The end of the beginning (TW Sexy)

The end of the beginning
— with @Alizée Wertheimer

Maintenant qu'il savait qu'Alizée avait une jumelle, Alejandro craignait ou fantasmait, c'est selon, que sa sœur jumelle ne se fasse passer par elle, ne le séduise et... il imagine qu'Alizée n'aimerait pas trop. Selon la jeune femme par contre, nul besoin de code pour la différencier de sa sœur et elle marquait de bons points. Ce regard est plutôt unique.

-Tu as raison. Il n'y a qu'une Alizée et je sais la reconnaître.

Puis, sinon, il n'a qu'à demander le regard, celui-ci, s'il a un doute. Adoptée donc, mais comme le fait remarquer la belle blonde, il y a pire comme famille d'adoption. Clairement. Il répète, sourire en coin, passant son bras autour des épaules de la Française:

-Ce n'est pas plus mal.

Puis, vient déposer un baiser contre sa tempe, comme pour la réconforter, peut-être la remercier aussi de se livrer, de lui ces infos très personnelles. Et puisqu'il est question de choses personnelles...

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the end of the beginning

@Alejandro Ortega

aurora n'est sûrement pas du genre à draguer tout ce qu'il bouge. je la connais peu, mais je sais qu'elle est amoureuse d'un garçon. d'ailleurs je devrais prendre de ses nouvelles. alors de là à draguer d'autres hommes et leur faire des yeux doux, surtout à l'amant de sa jumelle, ça m'étonnerait fort. d'où le fait que je suis certaine que tu sauras me reconnaitre quoiqu'il advienne même si tu la croises un jour. on est pareil physiquement, mais pas la même pour le comportement. ta phrase tombe sous le sens et me fait sourire un peu plus. exactement. et je n'en doute pas. j'ai confiance en toi pour savoir me reconnaitre parmi ma jumelle. ma famille adoptive me plait et je me sens bien ici, je les considère comme ma véritable famille, biologique ou non. c'est donc un mal pour un bien. je hoche la tête de haut en bas en guise de réponse.

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The end of the beginning
— with @Alizée Wertheimer

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@Alejandro Ortega

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— with @Alizée Wertheimer

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@Alejandro Ortega

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— with @Alizée Wertheimer

-J'adore ta façon de me souhaiter la bienvenue.

Fallait voir son petit sourire. Visiblement, Alizée venait de faire un heureux, mais elle semblait assez heureuse elle aussi. Le beau brun se repose un peu, reprend son souffle, il le méritait bien non? Alejandro fixait le plafond, un peu pensif, puis propose:

-On se fait un dîner dehors ce soir? Pas loin de la piscine, ce serait sympa. Qu'est-ce que tu en dis?

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@Alejandro Ortega

je récupère mon souffle. un sourire s'étire sur mes lèvres. ma main qui vient caresser ta chevelure. tu le vaut bien. je t'adresses un petit clin d'oeil malicieux. puis vraiment il était rare que j'accueillais de cette façon, t'es bien le seul, la perle rare. faut dire que tu me fais un certain effet. finalement je reprends un peu plus mon sérieux quand tu fais cette proposition pour ce soir. il fallait que je te l'avoues maintenant. c'était horrible en faites de balancer ce genre de vérité après avoir fait l'amour, je prends mon courage à deux mains. je suis enceinte, alejandro... lâchais-je. appréhendant de toute évidence ta réaction. je fuis ton regard, me mordille la lèvre inférieure et ajoute. j'ai pensé qu'il était de toi vu qu'il n'y avait qu'avec toi... enfin tu vois. mais j'étais ivre et j'ai couché avec leonel, le parrain de malo. bordel. je venais de lancer une bombe qui allait sûrement te faire fuir. que tu pouvais bien prendre tes jambes à ton cou et finalement repartir je ne sais où, mais pas finir ton séjour à Paris comme prévu.

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The end of the beginning
— with @Alizée Wertheimer

Comment ne pas sourire quand une fille comme Alizée, sexy et tout, vous dit, après avoir fait l'amour, que vous le valez bien? Alejandro fit un sourire de gamin, ne sachant pas trop quoi répondre, elle venait de le désarmer. Tranquille, faisant le plein d'énergie avec cette première chevauchée emportée qui trahissait bien à quel point ils s'étaient manqués, Alejandro faisait des plans pour ce soir. Il les imaginait bien se faire beau, enfin, beau mais détendu quoi, dîner dehors, profiter de la soirée, puis aller se coucher, pas pour dormir.

