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waves after waves (cali & caleb)

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Caleb émit un petit rire quand Cali parla du chasseur. Ce conte était merveilleux et collait bien à la peau de la blonde qui entamait des manœuvres pour sortir le véhicule de sa place de parking. Caleb s’installa comme s’il était chez lui. De toute façon, il avait foutu ses affaires sur la plage arrière, allongé un peu le dossier de son fauteuil, et ouvert un peu la fenêtre. Elle avait raison sur un point. En suivant autres directions jusqu’au bout, on atterrissait où ? Il n’avait jamais essayé, et c’était l’occasion de résoudre un petit mystère inutile en ce jour sombre et gai à la fois. « Maintenant que tu le dis, si. C’est parti pour aller à autres directions. On s’arrêtera quand on sera fatigué. Ou qu’on aura faim. T’en pense quoi ? » Elle était autant partante que lui, c’était ça qui était bien. Il n’avait pas l’impression de devoir faire semblant à ses côtés, il pouvait être lui-même. Il soupirait légèrement de plaisir en posant sa tête sur l’appui-tête quand il reçut un portable qui atterrit directement entre ses jambes. Caleb se mit les deux mains au paquet, plus par surprise que par douleur. « Aïe ! Castre-moi complètement tant que t’y es ! » Il levait les yeux au ciel en riant, et il regardait ensuite les suggestions, ce qu’elle écoutait en général. Bon, ça va. C’était pas complètement à refaire. Mais elle lui annonça que sa passion du monde, c’était les chansons de Noël. « Il n’y en a qu’une que j’aime, que je chante à tue-tête et que je hurle de plaisir à chanter. Tout ce qu’il se passe dans cette voiture reste dans cette voiture. » Et il balance du Mariah Carey. « Iiiiiiii don’t want a lot for Chistmaaaaaas, There is just one thing i neeeeeed. » Bon. Juste après, on balancerait un peu de Panic! at the disco, ou du Skillet, ou même la BO de The Greatest Showman. Histoire de contrebalancer ce plaisir coupable qu’il s’octroyait non sans une pointe de honte pour les gens extérieurs.

@'Cali Spencer"
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La petite voiture serpente dans les rues de Boston, s’arrêtant ci et là devant quelques feux ou quelques stop. Maintenant que tu le dis, si. C’est parti pour aller à autres directions. On s’arrêtera quand on sera fatigué. Ou qu’on aura faim. T’en pense quoi ? J’en pense que c’est une excellente idée ! dis-tu en te mordillant l’intérieur des joues, augmentant un peu le chauffage de la voiture. Niveau musique, t’étais pas de la team CD ou clé usb. Non, toi t’utilisais ton portable, nouvelle génération il parait. T’étais d’ailleurs toujours étonnée du nombre de CD qui se vendait dans les magasins à croire que ça continue de faire fureur. Non vraiment, toi c’est pas ton truc. Comme tu n’peux pas conduire et gérer la musique – tu sais faire deux choses à la fois mais y’a des exceptions, quand même ! – tu balances tout l’attirail à Caleb avant de reporter ton attention sur la route. Aïe ! Castre-moi complètement tant que t’y es ! Quoi ? Oh, zut. Tu t’mets à rire, portant une main devant ta bouche. Ca va, ça va, pardon ! souris-tu tandis que Caleb s’occupe d’allumer l’application. Si au premier abord tu pensais qu’il se moquerait de ton amour pour les chansons de Noël, c’est une toute autre réponse qui glisse entre les lèvres du jeune homme. Il n’y en a qu’une que j’aime, que je chante à tue-tête et que je hurle de plaisir à chanter. Tout ce qu’il se passe dans cette voiture reste dans cette voiture. Tu tournes la tête, hyper intriguée pour le coup. Et là, les premières notes de la célèbre chanson de Mariah commence. Oh purée, oh purée. Tu couines intérieurement, cette chanson tu l’adooooores ! Tu t’mords la lèvre pour ne pas rire lorsque Caleb se met à chanter mais très vite, tu lui embranches le pas et chante à tue-tête ces paroles que tout le monde connait ! All I want for christmaaaas, iiiiiis youuuuuuu ! Tes épaules qui n’en peuvent plus de bouger au rythme entrainant de la chanson, t’es même persuadée que ta voiture ne roule plus bien droit tellement tu t’enjailles comme une gamine. Des gestes à peine exagérés sur ton visage tandis que tu chantes à t’en casser toi-même les oreilles. Oh, un panneau « autres directions » ! Tu tournes et débouches sur une longue route bordée d’arbres de part et d’autre. La musique fini par toucher à sa fin sur une note bien trop aigue pour toi – encore merci que les vitres de la voiture ne se soient pas cassées – et y’a ce sourire indélébile sur tes lèvres lorsque tu tournes la tête vers Caleb. Alors là, le jour où tu joueras les gros durs j’serais là pour te rappeler que t’es le genre de mec à écouter Mariah Carey à fond dans une voiture ! Un éclat de rire. Balance moi un autre truc, un truc que t’écoute toi. Laisse moi te découvrir Caleb, j’veux savoir qui t’es.
