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De Bourlan ☆ Encore une preuve que vous ne pouvez vivre séparément

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Encore une preuve que vous ne pouvez vivre séparément
— with @Deirdre M. Wheelan  

Tu es partit, en direction de son appartement, ton regard face à tes pas. Oui, tu es partit de chez toi, tu as décidé de partir ce soir dans sa direction parce que tu lui dis que tu reviendrais et c'est le cas. Le mensonge dans tout ça ? Tu dors à la Winthrop House ce soir. Parce que tu ne te sens pas de lui mentir, de mentir à Juan malgré les efforts que tu fais. Mais c'est impossible. C'est trop fort pour toi tout ça. Elle te manque. C'est officiel, t'es en manque total de sa part, de son odeur, de son tout. Et tu espères que personne n'est là, ou un autre homme. Alors tu passes la porte de son immeuble, tu avances jusqu'à la porte et tu tappes deux fois sur sa porte, juste deux fois parce que tu ne tapes pas plus. Tu stresses, tu as peur, tu as vraiment peur de te faire prendre. Ton sac de cours sur l'épaule, tu vois la porte s'ouvrir et c'est sur elle que tu fixes un premier regard. Elle et son corps à moitié nu. Bah d'accord, oui, tu dis pas non. Tu attends juste deux secondes, en relevant ton regard sur elle lentement, des peids jusqu'à son visage et tu l'embrasses réellement. Ton sac se lâches dans la bataille de ses lèvres sur les siennes. Tu peux plus te détacher c'est terminé, tu as retrouvé ton quelque chose d'autre

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Une journée de plus. Tu les enchaînes avec une mécanique impeccable. La Froide et Impassible Deirdre a repris du service. Si bien que tes amis se doutent à peine du tumulte qui te saisit. Faut dire ce qui est, tu es vide finalement. Ta vide carcasse n'a même plus la force de se traîner dans les sphères ténébreuses le soir venu. C'est pitoyable. Mais tu as trop peur de le croiser lui. Et t'aimerais, et tu détesterais en même temps. Tu veux pas qu'il s'abîme dans ce regret de votre quelque chose d'autre. Quelque chose d'autre oui. Mais qui n'existe plus. Faut te faire une raison, elle a toujours eu davantage d'emprise que le cœur sur le gracile de ta personne. Les clés sont posées sur la table du salon, et tu te déshabilles mécaniquement. Les escarpins échouent en premier, libération. Les bas puis la jupe, et tu t'attaques au chemisier. Quand deux coups résonnent à ta porte. Tu sursautes. On ne vient pas te voir sans prévenir. On ose pas. Par curiosité, tu vas tout de même voir sur le visio l'auteur de l'intrusion. T'es à moitié nue mais puisque c'est lui, tu ouvres renonçant à toute volonté au passage. Tu souris malgré toi, et tu peux sentir la brûlure de son regard sur ta malheureuse personne. Tu sens le feu, une fois de plus. Ses lèvres viennent se jeter sur les tiennes et tes bras passent autour de ses épaules pour maintenir l'équilibre. Mais prise dans ton élan, tu viens enrouler tes jambes autour de sa taille, comme une perdue. Tu sens la tension dans son corps. T'as oublié. Tu descends de ton piédestal éphémère avec un sourire désolée. T'es un peu essoufflée et échevelée aussi, pauvre affamée. « Désolée. » que tu dis en haussant les épaules. Va falloir te contenir Deirdre.
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Encore une preuve que vous ne pouvez vivre séparément
— with @Deirdre M. Wheelan  

