mes tétons entre ses doits me faisait perdre la tête. Je respirais de plus en plus fort. Je les repoussais vers le lit une nouvelle fois alors qu’il tentait de se redresser. Et je me débrouiller pour faire glisser son pantalon jusqu’à mi-cuisses sans bouger de ma position. Nous étions à égalité. Pour le moment. Je glissais vers le bas du lit et posa mes deux mains de chaque côté de ses hanches. Sans toucher à son boxer, sans avoir la moindre intention de le lui ôter pour le moment, je passais mes lèvres sur la large ceinture élastique, puis le long des coutures, et déposa de petits baisers tout le long du trajet. Avant de remonter vers son nombril, puis vers son torse.

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Alors que Will voulait se relever et plaquer Elie contre lui, elle en décida autrement et le repoussa sur le lit. Elle commença à descendre le long de long de son torse puis descendit le pantalon de Will sur ses chevilles. Elle descendit du lit pour se mettre entre les jambes de Will et posa ses mains de part et d’autre de ses hanches. Elle commença à déposer quelques baisers un peu partout sur le boxer de Will, et ce dernier sentit que ça commençait à devenir sérieusement dur là-dedans. Elie remonta alors doucement tout en continuant ses baisers, sur son nombril, son torse, … Alors qu’elle remontait, William se débarrassa l’air de rien de son pantalon et de ses chaussettes et les lança au loin. Il sentait avec plaisir les seins de la demoiselle qui frottait contre son torse, cette sensation avec le don de l’exciter au plus haut point. Il l’embrassa, passa les mains dans son dos puis sous son boxer et lui attrapa les fesses avant de tourner sur le coté de manière à ce soit lui qui se retrouve au-dessus d’elle. Les préliminaires c’est bien mais c’est dans les deux sens, c’était maintenant à lui de prendre les choses en main. Il commença par déposer des baisers le long du cou d’Eli puis il descendit vers sa poitrine, il commença à jouer avec un de ses tétons avec la langue tout en caressant l’autre avec sa main. Il inversa ensuite pour lécher délicatement son autre sein et sentir le téton se durcir sous ses petits jeux de langue. Il continua juste quelques instants puis descendit le long de son ventre et de son nombril toujours en déposant de petits baisers, des petits baisers où au moment de poser ses lèvres sur la peau d’Elie ils les entrouvraient très légèrement pour l’effleurer avec sa langue. A force de descendre il avait maintenant la tête entre ses jambes. Il posa ses mains sur ses hanches puis fit quelques bisous sur son boxer avant de descendre sur ses cuisses et de revenir vers le centre, il passa ses mains le long des jambes de la demoiselle tout en l’embrassant un peu partout. Il remonta ses mains jusqu’à la lisière du boxer puis commença à l’enlever. Il l’enleva tout doucement, centimètre par centimètre, dès qu’une partie se découvrait, Will la couvrait de baisers, jusqu’à ce que le boxer d’Elie ne fût plus. Will le jeta à l’autre bout de la pièce pour être qu’elle ne le récupèrerait pas tout de suite et reprit cet baisers sur le bas ventre …

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Je n’avais nul besoin de mes mains pour savoir que William aussi était au bord de l’explosion, et qu’à ce rythme il ne tiendrait plus longtemps. J’avais senti son entre-jambe durcir sous mes baisers. Exactement ce que je voulais. J’avais moi-même le corps en feu, et ne tiendrait plus très longtemps. Ma peau nue contre la sienne, mes seins contre son torse, ses mains sur mes fesses. Il bascula sur le côté, m’entrainant avec lui, avant de passer au-dessus de moi, et de prendre cette fois-ci la place de dominant. Je constatais qu’il avait discrètement retiré son pantalon et ses chaussettes, ce qui me fit sourire. Le détail avait son importance. William m’embrassa une fois de plus avant de laisser glisser sa bouche le long de ma joue, puis sur mon cou, provoquant une avalanche de frissons. Quand il glissa un peu plus bas, et qu’il s’attarda sur mes seins, je ne pouvais plus retenir mes gémissements et je me cambrais de plaisir. Comment sa langue pouvait encore me faire plus monter le désir alors que je pensais avoir déjà atteint le sommet et être parvenue au point de non retour. J’allais l’arrêter, le faire remonter sur mes lèvres et nous débarrasser des derniers morceaux de tissus qui nous séparaient de l’apothéose, quand il fit glisser sa bouche encore plus bas, sous mon nombril, à la lisière de mon boxer en dentelle. J’eus un vrai moment d’hésitation. Allais-je vraiment le laisser faire ? Le laisser entrer à ce point dans mon intimité ? je ne pourrais plus faire machine arrière ensuite, si je ne l’arrêtais pas, j’allais vraiment tromper Kaleigh … William ne perçut pas mon hésitation, et doucement, petit à petit, il fit glisser le long de mes hanches puis le long de mes cuisses jusqu’à le jeter sur la pile de vêtements à terre. Sa langue était sur ma partie la plus intime, je me cambrais encore d’avantage et renversait ma tête en arrière, incapable de prononcer un mot tant mon plaisir était grand.
« Attends … viens. »

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Autant le sexe avec Kaleigh était doux, avec William, c’était une autre paire de manches. Avec les hommes, tout était plus bestial, plus brutal, plus intense, et j’avais à chaque fois un mal fou à rester concentrer jusqu’au bout. C’était l’une des raisons qui m’avait rendue bisexuelle, être incapable de choisir entre ces deux versants.

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