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Deirdre ☆ Aide moi, touche moi, ressens moi

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La course te fait tout oublié. Tu as décidé de courir seul parce que c'est ce que tu fais de mieux. La course, l’athlétisme, c'est difficile pour toi avec les coups de sifflet, l'attention portée au détail et aux choses qui paraissent si anodine pour une personne tiers. Alors t'es prêt du sifflet comme toujours, toujours proche du bruit pour te mettre en position. Et au coup de sifflet tout part, tu cours, aussi vite que l'air et le vent puisse t'emmener, ce n'est pas exactement les résultats que tu veux mais juste te libérer et les autres le savent. Les autres ont accepté, enfin presque tous. Tu t'arrêtes petit à petit avec le 100 mètres que tu viens d'effectuer, tu déposes tes mains sur tes genoux pour souffler, tu lèves les yeux vers la personne qui allait poser sa main sur ton épaule mais tu t'es décalé. Le professeur te félicite et tu es plutôt content de ça, enfin tu ne lui montres pas mais t'es heureux de la chose. Tu as juste envie que tout se termine vite, parce qu'au moins, tu pourras retrouver ton quelque chose d'autre. Oui un autre rendez-vous, enfin moment à vous en fait, trop souvent en ce moment peut-être ? Mais tu t'en fiche. Tu regardes vers les gradins, tu lui avais dis que tu finissais un peu plus tard mais tant pis. Elle avait quand même accepté de te voir, parce qu'il y avait les marchés de Noel à Boston et ils étaient totalement dingues en ce moment. Tu passes ta main dans tes cheveux en l'apercevant, tu dois être tremper avec la sueur qui te coule dessus mais tant pis. Ton regard la fixe et tu tournes la tête vers la ligne de départ. Il te reste une seule course, une seule et tu pourras prendre ta douche pour la rejoindre. Mais le silence ne se fait pas attendre sur cette ligne et ton camarade en profite pour critiquer ton quelque chose d'autre, tu te mets debout, tu ne te mets pas en position et tu ajoutes Elle est même pas là pour toi, elle est là pour moi D'habitude, tu ne parles pas, jamais, mais là c'est différent, il la critique et ça tu as entendu, tu n'étais pas assez concentré. Tu n'aimes pas quand on la critique et il la traite même pas de sorcière, tu hoches la tête négative C'est faux tu la connais pas, avec moi elle.. Mais non, tu commences à respirer rapidement, il te pousse même et tu le pousses en retour plus fort que lui parce que ta force, tu ne la contrôles pas du tout. Tu le regardes en hurlant Tu ne parles pas d'elle comme ça ! Si quelqu'un voyait la scène, il verra une simple baston entre deux adolescents, rythmé sans doute par des insultes mais les gens veulent du sang et c'est ce qui se passe quand son poing se dépose sur ton visage. Merde Emilia va encore gueuler, sauf que tu t'éclates par terre, bravo la discrétion ..

@Deirdre M. Wheelan :heaart:
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Tu n'avais pas laissé beaucoup de jours avant d'avoir des nouvelles de Valentin. Les retrouvailles se faisaient de plus en plus régulières. Ce n'était pas ton genre et cela t'alarmait mais tu ne pouvais t'empêcher d'accepter. Oui tu prenais goût d'avoir ce jeune homme singulier dans tes jours. Mais tu ne préférais pas te l'avouer. Parce qu'alors tu prendrais le risque d'ouvrir une béance qui n'avait jamais su être comblée. Le Prince te donne rendez-vous au stade où il doit terminer son entraînement et vous irez ensuite en Centre-ville. Tu décides de ne pas repasser chez toi après la fin des cours parce que tu mettrais sans doute un temps infini à te préparer. Tu es une femme sophistiquée, tu as mal à faire simple et pour une occasion pareille, tu n'aurais pas su quoi porter. Tu te contentes donc de ton tailleur pantalon et chemise mais tu relâches tes cheveux parce que tu sais qu'il préfère. Oui tu es une faible femme. Tu t'installes sur les gradins et l'observe dans sa course. Il doué, très doué même et tu ne sais pas après quoi il court comme ça. Tu sens que c'est pour lui un espace de décharge comme peut l'être pour toi la danse. Tu croises son regard alors qu'il s'apprête à regagner la ligne de départ. Tu souris faiblement en ne sachant pas si il peut le voir de là et en espérant qu'il ne t'en veuille pas d'être déjà là. Tu sais que pour lui l'heure c'est important. Mais tu remarques ensuite qu'il se redresse et qu'il parle avec un des concurrents, l'échange semble animé et par réflexe tu te relèves. Tu sais qu'il peut être impulsif et tu t'inquiètes. Tu entends qu'il parle de toi. Parce que le Elle, tu sais que c'est toi et tu as aperçu le regard de ce mec sur ta personne quelques secondes auparavant. Rapidement, tu descends les quelques marches pour arriver à leur hauteur, tu n'as pas le temps de dire ou faire quoi que ce soit que Valentin se prend un coup de poing en plein visage, tu cours alors rapidement. Enfin t'es moins rapide qu'eux surtout en talons mais quand même. Tu toises celui qui l'attaque alors que l'entraîneur le retient. « T'as perdu tout ton cerveau dans la course ou quoi ? Pauvre mec. » Tu mémorises bien son visage parce que celui là ne sait pas que tu t'appelles Deirdre mais il le regrettera. Tu t'approches de Valentin. Tu n'oses pas le toucher, tu sais qu'il n'aime pas ça. « Valentin, est-ce que ça va ? Laisse-moi regarder ton visage. » dis-tu doucement alors que les autres commencent à se regrouper autour de vous. « Laissez-lui de l'espace. » que tu grondes d'une voix froide et personne n'ose moufeter.

