Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitySOLIMAN ✖ Never forget you ? I don't admit it, i have to forget.
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SOLIMAN ✖ Never forget you ? I don't admit it, i have to forget.

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Depuis que je n'avais pas vu Soliman, ma vie était comme ... un mensonge, une face fausse de ma personne. Je montrais un visage souriant et même charmeur, je ne pouvais même pas compter le nombre de filles que j'ai dragué... dans le vent. Je ne menais jamais une rencontre jusqu'au bout, pas même jusqu'à mon lit très souvent. Faire la fête, boire à foison, fumer un bon joint entre deux soirées, c'était mon quotidien pour l'oublier. Mais même défoncé, je pensais à lui. C'était le comble, il ne pouvait pas m'échapper. Et ça m'énervait, autant le dire tout de suite, je le détestais presque autant que je l'aimais. Je lui en voulais d'avoir imprimé mon cœur de sa signature, c'était impossible de passer à autre chose. D'ailleurs, ce soir, c'était encore une soirée comme les autres. Je ne travaillais pas au People's Republik, j'étais là en tant que client. J'avais rencontré une très jolie demoiselle, qui m'avait attiré sûrement par ce joli décolleté qui me vendait carrément du rêve. Je dansais contre elle, passant mes mains le long de ses formes longilignes pendant que l'on dansait l'un contre l'autre. La soirée s'annonçait aussi brûlante que la braise....
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Le temps passait, il y a quelques jours, peut-être même une ou deux semaines à présent je m’étais confronté à Liam une dernière fois, l’anniversaire de Romane avait fait remonté en moi des centaines de choses, des sentiments et une frustration par rapport à un garçon que j’aimais et qui préférait batifoler avec une connasse nommée Abygaelle qui m’avait poussée à faire un choix définitif alors que j’hésitais depuis un bon moment maintenant. C’est dans la direction de Charlie que j’allais à présent et pourtant, quelque chose ne me rendait pas heureux. Tout se passait vraiment très bien entre nous, on rigolait bien mais… Je ne sais pas, il manquait un petit quelque chose, je ne pensais pas uniquement à elle, le désir ne me brûlait pas, ce genre de choses vous comprenez ? Je m’étais longuement demandé si j’étais sincèrement amoureux d’elle mais la question ne se posait même pas. Le seul problème se prénommait Liam, il me manquait et je ne savais pas comment prendre la chose, étais-ce un signe du destin ? Si je n’étais pas amoureux de lui il ne me manquerait pas ainsi ? Je n’en savais rien, la seule chose que je savais c’est que ce soir il se trémoussait avec une pétasse, je ne pensais pas le revoir ici et pourtant. Il était bien là devant moi à me narguer sans peut-être même savoir que j’étais dans le coin. Mon sang ne faisait qu’un tour, ma jalousie étant une nouvelle fois bien trop importante pour que je laisse faire les choses, grave erreur de ma part. Arrivant comme une furie je toisais du regard la petite blonde. « Pour info il est gay… Tu ne savais pas ce n’est pas grave maintenant casses-toi ! »
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A chacun sa façon de tourner la page, moi je le faisais de cette manière. Le besoin de changer d'air, de penser à autre chose. Soliman et moi c'était une longue histoire d'amitié avant de finir dans une très grande histoire de sentiments, de passion. J'avais jamais su y faire en relation amoureuse avec une fille alors un mec, je devais être le pire des maladroits sur cette Terre. D'ailleurs, il n'y avait pas que moi de maladroit, regardez ce mec, pour ne pas dire que je parle de Soliman, qui se ramenait comme s'il y avait un problème. Moi je n'en voyais pas. *mauvaise foi ON* « Pour info il est gay… Tu ne savais pas ce n’est pas grave maintenant casses-toi ! » Il avait osé ? La jeune femme sentait déjà que la tension montait au moment ou je regardais Soliman. Elle s'en allait sans demander son reste, pas même mon numéro de téléphone. Je toisais Soliman du regard, tiraillé entre l'envie de lui demander de danser avec moi -ce qui serait absurde- et le dégommer pour me faire aussi mal et en plus, me gâcher une nuit d'enfer avec une inconnue. « C'est quoi ton problème, Soliman?! » Je m'approchais de lui, j'avais pas besoin d'être devin qu'il avait agit par jalousie. Je gardais fixement le Winthrop. « Tu devrais pas aller baiser ta meuf dans les backroom au lieu d'me pourrir mon one night ?! » Je le poussais légèrement, j'étais en colère. Autant que les sentiments s'exprimaient, comme ci les efforts fournit n'avaient servi à rien.
