De Bourlan ☆ Encore une preuve que vous ne pouvez vivre séparément

Encore une preuve que vous ne pouvez vivre séparément
— with @Deirdre M. Wheelan

Tu viens directement la regarder, elle essaye, elle arrive bien, c'est ton jeans qui doit être bien ample en fait, parce que ça se voit pas trop. Tu mords ta lèvre légèrement pour essayer de te retenir mais c'est trop compliqué en soit. Ton corps a répondu au sien précédemment mais là, t'es bloqué contre le mur et tu as peur qu'elle se jette sur toi en fait. Tu fronces les sourcils quand elle te dit qu'elle a froid et qu'elle ne sait pas comment se réchauffer. Alors tu t'approches comme un idiot, tu viens déposer tes mains sur ses bras pour la réchauffer doucement Tu as encore froid comme ça ? Quoi c'est idiot cest ça ? Merde de merde sérieux, mais tu essayes réellement de le faire, tes lèvres s'approchent une nouvelle fois des siennes pour l'embrasser légèrement Tu veux un autre bisou pour ne plus avoir froid ? Quoi ? C'est pas comme ça non plus mais faut être honnête avoir son corps nu face au tien entièrement habillé, ça t'excite quand même pas mal, et oh ça se voit. Tu rougis quand tu commences à le sentir, tu finis par poser ta main au niveau de ton sud comme si de rien était Tu .. Ca va mieux ? prononces-tu avant de humecter tes lèvres alors que tu ne sais plus quoi dire, idiot et blaireau c'est tout ..

Il vient finalement poser ses mains sur tes bras et tu grimaces légèrement parce que y'a ton écorchure juste là, mais tu souris parce que c'est Valentin, c'est normal qu'il te réchauffe comme il le ferait avec n'importe qui. Patience on a dit. « Un peu. » que tu dis avec un sourire désolé. Oui va falloir faire mieux que ça. Alors il te propose un bisou et tu vas pas dire non,voyons. Ses lèvres se posent sur les tiennes légèrement et tu viens te coller contre lui doucement aussi. Tes bras repassent autour de sa nuque et tu le regardes avec toujours cette drôle de lueur dans les yeux. Tu sens son intimité manifester son approbation au spectacle et ça te suffit. Joueuse, tu viens frotter lascivement tes hanches et ton bassin contre lui, si bien que l'approbation se fait plus grande encore. « Je peux me rhabiller sinon. » Oui t'es entrain de l'allumer et il va peut-être t'éteindre d'un coup, mais tu t'en fiches. Tu vas le séquestrer on a dit, et tu as tout ton temps cette nuit.

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— with @Deirdre M. Wheelan

Tu vois sa grimace et tu descends tes mains sur ses bras, merde t'es un boulet, un double boulet en fait. Mais c'est plus fort que toi tout ça, t'es obligé d'être comme ça. Parce que la réchauffer, tu sais pas trop comment faire en fait. Ton corps est maintenant contre le sien alors qu'elle vient réclamer son dû. Le baiser que tu lui as promis. T'en profites même pour caresser sa petite joue et tu sens réellement que ça va être compliqué d'être normal. Mais en même temps, elle se frotte à toi et ça te fait lâcher un son de surprise, bien à toi et tu la regardes quand elle te dit qu'elle va se rhabiller. Ton cerveau te hurle un oui, ton corps un non et tu déglutis légèrement avant d'ajouter Tu veux que j'aille dans ta chambre te chercher une couverture ? Quoi dans sa chambre y'a pleins de couverture, tu les as vu la première fois, la seule fois aussi et l'unique fois. Mais t'es un peu bloqué par ses mains sur ta nuque et ton corps contre le sien. Sauf si elle veut y aller comme ça ..

T'es contre lui et franchement ça devient difficile de continuer ton petit jeu. Oui parce que c'est que le tien en fait. Mais ça t'amuses. Par contre, faut dire ce qui est, tu luttes pour pas lui arracher ses vêtements, pour en faire des lambeaux, là des beaux confettis de Valentin dans ton appartement. Alors ses lèvres viennent se poser sur les tiennes encore une fois et tu y réponds un peu plus avidement que tu le voudrais. Il te propose d'aller te chercher une couverture dans ta chambre pour te réchauffer et tu souris, sincèrement faussement innocente. « Oui, merci. » Vas-y donc. Entre dans mon piège. Il ne se doute de rien et tu le suis à pas de velours alors que tu vois bien qu'il cherche plus ou moins fébrilement de quoi te couvrir. Ça te fait sourire davantage. T'es nue là dans ta chambre et il te tourne le dos. « Finalement, il fait bon ici. J'ai même chaud en fait. » Que tu dis avec malice avant de t'allonger sur tes draps. « Viens te reposer un peu avec moi. » Bah quoi, vous avez eu une journée difficile tous les deux aujourd'hui et il a intérêt à venir, autrement, tu vas le faire venir par toi-même.