@A. VALENTIN DE BOURBON-W. Deirdre ☆ Aide moi, touche moi, ressens moi 4046487928
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Tu ne sais pas réellement pourquoi tu le pousses mais tu n'aimes pas les choses qu'il ose dire sur Deirdre et c'est pas gentil. Bon d'un côté son coup de poing te met à terre direct et tu as tellement mal que tu n'oses plus bouger. Tu soupires doucement, tu ne vas pas te relever parce que t'es pas du genre à redonner les coups mais tu restes silencieux en contenant ta colère dans le creux de ta main pour soupirer plusieurs. Tu fais des efforts depuis des semaines pour éviter les coups, mais tu n'aimes pas qu'on se moque de toi et même le prof se ramène pour exclure l'autre bouffon. Tu entends une voix, tu ne fais pas attention, tu es focalisé sur ton poing et le sang qui s'écoule de ton nez. Difficile de te retenir de taper contre le sol plusieurs fois doucement. Mais quand un cri te parvient, tu recules en voyant qu'il s'agit de Deirdre et tu t'essuies rapidement le nez, trop tard, t'en as partout, c'est horrible, d'instinct tu prends son bras pour la regarder dans les yeux. J'ai rien fait, c'est lui qui a commencé, je te promets que c'est lui qui a commencé, j'ai rien fait du tout et je t'ai défendu toi et il était méchant tu t'agites légèrement quand même en la voyant, elle va se fâcher, enfin Emilia va gueuler elle, et ton père va apprendre la bagage aussi, donc tu sais pas quoi dire, tu remontes tes genoux contre ton torse J'ai rien fait du tout, je te jjure que j'ai rien fait du tout et c'est pas ma faute, c'est lui a commencé. Il a dit des choses tellement méchantes.. J'ai rien fait du tout tu ne sais pas qu'est qui est le plus difficile, le fait que tu t'agites ou le fait que tout le monde te voit comme ça ou le fait qu'elle soit là mais que tu puisses pas la toucher toi. Mais en fait, tu ne t'en étais pas aperçu c'est tout, parce que tu as pas lâché son bras .
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Tu sens une colère monter à l'intérieur de toi, ta machoire se crispe mais c'est le seul signe de ton énervement. Ta colère est froide, glacée. Et d'après la plupart, elle est bien plus effrayante que de grands coups de sang. Tu observes menaçante l'intrus qui est évacué à distance par le coach. Les autres se tiennent à l'écart et Valentin met un certain temps à te regarder mais il finit par le faire lorsque tu cries sur les autres. Il agrippe ton bras et s'excuse à plusieurs reprises. « Je sais et je te crois. » Que tu lui réponds alors que tu observes son nez qui saigne toujours abondamment. « Je vais t'accompagner pour que tu te nettoies, on va au calme. » Tu poses tes prunelles métalliques sur le petit public amassé, cherchant quelqu'un de particulier. Il est toujours là, il te l'a dit. « Juan, pouvez-vous m'aider à accompagner Valentin aux vestiaires ? » Tu sais que sa présence le rassurera, tu sais aussi que davantage de calme l'aidera à reprendre ses esprits. Et tu sais que toi aussi tu retrouveras le calme plus aisément dans ce contexte. Tu ne veux pas vous donner en spectacle. Juan s'adresse au Prince et l'aide à se relever tandis que vous prenez la direction demandée.
