SANDERS THEATER ►

« DOWN THE STREET, I'M THE GIRL NEXT DOOR. I'M THE FOX YOU'VE BEEN WAITING FOR »
Décidément la vie ne voulait plus me sourire dernièrement. En me voyant aujourd'hui, tout le monde pense que je suis le mauvais exemple. Contrairement à ce que je représentais à leur yeux avant cet "incident". Combien d'entre ces personnes s'étaient vraiment intéressées à ce que j'étais vraiment ? C'est vrai que je ne me faisais plus facile mais bon ... Je reconnais avoir fait beaucoup de fautes, plus graves que celles jamais commises. Entre ces erreurs : laisser ce pauvre enfant entre les mains d'une famille inconnue. J'avais à peine dix huit ans, et je portai déjà sur mes épaules de lourds problèmes ... Je ne savais pas comment tout ceux qui me faisaient confiance autrefois allaient croire ce que j'avais à raconter sur les vraies raisons de mon changement mais en même temps je ne comptais pas vraiment leur dire quelque chose à propos de ceci. Après avoir envoyé un message à mes parents, ne voulant pas trop discuter et disant que j'allais venir après, je décidai de jeter un coup d'oeil à ma cheville mais une voix m'arrêta lançant Désolé de te déranger, tu as besoin d'un coup de main" . Je levai mon regard vers elle et fut assez surprise. S...Sateen ? Enfin ... Je ne savais que dire, à part le fait que ce soit sa jumelle, je ne vois pas comment elles pourraient autant se ressembler ... On ne m'avait jamais dit que Sateen avait une jumelle par contre donc c'était fortement impossible. J'oubliai carrément la douleur que je ressentais dans la cheville, attendant une réponse.

(Invité)

all never let you go.

Les secondes et les minutes passait tellement vite que je n'avais pas réaliser que j'étais maintenant allonger par terre avec Élizabeth, dans ses bras. Ma tête enfouit dans le creux de son cou et sa tête protégée par mon torse, mon coeur battais à des milles et des milles que j'avais un malle de tête intense. J'essayais de reprendre le contrôle de mon souffle et j'ai pu réussir à dire quelque chose, mais Élizabeth criais un mal qui me rendis très alerte et surtout perplexe. Je me suis détacher en faisans attention en voyant le verre des fenêtre sur le plancher et je pouvais voir du sang qui s'écoulait de sa jambe. J'appelais à l'aide pour que quelqu'un puisse venir m'aide. J'enlevais ma veste que j'avais sur moi et je fis attention de la manière que je bougeais sa jambe. La colère montais au visage et des larmes coulait de mes yeux. Mon expression était sérieux, mais avec une sensation de panique.

« Ne t'inquiète pas mon ange. Je suis là. Je vais pas te laissé tombé. » Dis-je en lui embrassant le front et en appuyant mon front contre le siens.

J'allais mal. Très mal. Physiquement et psychologiquement. Je sentais du sang coulé le long de ma jambe. Si ça continuait comme ça j'allais être vidé de mon sang. Dès que j'essayais de faire le moindre mouvement cela me lançait une atroce douleur remontant tout le long de mon corps, me faisait trembler. Je n'avais plus vraiment la notion du temps. Ma tête me tournait me faisant perdre tous sens. Je n'entendais que faiblement Phoenix me parler. Il avait l'air si inquiète. Je le voyais s'agiter dans tous les sens, déposant sa veste sur ma jambe et appelant les secours. Je le regardais, il avait les larmes aux yeux. C'était la première fois que je le voyais pleurer. Même si mon coeur était encore secoué, il ne put s'empêcher de s'emballer à cette vision. Il s'approcha doucement de moi, déposant son front contre le mien me glissant quelques mots doux. Je le regardais dans les yeux lui souriant. Même si j'avais terriblement mal à la jambe, il avait le don de me faire oublier cette souffrance l'espace de quelques instants. Je passai doucement le bout de mes doigts caressant sa joue "Pleure pas bébé, ça va aller..." mais à ses mots ma blessure me lança une nouvelle fois me faisant froncer les sourcils et gémir de douleur.

