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The end of the beginning (TW Sexy)

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The end of the beginning
— with @Alizée Wertheimer

Alejandro, si calme et si réfléchi, vu de l'extérieur, peut être impulsif, passionné. Lorsqu'Alizée lui avait écrit, qu'elle avait fait savoir qu'elle lui manquait, impossible pour le beau brun de ne pas craquer et de ne pas prendre ces phrases, quand on connait la belle blonde, pour une invitation à peine voilée. Alors ni une ni deux, il a pris un vol pour Paris. Son Summer Camp, tout amusant qu'il était, lui laissait un goût un peu amer et il espérait pouvoir se changer les idées avec son amante et clôturer en beauté son été.

Débarqué à Charles de Gaulle, il avait appelé Alizée. Elle était toute heureuse, ça faisait plaisir à entendre et il l'était aussi. L'Espagnol loue une décapotable française bleue, question de ne pas subir de reproche, puis se rend à la villa Wertheimer. Une fois en campagne, le beau brun teste la machine qu'il a. Finalement arrivé, le portail s'ouvre et il gare sa voiture dans la cour. Pas la peine de sortir les bagages du coffre tout de suite, si ça se trouve, il y a du personnels pour. Une fois sorti de la décapo', il enlève sa chemise en jeans, la met sur son épaule et approche de l'entrée. Même pas le temps de sonner qu'Alizée lui saute dans les bras. Il la serre aussi, tourne sur place avec elle, avant de la redéposer au sol. L'Espagnol parla français, avec son accent hispano bien sûr.

-Bonjour estrella... Je suis content de te voir.

Il se retenait bien de l'embrasser direct, mais la tentation est bien là. Si elle pouvait voir son regard... Son sourire en disait déjà assez.


