Dans un tel moment, Jayson en oubliait tout ce qui l'entourait. Les danseurs, la musique. Il se mouvait contre elle, totalement hypnotisé par ses lèvres, par sa présence. Le jeune homme sentait sa chaleur contre lui et il pouvait humer son parfum fruité. Quand Grace posa ses lèvres contre les siennes, il ne résista plus. Jayson l'embrasse d'abord avec douceur, puis le baiser se fit plus langoureux. Il appréciait ses doigts sur sa nuque et il avait l'impression qu'il faisait 10 degrés de plus sur ce bateau. Il profitait de ses lèvres, l'attirant un peu plus contre lui, puis une fois que l'embrassade fut fini, il plongea son regard dans ses beaux yeux, lui adressa un grand sourire.
Dans la tête de Chiara le plan était parfait : elle n’avait qu’à faire la conversation le temps que les deux jeunes femmes soient assez distraites pour oublier sa présence. Elle répondit donc à Julia en faisant mine de démarrer une discussion intéressante : « Non pas trop, je ne connais que les Dunsters. » Ce n’était pas tout à fait vrai car elle avait aperçu plusieurs de ses connaissances n’appartenant pas à la confrérie jaune mais n’avait pas envie de les aborder car elle savait qu’ils tenteraient de l’embrigader dans la soirée. « Tu es donc une amie de Calypso ? Je ne t’ai jamais vu chez les Dunsters, de quelle maison viens-tu ? ». En posant des questions Chiara pensait que Julia ne se méfierait pas et croirait vraiment que l’italienne ait décidé de rester. Les trois jeunes femmes étaient à présent au bar. Calypso et son ami allaient sans doute boire, Chiara restait donc aux aguets, attendant le moment propice pour ficher le camp. C’était sans compter sur sa camarade, qui lui posa soudain trois shooter sous le nez en lui ordonnant de les boire cul-sec. Chiara grimaça, repensant à sa mauvaise expérience de l’alcool. Il fallait pourtant jouer le jeu, alors elle tenta de faire diversion en esquissant un sourire de défi : « Ok, mais on boit toutes les trois en même temps. » Elle pensait ainsi pouvoir balancer le contenu de son verre par-dessus bord pendant que les deux autres noieraient leur sens commun.
« C'est drôle que tu dise qu'il ait la coupe de Justin Bieber, parce qu'on dirait presque que tu as la même. » Soupirant, il passa la main dans ses cheveux, avant de se dégager de l'étreinte de la jeune femme. Voilà il était énervé, parce qu'il n'aimait pas perdre le contrôle et que pour lui c'était hors de question, après tout ce qu'elle lui avait fait subir qu'elle le reprenne. Il se l'était promit. Plus jamais il ne laisserait cette femme prendre le dessus sur lui, il en avait trop souffert. Se relevant, il fit face à la belle rousse en remettant correctement ses lunettes.« Wahou ... C'est marrant j'étais presque sur de passer un bon moment quand tu as ouvert la bouche. Je comprend maintenant pourquoi je suis l'un des seuls gars avec qui tu couches, personne d'autre ne veut de toi. Tu sais quoi ... J'étais prêt à faire des efforts durant ce séjour. Je voulais passer plus de temps avec toi, j'avais même décidé de prendre soin de toi et toi tu viens, tu parles et encore une fois, tu viens tout gâcher. Alors tu sais ce que je vais faire ? Je vais passer mon séjour à t'ignorer, m'envoyer en l'air avec le plus de filles possible et une fois rentré à la fac, je vais faire le compte pendant que toi tu laisseras encore une tonne de messages sur ma messageries ou bien m'harcelera de textos. Et tu sais le meilleur dans tout ça ? C'est que tu pourras toujours courir pour un jour remettre tes jolies petites fesses de princesse dans mon lit. » Il lui fit le plus beau sourire d'hypocrite qu'il put et descendit à l'avant du bateau. Voilà il était énervé et regrettait déjà ses paroles, mais il n'y pouvait rien. Il ne pouvait, ne voulait pas perdre leur contrôle sur leur "relation", quittes à ce que ça puisse le faire souffrir.