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Les chansons de Noël étaient son point faible, c’était l’un des moments de l’année qu’il adorait parce qu’il avait envie de croire qu’à l’avenir, il pourrait faire profiter à ses enfants d’un Noël dans l’opulence, comme il n’en avait jamais eu dans sa jeunesse. Alors il chantait à s’en briser la voix, dansait jusqu’à souffrir de courbatures, ses cheveux dans tous les sens, il prenait plaisir à vivre à fond cet instant si intense accompagné d’une personne aussi folle que lui. Puis la chanson arriva à sa fin et la tension put redescendre doucement sur la note si belle mais si aigüe de Mariah. Cali le menaçait de lui rappeler à chaque faux pas de machisme ce moment-là et il fit les gros yeux. « Jamais, tu m’entends ?! Ce que tu vas pouvoir voir de moi, ce côté libérée délivrée et ce fan de karaoké qui ne s’assume pas, TU L’OUBLIES ok ? » Il se mit à rire de plus belle. C’était ce genre d’instant qu’il voulait partager avec les personnes qu’ils aimaient, et étrangement, aujourd’hui c’était Cali, qu’il avait envie de voir sourire et rire. Parce qu’elle l’avait empêché de faire une connerie, parce qu’elle avait réussi à le sortir de sa noirceur le temps d’un instant en tournant à chaque fois vers Autres directions et Caleb suivait le mouvement sans trop prêter attention à la route. Ils auraient pu finir au Canada qu’il s’en moquait éperdument. Finalement, il récupérait le portable de sa partenaire de crime et cherchait des musiques en particulier. Il y en avait tellement que le choix était difficile, et il voulait taper juste. Alors il tapa instinctivement NATURAL sur le clavier du smartphone. Imagine Dragons, cette chanson le faisait vibrer de cohérence et de véracité, et elle était puissante. Il en profita pour retirer ses chaussures. Et il savait très bien que l’odeur de ses pieds ne pouvaient égaler celle d’un bon vieux fromage tout droit venu d’une vieille ferme texane. Il ouvrit donc la fenêtre pour aérer, le temps que chacun des deux puissent reprendre une respiration saine et non-polluée. « SI on atterrit en Alsaka, je veux qu’on aille voir un volcan. C’est l’état volcanique, je veux qu’on y aille. Et s’il fait trop froid, on fait un tour en avion au-dessus des glaciers. »

@Cali Spencer
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Jamais, tu m’entends ?! Ce que tu vas pouvoir voir de moi, ce côté libérée délivrée et ce fan de karaoké qui ne s’assume pas, TU L’OUBLIES ok ? T’éclates de rire en secouant la tête frénétiquement. Alors là, jamais ! Jamais, jamais, jamais ! Et combien même tu le voudrais, tu serais bien incapable d’effacer toute trace de ce visage pétillant, le temps d’une chanson, de ces lèvres qui formaient un parfait cul de poule lors de ces « youuuuu » interminables, de ces boucles brunes qui fouettaient son visage chaque fois qu’il tournait la tête vers toi. Non, vraiment, t’en serais incapable. C’est au tour de Caleb de choisir une chanson et ce sont les premières notes du dernier son qui remplissent l’habitacle. Tu connais que le refrain, c’est déjà pas mal. Tu fais tourner le bouton du volume pour mettre plus fort et balances ta tête de gauche à droite sur les basses de la musique. Rien à voir avec la Mariah, c’est clair ! Ca sent bizarre non ? dis-tu au bout d’un p’tit moment, le nez plissé. Caleb ouvre la fenêtre et en voyant ses petits orteils s’agiter sous ses chaussettes, tu comprends que l’odeur vient d’ici. Eh, j’t’en pris, fait comme chez toi ! ris-tu en lui donnant un tape sur le torse avant de lui proposer un nouveau son (juste parce que ce film, cette scène !). SI on atterrit en Alsaka, je veux qu’on aille voir un volcan. C’est l’état volcanique, je veux qu’on y aille. Et s’il fait trop froid, on fait un tour en avion au-dessus des glaciers. En Alaska ? Mais c’était à l’autre bout du continent. Littéralement ! Tu secoues la tête, perdue dans la musique. Pourtant tu serais prête à conduire jusqu’au bout du monde pour rester dans cet état d’esprit avec Cheveux d’Argent à tes côtés. J’pourrais rajouter ça sur ma liste : voir un volcan et survoler les glaciers d’Alaska ! Les yeux grands ouverts, t’agites ta main au dessus de ton sac glissé entre les jambes de Caleb (purée, il allait puer des pieds ton sac !). Dans la petite poche sur le côté, note, note ! Une vieille feuille toute âbimée qui menaçait de ce déchirer à chaque instant. Mais c’était ta liste, tes rêves, toute ta vie était inscrite sur ce papier.