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the end of the beginning
@Alejandro Ortega
j'ai prolongé mes vacances à Paris et je n'ai pas eu bien le choix en vérité. effectivement, ma maladie a repris le dessus, j'ai eu des difficultés respiratoires et je me sentais assez mal. nauséeuse et j'en passe. j'avais consulté les médecins de ma ville natale et ils m'avaient conseillé de me reposer, ce n'est pas dans mes habitudes, mais je n'avais pas le choix. mes parents veillent au grain et même si mes frères et ma soeur sont au summer camp, ils veillent aussi sur moi. je profite de la piscine au maximum, mais je m'ennuie. heureusement que céleste, mon amie d'enfance, ma femme depuis peu, mariée à vegas pour que son mariage arrangé soit annulé, ma complice de tous les jours est venu quelques jours chez moi et ça m'a fait du bien de passer du temps avec elle. sauf qu'elle est parti en Australie avec son ami et je me retrouve de nouveau seule, malo est avec leonel à boston. et en parlant de leonel, j'ai une boule au ventre et pas qu'une boule en vérité. j'ai appris depuis peu que je suis enceinte après de nombreux examens effectués. j'ai pensé que le père était alejandro, le seul amant que j'ai pu avoir. jusqu'à ce que sache la date et que je me souviens de cette nuit-là où nous étions ivres avec leonel... enceinte. de leonel. j'ai du mal à l'imaginer et c'est bien trop tard pour avorter, croyez-moi j'y ai pensé. je ne suis pas capable d'assumer, j'ai crainte de son avenir.
j'ai envoyé un message au bel espagnol pour prendre de tes nouvelles. des messages enflammés et qui me donne envie de t'embrasser, de déshabiller, de goûter à nouveau ta peau, ces plaisirs charnels avec toi. je revois notre séjour en Afrique et j'en ai des étoiles plein les yeux. je suis surprise, très agréablement surprise même que tu quittes le summer camp pour venir me voir à Paris. je suis excitée, on ne va pas se mentir. je m'étais coiffé d'une tresse et enfilé mon bikini de couleur noir, la piscine nous attends, je me regarde dans le miroir, contemple mon ventre, je ne réalise même pas que je suis enceinte. j'en suis totalement perturbée, mais je décide de reprendre mes esprits en entendant le bruit du moteur de ton véhicule et je te rejoins immédiatement à l'extérieur. oh my god, t'es toujours aussi séduisant, je ne vais pas pouvoir te résister bien longtemps. il n'y a que le personnel à la maison, enfin surtout mon majordome, connor. mes parents sont au travail et comme ça on est tranquilles. j'ordonne à connor de venir déposer les affaires dans ma chambre à l'étage. avant de venir sauter dans tes bras, profitant de ce moment pour venir humer l'odeur de ton parfum qui m'avait tant manqué. tu me fais tournoyer et je me mets à rire alors que tu me déposes sur le sol. holà guapo... et moi donc ! ça fait trop longtemps. je me demandais quand est-ce qu'on allait se revoir et t'es là. juste chez moi, j'aurais pas pu demander mieux ! en voyant ton sourire, le mien s'étire de plus belle et je viens déposer mes lèvres sur les tiennes, cédant à la tentation. ma langue venant chercher la tienne pour un baiser langoureux, mes mains qui entourent ta nuque pour intensifier le baiser, je sens mon corps se réchauffer près du tien. mon myocarde qui s'emballe. wow. tu me fais un effet de dingue, je pourrais carrément te déshabiller là maintenant. les hormones en ébullition. je sépare mes lèvres des tiennes, mes iris plantés dans les tiens. je suis trop caliente... allez, je vais te faire visiter la maison et on ira dans la piscine. sinon t'as fait bonne route? je glisse ma main dans la tienne tout en marchant jusqu'à la demeure immense soit-elle, pénétrant à l'intérieur. bienvenue chez les wertheimer ! tu peux découvrir une pièce immense qu'est le hall d'entrée, ensuite le salon qui se trouve à notre droite, une cuisine à notre gauche, une salle de cinéma, un sauna. tout est propre, brillant, la salle de jeux, tout est spacieux. on se croirait dans un château et en faites c'est un peu ça. à l'extérieur il y a la piscine, le jaccuzzi. puis à l'étage, les chambres avec salles de bains. viens. je te montre toutes les pièces une à une. il manque de rien. on monte les escaliers et j'ouvre a porte de ma chambre. tadaam ! j'ouvre grand les bras comme si que je te montrais quelque chose d'incroyable. il s'agit simplement d'une chambre spacieuse où tout est bien décoré avec soin. un immense lit où nous pourrons faire des folies de notre corps, une garde robe immense, une grande télé, un balcon.
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The end of the beginning
— with @Alizée Wertheimer

Aussi ironique que cela puisse être, si Alejandro avait pu bien s'amuser au Summer Camp, sortir tous les soirs, voir des amis, fêter, vivre de belles aventures, la nuit venue et ce presque nuit après nuit, il rentrait seul et dormait dans son lit. Une solitude subtile, mais petit à petit dérangeant quand vous voyez ces couples profiter des vacances, des histoires d'été se former etc. Son amante Alizée était en France, Sloane est venue de passage, mais bref, un bout d'un moment, le Summer Camp avait perdu de sa magie pour lui. Encore un peu plus après un soir où danser de la salsa avait mené à des espoirs aussitôt déçus.

Alors lorsqu'Alizée lui avait écrit, il n'avait pas fallu bien longtemps pour qu'Alejandro décide de la rejoindre et de passer le reste de ses vacances en France et sûrement l'Espagne pour les quelques derniers jours. Ce n'était pas dans ses habitudes de s'inviter de la sorte, mais la belle blonde semblait plus qu'heureuse de savoir sa venue.

Petite ellipse donc jusqu'au jour qui nous intéresse et voici le bel Espagnol qui débarque de sa décapotable rouge, tout sourire, bronzé par le soleil des Caraïbes et l'air toujours aussi en forme. Alizée apparait aussitôt, radieuse, sexy même dans son bikini, l'air de bien profité elle aussi, malgré les ennuis qu'elle a eu. Alejandro, un brin sur la réserve, pas certain de ce qu'ils pouvaient se permettre ici, même s'ils sont chez elle, au manoir familial, accueille la belle dans ses bras et la redépose. Elle était tout sourire, heureuse, comment ne pas l'être à son tour?

