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SANDERS THEATER ►

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Sans êtres avertie, plusieurs bruit de détonation ce faisait entendre à travers le campus. Au théâtre les vitres avaient explosées, projetant des éclats un peu partout, j’en recevais sur le visage, mais ils étaient petits et les dégâts ne seraient que superficiel. Les tremblements étaient violent, mais pas suffisamment fort pour une bombe qui aurait explosé ici. Bon dieu ! J’étais vivant ! J’avais du mal à le croire. Si ça se trouve c’était ces moments étranges qui passaient dans les films. Vous savez ceux où vous pensiez être vivant alors que vous étiez mort. Je n’arrivais pas à discerner des visages familiers dans cette agitation. Il y avait des débris partout, des gens était blesser. Je ne savais pas qu’elle était les dégâts, mais nous avions eu de la chance. Le théâtre avait échappé de justesse. Après plusieurs minutes, le temps de reprendre mes esprits, un flot de penser entrait en connexion avec mon cerveau. Qu’était-il arrivé à ma sœur, à Natalya, Xaver, Andy, Anya, Aleks, ou se trouvaient-ils ?! Les secours étaient sans doute rentrés par la force. Je n’avais rien vu, car pendant ces dernières minutes j’étais ailleurs. Le temps de revenir à la réalité. C’est à ce moment là qu’une personne se jetait dans mes bras. La personne parlait avec rapidité et je dus me forcer à l’écouter. Natalya. C’était elle. Je la serrais dans mes bras, si elle était là cela voulait dire que ma sœur était en vie. La dernière fois que je lui avais parlée, Nat m’avait dit qu’elle était avec elle. J’étais heureux de la voir en bonne santé. « Natalya ! J’ai eu peur. » Je me dégageais de son étreinte. A présent je pouvais voir quelques larmes brillées au coin de ses yeux. Je les essuyais avec le pouce. « Je crois qu’il en faudra plus pour tuer des Russes.. » Je lui souriais tant bien que mal. « Tu as des nouvelles des autres ? Tu sais ce qui se passe ? »
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En voyant le message de Calvin le lieu où tu devais aller te semblait évident. Tu avais couru jusqu'au théâtre pour le retrouver, tu avais bien fait de mettre ton jogging aujourd'hui finalement. Tu n'en pouvais plus mais tu continuais, tu voulais juste voir Calvin, tu espérais qu'il n'avait rien. Quand tu arrivais tu lui sautais dans les bras, c'était si bon de le voir sur pieds. Tu lui disais que tu avais eu peur, juste peur au moment où tu entendais la détonation. Il te disait qu'il avait aussi eu peur et essuyait les larmes qui coulaient sur ta joue. Tu lâchais un rire nerveux en réponse à ce qu'il venait de dire. Tu te mettais à rire et à pleurer en même temps, c'était vraiment bizarre. Tu te collais à nouveau à lui, l'enlaçant et pleurant sur son épaule. Il te demandait si tu avais des nouvelles des autres. « J'en sais rien j'ai peur Calvin, et si il leur est arrivé un truc ? C'est horrible Cal.. C'est.. J'en peux plus putain ! » Tu continuais à pleurer, tu étais restée calme jusq'à présent, mais là c'était trop.
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La voir rire me fit sourire. Elle allait me faire pleurer si elle continuait. Je restais près d’elle. Peu importait mon statut, elle était avant tout mon amie et je venais seulement de le comprendre. Je lui prenais la main. Je ne voulais pas lui mentir, moi-même j’avais peur pour eux. Je ne pouvais pas dire que tout ça se passerait bien. « Il faut qu’on commence par aller à la bibliothèque, il y’a Candice et Xaver là bas ! » La peur me serrait à nouveau la gorge, même si je tentais de rester confiant. Tout était confus, qui savait ce qui leur était arrivé ?! Je continuais à tenir à sa main et je décidais de l’entrainer avec moi.

PLUS AU THÉÂTRE
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Je m'en voudrais vraiment si la plaie d'Elia s'infectait par la suite. Après tout c'est moi qui avait fait l'opération en quelques sortes. Et c'est encore moi qui lui demandait de m'accompagner à travers Harvard pour trouver des personnes qui m'étaient cheres. Keyla était au parc et j'espérais vraiment que Kol l'avait protégé comme Keyla le pensait avec Victoria. Quant à Aby.. s'il vous plaît, faites qu'elle n'ait rien.. Non, non, je préfère venir avec toi. Je n'insista pas. C'était sa décision après tout ici.J'hocha la tête et commença à marcher en direction de la sortie du théâtre. On passe par où ? Je savais pas. J'étais perdue. Tous mes reperes étaient parties en vrille, j'pensais qu'à Hendrix en ce moment.. Je sais pas.. Quand on fut enfin sorties du théâtre, une vision d'horreur s'offrit à nous deux. Tout était détruit.. mon mal être se renforça, mes larmes redoublèrent. Je pris le premier chemin qui me venait à l'esprit et pris la main d'Elia dans la mienne. J'voulais pas être seule.