Vous roulez, avalez les kilomètres en laissant la nuit derrière vous. Tu ne saurais pas dire depuis combien de temps vous roulez ni combien de panneaux vous avez croisé. Mais c’que tu peux dire, c’est que c’est au cœur d’un endroit pire que désert que la voiture se met à toussoter, les voyants clignotent de partout avant de s’éteindre et.. plus rien, la voiture s’arrête. Quoiiiii ? Non, non, noon. couines-tu en essayant tant bien que mal de redémarrer le véhicule. Et là tes yeux qui se posent sur la jauge d’essence : à sec. Purée, avec toute cette musique et cette agitation tu n’avais ni vu, ni entendu, le petit voyant de la réserve s’allumer. Plus d’essence.. dis-tu en grimaçant, tapotant sur la petite jauge du tableau de bord comme si ça allait miraculeusement la remplir. L’Alaska, on repassera non ?

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Caleb meurt de rire à l’attente d’un son de Wham! Et il commença à chanter les premières paroles d’un George Michael hyper entrainant, toujours en bougeant dans tous les sens, l’homme aux milles chansons dans son jukebox qui sortait littéralement du corps de Caleb pour venir enchanter l’habitacle de sa voix de crécelle. Cali jouait avec lui, et elle était aussi belle qu’une aurore boréale. Puis quand Caleb émit la possibilité de partir en Alaska avec quelques activités, elle pressa Caleb de récupérer un bout de papier complètement défoncé avec une liste de chose à faire, certains points complètements raturés. Sans aucune gêne, il lut la liste qui se dessinait devant ses yeux bleus et il rajouta en bas Faire de l’avion au-dessus des glaciers de l’Alaska et Voir un volcan actif en Alaska. Il rangea ensuite le petit bout de feuille à sa place, assez content d’avoir pu y poser sa patte d’une manière ou d’une autre, dans cette bucket list de la mort.

Le temps défilait devant leurs yeux, leurs voix qui chantaient toutes les chansons que Spotify avait dans son ventre, ils s’amusaient comme deux gamins, le soleil se couchant petit à petit pour dire bonjour à la lune blanche que la peau de Cali qui s’éclairait doucement à travers les filets de lumière du pare-brise un peu sale de la route qu’ils venaient d’effectuer. Caleb avait peut-être dû s’assoupir à un moment donné, il ne s’en rappelait mais rien n’arrêtait ce partenariat intéressant et improbable. Mais d’un coup, la voiture fit un bruit de pétard, et les voyants disparaissaient petit-à-petit, et elle s’immobilisa d’un coup. Cali annonça qu’ils n’avaient plus d’essence, Caleb était à sec sur son compte bancaire, il ne lui restait qu’une centaine de dollars en liquide, son salaire arriverait potentiellement dans les deux jours à venir, mais en attendant, ils se retrouvaient coincés en plein milieu d’un désert. La lumière de la Lune avait l’ironie de porter son halo de lumière sur eux, histoire de les narguer encore plus en profitant de ce spectacle médiocre. Caleb tourne sa tête en riant très légèrement. « C’est pas les mecs qui font le coup de la panne normalement ? » Il fronça son nez en souriant et coinçant sa langue entre ses lèvres, puis il sortit de la caisse pour aller vers le capot. « On peut peut-être trafiquer un peu histoire d’avoir au moins un fond d’essence ? » Il ouvrit le capot qui était brûlant à cause du moteur qui avait tourné toute la journée. Il toussota légèrement, comme la voiture, et il fit mine de s’y connaitre un peu en voiture. Il regardait la batterie, les bougies, le moteur directement et puis… « Bon en fait… » Il referma le capot. « J’m’y connais pas du tout en bagnole, j’fais ça juste pour faire mon intéressant. » Il avait déjà de la crasse noire sur le visage et sur les mains. Du cambouis.