-Merci de m'accueillir quasi à l'improviste d'ailleurs.

Un regard l'un dans l'autre et Alizée craque la première embrasse son amant, qui répond aussitôt avec la même langueur, un brin de chaleur, sa main vient attraper le cou de la belle pour l'attirer contre lui. Aucun doute, c'était bon de la retrouver.

-Tu me donnes chaud aussi... Bonne chose que j'aie mes costumes de bain avec moi. Oui, le vol s'est bien passé. J'ai pris le premier vol à Porto Rico, Air France, bu du champagne... Et la route pour venir, les petits chemins, c'était beau. On ira faire un tour si tu veux.

Ce n'est pas une moto, mais c'est pas mal quand même. Quand elle prend sa main, il lui jette un petit regard, lui sourit, avant d'emmener la main de la belle Française à ses lèvres pour un petit baiser. Après, il siffle, contemplant la fameuse demeure.

-Wow. Bâti par vous ou cela appartenait à un aristocrate ou truc du genre?

Alejandro, curieux d'architecture et d'histoire, suivait donc Alizée pour la visite guidée du château Wertheimer. Lunettes de soleil agrippé au devant de son shirt, jette un coup d'oeil rapide à la piscine par la fenêtre. Pendant la visite, il mentionnait aimer la salle de cinéma. Voilà une chose qui manque dans sa villa familiale.

-Et tu as tout ce château à toi toute seule?

Dernière étape, les chambres et Alejandro devine qu'ils vont rejoindre la sienne. Il rit à voir le tadam d'Alizée. Il réalise qu'il est dans la chambre de son amante, chose qui allait sans doute de soi, mais quand même, c'est une première. Même en Afrique, ils avaient chacun leur chambre, même si la belle venait souvent le rejoindre une fois le petit endormi.

-Je ne pourrais pas demander mieux.

Il voit sa valise, son sac à dos, posé par Connor, toujours là d'ailleurs. Dans un français toujours quasi-impeccable, il dit:

-Merci, monsieur?

Connor.

-Enchanté.

Alejandro serre la main de l'homme et le majordome file avec la discrétion exemplaire et attendue.  Une fois l'homme sortit de la pièce, Alejandro sort sa valise et sort tout de suite deux shorts de bain, une chemise blanche et une autre pourpre qui allait avec le deuxième short.

-Lequel tu préfères?