hj: tu fais la prochaine rep dans la cafet ?
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    « DOWN THE STREET, I'M THE GIRL NEXT DOOR. I'M THE FOX YOU'VE BEEN WAITING FOR »
    Tout allait bien. On avait presque oublié le sujet de l'explosion. On parlait jusqu'à ce qu'elle se fit entendre. Comme une bête qui fut enfermée depuis de longues années dans une cage et qui en ressortit en rugissant de toutes ses forces. Briony, qui semblait se charger de réconforter tout le monde, du nous quitter une fois après l'explosion. Les gens commençaient à paniquer. Le théâtre n'a pas vraiment été touché mais dehors, plusieurs personnes devaient être blessés. Ce n'était pas une blague, ça ne l'a jamais été ! Certains pleuraient, d'autres étaient restés immobiles sous le choc. Et c'était là, que je me souvins que Sateen était aussi à Harvard. Qui sait ? Peut être était-elle blessée ? C'est vrai, je ne l'appréciais point mais je ne pouvais nier que je m'étais plutôt inquiétée pour elle ! Où est-elle ? Là est la question. Je vis Briony s'éloigner et sortir de la salle ainsi que Lara. Je pris mon sac, que j'avais laissé tombé une fois l'explosion entendue et je m'agenouilla le temps de prendre ce qui en était tombé pour enfin me diriger vers la sortie du théâtre en courant sans que je sache vraiment quelle direction prendre mais, je ne sais pour quelle raison, je n'eus pas assez de force pour cela. J'avais mal à la cheville, je choisis donc le siège le plus proche et m'assied, prenant mon téléphone hors de mon sac, essayant d'avoir des nouvelles, et surtout, rassurer mes parents.

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La jeune femme que je venais de heurté, me disait vaguement quelque chose. Mais bien entendu , à l'anniversaire de ma soeur. Elle eu un rire nerveux, du moins je pensais et me demanda si j'étais la soeur de Sateen. J'avais finit par m'installer à coté d'elle après lui avoir répondu affirmativement. Discuter avec elle, m'avait permit d'oublier un peu pourquoi nous étions là. Mais alors que nous avions oublier, c'est à ce moment que l'explosion eu lieux, ou plutôt les explosions. Automatiquement je me repliais sur moi même, histoire de me protéger du mieux que je pouvais. Les vitres venaient d'exploser. Je ressentis une douleur au niveau du bas du dos, comme un picotement inexplicable. L'instant d’après le silence avait pris le pas sur l'explosion, mais fut remplacer par un bourdonnement que je ne pouvais expliqué. D'ailleurs une jeune femme venait de prendre Elia dans ses bras. Je reconnu Briony, lui adressant un sourire. Elia avait un morceau de verre dans le bras, elles le retirèrent sans mal. Elles discutèrent mais je ne compris pas ce qu'elle disait, je percevais toujours ce bourdonnement, comme s'il faisait partit de moi.Je me redressais à mon tours,J'eu un vertige puis je ressentis de nouveau une douleur en bas du dos, mais ni prêta pas plus attention. Essayant de voir ce que je pouvais faire pour aider. Je vis alors la jeune femme avec qui Briony discuté ralentir subitement sa course, comme si quelque chose n'allait pas. Je me dirigeais donc vers elle. Autant me rendre utile et pourquoi pas auprès d'elle. Téléphone en main, je supposé qu'elle donnait des nouvelles à ses proches.

"Désolé de te déranger, tu as besoin d'un coup de main" .Lui désignant en même temps sa cheville qui semblait un peu rouge. J'étais debout devant elle, attendant sa réponse. Si elle était négative ce n'était pas grave, je proposerais mon aide à quelqu'un d'autre.
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all never let you go.


Comment expliquer la situation en ce moment ? Je suis arriver avec un sourire dans mon visage tout en remarquant ma belle princesse de mes rêves, mais tout changeais en une fraction de seconde. Tout était devenu silencieux dans mes oreilles. Comme si quelqu'un avait figée le temps pour retourner dans le temps, mais en ce moment, la panique pris place dans les alentours. Je restais très confus en ce moment et simplement à en jugée par les cris aigu que j'ai pu entendre avec le raisonnement sonore et Élizabeth est venu se réfugier dans mes bras en faisant tombé. Je l'enroulait dans mes bras et je cachais mon visage dans le creux de son cou. Je paniquais en ce moment et je sentais la nervosité qui me fis sentir comme si j'étais en état de choque. Mais, je crois que cela est la raison.