(Invité)

Dans ses bras j’avais l’impression d’avoir moins peur, c’était totalement débile c’est vrai puisque si la bombe explosais dans le théâtre nous risquions d’exploser aussi « Ne t’inquiète pas, je suis là pour toi. » C’était assez étrange tout ce qu’il se passait entre nous c’est dernier jour, je ne savais pas vraiment quoi penser et ce n’était pas le moment pour, je posais ma tête contre son torse l’espace d’un instant. Il m’entrainait avec lui vers la porte « Ne t’inquiète pas tout va bien al… » Le bruit d’une explosion coupait sa phrase, j’avais l’impression que le campus en entier aller sauter entendant les bombes exploser les unes après les autres. J’avais peur, je fermais les yeux, Alex me serrait encore plus contre lui, j’avais l’impression d’être protégée par lui, j’avais plus peur pour lui que pour moi à vrai dire. Les explosions terminée je le regardais « Alex … t’as rien ? » je n’avais pas la moindre égratignure et j’étais convaincue que c’était grâce à lui, c’était étrange mais à ce moment-là j’aurais voulu l’embrasser, pourtant j’avais peur de sa réaction alors je ne le faisais pas, après tout ce rapprochement n’avait peut-être pas la même signification pour lui que pour moi. Je regardais autour de nous, un couple à terre « … Eux … il faut les aider ! » dis-je à demi-mot. Je ne savais pas si la chose la plus intelligente était de se casser de cet endroit qui risquait de s’écrouler totalement bien que les dégâts devaient être moins importants qu’aux endroits plus proche des explosions ou s’il fallait aider ses pauvres gens blessés.

(Invité)

all never let you go.

La réalité est revenue comme une éclaire dans ma tête. S’était impossible de revenir en arrière maintenant parce que ce n’était pas un rêve. Plusieurs bruits se firent entendre à l’extérieur du campus et s’était clair et précis que nous étions attaquées par des terroristes. Élizabeth était blessé. Ma copine, ma sirène, mon ange avait été heurté par un énorme morceau de verre qui avait été percé sa magnifique peau douce. Le sang était maintenant sur le planché et aussi sur mes mains parce que je l’avais pris dans mes bras. J’avais enroulé ma veste à l’entour de sa jambe et mes larmes recouvraient mon visage. S’était impossible de pensé autrement parce que c’est ma copine et je l’aime à mourir. Je me suis rapprocher de l’estrade et je l’avais allongé pour bien regarder sa blessure. Une personne m’avait apporté la trousse de premier soin et moi qui avait pris un cours de premier soin de classe C, je pouvais facilement me souvenir de ce que j’avais appris en voyant sa blessure. Ses paroles firent apparaitre un petit sourire dans mon visage. Elle a le don de me faire sourire. J’essuyais mon visage et l’embrassait tendrement. Le mal fit apparaitre une expression dans son visage. Je devais agir vite avant que cela puisse guérir à l’entour du morceau de verre.

« Je vais m’occuper de ta blessure mon ange. Et merde… où est Bruno ? » Demandais-je maintenant nerveux.

Je le savais que mon chien était avec Élizabeth, mais maintenant, la panique repris dans tous les membres de mon corps avant d’entendre un jappement de chiot. Comment il a fait pour nous trouver avec toute cette manifestation ? Il n’est pas normal ce chien-là. Je me suis penché pour le prendre dans mes bras et je le mis sur l’estrade près d’Élizabeth et il déposait sa tête sur sa jambe intacte.