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@Alejandro Ortega
c'est dingue, je suis dans une impasse la plus totale et j'ai aucun choix qui s'offre à moi. je dois garder le bébé et c'est tout. un bébé, enfin un foetus qui grandit en moi. wow. c'est drôle, mais pas le sens que j'en rigole, mais c'est étrange. si seulement je pouvais retourner en arrière, je vous avoue que je n'assume absolument pas. j'en ai parlé à personne, je garde le secret même à ma fratrie. j'ai un noeud à l'estomac quand j'y pense. il faudrait qu'ils sachent mais ils sont au summer camp donc c'est pas le moment. et j'ai pas le courage de l'annoncer. quelle idée m'a traversé l'esprit en couchant avec leonel en étant ivre et en oubliant de se protéger. d'autant que le pire aurait pu être que je choppe une merde déjà que j'ai la mucoviscidose c'est déjà suffisant. mais en pensant à toi, le bel espagnol, le sourire réapparaît sur mes lèvres. et toi? qu'en penserait-tu? j'ai crainte que tu me rejettes en l'apprenant alors je te le dirais plus tard. pour l'instant, je me contente de t'embrasser, d'être à nouveau dans tes bras, te coller à moi et c'est un bien fou que je ressens quand je te vois, quand je goûte à nouveau à tes baisers enivrants. tu parles, c'est avec plaisir. t'es le bienvenue ! de nouveau près de toi, sentant ton corps contre le mien, mon sourire vient s'étirer sur mes lèvres. captivée par ton regard, tes paroles.autrement t'aurais aussi pu te baigner nu... on est seuls à part le gentil majordome, mais il ne regardera pas. je t'adresses un sourire malicieux et laisse échapper un rire de mes lèvres. tant mieux alors si tout s'est bien passé. hm... du bon champagne ! oui, ça serait bien. on fera pleins d'autres trucs aussi... j'ai des tas d'idées plein la tête et tu sais que je passe jamais par quatre chemins et tous les deux on est sur la même longueur d'ondes. ta main dans la mienne, je la serre un peu plus fort et tu m'offres ce baiser sur ma main, c'est touchant, ça fait plaisir, ça me fait bondir de joie que d'être de nouveau à toi. j'en ai de la chance, hein? oui ça appartient à mon grand-père qui l'a légué à son fils qui n'est autre que mon père. maintenant il a une plus petite villa, mais tout aussi sublime. je suis trop fière de ma famille, famille adoptive cela dit, mais que je considérerais toujours comme ma véritable famille quoiqu'il arrive. d'ailleurs je me rends compte que je t'ai jamais parlé de ma jumelle, ça serait le moment de se dévoiler un peu, non? il appartient à mes parents, mais oui j'étais seule jusqu'à présent, ils sont parti travailler. je t'ai jamais dit qu'en faites je suis adoptée, donc j'ai eu de la chance de grandir dans cette famille. je suis vraiment aux anges, je manque de rien, mes parents comme mes frères et ma soeur sont toujours là pour moi, malgré quelques disputes avec elias. et voilà que maintenant je te fais découvrir ma chambre, notre chambre. parce que tu va dormir à mes côtés, dans mon lit. j'ai si hâte. ça me fait rappeler notre voyage en Afrique sauf que j'ai dû attendre que malo s'endorme avant de venir te rejoindre. connor se présente à toi poliment, il connaissait déjà ton prénom, j'avais parlé de toi avant ton arrivée. il nous laisse seuls et tu sors deux shorts de bain de ta valise, je les contemple un instant, te regarde d'un air charmeur et malicieux, me mordille la lèvre inférieure. c'est dur de choisir... aucun?! lançais-je pour te taquiner, après tout pourquoi pas? mais bon sait-on jamais si mes parents ou un invité s'impose dans la demeure, il faut faire un choix qui est très difficile cela dit. je m'approche de toi et fini par dire. on va faire un plouf plouf. je laisse échapper un rire avant de pointer du doigt un short puis l'autre et jouer le jeu en lançant. plouf plouf ça sera toi que je choisirais ! je suis vraiment folle, mais ça tu le sais, hein? et c'est tombé sur celui-ci.
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— with @Alizée Wertheimer

Leurs corps réagissaient comme leurs têtes, clairement, il s'était manqué l'un et l'autre. C'est bon quand même de savoir qu'il y a au moins une personne à qui vous manquez. Alizée, toute heureuse de le voir, affichait sa rhétorique des bons jours, taquine.

-Bon à savoir, si j'ai envie de faire des bêtises.

Le voyage s'était bien passé, Alejandro était en forme. Peut-être que la fatigue frappera un peu plus tard, mais pour le moment, ça allait. Son regard se précise sur la belle blonde quand elle parle de "d'autres trucs".

-On dirait que tu as une idée derrière la tête toi.

Quand leurs mains se rejoignent, qu'ils marchent vers le château, Alejandro doit avouer qu'il est bien heureux. Encore une fois, ses coups de tête le servent bien. À ce que la belle dit, à propos de sa chance, il acquiesce.

-Ton grand-père l'a bâti?

L'architecture extérieure est jolie en tout cas, l'intérieur aussi, vraiment. Après, il n'en attendait pas moins. Ceci dit et à la mine de rien, Alizée lâche une petite bombe, comme quoi elle était adoptée. Elle file devant, mais sa main la retient et elle se tourne vers lui, à temps pour voir le beau brun ancré son regard dans le sien.