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Tu la regardes, elle te croit, elle te croit toi et pas l'autre qui raconte n'importe quoi. D'ailleurs, tu ne détaches pas ton regard d'elle, impossible de voir quoi que ce soit qu'elle. D'ailleurs, tu n'as même pas réagit qu'elle ne te parle plus quand elle s'adresse à Juan. Lui ? Ah ouais il est juste à côté de toi et il fait encore son périmètre de sécurité. Il te prend le bras doucement pour te lever et tu t'aides avec lui, sans lâcher le bras de Deirdre et il te tend un mouchoir pour le déposer sur le nez. Tu passes ta main au niveau de ton nez qui continue de couler alors que vous marchiez vers les vestiaires et tu finis assis sur le banc des vestiaires de hommes. Juan en profite pour enlever ton haut et il quitte la pièce un instant. Tu ne sais même pas pourquoi, t'es trop absorbé par ta tête qui te fait mal et aussi ton nez, tu lèves tes yeux vers la jeune femme que tu as du lâcher quand tu as été obligé d'enlever ton t-shirt. D'ailleurs, ce dernier, tu t'en sers comme bloc pour éviter de voir tout le vestiaire inondé par ton sang, autant dire horrible mais bon, tu restes calmes et tu n'es pas fier de ça Tu es fâché ? tu demandes après tout, on ne sait jamais, elle peut être très fâchée non ?
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Vous partez en direction des vestiaires et tu es soulagée de quitter enfin tous ces abrutis. On est à la fac quand même, tu comprends pas qu'il y ait des crétins pareils à Harvard. Mais bref, tu te concentres sur Valentin, il ne quitte pas trop ton regard et tu te concentres sur lui également. Il doit avoir mal en plus. Arrivés près du banc, tu observes Juan qui l'aide à enlever son haut et tu ne peux pas t'empêcher de détailler un peu son torse. C'est... tu as un peu plus chaud là pour être tout à fait honnête. Tu essaies de pas t'égarer trop et racle ta gorge mal à l'aise. Certains ont un faible pour le chocolat, toi c'est les tablettes et là, et bien on t'expose un bel exemplaire et t'as pas le droit de te servir. Ca ressemble un peu à une torture spécialement taillée pour toi Deirdre. « Merci Juan je m'en occupe. » Il te demande si tu n'es pas fâchée. Tu accroches ton regard au sien et tu rétorques du ton le plus placide que tu peux.« Je suis fâchée mais pas contre toi, je suis fâchée contre ce type et crois-moi je vais l'exploser.» T'es pas médecin, ni même infirmière mais oui t'es un peu sorcière et vous apprenez un minimum de soin et d'anatomie humaine dans ton cursus. « Valentin, c'est important, je te demande la permission de toucher ton visage, faut que je vérifie que le nez n'est pas cassé, tu es prêt ? » Parce qu'à le prendre par surprise, tu risques juste qu'il se fasse davantage mal. C'est que les habitudes commencent à se prendre.
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Tu essayes de la détailler et quand tu t'assois sur ce banc, tu ne peux t'empêcher de soupirer. Juan est sympa et cool, mais Juan veut te laisser vivre sauf que ça, il aurait pu l'éviter en fait. Tu passes ta main au niveau de ton nez grâce à ton t-shirt et tu lui demandes si elle est fâchée. Bon, entre temps, elle a viré ton garde du corps et tant mieux. Tu l'exploses ? Tu vas faire quoi ? C'est pas quelqu'un de gentil Deirdre. Il faut pas que tu parles avec lui, il va mal te parler .. Protection effet zéro c'est ça ? Mais tu souris faiblement alors que tu enlèves ton t-shirt de ton nez quand elle s'approche d'elle. Elle te demande la permission pour te toucher le visage, juste le visage et tu hésites un instant Je peux avoir un bisou alors ? t'es nul en marchandage et ça se voit direct, d'ailleurs tu la regardes avant qu'elle ne te donne la bonne réponse et tu fermes les yeux pour hocher la tête doucement Juste le visage et fais attention à mon nez, j'ai mal .. Et j'ai attention à ma tête aussi .. Et touche que le visage tu paniques, tu paniques vraiment mais tu te calmes un peu quand même pour essayer d'être normal, de pas lui faire peur aussi. Ce qui risque d'être très très très compliqué venant de ta part personnellement