« Tu es correct mon amour ? »

© MISE EN PAGE PAR TAZER.
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Je n'aurai pas pu imaginé pires et tragiques retrouvailles avec mon amoureux. Tout c'est passé extrêmement vite et je n'y comprenais plus rien du tout. Des premières explosions s'étaient faites entendre à l'extérieur. Des bruits d'effondrement aussi. Alors que les fenêtres du théâtre explosaient faisant voler des bouts de verres en mille morceaux et tous autres débris en tout genre.. Moi comme une conne au lieu de me protéger, du moins le visage avec mes mains, j'avais couru vers Phoenix. Il m'avait semblé à cet instant précis plus vitale de le protéger lui que moi car je me sentais atrocement coupable au fond de moi de l'avoir attirer contre mon gré dans cette énorme merde. C'était la panique, c'était le chaos total tout autour de moi. Je serrai fort Phoenix contre moi de toutes mes forces cachant mon visage dans son torse. J'étais encore sonnée par ses explosions à répétition. J'avais eu la nette impression que mon coeur avait cessé de battre à un moment. Réellement. J'essayais de reprendre mes esprits et calmer ma respiration. J'entendis faiblement la voix de Phoenix me demandant si tout aller bien. En relevant légèrement ma tête pour pouvoir regarder ses yeux, j'essayais de bouger le reste de mon corps mais je fus prise par une affreuse douleur à la cuise droite qui m'arracha un cri "Aaaaaaaaaaiiiiiiie!". En voulant sauver Phoenix -du moins le protéger car je n'avais pas vraiment les capacités physiques de le faire- je m'étais pris un énorme morceau de verre dans ma jambe., dans la panique je n'avais pas réalisé qui m'avait transpercé la peau. Ce n'était que maintenant que je me rendais compte de la gravité de mon geste et des dégâts causés.
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Boum ! Boum ! Boum !

ça semblait sortir de partout, c'était l'anarchie. De la poussière envahit le théatre et la jeune fille ferma les yeux.
*Pourvu que je ne sois pas touchée, pourvu que je ne sois pas touchée*

Quelque chose la projeta contre le sol et elle s'y recroquevilla, cherchant à se protéger de tout ce qu'il se passait autour d'elle. Le bruit, la peur, les autres... Finalement, ce fut finit.

Aux yeux de la jeune artiste, le théatre venait de subir l'apocalypse. Une sorte de fumée recouvrait la scène, les gens, les objets... Tout était flou, et la tête de Laréa lui tournait. Elle leva la main et la porta à sa tempe pour la masser.

C'était poisseux. Humide.

La jeune fille baissa la main, la découvrant pleine de sang.

- Ho merde...

Sous l'effet du choc, c'était tout ce qu'elle fut capable de dire. Elle fixait sa main, bouche bée. Elle avait été touchée ? Ou alors, c'était le sang de quelqu'un d'autre ?

Ce fut à ce moment là que la migraine se changea en douleur vive qui la fit se plier en deux en retenant un cri.
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Je serrais Marloes contre moi afin de la rassurer, mais d’aussi me rassurer moi-même, à vrai dire j’étais terrorisé, pas vraiment par le fait de mourir, mas j’avais des regrets quant à ma vie. Il y avait plusieurs choses que j’avais besoin de faire, plusieurs choses que j’avais remis à plus tard, à un plus tard qui n’allait peut-être jamais venir en fin de compte. Elle déposa sa tête contre moi en me disant qu’elle avait peur, à ce moment j’aurais aimé être superman et lui promettre que j’allais la protéger, que rien n’allait lui arriver. « Ne t’inquiète pas, je suis là pour toi.» C’était le mieux que je pouvais faire, et j’espérais tenir ma promesse, si quelque chose lui arrivait je ne crois pas que je me le pardonnerais. Je me dirigeai ensuite vers le centre de la pièce en écoutant machinalement ce que le président des rouges avait à dire, puisqu’au même moment j’essayais de trouver le meilleur scénario possible pour Marloes et moi. En fait le mieux c’était de rester sur place, et de s’abriter sous quelque chose de solide, selon moi les règles de sécurité devait être les mêmes que celles pour les tremblements de terre, parce qu’après l’explosion le plus grand danger restait les édifices. Je pris Marloes par la main en l’amenant avec moi dans l’embrasure de la porte, je la pris à nouveau par les hanches. « Ne t’inquiète pas tout va bien al…» Une explosion coupa ma phrase, puis une autre, et encore une autre. Je n’arrivai pas à compter, était-ce deux explosion ou quatre ou trois, était-ce des écroulements d’édifice ou des bombes, et était-ce vraiment une bombe, comment ça sonne un bombe ? Je sursautai en entendant ce bruit assourdissant. J’entendis des gens crier, les murs du théâtre tremblèrent, je serrai Marloes un peu plus fort contre moi.
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