-Attends, attends, pause... C'est vrai? Je comprends mieux pourquoi tu es la plus belle du lot.

Alejandro, toujours le mot pour rire.

-Et tu sais qui sont tes parents biologiques ou..?

Une fois cette histoire mise au clair et le bel Espagnol n'en sera sans doute pas à sa dernière surprise ce week-end, il rejoigne la chambre de son amante, où ils croisent le majordome et retrouve ses affaires. Il était temps de se préparer pour aller se baigner. Devant les deux choix, Alizée, avec son air craquant, choisit une 3e option qui le fit bien rire.

-Niña lista.

Puis, le plus sérieusement du monde, la belle Française propose de faire un plouf plouf.

-Un "plouf plouf"?

Alejandro a beau parler français, il ne connait pas tous les jeux et expressions. Son rire se joint au sien et intrigué, bras croisé, il la regarde, presque cérémonieusement, choisir avec la contine plouf plouf. Voilà, les Dieux en ont décidé.

-Parfait!

Mine de rien et sans aucune gêne, Alejandro se déshabillait, sous le regard attentif d'Alizée, parions. Il jette ses vêtements dans la valise, sa chemise en jeans, son shirt, sa paire de jeans, son caleçon, ses souliers et chaussette. Il envoie un petit regard et un sourire à son amante, avant de prendre le short de bain pour l'enfiler et mettre sa chemise aussi, qu'il laissera ouverte. S'il n'est pas interrompu avant bien sûr.



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@Alejandro Ortega
j'aime tellement passer du temps avec toi qu'il me fait évidemment plaisir de t'inviter dans ma demeure parisienne. puis tu sauras me changer les idées et quand je te vois c'est toujours les étoiles dans les yeux et le coeur qui s'emballe. t'es vraiment un mec génial en plus d'être vraiment très doué au lit. le sourire en coin qui s'étire sur mes lèvres. quel genre de bêtises? je sais où tu veux en venir. et c'est ce qui me plait chez toi, on est sur la même longueur d'ondes. là encore tu tends des perches que je saisis immédiatement, tu sais comment me parler. et pas qu'une... quand il s'agit de toi j'ai bien des idées en tête... jamais j'aurais pensé que tu viendrais vraiment, j'ai trop hâte de te faire découvrir mon château, main dans la main. tu me questionnes sur l'architecture et je fouille dans mes souvenirs lointain. mon arrière arrière grand-père. cela fait des années maintenant. en y repensant, mon sourire s'élargit sur mes pulpeuses. au fil de la visite, je te dévoile un petit secret, enfin une part de mon histoire et pas grand monde la connait celle-ci. immédiatement t'es attentif à mes paroles, ta main qui me retient, mon regard noyé dans le tien. et là mon coeur chavire d'entendre tes mots, tu sais parler aux femmes, toi. le plus marrant c'est que j'ai une jumelle, du coup qui est la plus belle? aurora ou moi? un autre détail de mon histoire que je te révèle. c'est vrai que tu ne la connais pas, moi même je l'ai rencontré au bal de fin d'année et ce fût un véritable choc. hm... non, j'ai un peu la trouille je l'avoue... t'es vraiment la première personne à qui je me confie sur cette histoire, enfin à qui j'en parle de vive voix comme ça. il y aussi eu céleste, mon frère et ma soeur, mais ce n'est pas pareil. on fini par rentrer dans la chambre, tu te présentes au majordome qui nous laisse dans notre intimité et ce n'est pas plus mal. maintenant va falloir te changer, te mettre en maillot de bain et il est difficile de choisir parce que n'importe quel short tu pourrais mettre, t'es irrésistible. un charme indétrônable qui me fait fondre. je lâche un rire, tu ne connais pas ce jeu. en même temps il faut être Français pour connaitre, avoir grandi ici. quand on est indécis c'est ce qu'on fait souvent et parfois ça aide bien. tu te déshabilles et j'admire le spectacle, ton corps sculpté tel un Appolon et là je sens que je ne pourrais pas te résister bien longtemps, j'ai clairement envie de toi. en faites, c'est fou l'effet que tu me procures. je mords ma lèvres inférieure, mes yeux scannant ton corps à la perfection. putain t'es trop sexy ! je te saute dessus, mes lèvres s'emparent des tiennes, a langue vient chercher la tienne dans un baiser langoureux. mes désirs sont décuplés rien qu'en te touchant mon corps est rempli de chaleur. alizée, tu ne peux pas te contrôler, les hormones sans doute. non, c'est toi aussi, t'es guapo. mon corps collé au tien, mes mains glissent sur tes fesses pour les claquer.
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— with @Alizée Wertheimer