Tu sais pas pourquoi tu es venu, sans doute le manque qui te ronge le corps encore et encore et cette impossibilité de continuer à vivre sans pouvoir la toucher, lui sourire ou même passer du temps avec elle. C'est étrange et impossible. Tu la vois qui ouvre la porte, tu te jettes sur elle ou inversement, impossible de savoir réellement ce qu'il se passe dans votre tête à ce moment-là et tu l'embrasses, plus qu'âme que corps. Tes pieds au sol, les siens autour de ta taille. Et tes mains qui la retiennent de tomber quand même. Evitons, ça serait bête. Tu viens même sentir son corps entier contre le sien, tu sais pas pourquoi, tu manques de tomber aussi, doué que tu es mais heureusement, elle descend de ta taille pour venir te sourire faiblement. Ce petit sourire, tu l'adores, tu l'aimes tellement. Tu caresses sa joue pour regarder la porte et tu ajoutes Je dois être à la Winthrop House.. Et j'y suis pas. Et je suis tout seul. Et je voulais pas rentrer.. J'aurais du te prévenir peut-être ? lâches-tu avant de la regarder dans les yeux. T'es venu, tu ne sais pas pourquoi tu es là en fait. Mais finalement tu sais et tu prononces Tu .. Tu me manquais tes doigts jouent entre eux et tu baisses la tête pour les regarder, tu t'en veux de lui dire ça, tu t'en veux tellement que tu as mal au coeur de l'admettre finalement Je suis désolé .. ajoutes-tu avant de prendre ton sac pour partir, tu n'aurais peut-être pas du venir, pas aussi tard non plus ..

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Ses doigts sur ta joue, t'as juste envie de les poser partout sur toi et t'as ce drôle de regard Deirdre. Il t'explique qu'il est censé être à la Winthrop. Tu te doutes qu'il a pas avoué à Juan sa bêtise et qu'il doit pas être ici. Tu l'observes alors que son visage se baisse vers ses mains et qu'il t'avoue être désolé et qu'il va rentrer. Il a pas à l'être franchement. Tu le regardes silencieusement et tu continues d'ouvrir ton chemiser comme réponse. D'un mouvement sûr de tes épaules, tu laisses le tissu filer le long de ta peau jusqu'au sol. « Comme tu veux, mais je pense que je vais avoir froid ici comme ça. » Tu observes la porte ouverte. On pourrait te voir et t'aimeras pas, toi qui a pourtant exposé ton corps aux anonymes des centaines de fois. Tu te retournes pour avancer vers ton intérieur et tu te retournes pour l'observer un drôle de sourire en coin. « Reste . » que tu dis finalement, une moue joueuse sur le visage. Tu joues jamais avec lui et c'est pas drôle mais là, tu sais pas il t'a pris par surprise, et t'as pas vraiment de contrôle sur tout ça. Toujours de dos, tu ne le quittes pas des yeux alors que tes doigts s'emparent de l'attache du soutien gorge. « Juste cinq minutes, ou plus si tu veux, le temps que tu voudras. » Aucune volonté, on a dit. Juan va sans doute t'envoyer à l'autre bout du globe et tu t'en fous très franchement.
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Encore une preuve que vous ne pouvez vivre séparément
— with @Deirdre M. Wheelan  

Ton regard se pose sur elle, bien décider à rester là mais finalement tu te rends compte que c'était idiot, trop idiot, très idiot de débarquer chez elle, de l'embrasser, de faire comme si tout cela était normal alors que ça ne l'est pas. Mais alors pas du tout. Ton regard se pose sur son corps, elle fait défiler la chemise lentement sur son corps nu alors que tu humectes tes lèvres trop lentement pour réellement comprendre ce qu'elle fait. Tu ne sais même pas si c'est possible de faire ça, tu fronces les sourcils Tu .. Tu peux te rhabiller tu sais .. Tu aurais moins froid lâches-tu avant de la regarder dans les yeux, tu as la gorge sèche c'est compliqué et difficile pour toi de réfléchir à tout ça en fait. Et elle commence à s'avancer vers chez elle, entièrement, tu la fixes, la laissant entièrement ou presque nue face à toi, tu ne sais pas trop quoi faire ou quoi dire en fait Je .. en fait, c'est le seul son qui sort de ta bouche totalement sèche. Et pourtant t'es proche de la porte, ton sac dans la main et tu finis par fermer cette dernière pour t'avancer vers elle, délicatement, elle a laissé tomber son soutien gorge et tu arrives derrière elle pour caresser ses épaules et ses bras. Et finalement tes lèvres s'attardent sur sa cicatrice au niveau de son épaule C'est presque guérit ? Ca a l'air en tout cas, et c'est l'idée que ça donne aussi non ? Tu finis par la regarder, ton torse collé à son dos, tu ne sais plus quoi faire maintenant à part être silencieux. Faible ? C'est le cas de le dire en fait..

