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waves after waves (cali & caleb)

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Il avait réfléchi aux conséquence de son départ. Il s'était dit que pour le bien de tous, de sa famille, de sa fille, de son ex-femme, de sa meilleure amie, de ses proches, c'était le mieux à faire. Rien n'était cohérent dans ce qu'il entreprenait et tous les démons du monde venaient lui arracher chaque parcelle de bonheur ou de réconciliation avec la vie quand il avait ne serait-ce qu'un semblant de pas en avant devant lui. Alors il avait décidé de prendre un sac à dos et de se balader dans les rues de la ville. Ses pieds l'avaient conduit ici, à la gare. Pour quelles raisons, il n'en savait rien. Il faisait pas le bon choix, il jouait les cartes de la faiblesse Caleb, mais il n'avait pas de solution. Il dépensait trop de fric dans un avocat qu'il pensait compétent, mais Roxanne avait trop d'élément contre lui. Il n'allait jamais revoir sa fille et puis… ses frères et soeurs le haïssaient, il était trop dur Caleb. Il fallait bien que tout ça s'arrête. Il aurait voulu s'enfermer pour toujours, s'étaler sur le sol, pleurer sur un carrelage d'une salle de bain mais est-ce qu'il savait seulement verser une larme le grand garçon ? Plus personne pour l'aimer ou le toucher, il n'avait plus d'espoir quant à la réalité. Après s'être brisé chaque os durant ses combats, son coeur avait disparu, il s'était carapaté loin et vite. Il était à vif, et n'avait plus de solution. Les plans, A, B et C avaient échoué, le reste n'avait plus d'importance. Alors son sac à dos sur l'épaule, il était assis sur un banc de la gare, attendant son train qui l'emmènerait dieu-sait-où.

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Ce week-end, tu partais. Rares étaient les fois où tu quittais Cambridge ou Boston depuis que tu étais à Harvard. C’est triste, quand on y pense. Tu ne trouvais pas le temps de prendre du temps pour toi, perdue dans tes études et tes passions. Tu faisais une piètre meilleure amie, c’était certain ! Alors ce week-end, c’est décidé, tu partais pour Waltham afin de rendre visite à Olga et promis que cette fois tu n’annulerais pas. Olga, c’était ta meilleure amie au lycée mais vous avez choisi des universités différentes et vos chemins se sont séparés. Au début, vous communiquiez tous les jours et puis vos conversations se sont espacées, vos rencontres aussi… vous aviez pris deux chemins différents, avez changées mais n’en restez pas moins aussi complices lorsque vous vous voyez au moins trois fois par ans, quand tu n’annulais pas.
Tu arrives à la gare avec ton petit sac de voyage et ton billet que tu t’empresses de composter dans la machine sur le quai. Ce dernier est plutôt calme pour un vendredi soir, surement parce que tous les étudiants et les gens qui travaillent avaient pris les trains d’avant.. Il était tard, tu n’arriverais pas chez Olga avant une bonne heure du matin. T’avances vers le banc afin d’attendre le train lorsque tu le remarque. Ces larges épaules, ces deux yeux bleus qui brillent malgré la nuit tombée, cette barbe de quelques jours, cette force qui se lit sur son visage. Il n’y a que sa crinière argentée qui manque à l’appel. Bonsoir, Cheveux d’Argent. Ce surnom ridicule duquel tu l’avais affublé lors de cette soirée d’Halloween. Je peux.. ? lui demandes-tu en désignant la place à ses côtés sur laquelle tu t’installes sans attendre sa réponse, glissant ton sac entre tes pieds.
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Avait-il envide de partir ? Avait-il envie de tout envoyer valser pour un cœur qui était en train de s'effondrer ? Il faisait le gars costaud, dur et fier. Il l'était, il avait surmonté beaucoup d'épreuve, mais cette accumulation, Caleb n'en faisait pas une mince affaire. Il la portait mal, elle le lacérait, et s'il n'était pas bon pour une femme, il ne serait bon pour personne. Jane aurait-elle besoin d'un père comme lui ? Roxanne avait raison. Depuis le début, il savait qu'il allait perdre. Il n'avait pas eu le temps de parler à Roxanne, qu'il savait déjà que ça finirait mal. Alors il avait pris cette décision peut-être lâche mais au moins, elle avait le mérite d'être clair. Mais il entendit une voix familière, peut-être plus calme mais avec beaucoup de douceur. Ce surnom, des petits moments nostalgiques remontaient à sa mémoire pour le faire sourire légèrement. Il releva la tête et reconnu sa Blanche-Neige, qui avait un teint moins livide et ensanglanté. « Salut Blanche-Neige. » Il lui fit un signe de la main pour l'inviter à s'asseoir à ses côtés, mais Caleb se tassait légèrement dans sa place. Il parlait doucement, faiblement. Il n'avait pas envie de la revoir dans cet état-là. Parce qu'il était fébrile là, Caleb. Il lui aurait fallu une petite contrariété pour qu'il tape sur tout ce qui bouge. « Tu pars ? » Elle était con, sa question. C'était lui, qui avait un immense sac à dos à ses côtés et qui donnait l'impression de s'enfuir. Les cheveux de Caleb étaient maintenu dans un chignon qu'il finit par défaire devant Cali pour cacher un peu son visage. Il avait des cernes d'un autre monde. Rien ne valait qu'on le voit dans ces travers là.