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La jalousie était un mauvais défaut, à mes yeux elle n’en était pas un, c’était une preuve irréfutable, une marque sincère et indélébile que l’on tenait à quelqu’un et c’était le cas avec Liam. Pendant un temps j’avais pensé que ce vide serait progressivement comblé par mon amour pour Charlie mais rien n’y faisait, je me retrouvais toujours avec cette horrible impression d’être plus seul que jamais, d’avoir un petit quelque chose en moins sur lequel on avait pris l’habitude de se mettre lorsque la pression était trop importante, voilà, j’avais perdu une personne sur laquelle je pouvais me reposer de temps en temps. « C'est quoi ton problème, Soliman?! » Le problème ? Il ne voyait pas où était le problème ? Est-ce que je le voyais moi-même ? Je n’allais surement pas lui dire que je ne voulais surtout pas le voir danser avec une autre personne que moi, je me trouvais déjà suffisamment stupide de réagir aussi excessivement. « Mon problème ? Cette pute était en train de te chauffer voilà mon problème ! » Je le regardais sévèrement, je ne me rendais même pas compte du fait que j’étais plus puéril qu’autre chose. « Tu devrais pas aller baiser ta meuf dans les backroom au lieu d'me pourrir mon one night ?! » Il me poussait, la haine prenait le dessus et je n’hésitais pas à le pousser tellement fort qu’il en perdait sur le coup l’équilibre. « Retires ce que tu viens de dire… TOUT DE SUITE ! »
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La situation tournait vraiment mal. Je ne supportais pas cette chaine alors qu'il était avec la Mather, et encore moins parce que je l'aimais et qu'il ne m'ai pas choisi. « Mon problème ? Cette pute était en train de te chauffer voilà mon problème ! » Mais il est sérieux là ? Je savais très bien que s'il se mettait à péter un câble comme ça, être jaloux comme ça, c'était qu'il m'aimait encore. Mais je pouvais pas vivre dans l'ombre de Charlie, être la seconde option. Je lui en voulais qu'il s'en aille et qu'il se tape sa meuf au lieu de me gâcher la soirée alors qu'il m'avait abandonné. Je me retrouvais au sol en le regardant, surpris... et m'énervant encore plus. « Retires ce que tu viens de dire… TOUT DE SUITE ! » Je me relevais, l'attrapant par le col. Non mais il a cru que c'était Noel ou quoi?! « Je retires rien du tout. Tu as choisi Charlie mais t'es même pas foutu d'me laisser libre! Assumes ce que tu fais, Marlson, j'ai pas envie de souffrir parce que je t'aime comme un con, alors laisse moi t'oublier comme je le souhaite. » Je le poussais violemment alors que les gens qui nous entouraient nous regardaient. Je voyais les vigiles se diriger vers nous. En même temps, on foutait le bordel... « Retourne avec ta bourgeoise! Laisse moi tranquille! » Je me cassais retrouver la fille, et j'avais qu'une envie, lui faire une nuit d'enfer. Surtout que vu la dispute, les vigiles nous auraient poussés hors du bar. Ne la trouvant pas, je commandais un verre de tequila, il fallait que je le zappe de mon esprit.
