TG ouvert à tous • Glow in the dark

Les histoires de filles c’est pas toujours passionnant et là je suis en plein milieu de cela mais pour le coup j’en rigole bien car c’est incroyable d’avoir toujours un truc à se raconter comme ça. Je les observe sans rien dire avant qu’Iris ne s’énerve et je les calme à ma façon et sa réaction me fait rire encore plus alors que je la regarde elle ainsi que Colombe par la suite « Vous pouvez toujours essayez mais des comme vous j’en mange tous les jours » Je souris malicieusement ma phrase étant plein de sous entendu alors que je regarde d’abord l’américaine qui est plus proche de moi puis vers la française. A vrai dire j’ai déjà passé du bon temps avec les deux même si pour l’un ça date un peu plus que pour l’autre. Je rigole à la provocation d’Iris tout en me mordant la lèvre inférieure alors qu’elle me crache sa fumée de joint qui me laisse de marbre. « Voilà des paroles censées » Je m’approche d’Iris tout sourire « Tu parles en connaissance de cause enfin vous d'ailleurs » Je regarde l'une puis l'autre malicieusement avec un large sourire

On a quelques petits échanges avec Iris et forcément, Antonio fait une remarque par rapport au fait qu'on est soit disant trop violentes. Selon Iris, il vaut mieux faire l'amour moi, je préfère la guerre du moins, c'est ce que je préfère dans une soirée comme celle-ci puisqu'il y a beaucoup de proies faciles. En tout cas, ils ne cessent de se faire des sous entendus et je grimace. Ouais bah écoute, j'te le laisse volontiers ! Je veux pas d'Antonio. De toute façon, on s'est pris la tête la dernière fois et on s'est fait la gueule pendant un moment alors, inutile de recommencer. Les paroles d'Iris me font lever les yeux au ciel et je soupire bruyamment. Trop de tensions sexuelles dans l'air, j'crois que je vais vous laisser en tête à tête et trouver une autre distraction. Après tout, ça doit être facile, y a qu'à franchir le pas de la porte, aller se chercher un verre et faire connaissance avec le premier venu. Tout à fait dans mes cordes.

Je rigole de leur discussion tout en les calmant tout de même histoire que ça parte pas en grosse embrouille et dans le même temps on se cherche un peu avec Iris et ça me fait rire, c’est bon enfant, mais effectivement ce petit jeu de séduction je l’ai perdu avec Colombe par sa faute d’ailleurs. Aujourd’hui c’est différent, oui je l’apprécie mais je n’arrive pas à me projeter avec elle pour quelque chose d’autre que de l’amitié parce qu’elle ne sait pas ce qu’elle veut. « Fais attention tu risquerais de regretter tes paroles car je peux te manger là tout de suite devant tout le monde » Je souris malicieusement à vrai dire je doute que ça lui fasse peur puisque notre ébat justement on l’a fait sur une plage nudiste avec quelques passants donc c’est dire. « Beaucoup plus intéressant » Je lui glisse ces quelques mots avant que je ne lui avoue à demi mot que j’ai eu une aventure avec sa copine qui avoue mais lui dit qu’elle compte plus rien faire et nous laisser et je ne sais pas trop quoi lui dire pour le coup.

Je décide de les laisser tous les deux pour aller boire un nouveau verre et surtout, pour leur laisser plus d'intimité. Antonio ne dit rien par rapport à tout cela, sans doute parce que ça l'arrange bien. Quant à Iris, elle se tourne vers moi une dernière fois en me tendant son joint. Je lui fais signe que non de la tête en lui adressant un clin d'oeil. Je pars en direction du bar en évitant les gens et surtout, la connasse de toute à l'heure. J'ai juste besoin de me bourrer la gueule. En plus, la musique résonne dans ma tête et de donne déjà mal au crâne. Autant dire qu'il y a que l'alcool pour arranger les choses et jouer en ma faveur.

J’adore provoquer et face à moi j’ai une très bonne adversaire qui n’est pas aussi facilement perturbée mais c’est bien j’aime ça justement. Je savais que ça n’allait pas l’arrêter plus que ça vu ce que l’on a fait la dernière fois mais justement c’est là ou je voulais en venir « Non justement » Je souris malicieusement mais je ne vais pas plus loin par respect pour Colombe car je me doute que ça doit pas être évident d’être dans sa situation et d’ailleurs elle signale qu’elle va nous laisser et au fond ça me fait chier mais je sais pas y’a un truc qui a changé entre nous, on s’entends toujours mais plus aussi bien qu’avant et ce malgré le fait que l’on discute plus souvent. C’étonnant de voir que l’on était plus proche avant en étant que des sexfriends que maintenant. Elle retourne donc à l’intérieure et je soupire avant de regarder Iris et de me rapprocher considérablement d’elle tout en me mordant les lèvres « Fais attention à ce que tu dis maintenant je pourrais prendre tout au pied de la lettre » Je lui fais un clin d’œil alors que ma main se pose sur sa hanche "Tu finis ton joint et on rejoint Colombe ?" En vrai ça me faisait chier de la laisser seule "A moins que tu aies autre chose en tête"