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Encore une preuve que vous ne pouvez vivre séparément
— with @Deirdre M. Wheelan

En fait t'es trop innocent pour elle, c'est pas possible, c'est impossible même de dire autre chose que ça. T'es trop gentil, trop naif et tu peines à respirer quand elle est nue comme ça. Autant le dire réellement. Tu lui prends la main lentement, légèrement, tu essayes de venir jusqu'à sa chambre pour trouver une couverture, d'ailleurs, y'en a une sur le lit mais elle s'y allonge en disant qu'elle va mieux, tu fronces les sourcils quand même. Comment elle fait pour être belle comme ça et aussi désirante ? Sauf que te gêne, t'es tout rouge et depuis que tu l'as fait avec toi, y'a plus rien qui va chez toi, c'est bizarre et tu n'as plus envie de rien faire en fait. Alors tu hoches la tête lentement en repliant la couverture pour la déposer sur le bord du lit Je te laisse te réchauffer alors ? D'accord ? tu joues avec tes doigts, prêt à fuir et trop loin de la porte quand même en fait, mais tu vas devoir y aller quand même non ? Genre aller dans le salon pour te calmer ou même calmer ce qui est en train de montrer en toi parce que tu contrôles rien toi contrairement à elle et c'est insupportable ..

Il perd ses moyens et t'as peur qu'il prenne ses jambes à son cou, mais son corps réclame tout l'inverse, tu le vois bien. Et le manque de lui te rend disons... intransigeante. Alors quand il dépose la couverture au pied du lit et qu'il paraît prêt à s'enfuir, tu adoptes ton air le plus décidé. « Non non... » Tu te relèves pour l'attraper par le col de la chemise. Tu rapproches ta bouche de la sienne mais tu ne viens pas l'embrasser non, tu viens simplement effleurer sa peau de ta bouche jusqu'à son oreille. « J'ai suffisamment chaud, je te l'ai dit, et je veux que tu restes avec moi, d'accord ? » Tu souris alors que tu glisses tes mains le long de ses épaules puis de ses bras, les doigts venant jouer furtivement avec la ceinture bouclée à la taille. « J'ai dit que tu ne pars pas. » Tu poses ton regard acier dans le sien, t'es décidée mais c'est la tendresse qui habite tes mots Deirdre. Tes mains se posent sur son torse, oui tu en profites allègrement et tu le pousses sur le matelas. Trônant de toute ta hauteur sur son corps désormais allongé. « M'oblige pas à t'attacher. » Que tu dis avec un sourire en coin. Tu vas le faire flipper et tu te glisses simplement à son côté. Tes doigts venant jouer tout bêtement sur ses boutons, comme si de rien n'était. « Pourquoi t'es gêné ? » Que tu demandes, parce que t'as bien remarqué le rouge sur ses joues et cette fâcheuse habitude qu'il a de pas répondre à tes questions. Tu poses tes billes sur les siennes. « Tu devrais pas être gêné que je te désire autant. » souffle souffle Deirdre, sur les charbons ardents. Tu sais plus tellement si c'est pour toi, ou si c'est pour lui que tu travailles là, mais ce dont tu es certaine c'est que tu n'as plus froid du tout.

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Encore une preuve que vous ne pouvez vivre séparément
— with @Deirdre M. Wheelan

Elle se relève plus vite que tu l’aurais prédis, trop rapidement et elle en prend ton col. Tu peux plus bouger, juste la regarder face à toi alors qu’elle caresse les pans de ta chemise. Ton regard se plonge dans le sien, tes mains sur ses hanches parce qu’elle apprécie cette douceur mais t’es un peu perdu quand même en fait. Elle fait caresser ses lèvres à ta peau, tu viens même venir pencher la tête légèrement, elle va te tuer si elle continue comme ça. D’accord je reste prononces-tu en chuchotant, tu pourrais te traiter d’aimer ça, d’aimer la façon dont elle te regarde, dont elle essaye de te faire tomber, même si tu ne comprends rien.Et ses mains te caressent, tu n’aimes pas trop ça mais tu fais avec alors que tu déglutis légèrement. Ses mains sur ta ceinture, tu ne sais pas pourquoi elle ne la détache pas alors tu le fais pour l’aider, comme pour lui dire que oui, tu vas rester. Bien sur, on parle de Deirdre et de son envie folle d’être joueuse, de s’amuser et de s’éclater, d’ailleurs, elle te pousse directement sur le lit, et tu es pas trop habitué à cette idée. Mais tu paniques pas trop à ses paroles d’être attacher, et tu la fixes, tu la regardes dans les yeux. Ton corps se relève légèrement pour essayer de l’embrasser mais tu te rends compte que tu t’es fais prendre au piège dans ses draps, c’est trop tard. Tu es quand même rouge quand elle parle de cette couleur teinte, tu pinces même tes lèvres légèrement Je suis pas gêné .. dis-tu avant de la regarder une nouvelle fois dans les yeux, même si t’es quand même pas mal gêné, mais tu as menti. Faut bien non pour se sauver la peau ? Et finalement tu l’embrasses, parce que tu ne sais pas quoi faire d’autre à l’heure actuelle et tu commences nerveusement à avoir trop chaud, beaucoup trop chaud et carrément trop chaud