Alejandro esquissa un sourire que son amante saura reconnaître.

-Le genre de bêtises que tu aimes bien.

Du reste, il n'était pas le seul à avoir des idées, Alizée aussi on dirait et pas qu'une, un ajout qui le fit rire. On ne les corrigera pas. Cela fait un bout de temps qu'ils ne se sont pas vus, ils sont jeunes, célibataires, alors rien ne les retient. Curieux d'en apprendre plus sur le château des Wertheimer, Alejandro s'enquit du sujet et heureusement, la belle blonde connaissait bien son histoire.

-Impressionnant!

La famille d'Alizée était donc riches depuis un bon bout de temps, probablement XIXe siècle, mais il apprend que cette famille était adoptive. Il imagine qu'aux yeux d'Alizée et de ses parents, cela ne fait pas vraiment de différence. Alizée avait même une sœur jumelle.

-Identique ou..? Je ne connais pas Aurora, mais la barre est haute pour t'égaliser.

Parce que la beauté n'est pas qu'une affaire d'apparence. Il faut un certain charisme, une attitude, de l'assurance. Après quoi, l'Espagnol acquiesce, comprenant facilement comment c'est une décision plus ou moins évidente à prendre que de retrouver sa famille biologique. Il imagine qu'elle est issue d'un monde assez différent de celui de l'héritière Chanel.

-Plutôt normal, j'aurais un peu la trouille aussi je pense.

Après quoi, ils rejoignent la chambre et Alejandro hésitait sur le choix de shorts de bain à mettre et comptait sur son amie pour l'aider à choisir. La belle ne se compromet pas trop et choisit avec la méthode "plouf plouf", de quoi le faire rire. Une fois le choix fait, il se déshabille, pas gêné le moins du monde et Alizée profite du spectacle avant de lâcher une phrase française typique qui le fit aussitôt rire. La spontanéité de cette fille lui avait manqué. Ni une ni deux, elle saute sur son amant, littéralement, qui l'attrape de justesse, riait encore tandis qu'elle l'embrassait. Être irrésistible a ses avantages. À la langueur, il ajoute la passion, la chaleur, ses mains se font baladeuses aussi, font sentir au bikini qu'il est de trop. La belle restait contre lui, claque ses fesses, ce qui le fit à nouveau rire.

-Hey, tu ne te gênes pas!

Du tout! Elle peut bien, elle a le droit, elle est son amante après tout et lui son amant. Il se préparait à la déshabiller à son tour, mais son regard croise le sien et Alizée avait une drôle de mine. Intrigué, Alejandro esquisse un sourire.

-Quoi?