Le Bodypainting est un art que j'ai toujours beaucoup aimé. Il n'est pas évident de le pratiquer avec des inconnus. Se mettre en sous-vêtement, laisser quelqu'un nous toucher, nous inspecter pour nous peindre des œuvres d'arts sur le corps. C'est quelque chose d'intime, de sensuelle qui ne se partage pas avec n'importe qui. Pourtant, lorsque je vois des personnes le faire à cette soirée, j'ai bien envie de recommencer également, mais plutôt sur le corps de quelqu'un. J'aimerais être celle qui peint. Je suis totalement plongé dans cette réflexion lorsque quelqu'un me bouscule, involontairement. Je tourne mon regard vers lui, lui adressant un joli sourire tandis qu'il s'excuse, bah ce n'est qu'un peu de peinture par terre, personne ne le remarquera… Du moins jusqu'à ce que la personne sorte et rentre chez elle et retrouve ses semelles roses. « Un peu trop direct la galipette dans la peinture à mon goût. » dis-je en riant. Il ne faut surtout pas tenir à ses vêtements, surtout lorsqu'on sait le prix d'une belle robe de cocktail. Je hausse légèrement les épaules avant de tourner de nouveau mon regard vers lui. « Oh non, je vais bien. » dis-je avec un petit sourire, il en faut un peu plus pour me blesser, physiquement et mentalement. « Je suis sûre que le vert est une couleur qui t'irait bien pourtant. » dis-je avec un clin d'œil à son intention. Oui un beau vert sapin foncé, pas un vert-jaune. « Oh non, je n'ai pas trop envie de m'amuser sur un cobaye » dis-je en haussant les épaules. Une autre fois peut-être que je trouverais le courage d'en refaire. « Tu allais vers le bar ? »

Le bodypainting est quelque chose que Tierney aurait fait ou essayé avant de partir à la guerre. Avant de pas supporter ces cicatrices évidement mais maintenant il ne pouvait qu'admirer les courageux et courageuses qui osaient s'y essayer en plein milieu d'une soirée. Il lui adressa un sourire « Disons que ça pourrait faire une base, si c'était pas un rose aussi vif. » En tout cas il fut fort content que la demoiselle n'ait absolument rien, manquerait plus que sa maladresse cause des blessures et là il aurait de quoi rager contre lui-même. Pauvre petit Bolos de Tierney. « ouf » Elle lui demanda alors si il voulait ou comptait participer, et instinctivement il descendit ses manches encore plus bas sur ses poignets. Par moment il n'a pas conscience de ce qu'il a l'air, à savoir d'un pauvre type qui doit avoir probablement des problèmes d'automutilation mais heureusement c'est loin d'être le cas. Il lâcha un rire à la réponse de la jeune fille. « Vert ? C'est pas exactement ce que j'aurais préféré. Toi c'est le Orange qui t'irais pas mal. Un orange crépusculaire plutôt.  » Et d'où un mec parle de couleur ? Il se gifla mentalement d'avoir de ce genre de pensée; Parfois il pouvait encore entendre la voix de son père dans sa tête. « Tu es sûre? Parce que je suis convaincu qu'une tonne de type, ou de filles seraient ravi d'être ton cobaye. » Cette fille était mignonne, et franchement il y avait pas de mal de gens pour le bodypainting, il faut dire que ça sortait un peu de l'ordinaire, d'où la présence de Spikey. Il lui souriait toujours. « C'est une façon subtile de dire que tu voudrais un verre ? Mais oui j'y allais. » Avant de te tomber dessus comme un gros boulet qu'il était.


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@Kara I. Edwards ( t'inquiètes pas )

J'ignorais comment Elliot réussissait à me canaliser, sachant que peu de personnes étaient capables de le faire. Quand je décidais de partir au quart de tour, valait mieux se tirer de mon chemin. C'tait un côté de ma personnalité que je tentais de contrôler tant bien que mal, sauf que y'avait des contextes qui faisaient que j'pouvais pas faire autrement ptdr. Calme Agathe, calme. Je lui demandais de m'embrasser, j'exigeais qu'il m'embrasse là maintenant. Sans plus attendre, il posait ses mains sur mes hanches pour me tirer contre lui. Je prenais son visage entre mes mains, alors qu'il se penchait pour venir plaquer ses lèvres sur les miennes. M'offrant un baiser fougueux que je lui retournais. On avait pu besoin de se cacher et en même temps, les meufs présentes étaient fixées: Elliot n'était pu disponible, sorry. Quelques secondes plus tard, il rompait le baiser en me demandant si j'allais mieux, affichant un petit sourire. « Très bien, ravie. » soufflais-je à proximité de ses lèvres. Jalouse et possessive, c'tait des critères d'la femme parfaite askip. « Ouais j'ai vu, je vais pouvoir prendre ton corps en otage. » l'idée me déplaisait pas du tout. J'prenais sa main et on se dirigeait vers le coin body painting. Je me plaçais devant lui, en le regardant d'un air hm.. aguicheur. « Déshabille-toi, du moins garde ton caleçon hein. » il serait mon cobaye, il porterait ma créativité. La chaaance.