@Cali Spencer
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Salut Blanche-Neige. Un minuscule sourire fend son visage tandis que tu t’installes à ces côtés, serrant ton billet de train fort contre toi. Tu pars ? Tu jettes un coup d’œil au sac glissé entre tes jambes puis poses ton regard sur Caleb qui se délasse de son chignon. Ces cheveux bouclés lui tombent sur le visage, sa voix est moins vibrante que l’autre soir, ses larges épaules sont lasses. On dirait bien. souris-tu en agitant ton titre de transport sous ton nez. Pas de gros sac de voyage pour Caleb, ni même de valise, non, rien. Juste un sac à dos qui ne semblait pas peser bien lourd. J’vais rendre visite à une amie du lycée, on a prévu de passer le week-end ensemble. continues-tu en ayant un peu de mal à dissimuler la joie qui se lisait sur ton visage. Et toi ? Tu lui retournes la question à demi-mot, arquant un sourcil, un fin sourire sur la commissure de tes lèvres. Quelque chose n’allait pas, ça se voyait, ça se ressentait. Caleb n’était pas ce Cheveux d’Argent que tu avais rencontré lors de cette soirée avec cette assurance sans faille, ce regard à vous percer le cœur et à le faire exploser en un millier de feux d’artifices.
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C’était tellement complexe comme décision. Partir ou rester ? Continuer à manger la terre ou se libérer de toutes obligations au risque de perdre ce qui était le plus important dans sa vie ? Il serrait les dents, ce qui contractait sa mâchoire à Caleb et il passait sa langue entre ses lèvres, la gorge sèche, la bouche aussi. Il était nerveux, et en même temps, une part de lui était soulagée de l’arrivée de Blanche-Neige, sans en comprendre le sens. « C’est cool ça. Tu pars dans quel coin ? » Au début, il s’était dit qu’il n’allait pas répondre à sa question, voire même l’éluder complètement, mais au final, à quoi bon ? S’il partait, il ne la reverrait plus, et ce serait terminé, elle l’oublierait le lendemain. « J’vais… prendre l’air on va dire. » Il sourit, froidement. Le genre de sourire qu’on fait avec la bouche et pas avec les yeux, celui qui se veut rassurant, mais quand on est un bon lecteur, on comprend bien qu’il n’y avait rien derrière ce mensonge de jovialité.

@Cali Spencer
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C’est cool ça. Tu pars dans quel coin ? Tu regardes le panneau d’affichage sur le quai, celui qui indique que le train arrivera d’ici une poignée de minutes. Elle habite sur le campus de Bentley. Alors Bentley. lui réponds-tu en reposant les yeux sur cet homme qui semblait avoir perdu la joie de vivre qu’il possédait l’autre soir. Tu lui retournes la question qui flotte un instant comme s’il ne l’avais pas entendu. J’vais… prendre l’air on va dire. Tu te renfrognes sur ta petite place de banc, hochant la tête. Il donnait l’impression de ne pas vouloir être dérangé, de ne pas vouloir parler à qui que ce soit. Peut-être serait-ce mieux de prétendre recevoir un appel et t’éclipser un peu plus loin et espérer le recroiser un jour en mettant cette entrevue sur le coup de la fatigue. Mais non, tu restes assise là, serrant toujours ton billet contre ta poitrine et ton téléphone bien verrouillé dans le fond de ta poche. Est-ce que tout va bien ? finis-tu par demander en te tournant légèrement vers lui. M’dis pas oui, tu ferais un piètre menteur… enfin dis pas non plus si c’est pas le cas. Enfin réponds-ce que tu veux, pas que je t’oblige à me dire ce que je crois savoir comme réponse.. Tu parles vite, gênée. Tu fermes les yeux, tu t’embrouilles, tu soupires. Excuse moi. T’es pas obligé de répondre. finis-tu par glisser à demi-mots. C’est juste que… ça à pas l’air d’aller fort.