Tu prends les choses en main si on peut dire, et t’es contente de te retrouver seule et nue à côté de Valentin. Tu songes sérieusement à l’attacher ici pour qu’il ne puisse plus jamais partir mais il ne panique pas trop alors tu restes sage. Tu le questionnes tout de même sur sa gêne. Tu vois bien ce rouge qui colore ses joues et ce pincement sur ses lèvres. Mais il n’est pas gêné qu’il te dit. « Alors tu as chaud peut-être ? » Petite lueur complice dans le pâle de tes yeux et ses lèvres qui viennent se poser à nouveau sur les tiennes. Tu te fais douce mais plus violente aussi parce que tu commences à perdre ta patience. « Je peux t’aider à avoir moins chaud si tu veux. » Tu mords ta lèvre inférieure, perverse innocente que tu es, tout en déboutonnant un bouton de la chemise masculine. Tu ne peux pas le laisser avoir chaud tout de même. Et tu sens bien que lui aussi te veut quelque part. Tu enfouis ton visage dans son cou, là près de son oreille, ton corps venant se coller au sien. « Je veux plus que tu partes. » que tu avoues doucement là où seulement lui peut t’entendre. Pour le moment, tu ne penses pas à tout ça, tu ne penses pas à cette maudite règle qui vous sépare. T’es trop égoïste Deirdre et t’as cette impression que tu auras jamais assez de lui.

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Encore une preuve que vous ne pouvez vivre séparément
— with @Deirdre M. Wheelan

Tu ne sais plus quoi dire, ton corps bien trop chaud face à ses paroles ou ses envies, tu ne sais plus quoi faire, ni quoi dire, c’est horrible, affreux et déstabilisant. Rapidement, tu viens caresser sa joue légèrement alors qu’elle te demande ce que tu as réellement. Pourquoi est ce que tu rougis finalement ? Mais tu pinces de nouveau de tes lèvres avant de hocher négativement la tête à sa question. T’as chaud si mais c’est peut-être pas bien de l’avouer ? Tu hoches finalement la tête positivement, tu as l’air d’un idiot qui ne sait pas choisir entre le oui ou le non. Tes lèvres s’emparent des siennes, baiser impossible réellement face au Diable que tu as en personne, elle a envie de toi, elle veut plus de toi sauf que tu ne sais pas comment faire. Tu réfléchis, tu hésites et quand elle vient sur toi, tu sens la pression qu’elle te met sur le corps et tu en gémis. C’est horrible ce son bordel et elle le fait exprès en plus. Mais c’est une Diablesse dans un corps de femme. Tu sens même ses lèvres dans ton cou, tu penches légèrement la tête pour la laisser d’excès alors que tu lâches un Deirdre… j’ai vraiment trop chaud C’est impossible alors que tu la déposes sur le côté et tu te redresses. Tu es tout rouge, tu as même ta main sur ton sud, tellement c’est impossible d’avoir aussi chaud. Non là, tu peux pas, tu peux plus même.. Tu es pas bien du tout finalement ..

Tu joues avec le feu et il semble définitivement prendre emprise sur lui. Tu l'entends gémir et ça te fait sourire. Tu lui fais cet aveu au creux de l'oreille alors qu'il te dit avoir trop chaud. Le son de ton prénom de sa voix désespérée te ramène à la raison alors qu'il te pousse sur le côté. Ses mains se posent sur son intimité. Tu sais même pas si il aime ça au final et pourtant il revient toujours vers toi, alors ? Toi la grande prêtresse de la décadence, tu ne sais pas toujours comment interpréter les messages, et tu veux le ménager surtout, tu te glisses sous les draps, le laissant respirer finalement. « Pardon. » que tu dis avec un petit sourire coupable, un vrai cette fois. « Tu veux bien rester à côté de moi quand même ? » Ta main attrape la sienne pour la glisser vers le drap entre vous deux. Tu fermes les yeux finalement, parce que t'es bien là. « C'est juste, que j'étais sans doute un peu trop contente de te voir. » Et tu oublies parfois qu'il n'est pas comme toi, que pour lui tout ça n'est pas facile à gérer. Tu caresses doucement le dos de sa main de ton pouce sans oser le regarder davantage, il est pas bien alors, tu le laisses reprendre ses esprits, tu profites juste de le savoir à côté de toi.

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