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Je souris faiblement à ses mots doux qui eurent le don de m’apaiser, même si la douleur elle était toujours là. C’est dans ses moments-là qu’on se rend compte qui est vraiment là pour vous, qui vous aime le plus au monde. Je n’aimais pas voir Phoenix dans cet état-là, les larmes aux yeux, j’avais juste envie de les serrer dans les bras mais j’étais dans l’incapacité de bouger. Il avait pris mon visage en ses mains et m’avait embrassé « Ok, je vais essayer mon amour » lui avais-je dis en un murmure alors qu’il déposait son front contre le mien. Je fus réconforté pendant quelques instants avant de revenir à la dure réalité. La meilleure façon d’oublier tout ça avait été de fermer fort les yeux, prendre une bonne inspiration et penser à autre chose que tout ce malheur. Difficile dans ses conséquences là alors que votre chéri s’inquiète pour vous et que vos deux meilleurs amis ne donnent plus aucune nouvelle depuis les explosions. Je serai les dents en sentant le dernier morceau de verre enfin enlever. Je fus un énorme soulagement, une libération de pouvoir respirer entre guillemets normalement. J’avais passé mes mains sur mes yeux essuyant les dernières larmes avant de jeter un regard sur ma jambe. Il avait mis des bandages pour cacher ma blessure et y déposa un baiser. Un sourire se dessina sur mes lèvres à ce geste d’affection de sa part. Mon cœur battait la chamade même si j’étais toujours apeurée par les évènements ne sachant pas ce qui se passait à l’extérieur mais en tout cas cela avait l’air d’être un gros bordel « Merci Phoenix pour tout. Je t’aime aussi ». Lui avais-je dis en rougissant avant de lui demander Tu m’aides à me lever, s’il te plait ». (Invité)
Tout était redevenu calme dans mes oreilles. J’avais le corps léger et s’était comme si je reprenais conscience de la réalité. Je restais toujours concentrer sur les points que je faisais à Élizabeth et sa jambe avait repris des couleurs tout comme le restant de son corps. Une transfusion de sang est quand même une bonne idée pour lui redonner de la force dans son métabolisme. Tout se passait très vite. Je la regardais pour faire sur que rien ne change et qu’elle ne tombe pas dans les pommes. Bruno dormait sur sa jambe intacte et il était mignon avec son petit ronflement. Je rangeais le tout et j’enlevais les gans qui commençaient à m’engourdir les mains. Il y avait une poubelle proche pour que je puisse me débarrassé de toute cette merde qui commençais à me donner mal au cœur. Bruno leva son nez dans les airs et me regardais en ballant. Maudit paresseux. Comment il fait pour toujours dormir ? Je comprends que c’est encore un bébé, mais quand même… je vais commencer à le mettre au régime animalier. Elle m’avait remercié de l’aide que je lui avais procuré. Je vais toujours être là pour elle. Je ne suis pas un lâche et surtout pas envers ma copine. Je l’embrassais tendrement avant de l’aidé pour qu’elle puisse se relever. Je pris mon chien pour le redescendre sur le plancher des vaches et je tenais près de ma dulcinée pour lui donner encore plus de réconfort.