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Notre histoire n’était pas au meilleur de sa forme, nous avions eu beaucoup de belles journées, enlacés, l’un contre l’autre avant le retour de Charlie sauf que le comeback soudain de cette dernière avait eu un effet plus que dévastateur sur nous. Notre amitié vieille de six ans n’avait pas pu y survivre non plus. Au final que restait-il d’une quelconque amitié entre Liam et moi ? Rien ! C’est exactement ça. Je me sentais tellement mal, révolté de le voir flirter comme si jamais le Lialiman n’avait existé. Okay, je venais de donner un nom à notre couple et c’était pitoyable mais j’étais dans tous mes états me sentant à la fois coupable d’être un tel abruti. C’est moi qui avait pris ma décision, je ne lui avais pas demandé de me laisser du temps ou je ne sais quoi, lorsqu’il avait commencé à me zapper pour Abygaelle je m’étais tourné vers Charlie et elle me rendait heureuse hein, ne croyez pas que ce n’était pas le cas c’est juste que… Tout n’était pas parfait et devrait l’être si je me sentais vraiment bien avec elle. Il se relevait après que je n’ai été plus méchant que lui dans ma manière de le pousser, il s’emparait de mon col et me relevait un peu ce qui, soyons francs ne me plaisait pas, mais alors pas du tout. « Je retires rien du tout. Tu as choisi Charlie mais t'es même pas foutu d'me laisser libre! Assumes ce que tu fais, Marlson, j'ai pas envie de souffrir parce que je t'aime comme un con, alors laisse moi t'oublier comme je le souhaite. » Je prenais tellement mal ses propos, ce n’est pas parce que je faisais un choix qu’il devait abandonné comme si je ne lui importais pas. C’est l’impression qu’il me donnait, j’aurais pu être son petit ami mais le fait que je ne le sois pas le préoccupait peu… Il s’en foutait comme de sa première chemise, je n’étais qu’un visage parmi d’autres. « Retourne avec ta bourgeoise! Laisse moi tranquille! » Je le regardais, okay il voulait que je le laisse seul, très bien ! Sans rien ajouter je commençais à faire le chemin inverse quittant la boite de nuit pour aller m’asseoir sur les marches, j’avais besoin d’une cigarette.
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A peine je venais de boire mon verre de tequila que l'un de mes collègues vint me voir. "Le patron veut te parler." Et tout cela pour me dire qu'il n'avait pas apprécié le bazar que j'avais mis avec Soliman dans le bar et que par conséquence, j'étais viré. WHUUUT?! En colère, je partais du People's Republik. "Tu peux toujours revenir en client, tu es le bienvenue". Ouai ouai en attendant, j'étais viré, sans boulot. Je n'avais plus que l'argent du mois que j'avais travaillé, mais maintenant, je n'avais plus rien d'assuré pour la suite. A l'approche de Noël, ça tombait très mal, moi qui cherchait à gâter ma famille en cette période. La clope en main, je sortais de la boite de nuit afin d'essayer de ne pas m'énerver. Adossé au mur, je n'avais pas vu Soliman au début, et heureusement, je lui aurais carrément foncé dessus. Et lorsque mon regard se posa dessus, mon sang ne fit qu'un tour, je jetais ma cigarette sur le sol humide avant de le prendre par le col pour le plaquer sur le mur. « Ne refais plus jamais ça, ne m'adresse plus la parole. Disparais de ma vie, comme ci tu ne m'avais jamais connu. Je veux plus que tu me fasses souffrir comme ça ! » La respiration haletante, je le lâchais. Je n'avais plus de force. Plus de boulot, plus d'argent pour ma famille. J'étais dans la merde totale et j'avais honte de devoir leur annoncer. Je me retenais aussi de lui mettre mon poing dans la gueule. Je le fixais, toujours de manière haineuse. « Au fond, t'es qu'un sale gosse égoïste! » Mots dit sur le tas, au fond, je lui en voulais mais ce que je disais, c'était par colère, je ne les pensais pas réellement.