Le chaos, la tristesse et la souffrance régnait tout autour de nous. C'était affreux, je m'inquiétais pour Kol, lui qui était dehors, et pour Vikie que je ne voyais plus. Heureusement qu'il y avait mon Phoenix qui avait le don de me redonner le sourire même si tout allait mal en ce moment même. Il m'avait porté jusqu'à l'estrade. Mes yeux mouillés de larmes j'avais désespérément cherché Vikie du regard mais rien. Il m'avait tendrement embrassé et j'avais essuyé avec mes doigts les larmes qui coulaient le long de sa joue. La douleur était partie l'espace de quelques instants au contact de ses lèvres contre les miennes avant de subitement revenir à la surface. Phoenix me dit qu'il allait me soigner. Vite car j'allais finir par faire un hémorragie si le sang continuait à ruisseler à cette vitesse. La vue du sang avait le don de me rendre mal à l'aise et même si Phoenix avait caché avec sa veste ma jambe on pouvait apercevoir des taches rouges se reprendre. En dessous ça ne devait être vraiment pas beau à voir. C'est là que Bruno débarqua, il commençait à vraiment bien m'aimer son chien tout comme lui d'ailleurs. Il le prit dans ses bras et vins le déposer près de moi. Le chiot déposa sa tête sur ma jambe valide mais son contact me fit frémir. La douleur était revenu en un éclair. Je serrai les dents souffrant intérieurement "C'est... c'est normal qu'il y a autant de sang ?" avais-je dis en commencer à paniquer et en essayant de calmer ma respiration.

(Invité)

all never let you go.

Il y avait de tout dans les trousses de premier soins. Je devais bien me concentrer parce que je ne voulait pas la blessé encore plus avec le morceau de verre qui fallait que je déplace en douceur. Je n'avais pas le choix de déchiré son collant noir parce que ceci pourra m'aidé à voir ou est-ce que je devais soins. Le sang avait diminuer et l'hémorragie avait commencer à cessé, mais il fallait que j'agisse vite. Elle me demandait une question qui m'a permis de mieux me concentrer. Cela m'a pris du temps avant de lui répondre parce que j'étais fixé au morceau de verre.

« Oui, c'est normal. Il a coupé des petits veines qui était nombreuse dans cette région. Je dois faire attention maintenant. » Dis-je en appliquant de l'alcool à friction sur sa cuisse pour enlever le début de l'infection.

Je lui donnait un rouleau de bandage pour le mettre dans sa main, car elle pourra serré très fort dans sa main si elle ressent du mal. Bruno essayait de lui donner du réconfort en lui donnant des petites liches dans sa main libre. Je n'aimais pas cette situation et surtout de voir la femme que j'aime blessé à cause de cette attenta.

« Serre dans le rouleau si tu ressent de la douleur, d'accord ? » Dis-je en commencent à retirée doucement le morceau de verre.

L'agitation était présente tout autour de moi et il n'était pas vraiment possible de comprendre ou de voir ce qui se passé partout. Mais moi j'avais choisi de venir en aide à cette jeune femme, enfin si aide il était possible de lui apporter. Là face à elle, j'attendais qu'elle me réponde. "S...Sateen ?" Voilà qu'elle fut sa réponse, du moins ce que j'en compris, avec ce bourdonnement toujours présent. Je ne m'étais pas attendu à cela et elle semblait surprise de la trouver là. Pourtant je commençais petite à petite à me faire à l'idée que l'on prenait pour ma soeur.

"Non, je suis désolé, je ne suis pas.."

Je fut prise d'un vertige, certainement le contre coup de l'explosion. Je m'installais alors sur la chaise à coté de la jeune femme et ma douleur au dos, me lança de nouveau, me tirant une grimace. Mais je repris tout de même mon explication.

"Désolé, je vous disais que je n'étais pas Sateen , mais sa soeur jumelle, Ellana."

Reportant alors mon attention sur la jeune femme prêt de moi. Je connaissais presque d'avance sa réaction.