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La situation n'a jamais été aussi lourde mais toi optes pour la légèreté parce que vous souffrez déjà suffisamment, tu l'as décidé. Et parce que tu peux pas lutter contre ton corps qui appelle le sien. T'es maîtresse dans l'art de semer le désir dans les veines masculines et sa présence à lui, elle te donne encore plus d'ailes si on peut dire. Tu souris parce que sa première réponse est digne de lui mais tu ne le quittes pas des yeux pour autant. Tu vois qu'il lutte, qu'il comprend pas, mais qu'il écoute finalement, ce feu insidieux en lui qui réclame plus de toi. Il se rapproche et ses bras viennent caresser tes épaules et tes bras doucement. Et ses lèvres qui viennent se poser là. Tu frissonnes. T'as froid, t'as chaud. Naturellement, tes yeux se posent sur l'écorchure qui commence à se refermer, qui disparaît petit à petit, seul stigmate visible de votre dernière rencontre. « Oui, bientôt. » ta voix est douce et jamais t'as voulu à ce point qu'une cicatrice reste. Tu veux pas que le temps passe comme il le fait. Il vient à se coller à toi et te regarde finalement, ton bras se dresse pour venir accrocher ta main sur sa nuque, tu viens embrasser sa joue doucement. « J'ai envie de toi Valentin. » que tu murmures avec un petit sourire coquin. Tu sais même pas si il va comprendre ce que tu sous entends. « Mais rentrer c'est plus raisonnable, non ? » Tu joues encore et tu risques de perdre. Peu importe, tu pourras toujours t'accrocher à lui pour l'empêcher de partir, là dans ton antre, le séquestrer. Une Irlandaise capture un Prince dans un acte d'amour désespéré, plutôt pas mal pour les gros titres des journaux non ?
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— with @Deirdre M. Wheelan  

Silencieux, trop silencieux, tu observes les courbes de son corps, lentement, parce qu'il est tard et que tu ne veux pas partir, tu finis même pas te montrer gentil, mais finalement c'est peut-être le désir qui monte en toi ou tu ne sais quoi. Elle caresse ta nuque malgré tes résistances et tu viens même sentir ses lèvres. Tu tournes les yeux vers elle avant de sourire faiblement, c'était bizarre, tellement bizarre que ça en devenait presque impossible. Elle avait envie de toi, c'était ces paroles et tu ne permets pas de répondre à ses dernières. Impossible pour de savoir réellement comment faire pour éteindre le feu en elle. Tu finis par la regarder alors que tu fronçais une nouvelle fois les sourcils T'as envie de moi ? Mais ... Je peux pas rentrer si tu as envie de moi si ? Tu sais même pas ce que ça veut dire en fait, autant dire que t'es encore novice et elle sera capable de t'attacher dans ton lit toute la nuit pour t'avoir. Mais ça, t'en savais rien. Tu viens alors l'embrasser doucement, juste légèrement, parce que si avoir envie de quelqu'un c'était comme la nourriture, elle allait te bouffer en deux secondes top chrono, autant prendre les devants. Et heureusement pour toi, tu pensais pas que ton jeans et ta chemise finiraient par terre rapidement pendant ta visite. Et au moins, tu allais aussi avoir moins chaud. Le chaud en toi venait de commencer ..

