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Il n’y avait aucun doute, Alejandro et Alizée étaient bien en forme. Son amante avait dû passer un été étrange et elle donnait l’impression que son amant lui avait manqué, trop manqué et le beau brun doit avouer que si c’est le cas, c’est plutôt réciproque. Leurs ébats les avaient conduit du piano jusqu’à la salle de cinéma, où ils avaient pu conclure en beauté. La belle blonde encore toute chaude contre lui, ils s’embrassaient, se caressaient encore. Alejandro est le premier à briser le silence, avec ses bêtises habituelles, suivis d’Alizée qui abondait dans le même sens.
-C’est un beau projet, si tu en as la force.
Car bien sûr, il ne remettait pas en question la sienne. C’était pour la taquiner, la défier un brin, il aime bien mettre Alizée au défi. Il esquisse un sourire, ses yeux ancrés dans ceux bleus de la Française. Tant qu’à être dans une salle de cinéma, aussi bien se mettre un film non? À la suggestion de son amant, le beau brun se met à rire. C’était presque tentant mais…
-Une comédie française, ce serait bien.
Histoire de décompresser après tout cela. Pas garanti que pendant le film, à côté d’une Alizée nue, Alejandro reste sage pendant toute la durée du film, mais bon! Parions que s’il caresse sa cuisse, embrasse son épaule, son cou, elle ne s’en plaindra pas, au contraire.
Les jours suivants furent tous aussi idylliques. Ils purent aller faire pique-nique dans la campagne, visiter Paris, profiter encore du soleil, de la piscine, de la villa toute entière. Ils se firent un bon dîner, se firent tout beau pour se mettre à table et bien sûr que les deux amants profitèrent de l’un et de l’autre abondamment, jusqu’à ce que leur réalité respective les rattrape. Alejandro fit promettre à Alizée de le contacter s’il y avait quoique ce soit, ou sinon, de l’appeler juste pour papoter. Ils ont tous les deux des vies assez occupées, mais depuis ce week-end en France, l’Espagnol écrit tous les jours à son amante, ne serait-ce que pour prendre de ses nouvelles, lui envoyer une petite blague, une photo de lui. Les prochaines semaines seront bien remplies pour eux, mais ce qu’Alejandro sait, c’est qu’il ne veut pas qu’Alizée quitte sa vie. Au contraire. Elle ferait la petite amie idéale si seulement…
-C’est un beau projet, si tu en as la force.
Car bien sûr, il ne remettait pas en question la sienne. C’était pour la taquiner, la défier un brin, il aime bien mettre Alizée au défi. Il esquisse un sourire, ses yeux ancrés dans ceux bleus de la Française. Tant qu’à être dans une salle de cinéma, aussi bien se mettre un film non? À la suggestion de son amant, le beau brun se met à rire. C’était presque tentant mais…
-Une comédie française, ce serait bien.
Histoire de décompresser après tout cela. Pas garanti que pendant le film, à côté d’une Alizée nue, Alejandro reste sage pendant toute la durée du film, mais bon! Parions que s’il caresse sa cuisse, embrasse son épaule, son cou, elle ne s’en plaindra pas, au contraire.
Les jours suivants furent tous aussi idylliques. Ils purent aller faire pique-nique dans la campagne, visiter Paris, profiter encore du soleil, de la piscine, de la villa toute entière. Ils se firent un bon dîner, se firent tout beau pour se mettre à table et bien sûr que les deux amants profitèrent de l’un et de l’autre abondamment, jusqu’à ce que leur réalité respective les rattrape. Alejandro fit promettre à Alizée de le contacter s’il y avait quoique ce soit, ou sinon, de l’appeler juste pour papoter. Ils ont tous les deux des vies assez occupées, mais depuis ce week-end en France, l’Espagnol écrit tous les jours à son amante, ne serait-ce que pour prendre de ses nouvelles, lui envoyer une petite blague, une photo de lui. Les prochaines semaines seront bien remplies pour eux, mais ce qu’Alejandro sait, c’est qu’il ne veut pas qu’Alizée quitte sa vie. Au contraire. Elle ferait la petite amie idéale si seulement…
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