Mais ces plans sont disons freinés dans leur élan parce qu'Alizée lance. Une bombe: elle est enceinte. Alejandro se redresse aussitôt dans le lit, les yeux ronds.

-Quoi?

A-t-il bien entendu? Vu la tête que son amante fait, oui, il a bien compris et non, elle ne blague pas. Lui ne pouvait pas la lâcher des yeux, mais on devinait que derrière le regard du beau brun, tous les boutons d'alarme étaient déclenchés. L'Espagnol sait bien que si elle est enceinte, cela veut dire qu'il est le père et il réfléchit déjà à ce que cela signifie: pour lui, pour Alizée, pour ce bébé à naître. Parce que c'est forcément lui le père non? Si elle lui dit, s'ils sont amants? Sauf si...

La belle blonde précise. Alejandro la sent sincère, elle met cartes sur table. Il aurait aimé qu'elle lui en parle avant. C'était ça la maladie? Puis, il entend Leonel. Ils ne sont pas sensés ne pas se supporter ces deux-là? Il ne compte plus les fois où Alizée râlait sur ce mec. Le jeune homme vient pour parler, ouvre la bouche, mais se ravise. Une longue inspiration, une expiration et il réessaie de traduire ses pensées en mot; les bonnes pensées.

-Du coup, tu ne sais pas qui est le père?

Alejandro décidait de faire fi, pour le moment, qu'elle ait couché avec Leonel. Vrai de toute façon qu'ils ne se doivent rien. Son regard se perd vers le mur, intérieurement, il se résigne. Faire ce que doit.

-Je suis prêt à assumer. Je veux dire, si je suis le père, je vais... je vais assumer. Ton choix, pardon, c'est pas le mien, enfin, je sais pas ce que tu as décidé, c'est...

Était-elle enceinte depuis l'Afrique? Depuis combien le sait-elle, pourquoi lui en parler maintenant? Et s'il n'était pas venu en France pour la voir, sur un coup de tête, l'aurait-il su? Y a-t-il des choses qu'il devrait savoir à propos de Leonel? Est-ce que c'est lui le père du reste?

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@Alejandro Ortega

comme d'habitude c'était si bon ce moment. je veux dire, ça faisait longtemps et ça m'avait manqué donc forcément, j'ai pris encore bien plus de plaisir et tu vaux bien ce genre d'accueil. au moins t'as l'eau à la bouche de ce que j'avais prévu pour ce séjour en France à moins que tu ne changes d'avis par la nouvelle que je viens de t'annoncer. oui, tu venais de me proposer un excellent programme pour cette soirée que je comptais bien accepter, mais avant cela fallait jouer cartes sur table et t'annoncer la vérité. il fallait cesser tourner autour du pot, je voulais te le dire avant, mais je m'étais retenue pour bien des raisons. maintenant voilà que la bombe est lâché, tu te redresses, je fais de même à tes côtés. je lâche un soupir. je m'attendais bien à cette réaction, l'incompréhension. puis le temps que t'adaptes la nouvelle à ton cerveau, que tu t'imprègnes de cette grossesse. avant même que tu me poses les questions existentielles, je précisais qu'il n'était pas de toi, mais de leonel. mais t'as pas l'air de bien saisir ce que je voulais dire, trop d'informations à décrypter sûrement. je te laisse le temps, je regarde autour de ma chambre avant de finir par poser mes yeux dans les tiens. je fronce les sourcils, puis j'ouvre la bouche et me ravise. j'écoute alors tes paroles et ça me touche sincèrement que tu veux assumer ton rôle de père, mais pour le coup je me sens assez mal. je me mordille la lèvre inférieure, passe une main derrière ma nuque et réponds calmement. je... je suis désolée, mais il n'est pas de toi... d'après la date, ça ne corresponds pas à nos ébats en Afrique... je l'ai découvert bien trop tard et je peux plus avorter sinon ça aurait été déjà fait.... il est de leonel, celui avec qui je m'embrouille tout le temps et visiblement j'aurais mieux fait de m'abstenir... c'était bien la première fois que je couchais avec lui ce soir-là et je regrettais parce que je suis désormais enceinte. et qu'est-ce qu'il va advenir de ce bébé? j'ai la mucoviscidose... à tout moment je peux mourir et je ne veux pas qu'un bébé vive sans sa mère... première fois que je te parle de ma maladie ainsi que de mes craintes. bon ça ne t'empêcheras pas de prendre la fuite si t'en as l'envie, je ne te kidnappe pas, bien que ça ne me déplairait pas.

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