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Oui tu as congédié Juan, tu as pas l'habitude d'être épiée en permanence et d'ailleurs il ne s'est pas fait prié pour quitter la pièce. Tu demandes la permission à Valentin de toucher son visage parce que tu veux être certaine que son nez soit pas cassé. Il te dit de ne pas parler au mec qui l'a agressé, qu'il est méchant et qu'il va mal te parler. Ça te fait sourire parce que tu le trouves mignon, c'est une façon de prendre soin de toi et tu apprécies. « Ne t'en fais pas pour ça, j'ai mes propres méthodes. » Tu agis sournoisement, de façon stratégique et ça mettra le temps qu'il faudra mais tu sais qu'il regrettera amèrement son attaque d'aujourd'hui. Il accepte finalement que tu le touches mais il te met en garde, tu sais que c'est beaucoup pour lui. Il te réclame un bisou mais ferme finalement les yeux. Tu souris et tu sens même tes joues rosir un peu, heureusement, il ne te voit pas. « Ok ok. » Tu te baisses à sa hauteur, légèrement accroupie. « Je vais toucher le haut de ton nez. » Tu touches doucement et ne remarque rien d'anormal, tu appuies à peine pour ne pas faire plus mal. « Je vais poser chacune de mes mains de chaque côté de ton visage. » Tu le préviens pour qu'il puisse se préparer davantage. Tes mains se posent au dessus de ses oreilles de façon à ce que tes pouces passent sur chacune de ses pommettes. « Je vais appuyer. » Tu exerces une légère pression qui doit être douloureuse mais supportable dans le cas où ce n'est pas cassé. Tu le vois grimacer mais prendre sur lui. « ça ne semble pas cassé et ça ne saigne plus.  Regarde-moi. » Tu tiens à voir ses pupilles pour vérifier qu'elles sont bien symétriques. Ce qui est le cas. Tu souris de le voir si près. « Tu as été courageux, tout va bien. Tu veux toujours un bisou? »
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Tu entends ses paroles alors quand elle te dit de ne pas t'en faire, tu vas l'écouter et ne rien dire, tu dois lui faire confiance alors tu lui fais confiance. Mais voilà que tu proposes un bisou mais elle n'a pas l'air de vouloir t'en faire un alors tu n'attends pas la réponse. Elle comprend tes paroles et commences à toucher, tu fermes vraiment les yeux, c'est difficile mais c'est supportable. Elle touche à tout sur ton visage et quand ses mains froides se posent sur tes oreilles légèrement et pas trop long, tu recules un peu mais tu restes quand même là, à être toucher par Deirdre. Tu ne rien, absolument rien, cachant le plus clair de ton temps ta souffrance sauf quelques fois rares mais elle a du le remarquer malheureusement.Elle te dit enfin qu'il n'y a rien et tu te permets d'ouvrir les yeux, la voyant si proche de toi, tu souris doucement. Tes yeux dans les siens, tu ne la quittes plus du tout et tu en profites pour pincer tes lèvres lentement. C'est insupportable mais si perturbant et délicat. Oui, je peux en avoir un ? demandes-tu tout comptant en fait, et même si elle est accroupie, elle doit avoir mal non ? C'est bizarre mais tu ne sais pas quoi dire pour qu'elle s'assit sur le banc ou même sur tes genoux, mais tu la regardes pour approcher ton visage du sien, tu veux un bisou comme la dernière fois, le vrai bisou des quelque chose d'autres c'est tout ce que tu veux maintenant que tu sais que ton nez est vivant..
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Tu es rassurée parce que de le voir se faire frapper sans pouvoir rien faire ça a été assez terrible. Surtout que c'est un peu à cause de toi que ça a dégénéré même si tu n'as rien fait. Tu as juste été là et il a parlé sur toi. C'est comme ça, tu laisses pas les autres de marbre. D'habitude tu t'en contrefiches, mais tu n'aimerais pas que ça impacte Valentin encore. Ton examen rapide t'apaise sur ses blessures alors tu lui demandes si il veut toujours un bisou et c'est toujours le cas. Tu poses tes lèvres sur les siennes, tu y mets un peu de ton inquiétude et de ton envie d'être proche de lui, et tu le laisses faire aussi. Semble-t-il qu'il veut un vrai baiser de quelque chose d'autre et tu ne vas pas t'en plaindre franchement. C'est un peu difficile de garder tes mains sages mais tu tiens bon. Tu reprends ton souffle et tu le regardes avec complicité. Il développe un certain talent, t'aimes ça et tu redoutes en même temps parce que tu y prends goût. « Merci de m'avoir défendu. » Qu'il te défende, ça te fait quelque chose, parce qu'à part quelques très proches amis, personne ne t'a jamais défendu. « Tu es un peu mon Chevalier. » Que tu ajoutes avec malice. Pourtant c'est bien lui le Prince et non toi la Princesse.
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