This is the original. This has no identical. You can't have my digital. Future Aboriginal. Get up off my genitals. I stay on that pinnacle. Kill you up my lyricals. Call me verbal criminal. Send you to that clinical. Subscribe use of chemicals. Audio and visual. Can't see me, invisible. I'm old school like Biblical. Futuristic next level. Never on that typical. Will I stop? I'll never know.
don't stop the party.
J'étais content intérieurement, pour une fois que je pouvais l'embêter un peu comme, comme j'sais pas moi.. Un vraie couple ? J'en ai des frissons rien que d'y penser. Au début je riais, bah ouais c'était une blague. J'étais juste morte de rire quoi, la tête qu'il faisait. Puis il s'emporte, bah voilà il est en colère. C'est d'un ridicule. .« Wahou ... C'est marrant j'étais presque sur de passer un bon moment quand tu as ouvert la bouche. Je comprends maintenant pourquoi je suis l'un des seuls gars avec qui tu couches, personne d'autre ne veut de toi. Tu sais quoi ... J'étais prêt à faire des efforts durant ce séjour. Je voulais passer plus de temps avec toi, j'avais même décidé de prendre soin de toi et toi tu viens, tu parles et encore une fois, tu viens tout gâcher. Alors tu sais ce que je vais faire ? Je vais passer mon séjour à t'ignorer, m'envoyer en l'air avec le plus de filles possible et une fois rentré à la fac, je vais faire le compte pendant que toi tu laisseras encore une tonne de messages sur ma messageries ou bien m'harcelera de textos. Et tu sais le meilleur dans tout ça ? C'est que tu pourras toujours courir pour un jour remettre tes jolies petites fesses de princesse dans mon lit. » Cruelle. J'étais bouche bée. Je ne croyais pas qu'il osait me dire ça, à moi ? Totalement sous le choc. Je ne vais même pas lui courir après, il ne vaut pas ça. Merde ! Quel culot ! Je crevais d'envie de lui dire ses quatre vérités devant tout le monde. Et puis zut, rien à foutre. Je reviens vers lui, comme une furie, emportée comme jamais et le tire assez loin de tout le monde, de gré ou de force. J'étais affreusement en colère, j'avais envie de le frapper jusqu'à ne plus avoir de force et en même temps j’avais envie de pleurer, de tomber dans ses bras j'en sais rien... « T'as un sacrés culot de me dire ça, tu ne me connais pas ! Tu sais rien de moi et tu te permets de me juger, de m'insulter de me traiter comme tu le fais ? Je ne suis pas qu'une vulgaire chienne qu'on sort quand on veut merde et que tu le veuille ou non j'ai certain sentiment pour toi et je t'interdis de les bousiller comme tu le fait. » Je regretterai peut être tout demain mais je m'en fou faut que je vide mon sac. « D'accord, j'ai pas forcement eu beaucoup de malchance dans la vie on me dit souvent que je suis née avec une cuillère en or dans la bouche mais est-ce que c'est une raison pour me traiter comme ça? Qu’est-ce que je t'ai fait bordel, j'déconnais tout à l'heure. J'aurai très bien put t'en vouloir d'avoir couché avec toutes ses filles comme tu le prétends, mais non. Alors bon Dieu qu'est-ce que t'on a à foutre si je couche avec d'autres ? »
Avant que la blonde puisse répondre à la Dunster, Calypso l'avait fait taire en prenant neuf shooters, donc trois chacun. Avec un sourire satisfait, la Cabot s'enfila les trois shots en moins de temps qu'il ne fallait pour le dire. Sa vision se brouillait légèrement, il fallait avouer que la quantité d'alcool qu'elle avait ingurgité commençait à se faire conséquente, mais elle avait plus ou moins l'habitude. « Trop tard, j'ai déjà tout bu... », dit-elle, avec son petit sourire en coin. « Mais on apprend pas à un vieux singe à faire la grimace, j'veux vérifier que tu bois bien tes verres. ». Julia se doutait que la fille en face n'aimait pas trop faire la fête, et sûrement l'alcool, mais Calypso semblait décidée à la décoincer, et la suivant dans tous ses plans, Julia tenait son rôle d'assistante.