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Je me sentais si mal ce soir, si je n’étais pas quelqu’un qui avait de la volonté, un sens de l’optimisme aiguisé et bien je me serais mis à pleurer comme une fillette. Je souffrais réellement de cette situation, ce n’était pas juste pour faire genre devant lui alors que je m’en foutais derrière. Non, je n’arrivais pas à me passer de lui, c’était plus fort que moi, je devais y retourner et je n’aimais pas ça, me sentir aussi dépendant me poussait à me remettre en question sur beaucoup de points et ce soir je n’avais définitivement pas obtenu les réponses que j’aurais pu attendre. La seule chose que je savais c’est qu’il m’aimait autant qu’un gamin aime une paire de chaussettes, c’est-à-dire pas du tout. Il avait peut-être clamé haut et fort qu’il m’aimait avant que je fasse un choix ferme et définitif mais je n’y croyais pas, il ne pouvait pas être sincère et tourner la page aussi facilement, je n’aurais pas été capable de le faire personnellement. Lorsque j’étais amoureux je l’étais à fond, je ne pouvais pas vivre sans celui ou celle qui me faisait ressentir tout ça, résultat ? Je venais à me demander si je n’étais pas plus amoureux de lui que de Charlie. Tirant sur ma cigarette encore un peu plus j’entendais la porte puis quelqu’un qui me prenait par le col et me plaquait contre le mur, un mur sur lequel il devait y avoir quelque chose de pointu puisque j’avais senti un long picotement puis un petit écoulement au niveau de ma chute de reins. Probablement un clou ou quelque chose dans le genre, toujours est-il que malgré la douleur je n’étais pas vraiment occupé à lui faire constater qu’il venait de me faire du mal, je l’écoutais ne baissant pas les yeux une seule seconde. « Ne refais plus jamais ça, ne m'adresse plus la parole. Disparais de ma vie, comme ci tu ne m'avais jamais connu. Je veux plus que tu me fasses souffrir comme ça ! » Il me lâchait et je profitais de cet instant pour glisser une main sous mon t-shirt, je la relevais pour constater qu’il y avait du sang, une bonne dose. Je devais être ouvert mais je ne m’en inquiétais pas trop, si le sang continuait de couler j’appellerais Briony et elle y ferait quelque chose. « Au fond, t'es qu'un sale gosse égoïste! » Je m’énervais, le prenant par le bras je lui plaquais mon poing sur le visage ce qui le faisait tomber contre le sol. « Très bien ! Vas en enfer. Je ne veux plus jamais entendre parler de toi okay ? Restes dans ta merde ! » Je le poussais pour qu’il dégage le chemin glissant ma main une nouvelle fois dans mon dos, ça me faisait vraiment mal.