@Cali Spencer
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Purée, c’était vachement le moment de tomber en panne d’essence. Pas qu’il y ai de moments propices mais… RAH ! C’est pas les mecs qui font le coup de la panne normalement ? Le célèbre, le fameux. Tu secoues la tête, prenant se même ton ironique que lui. J’ai décidé de prendre les devants et d’être une femme entreprenante dans la vie. dis-tu en jouant avec une de tes jolies mèches blondes. Caleb descend de la voiture, tu l’imites. Il ouvre le capot et vous voilà tous les deux à contempler l’intérieur du moteur, les mains sur le devant de la voiture. On peut peut-être trafiquer un peu histoire d’avoir au moins un fond d’essence ? T’avais beau ne rien y connaître en mécanique, garage, voiture et autres machin choses, t’étais quasi sûre que ce n’était pas comme ça que ça fonctionnait. Et puis, tu voulais pas casser son délire hein, mais le réservoir d’essence est à l’arrière de la voiture. Hm. Bon en fait… J’m’y connais pas du tout en bagnole, j’fais ça juste pour faire mon intéressant. Clac, le capot qui se referme. Tu secoues la tête, l’air moqueur. J’me disais, aussi. Ca aurait été trop beau. Y’a que dans les livres que les mecs les tirent d’une situation comme celle-ci. Tu files chercher ton téléphone que tu débranches du câble et retournes t’appuyer contre le capot. Le navigateur internet ouvert, tu ouvres la géocalisation et pianote pour rechercher la station essence la plus proche. Purée de patate. Va falloir pousser, Hulk ! souffles-tu en lui montrant ton téléphone. La prochaine station était à quelques kilomètres, encore heureux. Trois ou quatre selon le google maps (et l’Alaska est loiiiiiin du petit point qui vous identifie). A moins que t’ai une meilleure idée ?
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Caleb n’avait jamais vraiment eu de problème de voiture. Un de ses amis d’enfance était garagiste, et il lui filait sa caisse dès qu’un souci importunait Caleb ne serait-ce que pour un détail. Alors là, de devoir se la jouer héros de comédie romantique à venir au secours de sa belle, c’était raté pour ce soir. Il n’y connaissait rien, et ce n’était pas comme ça qu’il allait attraper un peu d’âme de Cali au passage. Il contournait la voiture pour trouver une solution qui lui sautait à l’esprit mais rien ne venait. Elle lui proposa de pousser la voiture, et malgré le sport que Caleb faisait, pousser une caisse sur plusieurs kilomètres n’était certainement pas de son ressort, encore moins tout seul. Ce n’était pas Cali qui allait l’aider à faire avancer le tas de ferraille, quoique plutôt jolie voiture. Alors il se gratta légèrement le début de barbe qui apparaissait sur son visage et il fronça légèrement les sourcils. « La seule solution qui s’offre à nous, c’est de dormir dans la voiture ce soir Blanche-Neige, et de voir si on peut choper quelqu’un sur la route demain, quand le soleil se lèvera. » Il regardait un peu plus loin, et il constatait qu’il y avait une sorte de falaise un peu plus loin. « Autant rendre les choses agréables pour nous, tu ne crois pas ? » Une centaine de mètre à pousser la voiture, c’était faisable non ?  « Descends ton cul de la caisse, j’dois pousser. » Qu’elle soit là ou pas, c’était pas ses 50kg qui allait l’empêcher de pousser un peu plus, mais c’était déjà ça. Alors il se mit vers le cul de la voiture et il posa ses mains sur le coffre. « Va au volant, et passe la première. Fais comme si tu démarrais en débraillant à fond sur la pédale. » Et à ses instructions, il poussa comme un damné la voiture qui roulait à peine. Il savait qu’il en aurait au moins pour une bonne dizaine de minute, mais ça valait le coup. Arrivé à une cinquantaine de mètre, il arrêta de pousser pour reprendre son souffle. Il transpirait tellement il forçait, c’était épuisant. « J’en peux pluuuus. » Il retira son tee-shirt pour s’éponger le front avec et enlever une couche d’habit sur sa peau. Puis, il continua à pousser la voiture à nouveau, pour qu’elle se poste enfant derrière un arbre surplombé par une falaise absolument magnifique. « Pense à tirer le frein à main hein ! Qu’on finisse pas dans le ravin ! » Et il s’appuyait sur le coffre, haletant de l’effort qu’il venait de faire. « Pas besoin de sport, j’en fais juste en poussant une caisse sur cent mètres ! » Et il roula des mécaniques en montrant ses biceps, ses triceps, ses abdos, en prenant des poses de culturiste, ironisant.