(Invité)

Dès que je posai mes yeux sur ma cuisse ensanglantée, j'avais juste envie de tourner de l'oeil à la vue du sang. Ma jambe était immobilisée par les morceaux de verres. Je voyais Phoenix s'agitait dans tous les sens, allant chercher une trousse de secours tandis que la présence de Bruno m’apaisait un peu malgré ma blessure qui me faisait souffrir. Je regardais le monde autour de moi. A travers les vitres je voyais le chaos à l'extérieur. J'entendais du monde s'agitait, d'autre pleurer ou crier. De plus la fumée qui s'échappait du bâtiment principal qui avait été totalement détruit. Je pense que j'avais eu de la chance de me trouver ici lors des explosions puisque c'est le lieu où il avait eu le moins de dégâts. Je remercie dieu que Phoenix soit sain et sauf. C'était le plus important pour moi car je ne pouvais pas m'imaginer un jour vivre sans lui cela m'était impensable, impossible. Limite j'en oublié ma jambe blessée. Je cherchai du regard ma Vikie mais rien. Je m'inquiétais aussi pour Kol qui était à l'extérieur dans ce pétrin. Je priais pour qu'ils ne leur soient rien arrivés. Je fus brutalement sorti de mes pensées lorsque Phoenix désinfecta ma jambe avec de l'alcool. Je serrai les dents, essayant d'oublier la douleur. Je tenais le rouleau dans mes mains, histoire de calmer ma souffrance. J'haussai ma tête à ses mots. Vite que tout ça se termine vite. Je n'en pouvais plus de voir tout ce malheur autour de nous alors que tout allait parfaitement bien. J'avais même pas la forte de regarder mon amoureux essayant tant bien que mal en douceur de retirer les bouts de verres de ma jambe... J'espérais que ça se termine vite mais la douleur fut trop vive quand il tenta d'enlever le dernier morceau de verre m'arrachant un cri. Les larmes aux yeux je dis "Arrête ça fait trop mal!"

(Invité)

all never let you go.

Mes oreilles avaient éloigner les bruits étranger qu'il y avait à l'extérieur. Je voulais faire sûr de ne pas me sentir déconcentrer, car je ne voulais pas lui apporté de la souffrance. J'essayais de me concentrer sur mes respirations et je sentie mon visage formé une expression faciale sérieuse et je fronçais les sourcils, car ceci était une habitude. Lorsque je me met à me concentrer, c'est assez surprenant les expressions qui peuvent être exposé. Je ne voulais pas m'imaginer les autres scénarios. Je ne voulais pas savoir le degrés des dégâts à l'extérieur. Tout ce que je voulais, s'était de m'occuper de mon ange qui souffrais. J'avais commencer à enlever les morceaux de verre de sa jambe. Je ne voulais pas commencer avec le plus gros parce que je le sais que je vais avoir tout un défit simplement là. Je mis des morceaux de bandage dans les orifices des petits morceaux qui avait transpercé pour stoppé le saignement. J'étais maintenant rendu au plus gros morceau et j'y allais doucement, mais son cris me fis frémir et les larmes ont coulé dans mon visage. Je me suis penché vers elle, tout en prenant son visage dans mes mains et je l'embrassais pour la rassuré.

« Tu es forte mon amour. Il est presque tout sortie. Je suis capable d'y arriver. Un dernier coup de coeur mon ange. » Dis-je en appuyant mon front contre le siens.

La bravoure me montait au visage et dans mon estime de soi. Je pouvais y arriver avec des mouvements doux et simple. Après plusieurs longues secondes qui me semblait des minutes, j'ai pu enfin retirée le plus gros. Je pris un gros bandages et je cachait la plait pour commencer à y faire des points pour refermé les plus petits. Je pris mon temps pour les faire. Je me suis détendu en commençant à y faire les points et je la regardais à plusieurs reprise. Elle avait les yeux fermé et elle formait de grande respiration. Je me suis penché et je déposait doucement mes lèvres sur sa jambes.

« Je t'aime chérie. »

(Contenu sponsorisé)