Il n'était pas un fêtard. Disons qu'il n'avait pas besoin de finir à quatre pattes dans une ruelle avec une pressante envie de vomir pour passer une bonne soirée. Bien sûr, il s'agissait là d'une extrémité. Toujours est-il qu'il n'était pas habitué à ce genre de situations. Il était déjà aller à des fêtes dans le passé, évidemment, en présence de son défunt petit frère notamment. Penser à ce dernier était exactement ce qu'Aaron voulait éviter ce soir là. Il secoua la tête, comme pour éloigner ses pensées et se concentra sur Poppy et les explications qu'elle fournissait, accompagnant le tout d'une démonstration. Jasper s'exécuta rapidement et Aaron l'observa faire pendant quelques instants avant de s'y essayer à son tour. Les goûts se succédaient dans sa bouche et il mordit dans le citron avec un certain soulagement. La tête commençait déjà à lui tourner et quand Jasper rétorqua qu'il comptait bien battre son record personnel, il ne put retenir un rire. Je ne risque pas de vous faire de la concurrence à ce jeu, c'est une question de minutes avant que je sois incapable de vous dire mon nom. Il exagérait à peine. Ce qui ne l'empêcha pas de recommencer, enchaînant les étapes. Il se lécha ensuite les lèvres et se décrispa davantage. C'était sûrement là précisément ce dont il avait besoin. Il passait trop de temps à réfléchir et mettre son cerveau en pause pour quelques heures ne pouvait pas lui porter préjudice, du moins il l'espérait. Quand bien même des doutes l'auraient envahit, c'était déjà trop tard. La soirée avait bel et bien débutée.
« T'as un sacrés culot de me dire ça, tu ne me connais pas ! Tu sais rien de moi et tu te permets de me juger, de m'insulter de me traiter comme tu le fais ? Je ne suis pas qu'une vulgaire chienne qu'on sort quand on veut merde et que tu le veuille ou non j'ai certain sentiment pour toi et je t'interdis de les bousiller comme tu le fait. » Il eut le souffle coupé par cette révélation, d'abord par le fait qu'elle admettait, enfin, qu'elle avait des sentiments pour lui, mais avant qu'il ne puisse dire quoi que ce soit, elle reprit la parole. « D'accord, j'ai pas forcement eu beaucoup de malchance dans la vie on me dit souvent que je suis née avec une cuillère en or dans la bouche mais est-ce que c'est une raison pour me traiter comme ça? Qu’est-ce que je t'ai fait bordel, j'déconnais tout à l'heure. J'aurai très bien put t'en vouloir d'avoir couché avec toutes ses filles comme tu le prétends, mais non. Alors bon Dieu qu'est-ce que t'en a à foutre si je couche avec d'autres ? »Lentement le souvenir de sa remise de diplôme lui revint en mémoire suivit des très nombreuses humiliations. Mut par une certaine rage il plaqua la jeune femme contre la paroi en bois du bateau et ne lâcha pas une seule fois son regard. «Tu viens te plaindre que je ne fais pas attention à toi et que je me permet de te juger ... Mais tu es la personne la plus hypocrite que je connaisse ! Est ce toi tu t'es permis de me connaitre avant de m'insulter comme tu l'as fais. Tu te demandes ce que tu m'as fais ? Tu as ruiné le plus beau jour de ma vie. La remise des diplômes, mon père était enfin fière de moi et toi tu m'as humilié rien que pour augmentait ta popularité. J'étais amoureux de toi et si tu te demandes pourquoi est ce que je réagis comme ça ? Et bien je suis jaloux ! Parce que malgré tout le mal que tu m'as fais, je n'ai jamais su t'oublier ! Et oublier les sentiments que j'ai pour toi. » Et voilà il avait encore trop parlé, cependant, il ne put résister et posa délicatement ses lèvres sur celles de la jeune femme, de toute façon il fallait bien que la vérité éclate un jour ou l'autre.Se détachant des lèvres de la jeune femme, il plongea son regard dans celui charbonneux de la belle rousse. « Désolé, oublie ce que je viens de dire ... C'était une mauvaise idée ! » Il se détacha de son étreinte et commença à marcher en direction des autres.