@Cali Spencer
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La seule solution qui s’offre à nous, c’est de dormir dans la voiture ce soir Blanche-Neige, et de voir si on peut choper quelqu’un sur la route demain, quand le soleil se lèvera. Quoi ? Et mourir par les trois petits degrés qui se battent en duel dans l’air ambiant ? Il n’était pas sérieux hein ? Tu préférais encore marcher les kilomètres en abandonnant la voiture, acheter un bidon de dix litres et le remplir d’essence et revenir en trainant ce poids mort sur les épaules. Et partir en Alaska. Non, vraiment, c’était pas une bonne idée. Tu l’regardes, l’air incrédule. Autant rendre les choses agréables pour nous, tu ne crois pas ? Tu tournes la tête pour regarder dans la même direction que lui, le spot était pas mal, t’avoue. On pourrait peut-être aller jusqu’à… Descends ton cul de la caisse, j’dois pousser. Va au volant, et passe la première. Fais comme si tu démarrais en débraillant à fond sur la pédale. Même pas le temps de finir ta phrase qu’il te coupe l’herbe sous le pied. Je sais comment on fait, merci. Un regard taquin tandis que tu te glisses derrière le volant et que tu passes la première. La portière ouverte, la voiture se met leeeentement à rouler. Encore 15872 heures et on sera en Alaska, Caleb ! souris-tu en le regardant pousser la voiture dans le reflet du rétroviseur central. Manque de bol pour l’étudiant, il a fallu que la voiture s’arrête sur une route plate de chez plate. Une descente aurait été la bienvenue pour le coup ! J’en peux pluuuus. Hein, quoi ? T’arrêtes pas Superman, on est en plein milieu de la route oh. Allez, on y est là, encore un peu ! On sera… C’était les meilleures paroles d’encouragement que t’étais capable de faire lorsque ta phrase s’estompe sous le spectacle qui se joue dans le rétro. Des muscles, un tas de muscle. T’as le regard perdu dans le rétro, t’en oubli de tourner le volant lorsqu’il se remet à pousser. Pense à tirer le frein à main hein ! Qu’on finisse pas dans le ravin ! Ah oui, bonne idée. Une fois la voiture immobilisée sur un parterre d’herbe, tu tire le frein à main et sors de la voiture. Pas mal, pas mal. que tu dis en shootant dans une motte de terre, montrant le paysage du haut de cette falaise. Pas besoin de sport, j’en fais juste en poussant une caisse sur cent mètres ! Tu détournes le regard, le rose aux joues, le sourire aux lèvres. Dieu merci, la nuit était bien tombée, il ne remarquerait sans doute pas ces couleurs sur ton visage. Et pourtant, c’est plus fort que toi, t’arrives pas à quitter des yeux ses abdos -trop- parfaitement scultés, ce torse masculin à souhait. Arf. C’est plutôt efficace on dirait. Tu vas attraper la mort, rhabille toi. Ca valait mieux pour ta santé mentale. T’ouvres le coffre et bondit dans celui-ci, croisant tes jambes en tailleurs. Alors dis moi, Superman, c’est quoi le programme, hein ? T’attrapes ton sac de week-end et en sors une énorme veste en pilou pilou avec deux oreilles de chat sur la capuche. M’juge pas Caleb, j’veux pas mourir de froid cette nuit même si je mourrais en ayant eu la plus belle vue de monde, et j’parle pas de la falaise. Tu crois qu’on peut se faire livrer des pizzas, ici ? demandes-tu en haussant les épaules.