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Caleb soupirait légèrement. Avait-il envie de s’étaler sur ce qui allait ou pas ? Même si Cali semblait confuse de cette intrusion, elle avait l’air de s’intéresser réellement à Caleb, de ce qu’il pouvait ou non ressentir. Surtout que ça devait se voir sur sa gueule. La fatigue, le désespoir, la tristesse… Toutes ces émotions un peu trop fortes le déchirait en son for intérieur. Il sentait tous ses organes fondre un par un, son cerveau tapait contre son crâne, et son cœur… mon dieu son cœur n’avait pas autant souffert depuis des années. Ce n’était pas un sentimental, Caleb, mais quel être humain pouvait vivre cette vie et en ressortir le sourire aux lèvres ? Pas lui, du moins. « Non ouais… Ca va pas fort. » Il fit un petit sourire en coin, comme pour rassurer. « Rien de grave, un peu fatigué je crois, j’ai juste besoin de… j’sais pas de tirer un truc sur ma vie harvardienne. » Il haussait les épaules, à nouveau, comme si rien n’était grave. Et puis, qui voudrait de lui comme père ? Sa fille était bien mieux sans lui, cet homme violent incapable de se contrôler et de taper sur son père biologique ? Il était un poison qui tuait toutes les plantes qui l’approchaient. Alors au moins, ailleurs, il pourrait prendre un nouveau départ. Sa famille avait trop de colère contre lui aussi. Sa sœur serait là, au moins. « T’inquiète, ça va passer. Et toi ça va ? » Essayer de détourner l’attention, c’était une piètre tentative de sa part.

@Cali Spencer
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Non ouais… Ca va pas fort. Rien de grave, un peu fatigué je crois, j’ai juste besoin de… j’sais pas de tirer un truc sur ma vie harvardienne.  Tu hoches doucement la tête sans vraiment savoir quoi dire. Si t’étais du genre compatissante, tu étais bien incapable de trouver les mots pour essayer de remonter le moral de quelqu’un, le réconforter ou même essayer de lui faire penser à autre chose. T’étais toujours trop gauche et tu finissais par remuer le couteau dans la plait plus qu’autre chose. Caliboulette, c’était toi dans ces cas-là. De tirer un truc sur ta vie harvardienne.. souffles-tu en reprenant ses mots essayant de leur chercher un sens, en vain. T’inquiète, ça va passer. Et toi ça va ? Tu acquiesces, remontant tes jambes sur le petit banc pour t’installer en tailleurs et plaquer ton dos contre la paroi de verre qui vous abritait. Ta vie ressemblait à une affreuse routine où seul ce petit week-end en perspective semble l’égayer, malgré toutes les choses qui comblaient ton planning. Si avoir l’impression de vivre la même chose tous les jours c’est aller bien, alors ça va. dis-tu en haussant les épaules innocemment. Un petit sourire qui retrousse mignonnement ton nez s’étire sur tes lèvres. Parfois j’me demande pourquoi j’plaque pas tout non plus pour partir ouvrir ma propre galerie. J’partirais aux quatre coins du monde pour peindre les plus belles choses, pour trouver l’inspiration là où elle est vraiment ; et puis j’ferais un gigantesque vernissage en offrant des petits fours et du champagne à tout le gratin artistique ! Un petit bout de rêve que tu gardes enfoui là et auquel tu penses à chaque fois que tu couches ton nom en bas d’un tableau terminé. Mais les études, « c’est ce qui compte dans la vie ». dis-tu en imitant la voix de ton père, agitant ton index menaçant devant toi, avant de rire bêtement. Vous en aviez déjà brièvement discuté lors de la soirée au cimetière de ton obligation à suivre des études. A quel âge on peut faire vraiment ce qu’on veut ? Sans avoir de compte à rendre à personne, sans devoir s’inquiéter du revers de la médaille. Quand ça, Caleb ?