Calypso observait la réaction de Chiara pour voir comment prendrait-elle l'idée des shooters. Même si l'idée n'avait pas l'air de l'enchanter, elle était d'accord pour le boire. Et grâce à Julia qui avait déjà bu, tout serait sous contrôle. « Julia l'alcoolique ! Parfait, on fait un petit concours avec Chiara, celle qui termine le plus rapidement ? » La brune regardait la Dunster ainsi que la petite blonde, un dernier échange de regard et la belle Adams n'hésita plus une seconde à boire ses trois shooters sans problème. Avec fierté, elle levait les yeux pour voir où Chiara en était.
J'ai laissé ma cousine s'occuper de son amie, car j'ai bien remarqué que Roxanna n'était pas au mieux de sa forme et puis j'avais repéré Ocyllie, donc autant passé la soirée avec la demoiselle non ? Bon j'ai du jouer un peu des coudes afin d'arriver jusqu'à elle, mais une fois à sa hauteur et après l'avoir salué, elle m'a simplement ignorer. Alors là j'étais très vexé, j'allai me posé un peu plus loin et demanda un shoot de Tequila, il me donna alors le sel et des tranches de citron. J'ai étalé le sel sur ma main, j'ai fini par le lécher, boire cul sec le verre de tequila et mordre dans la tranche de citron....
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don't stop the party.
«Tu viens te plaindre que je ne fais pas attention à toi et que je me permet de te juger ... Mais tu es la personne la plus hypocrite que je connaisse ! Est ce toi tu t'es permis de me connaitre avant de m'insulter comme tu l'as fais. Tu te demandes ce que tu m'as fais ? Tu as ruiné le plus beau jour de ma vie. La remise des diplômes, mon père était enfin fière de moi et toi tu m'as humilié rien que pour augmentait ta popularité. J'étais amoureux de toi et si tu te demandes pourquoi est ce que je réagis comme ça ? Et bien je suis jaloux ! Parce que malgré tout le mal que tu m'as fais, je n'ai jamais su t'oublier ! Et oublier les sentiments que j'ai pour toi. » Merde.. Je m'en souvenais, bien sûr que je m'en souvenais. C'était pas mon idée à la base merde quoi, je ne voulais pas que ça se termine comme ça. Il avait l'air si gentil au lycée.. Son regard était si doux, si affectueux tout le monde l'aurai adoré si je ne lui avais pas fait cette réputation débile. J'en m'en voulais, horriblement je n'arrivais pas à croire que c'est de ma faute s'il est devenu comme ça et pourtant je m'en doutais. J'ai beau utiliser comme excuse que j'étais une gamine rien n'explique ça. Il était amoureux de moi, c'est de ma faute si j'ai tout gâché et là encore je me sens encore plus mal car il a visiblement toujours des sentiments pour moi. Sauf que maintenant c'est trop tard, même si on était dans le plus beau des mondes est-ce qu'il arrivera à me pardonner ? J'ai pourri le plus beau jour de sa vie, devant son père. Je ne le connais pas assez bien pour savoir si oui ou non c'était important pour lui que son père soit fière, mais je sais que pour que le mien me remarque un peu plus j'aurai fait n'importe quoi. Je m'en veux horriblement pour ça. Alors que ses lèvres étaient contre les mienne et que je lui rendais tendrement un baiser, je le vis se détacher de moi et prononcer une phrase qui fut comme un coup de poing dans mon ventre. « Désolé, oublie ce que je viens de dire ... C'était une mauvaise idée ! » Je me suis sentie affreuse à ce moment-là, je ne pouvais retenir mes larmes et je le regarder partir essayant de le retenir : « Dastan... Je suis affreusement désolé... » en vain, il allait rejoindre les autres et moi je me sentais toujours affreusement seul et maintenant assise par terre.
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