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@Alejandro Ortega
ouuuh... alors toi, tu me plais de plus en plus... on est toujours sur la même longueur d'ondes et ce genre de bêtises, je comprends bien de quoi il s'agit. je m'empare de tes lèvres une nouvelle fois pour un baiser aussi langoureux que le premier. avant de finir par couper court avant de m'emporter et de vouloir faire ces bêtises où il ne faudrait pas. je te fais découvrir mon château, celui bâtit par mon arrière arrière grand père. je suis fière je dois bien l'admettre. et ça t'intéresse vraiment, vu comme tu détailles les pièces une à une. je m'ouvre à toi, je ne t'avais jamais vraiment parlé de mon adoption et maintenant c'est chose faites, te dévoilant aussi l'existence de ma jumelle dont j'ai appris depuis peu également. un sourire s'élargit sur mes pulpeuses, t'es vraiment trop flatteur et j'aime entendre tes compliments. merci, ça me va droit au coeur. et oui, elle est ma jumelle identique, j'ai même cru que c'était mon reflet quand je l'ai rencontré. je te la montrerais en photo, tu seras surpris. c'était impressionnant cette ressemble et très troublant aussi. t'es attentif à mon histoire et t'intéresses à mes véritables géniteurs. c'est sûr... et puis ils m'ont quand même abandonné à cause de ma maladie, donc ça donne pas trop envie de vouloir les rencontrer même si je suis curieuse. et que j'aurais envie de savoir qui ils sont sans préjugés. pour l'instant je ne suis pas prête. une fois dans la chambre il fallait prendre des décisions et pour le coup, j'étais indécise parce que tout te va. clairement t'es trop canon et même si tu te baignais nu ça m'arrange aussi. cependant je choisis le jeu du "plouf plouf" ce qui te fait rire. je peux être vraiment pleine de surprise, hein?
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— with @Alizée Wertheimer

Alejandro et Alizée se connaissent depuis un bon bout de temps maintenant. Il sait bien qu'elle espère bien profiter d'un moment intime avec son bel Espagnol et lui n'a pas pris l'avion pour jouer aux échecs et aux dames avec son amante.

Tandis qu'il découvrait le château, la belle blonde expliquait, quasi mine de rien, être adoptée, une grande nouvelle et en prime, voici qu'elle a une sœur jumelle identique. Mon Dieu, non content d'avoir créé cette créature divine, il en a fait une copie. Alléluia.

-J'avoue que je suis curieux... Du coup, faudra un genre de phrase codée entre nous, histoire que je te distingue de ta jumelle.

Autrement, il pourrait être abusé le pauvre. Puis, de nouveau, il est question de cette maladie, Alizée y avait fait allusion quand ils avaient échangé quelques jours plus tôt. Cette fois, Alejandro réserve sa question. Après tout, il a quelques jours devant lui et puis la belle blonde n'a probablement pas envie de subir son interrogatoire.

-Je comprends... Quelle erreur ils ont fait.

Abandonner un enfant, cela ne se fait pas, dans sa tête du moins. Hormis pour le choix de Sophie et encore. De toute façon, bien vite, une fois qu'ils sont dans la chambre d'Alizée, les choses dérapent parce qu'Alejandro a eu le malheur de se changer devant la belle blonde. En fait, même pas le temps d'enfiler le short de bain qu'elle lui sautait dessus.


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@Alejandro Ortega
ce qu'il y a de bien avec toi, c'est que t'es plein de surprise. il a suffit que je te dise de venir et t'es vraiment là. on va pouvoir rattraper tout le temps perdu et j'étais en manque de toi, le bel espagnol qui doit faire chavirer bien des femmes. en attendant tu m'appartiens pour quelques jours et c'est tout bénef pour moi. t'informant que je suis adoptée et que j'ai une jumelle, ta réaction me fait sourire. un code? tu ne saurais pas me différencier de ma jumelle, tu penses? rien qu'en un regard, tu sauras. le regard ne trompe pas, jamais. elle a beau avoir les même yeux que moi, elle ne portera pas le même regard que je porte sur toi. comme actuellement, charmeur et malicieux à la fois. à l'évocation des parents qui m'ont abandonnés à cause de ma maladie, tes mots me font chaud au coeur, c'est vrai qu'ils ont fait une grave erreur que d'abandonner un enfant... ce n'est pas rien quand même. heureusement que je suis tombé sur une bonne famille. une erreur qui m'a emmené ici...ce n'est pas plus mal on va dire. j'essaie de me rassurer de cette façon, après tout c'est la vérité. j'aime cette famille comme si c'était la mienne biologiquement parlant. une fois les confessions faites, tu te déshabilles sous mon regard et je jette immédiatement mon dévolu sur toi.
 
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