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Elle insiste sur la phrase qu’a prononcée Caleb. Est-ce par compassion ? Par incompréhension ? Il commence légèrement à pleuvoir, et même s’il est tard. Ou tôt, il en sait rien, il fait un peu frais. Mais il s’en moque, tant pis si le froid le brûle, il préférait être ici plutôt que chez lui, à se morfondre et à se faire haïr de tous les côtés. Mais au final, elle a des doutes elle aussi, elle s’ennuie, elle s’enferme. Puis en fin de compte, elle s’exprime un peu plus que le frisé qui reste prostré dans son malheur. Au moins Cali elle a la franchise et le cœur de lui dire ce qui le dérange. Alors peut-être a-t-il envie de faire pareil ? En est-il capable au moins ? Il l’écoute. Attentivement en fait. Elle est belle, de profil, à regarder dans le vide et à chercher un peu de réconfort dans son petit corps. Caleb se tourne légèrement vers elle, ses épaules se détendent, et il absorbe ses mots d’une justesse incomparable. Aime-t-elle quelqu’un ? A-t-elle souffert ? Pourquoi voudrait-on lui faire du mal ? « J’pense que toute notre vie, on doit rendre des comptes. Même le plus anarchiste du monde doit rendre des comptes à quelqu’un. » Il soupire légèrement. C’était vrai. Même si on se pense profondément libre, il y a toujours quelqu’un auprès de qui on doit se justifier. « Faut juste trouver la personne qui ne te juge pas quand tu les rend. » Comme Alexis, qui juge violemment mais qui donne tout pour Caleb, comme Loïs, qui fermerait les yeux même s’il braquait une banque, comme Malaki, qui l’aiderait probablement à voler des millions comme dans la Casa de Papel. « Je t’ai dit que j’avais une fille ? » Non, il connait déjà la réponse. Mais c’est une bonne entrée en matière. Un essai, un coup de lame, léger, avant d’ouvrir les plaies. « Elle s’appelle Jane. Elle est incroyable et… » Il serre les dents. « Elle est loin de moi. » Sa mère putain. « Sa mère me l’a enlevé. Je lui en veux pas… enfin si. Bien sûr que j’lui en veux, mais elle a eu raison de le faire. » Parce que Roxanne, c’était le grand amour de sa vie, et qu’aujourd’hui, elle avait réussi à écraser le cœur de Caleb comme il avait pu le faire lui aussi avec elle. « Et ma famille me déteste. Et j’ai pas envie d’entrer dans une guerre juridique pour récupérer ma fille, ça pourrait bousiller tout le monde. » Surtout lui, en fait.
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J’pense que toute notre vie, on doit rendre des comptes. Même le plus anarchiste du monde doit rendre des comptes à quelqu’un. Tes doigts s’occupent à torturer ce pauvre billet de train et tes yeux les regardent, comme hypnotisés. Tu t’en doutais bien, de tout ça. T’espérais pas que Caleb te sorte une solution miracle pour n’avoir rien à devoir à personne, un monde comme ça n’existait pas. Ou pas encore. Pour toute réponse, tu fais un drôle de bruit avec tes lèvres (tu sais, le brrr là, je sais pas comment décrire ça omg !) et laisse le haut de ton corps s’affaisser comme une ado à qui on vient de refuser quelque chose. Faut juste trouver la personne qui ne te juge pas quand tu les rend. Numa, sans aucun doute. Si seulement tu savais que les choses changeraient entre vous les semaines suivantes, tu serais certainement moins sûre de toi. En y réfléchissant bien, tu n’avais pas tant d’amis que ça. De vrais amis, ceux en qui tu pourrait avoir une confiance aveugle. T’es souvent seule, tu n’as que des connaissances avec les études, le club de théâtre ou encore le hockey. Et c’est tout. Et on trouve ça où, des personnes comme ça ? Y’en a sur internet ? pouffes-tu en arquant un sourcil d’amusement. Je t’ai dit que j’avais une fille ? Tu secoues la tête, posant ton regard sur lui. Tu m’as dit que tu avais déjà été marié. Mais pas la présence d’une petite fille dans sa vie. Et tu l’écoutes se livrer, te mordillant la lèvre pour te retenir d’intervenir à chaque phrase, tes yeux plongés dans le siens. Caleb semblait être un homme avec qui la vie n’avait pas toujours été tendre. T’arrivais à déceler cette pointe de souffrance qui le rongeant de l’intérieur. Quand il termine, tu laisses quelques secondes passer avant d’ouvrir la bouche. J’veux pas me mêler de ce qui ne me regarde pas mais.. Tu t’humectes les lèvres, réfléchissant aux bons mots que tu allais dire. Tu préfères baisser les bras et laisser croire une petite fille que son papa l’a laissé tomber ? T’as le regard tendre, aucun jugement. Pour ta famille, j’suis désolée. C’est toujours compliqué les histoires familiales, toujours. Et ça fini bien souvent par éclater un jour ou l’autre, parfois trop tôt, parfois bien tard.
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