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Tu sens qu'il sait pas trop comment réagir à tes avances. C'est normal, tu lui apprends tout. T'es une bonne prof, faut l'avouer. Et tes phalanges qui s'accrochent doucement à sa nuque se font particulièrement douces là où elles ont l'habitude de griffer. Mais lui t'as pas envie de l'abîmer. Il est à toi et rien qu'à toi. Faut que tu sois douce Deirdre. Et patiente aussi. Il vient t'embrasser doucement. Tu lui rends son baiser. T'es sage et tu souris.  « Et non, tu peux pas rentrer. » Tu te retournes face à lui. Tu viens poser ton index sur sa bouche tout en le regardant complice. « Interdit. » Tu hausses les épaules, faussement coupable. « C'est ma règle à moi. » Que tu rappelles en te reculant légèrement. Tu décides de retirer le dernier rempart de tissu qu'il te reste, parce qu'il est superflu, tu l'as décidé, voilà tout et quand tu décides, pas lieu de discuter. Tu ne le touches plus et pourtant tout ton corps le réclame, alors tu t'offres là sous ses yeux. Lui, est toujours tout habillé. Et tu le regardes en souriant. « Est-ce que tu as envie de me réchauffer un peu ? » Tu adoptes ta mine un peu triste et tu le quémandes là, comme une mendiante du désir de sa peau contre la tienne. « Tu as chaud non ? » Et toi tu as froid, alors c'est juste un peu de logique mathématique, voilà tout.
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C'est pas possible en fait, elle le fait exprès, elle le fait vraiment exprès. Mais elle est sensible, délicate et à la fois si tigresse. Tu finis même par la regardes Pourquoi ? pourquoi est ce que tu peux pas rentrer ? Pourquoi est ce que tu peux pas partir ? Quand elle te dit que c'est interdit et que c'est ta règle, tu en recules légèrement, encore assez pour te retrouver contre le mur, face à elle, tes lèvres la demandent, plusieurs fois quand elle est proche de toi et tu viens avancer plusieurs fois le visage pour l'embrasser. C'est étrange, c'est bizarre, mais excitant, elle a cette envie de femme, mais tu as cette envie. Tu la regardes, tu déglutis légèrement quand elle te parle comme ça, tu as l'automatisme de regarder ton sud pour faire mine de rien mais tu sais que ça va venir en fait, et puis ça se voit qu'elle, elle a envie Tu.. Tu as froid ? demandes-tu avant de humecter tes lèvres légèrement, et t'es pas bien parce que tu ne sais pas réellement quoi faire finalement Tu .. T'as les yeux dans les siens, incapable de bouger finalement, parce que c'est pas facile de bouger avec cette tigresse en fait de toi finalement ..
 

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Tu joues avec cette flamme qui grandit bien tranquillement entre vous. Il n'est pas comme les autres hommes c'est certain et c'est là tout l'intérêt. Mais il t'a prouvé par le passé que finalement il fonctionne comme les autres. Quelques rouages sont différents, tout simplement. Il vient voler tes lèvres à plusieurs reprises et te demande pourquoi. « Parce que chez moi, ce sont mes règles qu'on applique. » N'importe quoi. Mais t'es prête à n'importe quoi pour lui, tu le prouves depuis le début de cette histoire entre vous non ? Tu vois bien qu'il est déboussolé, mais tu veux pas céder non. Tu veux qu'il ait envie de toi comme toi tu le désires lui. « Oui j'ai froid. » que tu dis doucement. T'as pas froid du tout, c'est un mensonge éhonté. Tes yeux sur toi, ça suffit à te réchauffer. Tu souris lorsqu'il regarde machinalement son intimité. Patience, patience. « Et je peux me réchauffer moi-même. » Tes doigts passent sur ton corps lentement, sur ta poitrine et sur ton sud et tes hanches. « Mais je ne suis pas douée. » Que tu dis fataliste. Non c'est bien moins intéressant. « Je vais tomber malade si tu viens pas. » Et il veut pas ça non ? Il veut pas que tu sois malade et que tu puisses plus lui donner chaud, pas vrai ?
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