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J'étais dans la merde, jusqu'au coup. Je pensais à ma famille, elle comptait sur moi étant donné qu'ils avaient besoin d'argent et que ma paye les aidait tout en m'aidant à être à Harvard. Cependant, ce n'était plus possible. Je lui en voulais de m'en demander trop, je ne pouvais pas rester à ses cotés en souffrant en silence. Je pouvais pas, j'avais déjà une vie de merde. Supporter qu'une autre personne le touche ? Qu'une autre personne l'embrasse, ai droit à sa tendresse, son amour ? Je ne pouvais pas supporter cela. Je finirais par devenir fou. Bref, j'étais très remonté contre Soliman, je me retenais de le frapper mais quand ce fut lui qui me retenait le bras pour me frapper tout en me faisant tomber au sol sous la force. Je me redressais en le regardant. « Très bien ! Vas en enfer. Je ne veux plus jamais entendre parler de toi okay ? Restes dans ta merde ! » Je fronçais les sourcils, je vivais très bien jusqu'à ce que je le connaissais, les six années d'amitié avaient été super mais maintenant que ça avait évolué, c'était pire que ça. Je n'avais même pas vu qu'il était blessé dans le dos, je fonçais sur lui un peu comme à un match de football américain pour le mettre au sol. Pour la première fois de ma vie je me retrouvais à califourchon sur le Winthrop et pas pour l'embrasser, ni le chatouiller mais bien pour lui mettre mon poids dans le visage. « Azy ta gueule! C'est de ta faute si je fais tout pour t'oublier, c'est ta faute si je souffre tous les jours parce que tu me manques! C'est ta faute si je me suis fais viré ! Ce sera ta faute si ma famille finit dans la rue! C'est toi qui a tout gâché Soliman!  » J'avais plus de force, tout sortait. Je me laissais tombé sur le sol, prenant mon visage entre mes mains. « Tu te rend pas compte de ce qu'il se passe... J'ai besoin de toi, et je veux pas être ce que tu veux. Je veux pas être le second, le dernier, je veux pas être l'ami de longue date... je voulais être à toi, et toi à moi. Putain, j'y ai cru. » J'avais mal au ventre, ça me faisait tellement mal.
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Je pensais pouvoir enfin prendre mon envol, cette soirée était trop pourrie et je ne voulais plus perdre de temps à rester ici alors que clairement personne ne désirait ma présence. En temps normal je venais rarement sans mes amis mais ce soir je m’étais dit que ça serait un moyen parfait de me vider la tête, c’était clairement raté. Je regrettais déjà d’avoir mis un coup de poing à Liam, mon impulsivité me poussait à le faire et je ne pense pas qu’il m’en tiendrait rigueur, avec tous les propos qu’il venait de tenir sur Charlie, sur moi il méritait amplement ce que j’avais fait. Il me rattrapait et me faisait perdre l’équilibre, en deux secondes je me retrouvais allongé contre le sol mon dos me faisant toujours aussi mal, je n’avais même pas pensé à me retourner pour voir si c’était un morceau de verre, un clou ce qui était très probable puisque le mur de cette boite était vraiment une poubelle vivante. « Azy ta gueule! C'est de ta faute si je fais tout pour t'oublier, c'est ta faute si je souffre tous les jours parce que tu me manques! C'est ta faute si je me suis fais viré ! Ce sera ta faute si ma famille finit dans la rue! C'est toi qui a tout gâché Soliman! » Me mettre la faute sur tout c’était tellement simple pour lui, il ne se rendait pas compte de toute la souffrance que ça provoquait chez moi ? Je lui tenais néanmoins tête répondant du tac au tac en parlant aussi fort que lui. « Mais bien-sûr… C’est de ma faute si tu as tout fait pour séduire Abygaelle, c’est de ma faute si tu m’as ignoré, c’est de ma faute si tout ce qui a pu t’arriver de mal dans la vie t’es arrivé tu ne le savais pas ? Je suis un aimant à malheur ! » Je me sentais mal et ne savait plus du tout comment faire pour ne pas perdre la tête. « Tu te rend pas compte de ce qu'il se passe... J'ai besoin de toi, et je veux pas être ce que tu veux. Je veux pas être le second, le dernier, je veux pas être l'ami de longue date... je voulais être à toi, et toi à moi. Putain, j'y ai cru. » Pourquoi est-ce que j’étais si touché par ses propos ? C’était tellement romantique, parfait. Mon cœur battait à une vitesse folle, sans savoir ce que je faisais vraiment je le repoussais, la seule chose qui me faisait envie c’était lui, ses lèvres, son corps, partir loin d’Harvard pour ne pas avoir honte d’être amoureux de deux personnes… « Tu ne veux plus me voir… Tu ne me verras plus, c’est promis ! » Ma main rougie par le sang qui s’écoulait de mon dos je reprenais la route pour le parking, je voulais partir au plus vite.
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