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Il mettait les poings sur ses hanches et regardait le paysage qui s’offrait devant lui. C’était presque paradisiaque dans un désert complètement aride et sec. Il savait que la nuit allait être glaciale, qu’ils allaient devoir passer plusieurs heures complètement dans le froid dans une petite voiture, mais bon, c’était le goût de l’aventure qui rendait les choses bien plus légères qu’elles n’y paraissaient. Caleb sentait sur lui une brise fraîche lui caresser la peau et il prenait une grande inspiration. Finalement, Cali lui dit de se rhabiller car il pourrait attraper la mort, et il enfile son tee-shirt à nouveau, pour contourner la caisse quand elle s’installe dans le coffre ouvert, rentrant parfaitement dedans. Il finit par s’asseoir en tailleur sur le sol, et il leva ses yeux couleurs ciel vers Cali. Là, comme ça, avec la lune derrière et le décor désertique qui se dressait derrière eux, Cali avait l’air de sortir tout droit d’un film français des années vingt. Sa silhouette menue et ses cheveux qui frémissaient au contact du vent la rendait envoutante. Il resta un peu figé en l’observant, une part de Blanche-Neige rencontré à cette soirée d’Halloween lui revint en mémoire, et il se rappelait pourquoi il avait craqué pour ce zombie au rire charmeur. Puis elle le ramena à la réalité en lui demandant ce qu’ils comptaient faire, et surtout, si la livraison de pizza fonctionnait. Caleb récupéra son téléphone portable et regardait s’il avait un peu de connexion. « Wallou, nada, que dalle. J’ai pas de connexion. On va bouffer les chips et les nounours en guimauve que j’ai dans mon sac à dos. » Il se levait pour aller les chercher, il récupéra les chips et il envoya les chocolats sur les jambes de Cali qui les avaient croisés. Surtout parce qu’il les observait. Puis il releva sa tête. « J’ai pris un pull. C’était au cas où l’train m’amenait dans un endroit froid. Tu l’veux ? » Il espérait qu’elle dise oui, parce qu’il voulait la voir emmitouflé dans une de ses fringues.

@Cali Spencer
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Wallou, nada, que dalle. J’ai pas de connexion. On va bouffer les chips et les nounours en guimauve que j’ai dans mon sac à dos. Crap. T’aurais rêvé de t’enfiler une pizza dégoulinante de gras, le genre de bouffe qui réduirait à néant les quelques minutes de poussage de voiture du beau Caleb. Un paquet d’oursons en guimauve t’atterrit sur les jambes au même moment. C’est toujours mieux que de mourir de froid et de faim.. t’amuses-tu à lui répondre en ouvrant le paquet, oubliant complètement d’enfiler la veste que tu venais de sortir de ton sac. Tu sors un nounours et regarde la petite guimauve enrobée de chocolat. J’suis végétarienne. Est-ce que c’est mal de manger un truc en forme d’ours ? Tu jettes à un regard à Caleb, un sourcil relevé, avant de mordre dans le confiserie. Coupé en deux, l’ours. J’ai pris un pull. C’était au cas où l’train m’amenait dans un endroit froid. Tu l’veux ? Mâchouillant ta petite guimauve, tu hoches la tête. Alors que t’as tout ce qu’il te faut dans ton sac, t’avais pas besoin de son pull. Ouais mais voilà, c’était son pull, à lui. S’il te plait. souffles-tu en te décalant un peu sur le côté pour laisser Caleb fouiller dans son sac à dos. Ok, j’ai une ou deux application débiles sur mon téléphone, ça t’dit ? Tuons la nuit ensemble, Caleb. Aloooors. Sans attendre de réponse, t’ouvres la première application et clique sur un bouton, puis un autre. Ok. Caleb. dis-tu en penchant la tête légèrement en avant, un air faussement sérieux sur le visage. Tu préfères… être dresseur pokémon ou être sorcier à Poudlard ? lui demandes-tu, ton propre choix déjà fait ! Ouais, j’te l’ai dit Caleb, c’est une application débile.
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