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Alejandro, si calme et si réfléchi, vu de l'extérieur, peut être impulsif, passionné. Lorsqu'Alizée lui avait écrit, qu'elle avait fait savoir qu'elle lui manquait, impossible pour le beau brun de ne pas craquer et de ne pas prendre ces phrases, quand on connait la belle blonde, pour une invitation à peine voilée. Alors ni une ni deux, il a pris un vol pour Paris. Son Summer Camp, tout amusant qu'il était, lui laissait un goût un peu amer et il espérait pouvoir se changer les idées avec son amante et clôturer en beauté son été.
Débarqué à Charles de Gaulle, il avait appelé Alizée. Elle était toute heureuse, ça faisait plaisir à entendre et il l'était aussi. L'Espagnol loue une décapotable française bleue, question de ne pas subir de reproche, puis se rend à la villa Wertheimer. Une fois en campagne, le beau brun teste la machine qu'il a. Finalement arrivé, le portail s'ouvre et il gare sa voiture dans la cour. Pas la peine de sortir les bagages du coffre tout de suite, si ça se trouve, il y a du personnels pour. Une fois sorti de la décapo', il enlève sa chemise en jeans, la met sur son épaule et approche de l'entrée. Même pas le temps de sonner qu'Alizée lui saute dans les bras. Il la serre aussi, tourne sur place avec elle, avant de la redéposer au sol. L'Espagnol parla français, avec son accent hispano bien sûr.
-Bonjour estrella... Je suis content de te voir.
Il se retenait bien de l'embrasser direct, mais la tentation est bien là. Si elle pouvait voir son regard... Son sourire en disait déjà assez.
Débarqué à Charles de Gaulle, il avait appelé Alizée. Elle était toute heureuse, ça faisait plaisir à entendre et il l'était aussi. L'Espagnol loue une décapotable française bleue, question de ne pas subir de reproche, puis se rend à la villa Wertheimer. Une fois en campagne, le beau brun teste la machine qu'il a. Finalement arrivé, le portail s'ouvre et il gare sa voiture dans la cour. Pas la peine de sortir les bagages du coffre tout de suite, si ça se trouve, il y a du personnels pour. Une fois sorti de la décapo', il enlève sa chemise en jeans, la met sur son épaule et approche de l'entrée. Même pas le temps de sonner qu'Alizée lui saute dans les bras. Il la serre aussi, tourne sur place avec elle, avant de la redéposer au sol. L'Espagnol parla français, avec son accent hispano bien sûr.
-Bonjour estrella... Je suis content de te voir.
Il se retenait bien de l'embrasser direct, mais la tentation est bien là. Si elle pouvait voir son regard... Son sourire en disait déjà assez.
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